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ar_13

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  1. https://coeurdesaffaires.hec.ca/visitez-ledifice-en-3d/ Visitez l’édifice en 3D 8 novembre 2018 Partager cette nouvelle Le projet avance à grands pas ! Visitez l’intérieur de l’édifice comme si vous y étiez grâce à une magnifique vidéo 3D, conçue par la firme Provencher Roy Associés, responsable de l’architecture, de l’urbanisme et du design intérieur de cet ambitieux projet. L’École s’implantera au centre-ville avec la construction d’un édifice à l’identité architecturale moderne, distincte et intemporelle, qui permettra de s’intégrer durablement et de façon harmonieuse à son environnement. La création d’espaces accessibles, conviviaux, et fournissant à tous les usagers une expérience collaborative et numérique exceptionnelle, sera au cœur de sa mission. De plus, l’École vise l’obtention de la certification LEED Or, grâce à une approche réfléchie et créative, tenant compte des principes de développement durable. Huit étages pour répondre à vos besoins L’intérieur sera composé de huit étages qui accueilleront, notamment, les programmes de MBA, EMBA et certains microprogrammes, certificats et D.E.S.S. ; des groupes de recherche (dont le Tech3Lab), l’École des dirigeants, CDL, Next AI et la Fondation HEC Montréal. De nombreux espaces dédiés à la co-création et à la formation continue, ainsi que plusieurs salles de cours et salles de travail en équipe seront à disposition. Enfin, l’édifice comptera également de nombreux espaces extérieurs spécialement aménagés pour offrir à la communauté d’affaires de Montréal, un lieu d’apprentissage et d’échanges stimulant, à deux pas des principaux employeurs de la métropole. Vous souhaitez voir ce projet atteindre son plein potentiel ? Donnez pour faire battre le cœur des affaires.
  2. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201810/22/01-5201251-rem-un-premier-sautage-a-la-dynamite-pres-dedouard-montpetit.php Publié le 22 octobre 2018 à 17h08 | Mis à jour à 17h08 REM: un premier «sautage» à la dynamite près d'Édouard-Montpetit BRUNO BISSON La Presse Si vous habitez près de la station de métro Édouard-Montpetit et que vous ressentez une petite vibration provenant du sol, ce soir, vers 19h30, ne vous jetez pas sous un cadre de porte. Ce n'est vraisemblablement pas un tremblement de terre. C'est plutôt le résultat du premier « sautage » pour la construction du puits d'accès à la future station souterraine du REM, dans l'ouest de Montréal. Cette première opération de dynamitage sera précédée d'une douzaine de coups d'avertisseur. La circulation sera alors bloquée pendant environ cinq minutes sur l'avenue Vincent-d'Indy, entre l'avenue Willowdale et le boulevard du Mont-Royal. Une fois la charge de dynamite explosée, un coup d'avertisseur avertira la population et les usagers de la voie publique du retour à la normale. À partir de demain, ce manège deviendra quotidien. Au rythme de deux explosions par jour, une le matin et l'autre en début de soirée, il faudra environ huit mois pour creuser le roc jusqu'à une profondeur de 70 mètres, où on aménagera la station Édouard-Montpetit du futur Réseau express métropolitain.
  3. Promesse électorale: http://www.lapresse.ca/actualites/elections-quebec-2018/201809/18/01-5197013-350-millions-pour-agrandir-le-palais-des-congres-promet-couillard.php Publié le 18 septembre 2018 à 12h55 | Mis à jour à 12h55 350 millions pour agrandir le Palais des congrès, promet Couillard Philippe Couillard promet « au moins » 350 millions pour le projet d'agrandissement du Palais des congrès de Montréal. Ce nouvel engagement du chef libéral a été livré mardi dans un discours devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. La Presse révélait hier qu'il a fallu 11 minutes et 30 secondes pour vendre 10 000 billets de la plus grande conférence sur l'intelligence artificielle, qui se tiendra à l'automne au palais des congrès de Montréal. « On aurait pu facilement aller à 14 000 ou 15 000 billets. C'est dommage qu'on laisse 5000 billets comme ça », a affirmé hier dans nos pages Hubert Bolduc, président-directeur général de Montréal International. « Notre palais est trop petit, on ne peut pas aller chercher des associations internationales. Il y en a au moins 200 qu'on est incapables d'aller chercher », déplorait également Yves Lalumière de Tourisme Montréal. Un projet en développement depuis 2013 Québec s'est porté acquéreur d'un terrain situé à l'est du Palais des congrès en 2017, après avoir pris une réserve foncière de deux ans en 2013 qui a été renouvelée en 2015. « Mon message à la Société du Palais des congrès, c'est activez-vous. Présentez-nous un projet », a dit Philippe Couillard, lundi, questionné par La Presse à ce sujet lors d'une mêlée de presse à Montréal. À l'heure actuelle, la Société du Palais des congrès prépare un dossier d'opportunité qui sera soumis d'ici janvier à la Société québécoise des infrastructures (SQI). Legault attaqué Devant les gens d'affaires, Philippe Couillard a vivement critiqué le plan caquiste en immigration, mardi. « L'immigration est un projet pour plusieurs générations. Comment prétendre vouloir retenir plus de gens tout en les menaçant ? Avec son déni, la CAQ propose d'affaiblir notre économie », a dit le chef libéral. « Avec sa menace de test d'expulsion, avec sa fausse proposition, Monsieur Legault échoue au test de base, celui de la compréhension. Attirer moins de travailleurs va aggraver notre pénurie, pas la résorber », a-t-il poursuivi.
  4. Liens du webcam: https://fingo.panomax.com/SPJD-Instance-Publique-Cam1#, https://fingo.panomax.com/SPJD-Instance-Publique-Cam2 Photo datant de cette après-midi:
  5. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1114859/ecole-technologie-superieure-nouveaux-pavillons (avec reportage) L'ETS sera agrandie au coût de 55 M$ L'École des technologie supérieure (ETS) de Montréal, qui connaît une forte croissance de l'effectif étudiant, va s'étendre : au moins un, voire deux nouveaux pavillons seront construits dans les prochaines années sur des terrains situés à proximité de l'université. L'agrandissement prévu prendra plusieurs formes, selon le communiqué publié jeudi avant-midi par la ministre de l'Enseignement supérieur, Hélène David, et la vice-première ministre, Dominique Anglade. D'abord, une somme de 42,5 millions de dollars sera consacrée à la construction d'un nouveau pavillon de cinq étages sur un site adjacent à l'ETS. « Ce projet prévoit l'ajout de salles de classe et de laboratoires d'enseignement, ainsi que la relocalisation d'espaces administratifs », écrit-on, sans donner plus de détails. Quatre millions seront aussi alloués à « la réalisation des études requises en vue de la construction d'un pavillon à l'emplacement de l'ancienne brasserie Dow », de l'autre côté de la rue Peel. Enfin, « des travaux urgents à effectuer sur le site » nécessiteront l'injection de quelque 10 millions de dollars. C'est donc plus de 55 millions qui seront investis à court terme dans l'école d'ingénierie du réseau de l'Université du Québec « pour l’édification d’un nouveau pavillon, la réalisation des études préalables à la construction d’un deuxième nouveau pavillon et l’amélioration d’infrastructures existantes », résume-t-on. L'argent proviendra du Plan quinquennal des investissements universitaires du gouvernement québécois. Cet investissement est rendu nécessaire par « le manque d'espace auquel l'ETS est confrontée », précise Pierre Dumouchel, directeur général de l'ETS. Selon lui, l'étroitesse des locaux actuels de l'université « a un effet direct sur sa capacité à former les ingénieurs dont le Québec a grandement besoin ».
