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Elpi12

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  1. Sherbrooke veut des arrêts de bus sur l’échangeur Darche La Ville de Sherbrooke demande formellement à Québec de prévoir des arrêts de bus dans les bretelles du futur échangeur Darche. Ces derniers seraient positionnés près des feux de circulation prévus dans les plans. L’enjeu a déjà été abordé au courant de la préparation du projet lors de discussions entre la Ville et le ministère des Transports et de la Mobilité durable du Québec (MTMDQ). D’emblée, le Ministère évoquait une problématique de réglementation, la présence d’arrêts de bus dans le réseau autoroutier n’étant simplement pas possible, a rapporté Stéphane Veilleux, directeur général adjoint à la Société de transport de Sherbrooke (STS). La Ville et la STS insistent toutefois qu’avec la configuration particulière du futur échangeur, doté de feux de circulation et de traverses piétonnes, la chose serait possible et même sécuritaire. La réglementation pourrait d’ailleurs éventuellement être adaptée à Québec. L’idée est de répondre de manière préventive aux futurs besoins du réseau de transport collectif sherbrookois, a détaillé Marc Denault. Avec le projet de réseau structurant actuellement sur la table, l’axe de la rue King sera appelé à être la «colonne vertébrale» du réseau, avec notamment une offre de lignes à haute fréquence, a-t-il décrit. Les bus qui transitent dans l’axe nord-sud par l’autoroute pourront ainsi déposer les usagers directement à l’échangeur pour leur correspondance et ensuite reprendre leur route, rabattant de cette façon les lignes régionales vers l’axe principal de la King, a présenté le président de la STS. La Ville veut surtout éviter de devoir revenir avec cette demande dans quelques années, juste après la livraison du nouvel échangeur. «C’est la meilleure solution. Si ce n’est pas maintenant, ça va être plus tard», a partagé la mairesse Beaudin. Les aménagements réclamés, incluant possiblement une voie réservée pour les bus, devraient être assumés par la Ville, mais des subventions pourraient être obtenues si l’intervention est liée au projet structurant de la STS, a-t-on informé. En réponse à une question de la conseillère Christelle Lefèvre, la directrice du Service des infrastructures urbaines, Caroline Gravel, a reconnu que la révision demandée par la Ville arrive tard dans l’élaboration du projet. «Les plans sont complétés du côté du Ministère. Oui, ça va occasionner des retards, puis des coûts. […] L’enjeu est là», a-t-elle commenté. Mené par le MTMDQ, le chantier de l’échangeur Darche devrait démarrer cette année et s’étaler jusqu’en 2025, avec les impacts les plus importants sur la circulation prévus pour 2024. Le conseil municipal a souvent insisté dans le passé, et à nouveau dans ce dossier, pour que le nouvel échangeur soit conçu pour les prochaines décennies et prennent ainsi fortement en compte le transport collectif et actif dans sa conception.
  2. La grève du capital n'aura pas duré https://www.latribune.ca/2022/11/12/un-nouveau-nord-se-dessine-dans-lest-2da59a704264111a32a0aeb453f9fc40 Un «nouveau nord» se dessine dans l’est En pointant une carte de la ville de Sherbrooke, le promoteur de Sherplex est catégorique : le quartier situé près du CHUS de Fleurimont est l’endroit le plus au nord. C’est dans cet esprit que l’entrepreneur Louis-Philip Charron souhaite construire des centaines d’unités d’habitations et des commerces dans ce qu’il appelle le «nouveau nord». Ce projet inclut les terrains autrefois connus sous le nom des Sommets de la santé, sur la 12e Avenue Nord. Et son projet est bien lancé tout juste en face de l’hôpital. Il y a un an, les premiers locataires emménageaient dans le Nordicéa, un bâtiment comptant 280 unités et 12 000 pieds carrés où on a déjà construit un gym, un restaurant et où viendra s’installer bientôt une entreprise de simulateurs de golf. «Pour la bâtisse commerciale de cinq étages en construction au coin de la rue Alice-Girard, on est en discussions avec une pharmacie, des bureaux et des cliniques», se réjouit M. Charron, rappelant que ce développement a été lancé il y a 14 ans sous l’aile d’un autre promoteur. M. Charron a acheté le tout il y a quatre ans. En plus d’appartements plus standards, l’entrepreneur veut mettre sur pied des «habitations collectives», où des gens pourront vivre en colocation. «Ce sont des logements pour étudiants. Il y aura des petites et des grandes unités à partager. Si une unité est partagée à deux, chaque