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Je pense que c'est un rendu qu'on n'a pas encore vu. Ce bâtiment sera celui avec l'espace de bureau. C'est intéressant de voir que ce sont les étages 3 à 16 qui pourront être loués. Est-ce que ça signifie que seulement les deux premiers étages seront occupés par Groupe Sélection ?

Non, il n’y a pas de nouvelle construction d’Hôtel de Ville, encore moins dans ce lieu excentré.

Je dois dire que je suis un fervent défenseur des passages souterrains. Pour seulement un édifice, le futur campus au centre-ville ne justifie pas tant la construction coûteuse d’un tunnel. Cependant, dans le contexte du campus de l’université de Montréal avec quelques 68 000 étudiants, je crois que c’est justifié d’en avoir. Mes trajets vers l’UdeM sont tellement plus faciles depuis que je n’ai plus besoin de me soucier de la mauvaise météo.

Il parle fort probablement de l’édifice Côte Sainte-Catherine qui lui n’est pas relié au métro. Decelles lui est connecté au métro UdeM. Vu qu’on est dans un forum sur HEC, il était question des deux pavillons d’HEC au campus principal de l’UdeM.

L'édifice Decelles est cependant lié au métro (UdeM), mais avec une marche sans fin à travers les corridors des pavillons Lionel-Groulx et Jean-Brillant. Pour l'édifice Côte Sainte-Catherine vous avez raison avec seulement quelques minutes à faire.

Pourtant les seules fois que j’entends le message que nous attendons l’autorisation du centre de contrôle c’est lorsque je suis entre Laval et Crémazie et c’est normal vu que des trains sortent du dépôt ou bien qu’ils commencent leurs services à partir de Henri-Bourassa. Édit : Le métro, pour partir doit avoir la prochaine station de libre. On veut avoir plus de fréquence et après on se plaint qu’il faut attendre pourtant c’est la norme dans les systèmes de transports japonais par exemple. J’étais choqué en voyant une fréquence de 30 secondes à Tokyo, mais bien sûr, souvent le train s’arrêtait en tunnel pour attendre l’autorisation.

La station Griffintown–Bernard-Landry se dévoile AVANCEMENT DU PROJET Publiée le 22 juin 2020 La Ville de Montréal et CDPQ Infra ont dévoilé aujourd’hui l’emplacement et des rendus architecturaux de la station Griffintown – Bernard Landry. Voici 5 éléments à retenir sur cette future station. 1 – Sa localisation Située dans le quartier Griffintown, entre les rues Ottawa et William, la station sera intégrée à la structure ferroviaire du Viaduc Sud, un bâtiment-pont permettant l’accès à la gare Centrale en provenance du sud. Cet emplacement permettra de bien desservir le secteur de Griffintown, autant son secteur sud-ouest que la Cité du Multimédia et l’ouest du Vieux-Montréal. La place d’entrée de la station sera située du côté de la rue Dalhousie. Accédez à la carte interactive pour voir l’emplacement exact. 2 – Son architecture L’architecture de la station Griffintown – Bernard-Landry respectera les grands principes architecturaux, avec son bâtiment vitré et le bois au plafond. Le design de cette station sera aussi inspiré par le mouvement, avec des lignes horizontales et verticales s’intégrant à la structure du bâtiment-pont. Rendu architectural de la station, où l’on aperçoit les plafonds de bois et le traitement donné au verre. Vue du côté de la rue Dalhousie. Une fois dans la station, les usagers pourront monter au niveau mezzanine, puis se diriger vers le quai de leur choix (direction nord ou sud) à l’étage supérieur. La station sera munie d’escaliers et d’ascenseurs. Vue à l'entrée de la station Vue du niveau mezzanine. Les quais seront situés à l’étage supérieur. 3 – Son intégration La station est intégrée au bâtiment-pont ferroviaire appelé le Viaduc Sud. Structure robuste s’inscrivant dans l’histoire industrielle du quartier, le bâtiment-pont ferroviaire a été construit en deux phases entre 1931 et 1943 sous l’égide du Canadian National, afin de faire la liaison entre le pont Victoria et la gare Centrale. Mis aux normes dans le cadre du projet du REM, ce bâtiment-pont représentait un lieu d’exception pour accueillir la station Griffintown – Bernard-Landry. L’arrivée du REM permettra de valoriser et de pérenniser cette structure. Rendu de la station Griffintown – Bernard-Landy, vue de la rue Nazareth (ou côté Robert-Bourassa). L’intégration au Viaduc Sud est bien visible. Rendu de la station Griffintown – Bernard-Landy, vue du côté de la rue Dalhousie. On aperçoit ici la place d’entrée de la station. Dans l’environnement immédiat de la station, on retrouvera deux parcs, soit le parc Bonaventure et le futur parc Mary-Griffin. Plusieurs grands points d’intérêts seront aussi accessibles à quelques minutes de marche de la station. Temps de marche New City Gas : moins d’une minute Fonderie Darling : 2-3 minutes ÉTS : 5-6 minutes Tour d’Aiguillage / Canal Lachine : 7-8 minutes Promenade du Vieux-Port (rue de la Commune) : 7-8 minutes 4 – Son nom En phase planification, cette station faisait partie des plans du REM sous le nom « Bassin Peel ». Avec la confirmation de sa localisation, la station change de nom et est désormais appelé « Griffintown – Bernard-Landry ». En plus de respecter le principe lié à la géolocalisation dans la toponymie de la station Griffintown, la Ville de Montréal a souhaité saluer la contribution de l’ancien premier ministre Bernard Landry à l’essor de la cité du multimédia qui sera desservie par cette station. 5 – Sa mise en service Des travaux préparatoires sont déjà amorcés et les travaux de construction se poursuivront au cours des prochaines années, afin d’assurer l’ouverture de cette station à la fin de 2023 (d’ici la mise en service complète du REM). Temps de parcours depuis les autres stations du REM Station Gare Centrale : 2 min Station McGill : 3 min Station Édouard-Montpetit : 6 min Station YUL-Aéroport Montréal-Trudeau : 27 min https://rem.info/fr/actualites/devoilement-station-griffintown-bernard-landry