  6. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1112318/marche-jean-talon-rue-shamrock-travaux-amenagement Le réaménagement des abords du marché Jean-Talon sur le point de débuter Publié il y a 15 minutes À terme, l'avenue Shamrock doit offrir de larges espaces pour les piétons, et ce, jusqu'à la place Casgrain, qui se situe tout au fond, sur l'image. Photo : Radio-Canada L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie entend effectuer dès la semaine prochaine la première pelletée de terre des travaux de réaménagement de l'avenue Shamrock, entre le boulevard Saint-Laurent et le marché Jean-Talon. Une place publique sera également construite, tel que prévu, sur une partie du stationnement du marché jouxtant l'avenue Casgrain. Un texte de Hugo Prévost Ces travaux, qui ont déjà débuté, doivent se conclure le 23 novembre. Ils font suite à une période de trois ans, de 2014 à 2017, où l'arrondissement sous la gouverne du maire François Croteau a effectué plusieurs consultations publiques, en plus de mettre à l'essai une version piétonnière de l'avenue Shamrock. Dans un document d'information remis mercredi au public, l'administration de l'arrondissement mentionne que le nouvel ensemble formé de l'avenue Shamrock et de la place publique Casgrain répondent à neuf orientations déterminées à la suite des consultations. Parmi ces orientations, on retrouve la volonté d'« aménager une rue où le piéton occupe une place dominante », proposer une « offre variée de lieux de détente » et multiplier les places pour s'asseoir, ainsi que l'installation d'une « végétation diversifiée adaptée à l'hiver ». Si l'avenue Shamrock deviendra piétonnière, les voitures pourront toutefois continuer d'y circuler en direction ouest, vers le boulevard Saint-Laurent. Les travaux, qui seront effectués en séquence, débuteront avec le remplacement du réseau d'aqueduc sur l'avenue Shamrock. L'aménagement de la place du marché Jean-Talon et la refonte de l'aménagement Saint-Laurent–Shamrock sont les dernières étapes inscrites au calendrier. Ces deux phases doivent se terminer le 16 novembre. L'intersection Saint-Laurent–Shamrock devra d'ailleurs être fermée à la circulation pendant une fin de semaine pour parachever les travaux, peut-on lire dans le document d'information. Les travaux doivent se poursuivre jusqu'à la fin novembre. Photo : Arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie Projet contesté Si le réaménagement de l'avenue Shamrock a l'heur de plaire, la disparition de certaines places de stationnement au marché Jean-Talon irrite des commerçants, qui dénoncent la disparition des cases dont ont besoin les camions de livraison et les clients achetant de grandes quantités de marchandises. Ces commerçants ont par ailleurs lancé une pétition pour réclamer le retour des cases de stationnement et l'abandon du projet de place publique. Baptisée « Sauvons le marché », cette pétition aurait recueilli plusieurs milliers de noms. La semaine dernière, le maire Croteau répliquait par le moyen d'une lettre ouverte, où il affirmait que des consultations seraient menées pour établir un plan directeur destiné au marché Jean-Talon. Dans sa missive publiée dans le journal Le Devoir, l'élu de Projet Montréal précisait que des espaces de stationnement seraient ajoutés pour non seulement compenser les places appelées à disparaître suite aux travaux d'aménagement de l'espace public, mais que l'offre en stationnement serait en fait supérieure à celle disponible actuellement. Au coeur du litige entre certains commerçants et l'arrondissement, on semble trouver deux points : la disparition de places de stationnement gratuit et l'absence d'ascenseur à destination du stationnement souterrain construit sous la succursale de la Société des alcools du Québec (SAQ), directement sous l'espace appelé à devenir une place publique. Chez les partisans du projet, on rétorque que les habitudes des consommateurs changent, et que s'il y a toujours des gens qui se rendent au marché à bord d'un véhicule pour y acheter beaucoup de produits, de plus en plus de visiteurs sont à pied, en vélo ou en transport en commun, et qu'ils achètent en plus petites quantités pour y retourner plus souvent.
  7. Court reportage sur RDS: https://www.rds.ca/courses/formule-1/f1-debut-des-travaux-au-circuit-gilles-villeneuve-1.6230466.
  8. https://www.newswire.ca/news-releases/parc-jean-drapeau---debut-des-travaux-de-refection-des-paddocks-du-circuit-gilles-villeneuve-687224471.html Parc Jean-Drapeau - Début des travaux de réfection des paddocks du Circuit Gilles-Villeneuve MONTRÉAL, le 3 juill. 2018 /CNW Telbec/ - La Société du parc Jean-Drapeau (SPJD) a donné le coup d'envoi aujourd'hui aux travaux de réfection et d'agrandissement des paddocks du circuit Gilles-Villeneuve, notamment grâce à des investissements de 18 M$ provenant du ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire (MAMOT) et de 41 M$ provenant de la Ville de Montréal. La SPJD se dote ainsi d'infrastructures modernes afin d'assurer la pérennité du Grand Prix du Canada. C'est une page d'histoire qui se tourne aujourd'hui alors qu'est entamée la démolition des infrastructures actuelles. La SPJD est confiante que les installations qui prendront forme dans les prochains mois sauront rendre justice à la prestance du circuit qu'elles côtoient. Des installations à la fine pointe Dans la foulée du renouvellement de l'entente relative au Grand Prix du Canada de 2017 à 2029, l'amorce de ces travaux arrive à point, les infrastructures d'origine du circuit Gilles-Villeneuve ayant atteint la fin de leur vie utile. Le circuit Gilles-Villeneuve pourra donc, plus que jamais, rencontrer les exigences de la Fédération Internationale de l'Automobile (FIA) et de la Formula One World Championship (FOWC) à sa réouverture officielle lors de l'édition 2019 du Grand Prix du Canada, mais aussi briller à l'international lors de cet évènement hautement médiatisé. Le Groupe Geyser inc., entrepreneur auquel le contrat a été octroyé à la suite de l'appel d'offres public lancé le 14 décembre 2017, entamera donc en premier lieu la démolition du bâtiment actuel des paddocks, la rénovation des infrastructures souterraines datant des Jeux olympiques de 1976 et le remplacement du réseau électrique. Une fois le terrain libéré, de nouveaux paddocks à la fine pointe de la technologie seront érigés sur le même site. Le bâtiment imaginé par Les Architectes FABG sera moderne et doté d'une fenestration imposante. Sa conception architecturale est inspirée de certains éléments de l'Expo 67, notamment le plafond dont la trame rappelle les formes triangulaires de la Biosphère (ancien Pavillon des États-Unis) et du Pavillon du Canada. Ce nouveau bâtiment viendra également s'ajouter à l'offre de salles locatives du Parc. L'aménagement sur 3 étages, dont la capacité des loges passera de 1 800 personnes à 5 000, sera réparti comme suit : 1er étage : Garage des équipes, tour de contrôle et locaux pour le personnel 2e étage : Loges, tour de contrôle, podium, espaces médias 3e étage : Loges et terrasses La population est invitée à suivre l'avancement des travaux sur le web au parcjeandrapeau.com. Un circuit célèbre au passé mémorable Depuis maintenant 40 ans, le circuit Gilles-Villeneuve est un lieu emblématique dans le paysage montréalais, tout autant qu'il l'est devenu dans le grand circuit de la Formule 1. En 1978, le circuit canadien de l'époque situé à Mosport en Ontario, ne répondant plus aux exigences de la Formule Un, il a été décidé d'en construire un nouveau sur l'île Notre-Dame au parc Jean-Drapeau. En un temps record de trois mois, le circuit et des infrastructures temporaires ont été aménagés, juste à temps pour accueillir le Grand Prix 1978, au cours duquel Gilles Villeneuve a remporté sa première victoire en Formule 1. Une structure permanente pour les paddocks a été construite une dizaine d'années plus tard, en 1988. Les coureurs et amateurs de Formule 1 apprécient le circuit Gilles-Villeneuve pour, d'une part, son emplacement en pleine nature à deux pas de Montréal, ainsi que pour les caractéristiques de son parcours : 14 virages dont l'Épingle et le virage Senna, accélérations et freinages extrêmes et obstacles multiples. À propos de la Société du parc Jean-Drapeau La Société du parc Jean-Drapeau est un organisme paramunicipal de la Ville de Montréal dont la mission est de gérer, d'administrer, de développer, de protéger et d'animer le parc Jean-Drapeau. Pour plus d'informations sur le projet ou pour télécharger les dessins techniques, visitez le parcjeandrapeau.com.