coloc va avoir son lit, son salon et sa salle de bain. Ils se partagent la cuisine, la salle à manger et le balcon», décrit-il, ajoutant qu’un marché public devrait également voir le jour. Sherplex possède un énorme terrain aux abords de la 12e Avenue Nord. Prêt à construire Louis-Philip Charron assure qu’il est prêt à construire. Il pourrait se lancer dans la construction de 300 unités demain matin. Il s’agirait d’immeuble de 14 unités de 16 à 18 logements et condos sans commodités luxueuses tels que les ascenseurs et les stationnements sous-terrain. Les appartements seront loués entre 800 $ pour un loft à 1600 $ pour un logement de cinq pièces. D’ici trois ans, Sherplex aimerait construire de plus gros bâtiments, mais «il y a des demandes de changement de zonage à faire», mentionne M. Charron, précisant que si la demande est acceptée, de 500 à 800 nouvelles unités supplémentaires pourraient pousser à deux pas de l’Hôpital Fleurimont. «Ce sont des terrains industriels, mais idéalement, on voudrait les changer pour un zonage résidentiel, car ils sont dans la forêt. Ce serait plus adapté», analyse le propriétaire de Sherplex, qui aimerait avoir l’autorisation de construire des bâtiments de la hauteur du CHUS, soit 10 étages. «J’ai rencontré Évelyne [Beaudin] et elle était très ouverte à notre projet et à la densité qu’il pouvait y avoir sur le site. Ce sont plus les fonctionnaires qui sont figés que les élus. C’est ce que j’ai senti», exprime M. Charron. «On fait du développement responsable et de la densité douce et à des endroits stratégiques», décrit-il, estimant qu’il ne développera que 25 % de son terrain boisé. Au total, en comptant le Nordicéa, entre 1200 et 1500 logements prendraient place en face de l’Hôpital Fleurimont. Après le Nordicéa, Sherplex construit une bâtisse commerciale de cinq étages. Céder du terrain Louis-Philip Charron propose de céder du terrain afin que des logements abordables soient intégrés à son projet. «Pour montrer qu’on est des bons promoteurs et qu’on vise à créer des milieux de vie, notre but n’étant pas de construire des logements à 2000 $ par mois. On ne veut pas construire les logements les plus chers possible, mais on ne peut pas faire de logement social : ce n’est pas rentable et la banque ne nous prêterait pas d’argent», estime le promoteur, souhaitant qu’un OBNL ou une coopérative s’en occupe. «Pour accélérer les étapes avec la Ville et le Ministère, on est prêts à céder du terrain pour des habitations abordables, poursuit-il. On pense que dans ce quartier, un immeuble d’une trentaine d’unités pourrait être érigé.» Si la Ville met l’épaule à la roue, M. Charron pense que son projet pourrait être prêt en trois ans. «Mais je pense que la Ville est débordée et que les dossiers s’empilent. On a des particularités techniques dans notre projet, on a besoin de réponses que la Ville n’est pas capable de nous donner», résume-t-il, ajoutant que la Ville et le gouvernement provincial «manquent de temps». De son côté, la mairesse Évelyne Beaudin confirme avoir conversé avec M. Charron. «Il m’a parlé de façon sommaire de son projet lors d’une discussion informelle. J’aimerais avoir plus de détails sur l’avance du projet et peut-être même voir des maquettes», a-t-elle indiqué dans une déclaration écrite.
  3. Ça va aller à la prochaine saison de balle molle lol
  4. En espérant que ça finisse pas comme le 244 Dufferin : un dessin qui sera jamais construit qui sert juste à gonfler un peu le prix du terrain
  5. J'en conclus que la rue King est trop abrupte au centre-ville des 2 côtés de la rivière pour un système sur rail?
  6. Voici justement une affiche devant le Cartier : "Nous travaillons sur un beau projet! À suivre en 2023". Possible que le projet déjà annoncé voit quand même le jour et que le 10 étages résidentiel soit construit dans le stationnement à côté.
  7. Encore une fois à prendre avec un grain de sel (et pour la dernière fois fort probablement): Projet d'un complexe majeur de près de 600 unités dans 5-6 tours de 4 à 7 étages Projet de 10 étages avec une épicerie au rez-de-chaussée Autre projet de 10 étages Projet de 10-12 étages Projet de 6 étages sur la rue Bellevue et un autre de 10 sur le site de l'ancien Cartier Emplacements approximatifs basés sur des descriptions verbales. Fort probablement les derniers scoops qui me seront partagés par cette personne, mais certains me font sincèrement douter du sérieux de ses dires (celui sur le bord de la 410 en particulier)... Je me disais que ça pourrait peut être quand même vous intéresser.