Réseau express métropolitain : dévoilement de la station Griffintown – Bernard-Landry MONTRÉAL Publié le 22 juin 2020 La mairesse de Montréal, Valérie Plante, la ministre déléguée aux transports et ministre responsable de la Métropole et de la région métropolitaine, Chantal Rouleau, le directeur exécutif, Affaires corporatives et développement de CDPQ Infra, Harout Chitilian et Chantal Renaud, présidente du Cercle des ami(e)s de Bernard Landry ont confirmé aujourd’hui l’emplacement de la station Griffintown – Bernard-Landry et dévoilé différents rendus de cette future station. Située dans le quartier Griffintown, entre les rues Ottawa et William, cette station sera intégrée à la structure ferroviaire du Viaduc Sud, un bâtiment-pont permettant l’accès à la gare Centrale en provenance du sud. Le quartier Griffintown et la Cité du Multimédia seront désormais connectés à un vaste réseau de métro léger de 67 km et 26 stations. Cette station viendra également connecter quatre universités, en assurant une liaison efficace entre l’Université de Montréal, la Polytechnique, l’Université McGill et désormais l’École de technologie supérieure (ÉTS). Pour les résidents de ce secteur, ce sera une toute nouvelle façon de se déplacer dans la région métropolitaine avec l’arrivée d’un réseau structurant. Avec une fréquence aux 2,5 minutes et ce, 20 heures sur 24, 7 jours sur 7, le REM insufflera un nouveau souffle au quartier. Le transport collectif demeure la façon la plus simple, économique et écologique de se déplacer à Montréal. Rendu architectural de la station Griffintown-Bernard-Landry Un lien ferroviaire historique valorisé Structure robuste s’inscrivant dans l’histoire industrielle du quartier, le bâtiment-pont ferroviaire (Viaduc Sud) a été construit en deux phases entre 1931 et 1943 sous l’égide du Canadian National, afin de faire la liaison entre le pont Victoria et la gare Centrale. Mis aux normes dans le cadre du projet du REM, ce bâtiment-pont représentait un lieu exceptionnel pour accueillir la station Griffintown Bernard-Landry. L’arrivée du REM permettra de valoriser et de pérenniser cette structure en y intégrant un réseau de transport moderne tourné vers l’avenir. Avec l’ajout d’une station, ce lien ferroviaire historique deviendra également un levier de consolidation pour ce quartier dense et dynamique où un réseau de transport structurant manquait. Travaux préparatoires amorcés Déjà des travaux préparatoires ont été amorcés et les travaux de construction se poursuivront au cours des prochaines années, afin d’assurer l’ouverture de cette station d’ici à la mise en service complète du REM, prévue à la fin de 2023. Rappelons que les coûts de la station Griffintown – Bernard- Landry font partie des coûts de construction du projet, soit 6,5 milliards de dollars. Par ailleurs, le tracé du REM étant en aérien dans ce secteur, l’ajout d’une seconde station pour desservir le secteur de Pointe-Saint-Charles sera possible au cours d’une phase subséquente. Citations « Trait d’union entre deux quartiers qui ont connu un développement exceptionnel au cours des dernières années, la station Griffintown-Bernard Landry offrira un transport structurant essentiel pour le secteur. Cette station nous permet également de reconnaître l'importante contribution de Bernard Landry au développement de notre ville, jouxtant la Cité du Multimédia, devenue le symbole de la vision économique audacieuse de notre ancien Premier ministre, et dont nous mesurons encore l'impact aujourd'hui. Je remercie CDPQ Infra pour sa collaboration dans cet important ajout au tissu urbain montréalais. » Valérie Plante, mairesse de Montréal « Aujourd’hui nous confirmons l’emplacement de la toute dernière des 26 stations de l’actuelle phase de construction du REM. Cette station revêt un caractère particulier. Absente initialement du projet en 2016, nous nous sommes engagés à ajouter une station pour desservir ce secteur au potentiel important. Un travail qui n’aurait pu se faire sans la Ville de Montréal qui a joué un rôle clé dans le choix de l’emplacement de cette station. L’arrivée d’une station du REM contribuera à maintenir l’élan et le dynamisme de ce quartier en modernisant et démocratisant un lien ferroviaire historique. Près de 90 ans après sa construction, ce lien est pérennisé par l’arrivée du REM, un réseau de transport tourné vers l’avenir. » Harout Chitilian, directeur exécutif, Affaires corporatives et développement de CDPQ Infra « Reconnaître la contribution remarquable de l’ancien premier ministre Bernard Landry en l’associant au plus important projet de transport collectif des 50 dernières années, au cœur du quartier qu’il a contribué à créer en favorisant l’émergence la Cité du multimédia, allait de soi. L’emplacement de cette station du REM viendra contribuer au dynamisme du secteur et facilitera, ici aussi, l’accès à d’importants pôles d’emploi et d’étude. » Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal « C'est plus que la dénomination d'une station, que nous célébrons ici, avec Griffintown-Bernard Landry, c'est l'accomplissement d'un rêve. Celui d'une population montréalaise tricotée serrée autour de sa culture, son économie, son savoir, et son absolu besoin de vivre ensemble. Comme le répétait souvent Bernard Landry : "Sans devoir de mémoire, aucune nation ne peut survivre. Il est heureux qu'aujourd'hui, la cité du Multimédia qui est son œuvre, se retrouve au milieu de ce tricot qu'il aurait tant apprécié.» Chantal Renaud, présidente du Cercle des ami(e)s de Bernard Landry https://rem.info/fr/communiques/devoilement-station-griffintown-bernard-landry