  9. ar_13

    Hôtel Birks

    http://www.lapresse.ca/affaires/economie/commerce-de-detail/201806/12/01-5185406-reouverture-du-magasin-de-la-maison-birks-au-square-phillips.php Publié le 12 juin 2018 à 08h41 | Mis à jour à 08h41 Réouverture du magasin de la Maison Birks au Square Phillips La firme d'architecture montréalaise Aedifica a collaboré avec Birks au réaménagement de l'espace du magasin de la rue Sainte-Catherine Ouest. La Presse Canadienne Montréal Le magasin bien connu de la Maison Birks situé au Square Phillips, au centre-ville de Montréal, est maintenant rouvert à la suite de rénovations majeures. L'établissement d'une superficie de 7700 pieds carrés héberge désormais des boutiques de grandes marques internationales de joaillerie, notamment des collections Birks, de même que des marques horlogères de luxe réunies dans une boutique. Des détails architecturaux originaux du magasin construit en 1894 sont mis en valeur. Les dirigeants ont voulu ajouter à l'établissement des touches contemporaines, avec des couleurs plus claires, du mobilier et des présentoirs modernes, une lumière naturelle accrue et une disposition plus aérée. La firme d'architecture montréalaise Aedifica a collaboré avec Birks au réaménagement de l'espace du magasin de la rue Sainte-Catherine Ouest. Le Groupe Birks exploite 28 magasins répartis dans la plupart des grandes villes du Canada.
  10. http://www.hec.ca/nouvelles/2018/hec-montreal-obtient-le-feu-vert-pour-la-construction-de-son-nouvel-edifice-au-centre-ville-d-affaires.html HEC MONTRÉAL OBTIENT LE FEU VERT POUR LA CONSTRUCTION DE SON NOUVEL ÉDIFICE AU CENTRE-VILLE D’AFFAIRES 24 mai 2018 HEC Montréal a reçu l’approbation du Conseil des ministres pour construire un nouvel édifice au centre-ville d’affaires, sur le site adjacent à la basilique Saint-Patrick. L’École en a fait l’annonce officielle le 24 mai, lors d’une conférence de presse à laquelle ont participé la ministre responsable de l’Enseignement supérieur et de la Condition féminine du Québec, Hélène David, et la ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, ministre responsable de la Stratégie numérique et vice-première ministre du Québec, Dominique Anglade. Le gouvernement du Québec confirme ainsi un investissement de 93,5 millions de dollars pour la construction de cet édifice, dont le coût total est évalué à 183,1 millions. « La réputation de HEC Montréal n’est plus à faire. Véritable pôle d'attraction pour Montréal et le Québec, l’école attire des étudiants du monde entier et forme de nombreux étudiants appelés à devenir des acteurs de changement au Québec et au Canada. Cette aide financière permettra à HEC Montréal de poursuivre ses missions d’enseignement et de recherche et d’offrir des espaces plus adaptés à sa clientèle », a déclaré la ministre Hélène David. Ce nouvel édifice, rendu nécessaire par un important déficit d’espace, permettra à l'École de se rapprocher physiquement du milieu des affaires. Cette expansion survient à un moment clé de l'histoire de HEC Montréal, alors que les développements technologiques rapides entraînent à la fois de grands besoins de formation et la nécessité d’une collaboration étroite entre le marché du travail et la recherche de pointe, notamment dans les domaines de la science des données et de l’intelligence artificielle. Cette présence au centre-ville d’affaires donnera à l’École les moyens de mieux servir sa clientèle, puisque les cours et programmes qui seront offerts dans ce nouvel édifice sont ceux s’adressant spécifiquement aux professionnels en exercice, soit les programmes de MBA, certains diplômes d’études supérieures spécialisées et certificats, ainsi que les formations de l’École des dirigeants, qui s’y installera. L’ouverture est prévue pour la rentrée d’automne 2021. « Je me réjouis de savoir que la proximité avec le milieu des affaires facilitera l’accès à l’expertise développée à HEC Montréal tant pour les professionnels, les cadres, que les entrepreneurs », a déclaré Hélène Desmarais, présidente du conseil d’administration de HEC Montréal. « Ce nouvel édifice au cœur du centre-ville d’affaires dynamisera les échanges et les partenariats avec les entreprises comme les organisations publiques, mais surtout, il favorisera la réussite en cette ère de transformation numérique qui nous invite tous à repenser nos modèles et à innover », a souligné Michel Patry, directeur de HEC Montréal. Incubation d’innovations, cocréation et accélération de startups seront également au cœur du quotidien de ceux qui fréquenteront ce nouvel édifice. Entre autres exemples, le nouvel édifice abritera les activités du CDL-Montréal, un programme à l’intention des entreprises scientifiques à fort potentiel de croissance en phase de démarrage. Il logera aussi des antennes de l’Institut d’entrepreneuriat Banque Nationale | HEC Montréal et du Tech3Lab. Plusieurs services de HEC Montréal s’y trouveront également, notamment la Fondation HEC Montréal, Alumni HEC Montréal et le Service de gestion de carrière. L’annonce d’aujourd’hui entérine le fruit d’années de planification et de préparation qui ont d’abord servi à identifier le site le plus porteur, puis à travailler de concert avec les différentes parties prenantes – Québec, Montréal, représentants de la Fabrique de la paroisse de Saint-Patrick et voisins – pour assurer une intégration optimale du projet au sein de la communauté et de son environnement, et ce dans le respect du patrimoine. Plusieurs experts ont été consultés en ce sens, notamment d’Héritage Montréal, du Conseil du patrimoine culturel du Québec et du ministère de la Culture et des Communications. Le nouvel édifice de HEC Montréal entend aussi répondre à des pratiques, normes et technologies d’avant-garde qui procureront un environnement de travail, d’étude et de rencontres stimulant, accueillant et ouvert à l’ensemble de la communauté.