  8. lol le dernier paragraphe https://www.latribune.ca/2022/07/07/sherplex-investit-massivement-dans-lhabitation-a-weedon-d09c2a06d0a9010e1e0f88f16d3addbb Sherplex investit massivement dans l’habitation à Weedon ARIANE AUBERT BONN, INITIATIVE DE JOURNALISME LOCAL La Tribune Le promoteur immobilier Sherplex s’apprête à bâtir environ 48 maisons et six édifices multilogements à Weedon. La compagnie sherbrookoise a choisi d’investir massivement dans cette municipalité du Haut-Saint-François, dont la population commence à croitre et où le développement économique s’accélère. Sherplex a acquis neuf terrains du Développement Ferry ainsi qu’un lot de 42 acres du Groupe Paré, initialement destiné au développement d’un quartier de mini-maisons. Les deux transactions ont eu lieu à la fin juin et à la mi-juin. Entre 10 et 20 mini-maisons font toujours partie du projet, bien que la parcelle destinée à une quarantaine d’habitations ne soit plus destinée qu’aux mini-maisons, souligne le directeur adjoint, finances et opérations, chez Sherplex Développement Urbain, Craig Custeau. « On voit l’opportunité de faire des maisons un peu plus grosses sur certains terrains. Selon les besoins et le marché, on va s’adapter. On n’a pas un plan défini. Mais à court terme, on va commencer avec des mini-maisons parce qu’il y a de plus petits terrains qui permettent bien ça. Ça va être un développement mixte », dit-il. Les terrains de deux à trois acres dans le Développement Ferry et d’environ un acre dans le développement privé devront être construits sous peu. « On a une rue à terminer ce mois-ci. Ça avance bien. Il faut coordonner tout ce qui concerne l’électricité, ça va être un peu plus long », lance M. Custeau. Tout juste le contrat est-il signé que la machinerie s’active déjà sur le terrain. « On a deux ans pour mettre en place les habitations. La seule chose qu’on ne sait pas, c’est l’engouement qu’il va y avoir envers le produit, mais on pense qu’il manque d’habitations partout au Québec présentement. À Sherbrooke, les maisons sont de plus en plus dispendieuses. On fait le pari qu’avec des voitures électriques, de plus en plus de gens vont vouloir faire la route jusqu’à Weedon. » Retraités des fermes autour, télétravailleurs, travailleurs locaux, le marché visé est varié. Avant de faire face à la demande potentielle et de se lancer dans la vente, Sherplex souhaite toutefois mieux définir son projet, lequel est sur la table à dessin depuis à peine deux semaines et demie. « Ce seront des habitations au style contemporain, modernes, épurées, zen, mais avec des pignons de style scandinave. C’est vraiment du 2022. On veut garder une homogénéité du style [dans le quartier]. On a beaucoup de demandes [pour des terrains], il y en a deux de vendus dans le projet, mais on attend d’être plus certains du style. On ne veut pas vendre trop vite, il faut se structurer avant, établir les règlements du quartier, assurer une uniformité », dit M. Custeau. « On n’a pas encore établi les canaux de communication, mais on devrait avoir un site pour la vente. » Ce dernier assure ne pas savoir exactement quelles proportions prendra le projet final : « Ça va être un investissement pour nous d’au moins cinq à six millions, mais on ne sait pas quelle ampleur ça peut prendre non plus une fois qu’on va continuer à travailler nos idées et prendre des soumissions.» Unités locatives Sherplex a aussi acquis six terrains pour y construire des complexes locatifs. Cinq unités de six logements et une de douze logements seront bâties sur les 5e et 6e avenues, toujours à Weedon. « Ça va donner un nombre d’unités substantiel pour permettre éventuellement l’emménagement d’une usine ou autre entreprise. Par manque de logements, il est difficile d’accueillir ces entreprises-là. On espère que ça va faciliter le développement économique. Le maire est enchanté, parce que l’enjeu principal des entreprises qui veulent s’établir est le manque d’unités d’habitation disponibles pour leur main d’œuvre », dit M. Custeau. Les appartements pourront dans un premier temps loger les employés de l’entreprise en charge de la construction des nombreuses maisons. Volonté de développer « À cause de la situation politique à Sherbrooke avec le moratoire sur les développements, on a choisi Weedon pour développer au cours des deux à trois prochaines années. Il y a une belle collaboration là -bas et une bonne volonté politique de développer le village. On y va all in », dit Craig Custeau. À leur place, si je voulais faire plier la Ville pour le Règlement 1204-5, je ferais pas une grève du capital : je multiplierais les projets comme le 515 Wellington Sud. Bien pire comme moyen de pression. Sherbrooke ne se relèvera jamais de la perte de ce type de merveilles architecturales. Aussi ça va être drôle dans 6-8 mois quand ils vont annoncer genre 300-400 unités au Sommet de la Santé lol
  9. La même personne m'a parlé d'un projet résidentiel de 10 étages sur Wellington Sud, pas loin de l'intersection avec du Dépôt.