J’en ai profité en chemin vers Mascouche. Ils étaient à enlever les rails du côté ouest.

Bien vu, et il y a aussi 992 C.c.Q. qui permettrait au propriétaire de bonne foi de s'en sortir s'il bâtit au-delà de ses limites. Mais étant donné que l'aviation est de compétence fédérale, l'article 951 s'applique-t'il alors ? Édit : En vérifiant dans la Loi sur l'aéronautique il est bien indiqué que : autorité provinciale Autorité responsable dans une province de la réglementation de l’occupation des sols. (provincial authority) propriétaire Lui est assimilé quiconque, sauf un locataire, a un droit de propriété ou un intérêt, reconnu sous le régime juridique de la province de situation, à l’égard d’un bien-fonds ou d’un élément. (owner)

😂! GAP, parce que ce n’est pas « le nom d’une entreprise établie exclusivement hors du Québec; une appellation d’origine, la dénomination d’un produit exotique ou d’une spécialité étrangère, une devise héraldique ou toute autre devise non commerciale; un toponyme désignant un lieu situé hors du Québec ou un toponyme dans cette autre langue officialisé par la Commission de toponymie du Québec, un patronyme, un prénom ou un nom de personnage, de même qu’un nom distinctif à caractère culturel (article 25) » GAP est une marque de commerce donc les articles 25.1 à 25.5 doivent s’appliquer. 25.1 est clair pour dire que globalement les marques de commerces doivent assurer une présence du français dans l’affichage. Hors, dans l’article 25, ça concerne les exclusions qui ne sont pas obligées de respecter l’intégration du français dans l’affichage commercial dont les patronymes chose qu’est McDonald’s. Ce qui me chicote par contre concerne par exemple Tommy Hilfiger qui est un prénom et un nom (donc pas d’obligation), mais cette entreprise apparaît également dans le registre des marques de commerce au Canada ( donc obligation). Ce qui peut demander à des juristes si ces entreprises doivent ou ne doivent pas respecter ce règlement. Est-ce que le patronyme ou le nom a préséance sur la marque de commerce et ainsi on n’est pas contraint de le respecter ? La marque de commerce est donc l’entité globale et le patronyme ou bien le nom l’entité spécifique ce qui permet de ne pas afficher une mention en français... Cependant, le législateur ne parle pas pour rien dire, donc j’imagine que si les exclusions sont mentionnées ça veut dire qu’ils ne sont pas contraints de les respecter. Débat très intéressant 🤣