  11. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/fasken-et-l-amf-demeureront-a-la-tour-de-la-bourse/602257 Fasken et l'AMF demeureront à la Tour de la Bourse La Place Victoria, anciennement connue sous le nom de Tour de la Bourse, à Montréal, confirme le renouvellement de deux de ses locataires les plus importants, soit le cabinet d’avocats Fasken et l’Autorité des marchés financiers (AMF), a appris Les Affaires. Locataire de l’immeuble depuis 1963, Fasken vient de signer une entente d’une durée de 17 ans pour la location d’espaces de bureaux totalisant 122 000pi2 de superficie. Le prix de location n’a pas été dévoilé, mais les bureaux des 425 employés que compte le cabinet montréalais seront répartis sur six étages, en plus d’un espace d’une superficie indéterminée au rez-de-chausée. Associé directeur de Fasken pour le Québec, Éric Bédard, se dit fier de cette entente et outient que le cabinet en profitera pour investir dans la modernisation de leurs bureaux, à la fois pour leurs professionnels et clients. Les Affaires a également obtenu la confirmation que l’AMF, le chien de garde des marchés financiers au Québec, a aussi conclu une entente de reconduction de bail à long terme avec le gestionnaire de la Place Victoria. Le montant et la durée exacte de l’entente «à long terme» signée entre les partis sont tenus confidentiels. Mais elle concerne la location d’un espace équivalent à celui de Fasken, soit quelque 120 000 pi2 de superficie. Haute de 47 étages, la «Place Victoria s’est imposée comme premier choix de par la formule financière compétitive proposée ainsi que par les qualités de son emplacement», s’est limitée Marie-Claude Soucy, vice-présidente services administratifs de l’Autorité. Concurrence accrue Ces ententes sont plus que bienvenues pour le Groupe Petra, gestionnaire de la Place Victoria. Ensemble, l'AMF et Fasken occuperont près du quart de la superficie totale de l'édifice de 47 étages. C'est qu'avec la construction de nombreuses nouvelles tours de bureaux ces dernières années, le marché s’est considérablement complexifié pour les propriétaires de tours plus anciennes. La décision d’Ivanhoé Cambridge d’entreprendre la rénovation de vastes espaces de la Place Ville-Marie, l’hiver dernier, n’est pas étranger à cette croissance de la compétition. C'est pour pour cette même raison, que le propriétaire de la Place Victoria s’est aussi engagé dans des travaux majeurs de restauration. Les travaux visent principalement les espaces communs du lobby, la reconfiguration des aires d’alimentation et les aspects architecturaux distinctifs de l’immeuble, dont son célèbre escalier central. En plus de travaux visant l’accroissement de son efficacité énergétique, l’entreprise prévoit l’ajout d’espaces verts et de nouvelles terrasses extérieures. Haut de 47 étages, l’édifice de la Place Victoria est situé au 800 rue du Square Victoria, en bordure du Vieux-Montréal. L’ancienne Tour de la Bourse appartient au Groupe Petra, une société de gestion privée appartenant à la famille Saputo. Outre Fasken et l’AMF, l’édifice de 1 million de pi2, abrite aussi le siège de l’Association internationale du Transport aérien (IATA) et de l’Agence mondiale antidopage. Le portefeuille immobilier de Petra compte un peu plus de 8 M de pi2 d'espaces locatifs, dans les secteurs du bureau, du commercial et de l'industriel.
  12. https://www.newswire.ca/news-releases/canadas-most-innovative-hotel-opens-its-doors-in-the-heart-of-downtown-montreal-678342623.html Canada's Most Innovative Hotel Opens Its Doors In The Heart Of Downtown Montréal NEWS PROVIDED BY Hôtel Monville Mar 29, 2018, 18:23 ET A stone's throw from Palais des congrès, Hôtel Monville is the first in the country to use a delivery robot for room service MONTRÉAL, March 29, 2018 /CNW Telbec/ - Since March 15, 2018, Montréal has been offering visitors an incomparable experience with the official opening of the Hôtel Monville, the brand new independent and 100% connected hotel, located on De Bleury Street in the heart of Metropolitan Montréal's Quartier International. Setting new trends in the industry, this 20-storey, four-star hotel offers 269 guest rooms including 54 suites. Designed by the team that successfully relaunched the Hôtel Gault, Monville is redefining customer service by offering the latest integrated technological innovations. 21st Century Hotel Monville is the first and only hotel in Canada to provide room service using an autonomous delivery robot that carries orders directly to guest rooms, in record time. This robot, developed by the California firm Savioke, helps make a stay at Monville a truly unique experience, in harmony with the growing digital age. Guests can check in easily and quickly at electronic kiosks, where they will also automatically receive their room keys. Human receptionists can thus dedicate more time to helping guests discover Montréal's many attractions. A Truly Meticulous Montréal Experience Guests at the Hôtel Monville will also appreciate a true à la Montréal experience, with the city's spirit carefully and seamlessly woven into the entire building. Examples include the awe-inspiring lobby artwork from world-renowned photographer Valérie Jodoin Keaton, staff uniforms by Frank and Oak, bedroom lighting by Lambert et Fils, 100% all natural personal care products from Oneka, and the materials used for furniture construction. The entire hotel thus reminds guests of what makes Montréal a truly unique world-class destination. In the Heart of the Action Conveniently located just a few steps from Palais des Congrès, historic Old Montréal, and the vibrant Quartier des spectacles, Hôtel Monville will appeal to business travelers and tourists alike, inviting them to discover some of the city's most well known jewels, all within walking distance. Hôtel Monville will appeal to Montréalers, as well, with its Gourmet Monville restaurant offering delicious dine-in and take-out options for visitors and guests. Located in the impressive hotel lobby that doubles as an informal working and reading space, this grab & go service will offer a menu inspired by Montréal's creative and eclectic gastronomy. Hôtel Monville will transform downtown happy hours (known to Montréalers as 5 à 7), cocktail meetings, and soirées with a bar that boasts a distinctly original wine list and a signature rooftop terrace, where guests can enjoy a 180 degree view of downtown Montréal and Mount Royal. Window to the City Both the interior and exterior of the hotel showcase the city, with a unique and sophisticated design that is the brainchild of the architectural firm acdf*. Their attention to detail also ensured that Hôtel Monville meets the highest and strictest environmental standards. All rooms and suites have large windows that, alongside the paintings that adorn the walls, provide panoramic views of the city, the mountain, or the Jacques-Cartier Bridge. The same views are available from for the hotel's six meetings rooms. Comfort and Luxury Comfort and luxury are at the heart of Hôtel Monville's design. Each room features a king size bed, a rain shower, and an HD television measuring 50 inches or more. The hotel also offers guests access to a gym with best in class equipment – accessible 24/7 – and Wi-Fi throughout at no extra charge. Moreover, through its Preferred Hotels & Resorts loyalty program, guests can benefit from a number of benefits and rewards shared across 600 hotels in 85 countries. The hotel is also pet-friendly certified, offering rooms where your favourite pets are more than welcome. Quote "The Hôtel Monville has been designed to welcome those who wish to fully immerse themselves in the Montréal experience no matter how long they stay, they'll be sure to enjoy the people, the art, and the city's boldness and vibrant lifestyle," said Jean-Cédric Callies, Director of Sales and Marketing, Hôtel Monville. "We were inspired by this wonderful city and