  10. Il y a une affiche "Terrain à vendre" de PMML sur le site. En allant sur leur page web, il y a ces images ainsi qu'une vidéo (ignorez le titre, c'est une erreur) qui date du début du mois de mai. Semble t-il que le projet en question est " à la recherche d'un promoteur ou d'un investisseur". Pas sûr du tout de comprendre ce que tout ça veut dire.
  11. Je suis peut-être en retard, mais je viens de remarquer ceci. Quelqu’un sait si c’est récent? Ou si ç’a été adopté en vue d’un projet en particulier? De mémoire, les seules autres zones avec des classifications semblables sont le secteur de la rue Nicolas-Scheib (sur le Plateau McCrea) et le secteur de la rue Bellevue (Vü, Urbano, etc.).
  12. Dans la collection "Gang de bonhommes qui regardent les pelleteuses au Centre Sherbrooke", ma toute nouvelle œuvre : Parallèle historique 2022 1965 Vendredi nostalgie : en attendant le Plan directeur de la zone d'innovation, retour en 2007 avec le Plan d'aménagement et de développement du secteur du sud du lac des Nations. Ça devait être le gros leg de Cité des Rivières. Encore sur un autre ordre d'idée, j'ai eu ouï-dire qu'il se préparait un projet de 5 étages au coin de la rue Alice-Girard et de la 12e avenue (pas sûr du lieu exact). Pas sûr non plus si l'info est fiable à 100% ou même si c'est déjà de l'information connue.
  13. Photo mystère du jour : version facile (j'ai pas de meilleure photo)
  14. Quelqu'un se rappelle s'il y avait eu des rumeurs ou quelque chose du genre? Aucun souvenir d'avoir posté ça, je réfléchis à me recycler en diseur de bonne aventure
  15. Comme dans le temps de skyscraperpage! C'est sur Well Sud, en face du Baumann.
  16. Je viens de tomber sur ce site : https://place-griffith.com/ Je n'ai pas souvenir d'avoir déjà vu ces images. Ça ressemble à une version très améliorée de la phase 2 du projet de Dusco sur Dufferin/Abénaquis présenté en 2020. C'est écrit 2021 sur l'illustration, mais ça fait référence au "quartier TI" (annoncé tout dernièrement, je crois) sur la page. Est-ce que c'était connu? (on notera la présence de la silhouette de l'hôtel Magog sur le modèle lol)
  17. Illustrations des propositions d'aménagement de la Plaza King-Wellington (1973). C'est le Plan qui a inspiré l'installation des marquises du "Mail Wellington" en 1974, qui furent retirées en 1997 (de mémoire). Dans le plan d'origine (ci-dessous), on prévoyait plutôt la construction du mail à l'arrière de la rue Wellington. À noter, l'alternative 2 (non-retenue) était d'installer une promenade aérienne à même les façades de la rue Wellington pour s'approprier les 2e étages pour du commerce de détail (le déficit d'espace commercial était alors, avec l'accessibilité, la problématique principale - le Carrefour de l'Estrie venait d'être annoncé et n'avait pas encore ouvert ses portes).
  18. Peut-être, mais c'est comme ça depuis plusieurs semaines. C'est pas le résultat des crues récentes. Sur un autre ordre d'idée, savez-vous si la phase 2 du projet de Dusco sur Abénaquis est encore d'actualité? Parce qu'avec ça, la phase 1, l'agrandissement de CGI, l'Espace TI et le projet au 244 Dufferin, on pourrait penser que l'idée de faire des Programme d'intervention pour tous les secteurs du centro tel que prévu dans le Plan directeur de 2015 soit un peu tombée à l'eau...
  19. http://www.estrieplus.com/contenu-ubisoft_sinstalle_chez_espace_centro_a_sherbrooke-1555-50682.html Ubisoft s'installe chez Espace Centro à Sherbrooke
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