J'ai des souvenirs de Montréal, enfant, qui avant une "vibe" de grande ville américaine, les commerces étaient plus apparents, les rues plus larges et l'asphalte brûlante. Je me suis rendu compte avec le temps que l'ajout d'arbres avait changé le visage de Montréal complètement. Montréal était un ilot de chaleur géant et je me souviens de mon grand-père qui suait à grosses gouttes et s'arrêtait de temps en temps sous l'auvent de quelconque commerce pour enlever son chapeau, s'éventer avec et s'éponger la sueur avec son mouchoir de poche après la traversé d'une intersection un peu trop stressante. On voit moins la ville mais assez content que les citoyens n'aient plus à se promener dans une constante menace d'un coup de chaleur.