this hotel is a natural extension of its warmth and spirit." Project Specifications: Project Name Hôtel Monville Address 1041 De Bleury St., Montréal, Québec, H2Z 1M7 Stars 4 Cost Low season: starting from $149 High season: starting from $189 Floors 20 Rooms 215 rooms and 54 suites (27 rooms and suites are adapted for those with reduced mobility) Room specifications King size bed in all rooms Floor-to-ceiling windows Cable or satellite TV (50" – 55") Children's beds (only available in suites) Hair dryer Folding bed (only available in suites) Rain showers Naturally and locally sourced furniture materials in each room Energy saving lighting and heating Meeting rooms 6 adaptable rooms Room capacities 10 to 100: 5 101 to 250: 1 Maximum capacity by configuration Theatre: 120 Auditorium: 50 Class: 108 Banquet: 120 Cocktail: 150 Parking Paid parking available Services Autonomous delivery robots for room service Front desk available 24/7 Concierge services Automated check-in kiosks with a built-in key distributor Grab & go restaurant Bar Gym Dry cleaning ($) 4,000 sq ft banquet space School groups welcome Other features Pet friendly certified Local art featured Rooftop terrace Lobby and other collaborative spaces available to hotel clients and for rent Nearby: Short walk to Palais des congrès, One-minute walk to the Place d'armes metro station, Two-minute walk to Old Montréal, Five-minute walk to Quartier des spectacles Hotel opening March 15, 2018 Architects acdf* Construction Pomerleau About Hôtel Monville Located at the heart of Montréal's Quartier international on De Bleury Street, Hôtel Monville is a four-star hotel that targets both business people and tourists seeking to immerse themselves in the Montréal experience. Opened in 2018, Hôtel Monville is the first Canadian hotel to offer robot-operated room service and automated check-in services featuring a room key distributor. The brainchild of the same group that made the Hôtel Gault a reality, Monville has completely reimagined the customer service experience, making it even more technologically savvy. With every stay, clients are provided with an immersive and distinctly "Montréal" experience in a unique setting and design. The hotel features 269 rooms, 54 of which are suites, as well as a Grab & go restaurant, a bar, conference rooms and a terrace that provides clients with breathtaking views of the city. Website: www.hotelmonville.com SOURCE Hôtel Monville
  13. Photos datant du 23 janvier 2018: https://www.facebook.com/pg/campusmil/photos/?ref=page_internal
  14. Quelques-unes des nouvelles photos datant du 14 décembre 2017 et provenant de la page Facebook: https://www.facebook.com/pg/campusmil/photos/?tab=album&album_id=335441330192905
  15. Lien: http://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201801/18/01-5150467-ets-le-fondateur-de-cryocath-devient-entrepreneur-en-residence.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics__4244223_section_POS4 Publié le 18 janvier 2018 à 07h25 | Mis à jour à 07h25 ETS: le fondateur de CryoCath devient entrepreneur en résidence ANDRÉ DUBUC La Presse L'incubateur de jeunes pousses de l'École de technologie supérieure (ETS), Centech, ouvre une cohorte d'entreprises en démarrage issues des technologies médicales. Les entrepreneurs en herbe seront encadrés par Steven Arless, fondateur de la biotech CryoCath, qu'il a vendue 400 millions de dollars à Medtronic en 2006. Cette initiative est révélatrice du rayonnement du Centech comme accélérateur d'entreprises technos, car l'ETS forme des ingénieurs et non pas des médecins. L'établissement universitaire du quartier Griffintown, au sud-ouest du centre-ville de Montréal, a constaté une forte demande à Montréal en technologies médicales. Déjà, le quart des entreprises hébergées par le Centech évolue dans le domaine. « Ce nouveau programme vient concrétiser la vision que nous avions de réunir sous un même toit une concentration des meilleures startups med tech et de développer une véritable communauté d'expertise dans ce domaine », explique Richard Chénier, directeur général de Centech. La Presse a rencontré M. Chénier - qui est directeur général de l'incubateur universitaire depuis deux ans - au Centech hier matin. Cette percée dans les technologies médicales est possible parce que le Centech est ouvert à tous, étudiants de l'ETS ou non. Selon M. Chénier, le Centech doit sa popularité croissante à la qualité de ses programmes, aux services offerts pratiquement sans frais et à l'accès aux équipements et aux laboratoires de l'école de génie. De plus, le Centech ne prend aucune participation dans le capital-actions des entreprises qu'il accompagne. Sept entreprises en démarrage ont rallié la nouvelle cohorte. On leur offrira une formation intensive de 12 semaines dans le cadre du programme accélération du Centech, pendant lequel les entrepreneurs devront rencontrer leurs premiers clients et idéalement conclure leurs premières ventes. Le Centech doublera de superficie bientôt. Il est en train d'aménager des locaux dans l'ancien Planétarium Dow, rue Saint-Jacques, au coût de 11 millions. Ouverture officielle en juin. L'ETS s'intéresse au TechTown de Kevlar Par ailleurs, l'École de technologie supérieure, continuellement en expansion, a les yeux sur un terrain situé tout juste derrière son pavillon principal, d'après nos informations. Il s'agit du terrain du 1134, rue William, dans le quartier Griffintown, au sud-ouest du centre-ville de Montréal, où la société Kevlar se propose d'ériger le TechTown, un immeuble de bureaux de 125 000 pieds carrés. L'ETS et Kevlar n'ont rien voulu confirmer. « Nous sommes en pourparlers avec un occupant potentiel qui louerait le bâtiment au complet ou rachèterait le terrain, s'est contenté de dire René Bellerive, son président, dans un entretien. Nous devons nous rencontrer la semaine prochaine. » L'ETS ambitionne d'atteindre le seuil des 16 000 étudiants vers 2025. Actuellement, l'établissement compte 10 700 étudiants équivalent temps plein. En prévision, la direction planifie déjà une énième phase d'expansion, expliquait en décembre à La Presse Jean Belzile, directeur de la planification stratégique et des ressources à l'ETS. L'école est de toute façon en déficit de locaux de 500 000 pieds carrés, selon les estimations de l'établissement.
  16. Lien: http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201801/04/01-5148928-lets-ambitionne-de-grossir-encore.php Publié le 04 janvier 2018 à 08h11 | Mis à jour à 08h11 L'ETS ambitionne de grossir encore ANDRÉ DUBUC La Presse L'École de technologie supérieure (ETS), qui ne cesse de s'étendre dans le quartier Griffintown, au sud du centre-ville de Montréal, ambitionne d'atteindre le seuil des 16 000 étudiants vers 2025. Actuellement, l'établissement compte 10 700 étudiants équivalents temps plein. « Depuis que l'ETS est devenue une école de génie [avant, elle formait des technologues] en 1989, nous avons doublé notre effectif tous les neuf ans. Le conseil d'administration nous a demandé de passer de 8000 à 16 000 étudiants d'ici 2025-2026 », explique Jean Belzile, directeur de la planification stratégique et des ressources à l'ETS. Il est aussi directeur des affaires académiques par intérim. En prévision, la direction planifie déjà une énième phase d'expansion. L'école est de toute façon en déficit de locaux de 500 000 pieds carrés, selon les estimations de l'établissement. Ça passera entre autres par la rénovation du complexe Dow, dans le quadrant sud-est de l'intersection des rues Peel et Notre-Dame Ouest. « C'est prématuré d'en parler, fait savoir M. Belzile. Mais, effectivement, on a des plans pour valoriser cet espace. On l'a longtemps considéré comme une réserve foncière. Maintenant, on en a besoin. C'est pour ça qu'on est en discussions avec le gouvernement. On parle aussi avec la Ville [de Montréal] et l'arrondissement [du Sud-Ouest]. On espère d'avoir des bonnes nouvelles de la part