Les articles 25.1 à 25.4 du Règlement sur la langue du commerce et des affaires (concernant l'intégration de mots en français) s'appliquent uniquement selon le paragraphe 4 de l'article 25 aux marques de commerce selon le registre sur les marques de commerces canadiennes. Or, GAP figure dans le registre à titre de vendeur de textile. McDonald's par contre, est un patronyme ce qui fait que le paragraphe 3 de l'article 25 permet dans l'affichage public d'être rédigé uniquement dans une autre langue que le français pour des situations tels que des patronymes dont fait l'objet McDonald's. McDo n'est donc pas contrainte de respecter ces articles respectifs (25.1 à 25.4). C'est sûr que la ligne est mince entre une marque de commerce et le patronyme pour des entreprises telles que Tommy Hilfiger, Calvin Klein, etc. https://www.lapresse.ca/actualites/2020-01-15/affichage-en-francais-pas-toujours-pas-partout http://www.legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cr/C-11, r. 9/

C'est le Règlement sur la langue du commerce et des affaires avec les articles 25.1 à 25.4 spécifiquement. Ce règlement adopté en 2016 pendant le gouvernement Couillard fut possible de décréter grâce à la Charte de la langue française qui permet d'en adopter pour l'affichage commercial ( article 58).

Photos prises le 26 mai 2020 en pleine canicule. Hier matin, les ouvriers étaient présents, mais sûrement qu’aujourd’hui il en était autrement.

Et le troisième plus gros avion au monde, l’Antonov 124 viendra aujourd’hui à 17h40 à Mirabel 📸

La dernière fois que le train de Deux-Montagnes arrive et part de la gare Du Ruisseau. Six « superviseurs » de chez EXO sont venus souligner l’événement à cette gare. Que de souvenir ce train, au revoir !

Pour aller chercher des travailleurs saisonniers vu qu’ils ne peuvent plus avec des vols réguliers. Il y avait aussi VIVAaerobus qui est venu.

La force majeure a souvent été invoquée avec succès lors de crises en droit civil québécois (H1N1, crise du verglas, etc.). le caractère imprévisible et irrésistible fait aucun doute avec la COVID-19. L'obligation qu'à CDPQinfra (débiteur) et l'ARTM (créancier), en regardant strictement la prestation de service promise dans ce cas on est probablement avec une obligation de garantie ce qui fait qu'elle ne pourrait pas se dégager avec la force majeure. Mais si c'est seulement une obligation de résultat, alors là, la force majeure pourrait être invoquée par le débiteur. Un événement qualifié de force majeure par les tribunaux québécois peut avoir l’effet de libérer l'exécution de certaines obligations contractuelles. En ce qui a trait aux obligations contractuelles, la force majeure peut aussi suspendre l'exécution des obligations du débiteur ou même entraîner la résiliation du contrat en cas d’inexécution importante. Les rôles créancier-débiteur peuvent souvent varier dépendamment sous quel angle on analyse ce qui fait qu'au point de vue du paiement, CDPQ serait créancière et l'ARTM le débiteur. De toute façon ce n'est pas d'ordre public la force majeure donc les parties pourraient très bien y déroger d'un commun accord.

Et pour une petite information, ADMTL a supprimé récemment ses deux vidéos concernant l’avenir de YUL avec les différents projets en tête. Bon, c’est normal compte tenu de la situation exceptionnelle, mais c’était bien de rêver il y a quoi de ça presque deux ans déjà...

L’ARTM annoncera fort probablement bientôt un remboursement partiel des titres mensuels étudiants compte tenu de la fermeture des écoles. Honnêtement, étant étudiant, je ne m’attendais vraiment pas à ce genre de mesure que je trouve très bien ! Le site de la STL en fait un peu mention et celui de la RTL, mais d’une moindre manière...

Image prise le dimanche 15 mars 2020 au Terminus Montmorency. D'habitude, même une journée de dimanche, le stationnement incitatif de 1200 places est plein, alors là de voir l'effet du coronavirus est impressionnant! Le métro est tellement vide, c'est incroyable!

15 mars 2020 À partir du campus Laval de l'UDEM.

15 mars 2020 Ça avance assez bien et c'es très impressionnant le chantier !

https://plus.lapresse.ca/screens/6af5c1bd-addc-4eb0-bd8b-8e17734fd268__7C___0.html http://www.lcattertonrealestate.com/Developments.html#!/current/x/royalmount http://carbonleo.com/?releases=l-catterton-real-estate-sallie-a-carbonleo-pour-que-montreal-accueille-un-projet-immobilier-multifonctionnel-nouvelle-generation L. Catterton Real Estate Est un investisseur important dans le Royalmount et je me doute que c’est fort probablement au sein de la première phase de ce projet (dont le centre commercial) qui est actuellement en construction. Ce fonds d’investissement privé appartient au groupe LVMH, donc c’est largement certain que ce partenariat avec Carbonleo est très significatif pour entre autre le développement de commerces « de luxe » .

Groupe LVMH (Louis Vuitton, Givenchy et compagnie...)