du gouvernement. » INCUBATEUR D'ENTREPRISES TECHNOLOGIQUES Dans l'immédiat, l'école de génie investit au moins 70 millions dans trois chantiers en 2017-2018. Il s'agit de l'agrandissement de la bibliothèque, la construction du pavillon D - une extension de la Maison des étudiants - et la reconversion du planétarium Dow en accélérateur d'entreprises. Après avoir servi à observer la voûte céleste, le planétarium servira à voir éclore une panoplie d'entreprises de haute technologie. Concrètement, l'ancien planétarium accueillera le Centech, plus important accélérateur d'entreprises technologiques au Québec avec 75 entreprises en accompagnement. Existant depuis 1996, le Centech, au 400, rue Monfort, affiche complet. Son agrandissement permettra de doubler sa superficie et de tripler ses capacités en matière d'accompagnement des jeunes pousses. DES CELLULES D'INNOVATION Le Centech profitera de ses nouveaux locaux pour installer 10 cellules d'innovation d'entreprises. « La grande entreprise est invitée à venir travailler des projets d'innovation et de transfert technologiques en partenariat avec nos entreprises en démarrage, nos étudiants, nos chercheurs et l'ensemble de la collectivité », explique Richard Chénier, directeur du Centech et du bureau de l'entrepreneuriat technologique de l'ETS. Depuis 2015, l'incubateur est ouvert à tous, et non plus réservé aux étudiants de l'ETS. En tout, 19 universités y sont désormais représentées - McGill, Concordia, l'UQAM, mais aussi certains établissements de Calgary, de Boston et de la France. « Dans une cellule d'innovation corporative, poursuit M. Chénier, une grande entreprise s'installe avec un chargé de projet. Il embauche des stagiaires et, avec des employés de la grande entreprise, ils soumettent à la collectivité du Centech des problèmes à résoudre. » L'investissement pour l'agrandissement du Centech s'élève à 11 millions. À l'intérieur, l'école doit respecter l'enveloppe et la structure du bâtiment ouvert en 1966. Par exemple, l'aspect extérieur du dôme rappelle la planète Saturne entourée de ses anneaux. L'établissement universitaire fera faire des percées à certains endroits en retrait pour améliorer la luminosité. Il est question d'aménager un parc au sud du bâtiment, là où se trouve un stationnement. Les travaux ont commencé en octobre. Ils devraient se terminer en mai, pour une inauguration officielle en juin. « Le but est de devenir un des meilleurs endroits du monde pour faire du transfert technologique et de démarrer des entreprises de haut niveau », dit M. Chénier. - Avec William Leclerc, La Presse LE CENTECH AUJOURD'HUI 400, rue Montfort Budget de fonctionnement : 1,5 million Superficie : 20 000 pi2 3 cohortes de 15 entreprises par an 75 entreprises en accompagnement pour une durée maximale de 2 ans 180 emplois Valorisation des entreprises : entre 55 et 60 millions À L'AVENIR 2 adresses : 400, rue Montfort et 1000, rue Saint-Jacques Superficie : 40 000 pi2 9 cohortes de 15 entreprises par an Ouverture de 10 cellules d'innovation financées par la grande entreprise
  17. Lien: http://nouvelles.umontreal.ca/article/2017/12/11/l-udem-actualise-son-plan-directeur-des-espaces/ L’UdeM actualise son plan directeur des espaces UDEMNOUVELLES LE 11 DÉCEMBRE 2017 Le plan directeur des espaces de l’UdeM, adopté en 2008, fait l’objet d’une mise à jour en prévision de l’ouverture du campus MIL, en 2019. En août 2019, le campus MIL ouvrira ses portes. Au cours de l’été, les départements de chimie, physique, sciences biologiques et géographie, ainsi que les bibliothèques des sciences, auront déménagé dans les nouvelles installations, libérant du même coup une superficie de plusieurs milliers de mètres carrés sur le campus de la montagne. Pour le vice-recteur aux finances et aux infrastructures, Éric Filteau, l’espace ainsi libéré offre une occasion historique de repenser l'aménagement et l'affectation des locaux sur le campus de la montagne. «Il y a bien entendu un effet domino, provoqué par le déménagement de quatre de nos départements de sciences au campus MIL. Mais il y a aussi des décisions à prendre relativement à notre occupation de certains bâtiments, comme les conciergeries sur le boulevard Édouard-Montpetit, les bâtiments en location ou encore le pavillon J.-Armand-Bombardier», précise M. Filteau, qui présentait devant l'Assemblée universitaire, le 4 décembre, une version actualisée du plan directeur des espaces (PDE) adopté par le Conseil de l’Université en 2008. De la montagne au campus MIL Cette nouvelle mouture du PDE conserve les assises du plan de 2008, tout en proposant de solides balises de développement de nos campus pour les 10 années à venir. Elle se résume difficilement, tant le jeu des déplacements est fonction d'une foule de facteurs. Mais il y a quelques points saillants. Le plan a été conçu afin de renforcer la cohérence géographique de nos pôles d’enseignement: ce critère a été le premier à guider les professionnels chargés d’établir le plan. Le plan vise en outre à donner plus d’espace aux unités qui en manquent, à libérer les lieux en location et à recréer des aires de vie étudiante sur le campus de la montagne. Dans les déplacements prévus, l'Université se propose notamment de céder à Polytechnique Montréal la partie du pavillon J.-Armand-Bombardier qui lui appartient, soit 50 % du bâtiment. L'école affiliée, qui a elle aussi besoin d'espace, récupérerait les locaux occupés par l'UdeM, à l'exception d’un laboratoire de chimie. Avec les revenus de la vente, l'UdeM disposerait d'une marge financière pour lancer des projets mieux adaptés à ses besoins. Le plus structurant de ces projets serait l'aménagement d'une nouvelle aile au pavillon des sciences, sur le campus MIL. Cette aile accueillerait en toute logique les départements de mathématiques et de statistique et d'informatique et de recherche opérationnelle, ce qui aurait pour effet de consolider le pôle scientifique du campus MIL. Les démarches auprès du gouvernement seront entreprises dès le printemps prochain. L'Université est également en pourparlers avec Québec pour la construction d'un bâtiment, au 1000, avenue Beaumont, qui permettrait de loger les unités administratives actuellement installées en location au 7077, avenue du Parc. De plus, ce nouvel immeuble pourrait éventuellement héberger les centres de recherche en intelligence artificielle, l’Institut de valorisation des données (IVADO) et l’Institut des algorithmes d’apprentissage de Montréal (MILA), qui sont en forte expansion. Du mouvement sur la montagne Le déménagement des départements de sciences au campus MIL, jumelé à d'autres projets de moindre ampleur, entraînera bien entendu une série de déplacements en cascade sur le campus de la montagne. Outre les services, les facultés de médecine et des arts et des sciences ainsi que l'École de santé publique de l’UdeM (ESPUM) seront les principales touchées par ces mouvements. Le Centre d’études et de recherches internationales de l’Université et le Département de science politique seront ainsi déménagés au pavillon André-Aisenstadt après le départ de plusieurs départements de sciences. L'espace libéré dans ce pavillon serait suffisamment grand pour recevoir l'ESPUM, actuellement dispersée en trois lieux et dont l’emplacement a longtemps fait l'objet de toutes sortes de scénarios. Le pavillon Marie-Victorin, où sont déjà installés les départements de psychologie et de psychoéducation, aurait comme nouveaux occupants l'École de travail social, le Laboratoire international de recherche sur le cerveau, la musique et le son et le Groupe de recherche sur l’inadaptation psychosociale chez l’enfant. Ce regroupement aurait un effet structurant sur l'enseignement et la recherche de tout le domaine des études psychosociales. La Faculté de médecine rapatrierait au pavillon Roger-Gaudry les écoles de réadaptation et d'orthophonie et d'audiologie, qui sont situées actuellement sur l’avenue du Parc. Elle concentrerait aussi son secteur des disciplines fondamentales, puisqu'elle disposerait d'assez d'espace pour garder le Département de biochimie et médecine moléculaire là où il est. La Faculté des sciences infirmières et le Département de nutrition prendraient de l'expansion au pavillon Marguerite-D'Youville, tandis que la Faculté de l'aménagement gagnerait près de 700 m2 avec le déménagement du Centre d'exposition au campus MIL. Parmi les autres mesures inscrites au PDE, mentionnons la mise en vente des conciergeries situées au 2910, au 3050 et au 3060, boulevard Édouard-Montpetit: le Département de philosophie et le nouvel Institut d'études religieuses seront transférés au pavillon Lionel-Groulx. Le Service de l’admission et du recrutement ira rejoindre le Bureau du registraire au pavillon J.-A.-DeSève, ce qui libérera des locaux au 3744, rue Jean-Brillant pour accueillir plusieurs unités administratives, dont la direction des bibliothèques. Enfin, les étudiants ne seront pas en reste, puisque de nouveaux lieux consacrés à la vie étudiante seront aménagés, notamment aux pavillons Marie-Victorin et Roger-Gaudry. En finir avec la location et le déficit d'espace L'intention de l'Université, en révisant son plan directeur des espaces, est de mettre un terme à plusieurs contrats de location. «Au total, les projets inscrits dans la nouvelle version du plan directeur des espaces représentent des économies en frais de location en valeur actualisée de 62,9 M$», précise M. Filteau. Une somme rondelette qui augmentera la capacité financière de l'Université pour ses projets de réaménagement. Le gouvernement lui-même y trouvera son intérêt, puisqu'il couvre en ce moment les frais de location de l'Université à même la subvention qu'il lui verse chaque année. Outre les bâtiments de l'avenue du Parc, l'UdeM loue quelques autres locaux à différents endroits de la ville. C'est le cas par exemple au 3333 et au 3535, chemin Queen-Mary. Les services qui logent dans ces immeubles seront appelés à transporter leurs pénates au pavillon Roger-Gaudry principalement. La location a souvent permis à l'Université de résoudre des problèmes circonstanciels de manque d'espace. Au fil des ans, ces problèmes sont devenus chroniques et, parfois, criants. Le ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur reconnaît en ce moment à l'Université de Montréal un déficit d'espace d'environ 58 700 m2 nets, soit 21 % de la superficie totale de ses campus. Une fois le pavillon des sciences construit et les autres mesures du PDE implantées, l'Université de Montréal disposera de 47 000 m2 de plus. Ce qui signifie qu'il lui manquera toujours 11 700 m2, soit l'équivalent du pavillon André-Aisenstadt au grand complet! «Ce plan esquisse le développement de nos infrastructures sur 10 ans. En 2027, lorsqu’il aura été complètement réalisé, nous serons assurément moins à l'étroit, affirme M. Filteau. Mais nous manquerons encore de place. C'est dire à quel point la situation actuelle nécessite des correctifs pressants. La bonne nouvelle, c'est que, dès 2019, nous respirerons mieux.» Et M. Filteau insiste: l'Université disposera de l’argent nécessaire pour absorber les coûts de l'ensemble de ces travaux de construction, de réaffectation et de réaménagement, sans pression indue sur le fonds de fonctionnement. Tous ces projets sont bien entendu sujets à des approbations préalables du gouvernement du Québec. Le Conseil de l'Université a déjà autorisé la direction à entreprendre des démarches auprès de Polytechnique Montréal pour la vente du pavillon J.-Armand-Bombardier et auprès du ministère pour la construction d'une nouvelle aile au pavillon des sciences. Après la présentation du PDE par M. Filteau à l'Assemblée universitaire, le recteur Guy Breton est intervenu pour souligner l'ampleur de la tâche qui attend la communauté universitaire: «Au cours des années qui viennent, nous aurons plus de difficultés avec nos espaces qu'avec nos budgets.» La Direction des immeubles rencontrera les directions de faculté et de service au cours des prochains mois pour commencer à planifier les déménagements et les réaménagements à venir. Précisons que les images ci-dessous ne listent que les unités qui auront à déménager, et non pas l’ensemble des unités logeant dans les pavillons. Échéancier sommaire des travaux de réaménagement 2019: Déménagement des départements de chimie, physique, sciences biologiques et géographie au campus MIL 2019-2022: Travaux de réaménagement des superficies libérées sur le campus de la montagne 2019: Vente à Polytechnique Montréal de la partie du pavillon J.-Armand-Bombardier appartenant à l'UdeM 2022-2023: Déménagement des unités suivantes: Écoles de réadaptation et d’orthophonie et d’audiologie au pavillon Roger-Gaudry École de travail social au pavillon Marie-Victorin Plusieurs services et des centres de recherche en intelligence artificielle (MILA, IVADO) dans le nouveau bâtiment du 1000, avenue Beaumont 2023: Vente des conciergeries du 3050 et du 3060, boulevard Édouard-Montpetit 2025: Déménagement des départements de mathématiques et de statistique et d'informatique et de recherche opérationnelle dans la nouvelle aile du pavillon des sciences au campus MIL 2026: Déménagement des unités suivantes: ESPUM et Département de science politique au pavillon André-Aisenstadt Département de philosophie et Institut d’études religieuses au pavillon Lionel-Groulx
  18. Lien: http://auto.lapresse.ca/course-automobile/201712/14/01-5147144-48-millions-pour-le-nouveau-batiment-du-grand-prix-au-circuit-gilles-villeneuve.php#Slide-0-box-0 Publié le 14 décembre 2017 à 11h18 | Mis à jour à 11h18 48 millions pour le nouveau bâtiment du Grand Prix au Circuit Gilles-Villeneuve La Presse La Ville de Montréal et le gouvernement du Québec vont verser 30 millions et 18 millions respectivement pour construire un nouveau bâtiment multifonctionnel et faire d'autres travaux pour la réfection des paddocks au Circuit Gilles-Villeneuve. Le projet permettra de regrouper tous les services en un seul bâtiment, ce qui n'est pas le cas actuellement. Le bâtiment pourra être utilisé à d'autres fins que le Grand Prix, a indiqué la Société du Parc Jean-Drapeau. Dans le cadre du renouvellement de l'entente relative au Grand Prix du Canada de 2015 à 2029, la SPJD s'est engagée à contribuer à la réfection et à l'agrandissement des infrastructures du Circuit Gilles-Villeneuve. L'objectif du projet est d'actualiser les équipements des paddocks, construits en 1988, selon les exigences de la Fédération Internationale de l'Automobile et du Championnat du monde de Formule 1, tout en augmentant la capacité des loges au-dessus des garages à 5000 personnes comparativement à 1 800 actuellement. Le bâtiment sera muni, notamment, d'un monte-charge permettant d'acheminer vers chacun des paliers des voitures ou du mobilier lourd, ainsi que d'un ascenseur vitré pour la clientèle. Les nouveaux paddocks seront aménagés sur 3 étages, répartis comme suit : 1er étage : Garage des équipes, tour de contrôle et locaux pour le personnel 2e étage : Loges, tour de contrôle, podium et espaces médias 3e étage : Loges et terrasse Le chantier débutera immédiatement après la tenue du Grand Prix 2018 pour se terminer en avril 2019. Un appel d'offres public visant à trouver un entrepreneur a été lancé aujourd'hui par la SPJD. Impact durant les travaux Durant la réalisation des travaux, aucun impact n'est à prévoir pour les athlètes qui s'entraînent au Bassin Olympique, situé à l'arrière des paddocks. En ce qui concerne les usagers du circuit Gilles-Villeneuve, quelques mesures de ralentissement seront en vigueur dans ce secteur afin d'assurer la sécurité de tous. Toutefois, ces travaux ne devraient pas engendrer de fermeture supplémentaire du circuit.
  19. Having previously worked in that building, I agree that the building needed some major renovations. Especially the food court which was poorly lit in many places.
  20. Cure de jouvence de 60 millions à la Tour de la Bourse Travaux de 60 millions pour moderniser la tour à bureaux. Actualités: http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201712/06/01-5146084-cure-de-jouvence-de-60-millions-a-la-tour-de-la-bourse.php Publié le 06 décembre 2017 à 09h29 | Mis à jour à 09h29 Cure de jouvence de 60 millions à la Tour de la Bourse Inaugurée en 1965, la Tour de la Bourse veut garder son rang face à la concurrence des nouvelles tours de bureaux et entreprendra donc des travaux de 60 millions de dollars pour remettre l'édifice emblématique de 47 étages au goût du jour. PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE ANDRÉ DUBUC La Presse Le propriétaire du gratte-ciel Place Victoria, mieux connu sous le nom de Tour de la Bourse, entreprend des travaux de 60 millions de dollars pour remettre l'édifice emblématique de 47 étages au goût du jour. « Place Victoria est classée comme un immeuble de catégorie A, explique au téléphone Jean-Philippe Giroux, conseiller en location pour le Groupe Petra, gestionnaire de la tour de bureaux du centre-ville de Montréal. Si on veut garder notre classement, il faut investir pour suivre la parade. » Inauguré en 1965, contemporain de Place Ville Marie et de la Tour CIBC, le 800, place Victoria veut garder son rang face à la concurrence des nouvelles tours de bureaux comme la Tour Deloitte, au 1190, avenue des Canadiens-de-Montréal, et la Maison Manuvie, au 900, boulevard De Maisonneuve Ouest. Les travaux ont commencé à la mi-novembre et doivent se terminer dans deux ans. « On va refaire un peu le lobby sans changer les éléments historiques que l'on souhaite conserver, notamment les planchers. » - Jean-Philippe Giroux, conseiller en location pour le Groupe Petra « On va moderniser l'aire de restauration. Même chose pour les cabines d'ascenseur et escaliers mécaniques, dit M. Giroux. Des travaux vont aussi se faire à l'extérieur de l'immeuble. » Le gestionnaire Petra entreprend à Place Victoria le type de chantier qu'il terminera sous peu dans une autre propriété au centre-ville, la Tour CIBC, au 1155, boulevard René-Lévesque Ouest. À cet endroit, la facture des travaux s'élève à 20 millions. Propriété d'un consortium formé par Jolina, le holding familial des Saputo, Place Victoria a perdu un locataire de prestige quand la Bourse de Montréal a annoncé son déménagement dans la Tour Deloitte pour 2018. La Bourse, qui se spécialise dans le commerce de produits dérivés, loge au 800, place Victoria depuis 1965. Les 3e et 4e étages qui sont actuellement occupés par la Bourse serviront d'espace tampon pour deux locataires majeurs de la tour, signale M. Giroux. Des travaux majeurs sont en effet prévus à leurs étages respectifs. Ces locataires se serviront des étages qui seront bientôt délaissés par la Bourse de Montréal pour y installer temporairement leurs employés. Les principaux occupants du 800, place Victoria sont l'Autorité des marchés financiers, Morneau Shepell et les avocats de Fasken, Martineau DuMoulin. - Avec la collaboration de William Leclerc «« On va refaire un peu le lobby sans changer les éléments historiques que l'on souhaite conserver. On va moderniser l'aire de restauration. Même chose pour les cabines d'ascenseurs et escaliers mécaniques. Des travaux vont aussi se faire à l'extérieur de l'immeuble. » - Jean-Philippe Giroux, conseiller en location pour le Groupe Petra
  21. D'autres photos provenant de la page Facebook de l'Université de Montréal: https://www.facebook.com/pg/umontreal/photos/?ref=page_internal
  22. L'article qui accompagnait le vidéo de Radio-Canada mis plus tôt: http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1069828/tour-manuvie-centre-ville-montreal Une nouvelle tour de bureaux au centre-ville de Montréal PUBLIÉ LE LUNDI 27 NOVEMBRE 2017 À 19 H 04 Une toute nouvelle tour de bureaux vient d'être inaugurée au centre-ville de Montréal. La Maison Manuvie est un immeuble ultramoderne qui a été conçu pour favoriser le bien-être de ceux qui vont y travailler. Un texte d'Olivier Bachand Située au coin du boulevard de Maisonneuve et de la rue Mansfield, la Maison Manuvie est une propriété conjointe de la compagnie d'assurances du même nom et du bras immobilier de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Ivanhoé Cambridge. Elle compte 27 étages et près d'un demi-million de pieds carrés. De l'extérieur, on dirait un immense prisme de verre. De l'intérieur, la vue sur la métropole est imprenable. Manuvie occupe un peu plus de la moitié de l'immeuble, dont plus de 80 % des espaces de bureaux sont déjà loués. « On est très satisfaits, très fiers de pouvoir annoncer un taux de location aussi élevé le jour de l'inauguration de l'édifice », dit Bernard Poliquin, d'Ivanhoé Cambridge. Des espaces de bureaux de plus en plus nombreux Le marché des espaces de bureaux demeure favorable aux locataires en ce moment, avec un taux d'inoccupation qui se situe autour de 12 % au centre-ville et qui est relativement stable depuis trois ans. Cette statistique cache cependant une certaine effervescence, puisque de nouveaux espaces ont été construits, comme la tour Deloitte, qui a ouvert ses portes en 2015 et qui compte près de 500 000 pieds carrés. D'autres espaces de bureaux ont aussi vu le jour au cours des dernières années, comme l'explique Jean Laurin, président et chef de la direction de la firme de courtage immobilier NKF Devencore. « Il y a un paquet de redéveloppements de bâtisses industrielles, que ce soit dans le Mile End, le Mile Ex, dans le Vieux-Montréal, dans la Cité du multimédia. Donc un peu partout, on voit qu'il y a beaucoup d'activité », dit-il. Au train où vont les choses, il s'attend même à ce que la construction d'une nouvelle tour de bureaux soit lancée d'ici les deux prochaines années. Séduire les entreprises... et leurs employés Pour attirer les entreprises, Manuvie mise sur le confort et le bien-être des futurs occupants. Dans la Maison Manuvie, on trouve ainsi des postes de travail à hauteur ajustable, ou encore surplombant un tapis roulant – afin de permettre à l'employé de faire de l'exercice en travaillant –, une salle de conférence ultramoderne, une terrasse extérieure, etc. « Ce sont des espaces de grande qualité, estime Bernard Poliquin. C'est devenu une grande priorité pour les grands employeurs et les plus petits également. On recherche des environnements qui sont attrayants pour les travailleurs. Il y a une grande compétitivité au niveau de l'attraction des talents dans les entreprises, et donc on recherche des espaces de travail qui conviennent bien à la clientèle d'aujourd'hui. »
  23. http://www.ivanhoecambridge.com/en/news-and-media/news/2017/11/pvm-esplanade Ivanhoé Cambridge begins major work to the Place Ville Marie Esplanade The $200 million investment will make the Esplanade one of Montreal’s landmark public gathering spaces November 23 2017 Initiating a new chapter in the “Projet Nouveau-Centre,” its plan for downtown Montreal, Ivanhoé Cambridge announces today an investment of $200 million to revitalize the Esplanade and renew the commercial offering at Place Ville Marie. “Place Ville Marie is the heart of downtown Montréal,” said Bernard Poliquin, Ivanhoé Cambridge Senior Vice President, Office, Quebec. “The Esplanade will be one of Montreal’s major urban gathering locations. The Esplanade will be programmed with cultural and experiential activities rivalling those of the great international metropolises.” To execute this historic project, Ivanhoé Cambridge has called upon Montreal firms Sid Lee Architecture and Menkès Shooner Dagenais Létourneux Architectes. “Our primary goal is for this civic space to be a catalyst for downtown social activity,” said Jean Pelland, Architect and Senior Partner, Sid Lee Architecture. “Given the importance of this iconic space, we sought additional exposure to urban activity, making it more accessible and usable. Our major architectural interventions are in line with this desire for great openness.” Eager to enhance Place Ville Marie within its historical context, the Ivanhoé Cambridge teams met with one of the original architects, Henry N. Cobb. Mr. Cobb stated: “The Esplanade revitalization has been thoughtfully conceived and brilliantly imagined. This work will greatly enhance Place Ville Marie’s contribution to the civic life of Montreal, fulfilling the promise of our original vision and thereby making me enormously happy.” Projet Nouveau-Centre: an identity for Ivanhoé Cambridge’s plan for downtown Montreal The revitalization of the Esplanade is a new milestone in Projet Nouveau-Centre, Ivanhoé Cambridge’s plan to invest $1 billion in downtown Montreal. With Place Ville Marie at the heart of the strategy, the Projet Nouveau-Centre aims to invest in Ivanhoé Cambridge’s flagship downtown properties and to enhance the urban experience in the heart of the city centre. All projects in the plan are now in full motion: Fairmont The Queen Elizabeth (reopened in July, 2017) Maison Manuvie (to be inaugurated on November 27, 2017) Place Ville Marie (in progress from 2018 to 2019) Montreal Eaton Centre (ongoing until 2020). Notes to writers/editors: Two background documents are attached to this news release. Architectural renderings and animated graphics of the project can be downloaded here.
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