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Ca s'explique en partie parce que le prix de l'essence n'arrete pas de baisser. Il a fait tres froid a l'hiver 2014-2015 pas trop encourageant d'attendre l'autobus a -30. Alors le monde prefere ne pas se les geler et s'acheter une bagnole avec le prix du gaz qui descend.

Des records de vente de bagnole en 2015 principalement des SUV et Pick-up.

 

Avis a ceux qui sont anti-pipeline le petrole est loin d'etre game over.

 

Le service de transport en commun n'a pas d'amelioration reel a part le train de l'est. La ligne 2 montagnes attend encore ses voitures a 2 niveaux.

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  • 3 mois plus tard...
Le premier centre d’entretien de l’Agence métropolitaine de transport (AMT) a officiellement ouvert ses portes vendredi.

Situé au même endroit que l’ancienne gare de triage Sortin, dans le quartier industriel de Lachine, il reçoit depuis le mois dernier les trains de banlieue qui circulent sur le réseau du Canadien Pacifique (CP) et qui desservent les lignes Candiac, Saint-Jérôme et Vaudreuil-Hudson. Jusqu’à 14 trains peuvent y être stationnés pour faire l’objet d’une réparation majeure, d’un entretien ou d’un simple nettoyage.

 

Ce centre d’entretien remplacera celui qui se trouvait dans les installations du CP à Côte-Saint-Luc. «C’était coûteux, a dit le chargé de projet de l’AMT, Raynald Massé, sans avancer de chiffres. Il y a des économies d’échelle dans le fait qu’on puisse tout centraliser à un seul endroit. Il n’y a plus de déplacement inutile ou de perte temps.»

 

 

L’AMT n’a pas été en mesure de préciser les économies qui pourraient être engendrées par l’ouverture de ce centre d’entretien.

 

118,9M$

La construction du premier centre d’entretien de l’AMT a coûté 118,9M$. La facture a été assumée par l’AMT (32M$), le ministère des Transports (62M$) et PPP Canada (25M$).

Inspection des trains

Tous les trois mois, les trains de l’AMT sont inspectés en profondeur. Un espace a été aménagé dans le nouveau centre d’entretien pour ces examens mais aussi les réparations majeures. Deux locomotives et deux voitures peuvent y être garées. Une table élévatrice peut être utilisée pour le remplacement de roues, de moteur à traction ou de bogies. «Ça nous donne beaucoup de flexibilité», a dit M. Massé.

 

Entretien mineur

Dans un atelier de service, une voie ferrée a été surélevée afin de permettre aux employés de l’AMT d’examiner les dessous des trains. Sur cette même voie, il est possible de remplacer des composantes du système de climatisation, de faire une vidange d’huile et de changer une roue, dont la durée de vie est en moyenne de cinq à six ans. Cette dernière tâche était, auparavant, effectuée en l’espace de deux jours puisque le train devait être décomposé. Elle le sera en moins de deux heures dans le nouveau centre d’entretien.

 

Le lave-train

Un lave-train, qui s’étend sur 120 mètres, a été construit dans le premier centre d’entretien de l’AMT. En moins de cinq minutes, l’extérieur d’un train composé d’une locomotive et de dix voitures est complètement nettoyé. Il est aspergé d’acide pour prévenir la rouille, nettoyé avec de l’eau composée à 80% d’eaux recyclées et séché avec d’énormes ventilateurs industriels. Auparavant, quatre employés de l’agence gouvernementale faisaient le même travail en l’espace de huit heures. Les trains de l’AMT sont lavés environ deux fois par mois.

 

L’AMT prévoit de construire un deuxième centre d’entretien au coût de 320M$ d’ici 2018. Il se trouvera à Pointe-Saint-Charles et il recevra les trains qui roulent sur les voies du Canadien National (CN), soit ceux qui sillonnent les lignes Mascouche, Deux-Montagnes et Mont-Saint-Hilaire. Le projet de Réseau électrique métropolitain de la Caisse de dépôt et placement du Québec change toutefois la donne à ce projet. L’AMT est en train de le réévaluer. «On est train de regarder avec la Caisse comment on est capable d’accommoder tout le monde», a dit la porte-parole de l’AMT, Fanie Clément-Saint Pierre.

 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/963532/premier-centre-de-maintenance-de-lamt/

 

 

rappel du projet:

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Incroyable! L' AMT continue de penser, communiquer et agir comme si l'annonce du REM n'avait jamais eu lieu!

 

The Agence métropolitaine de transport has canceled a $103-million bid*with*Bombardier Transportation, according to*the website where requests*for bids on*public contracts*are posted.

 

In March, the*Montreal Gazette reported*that the AMT would purchase 24 new double-decker cars that would be used on the Candiac, Vaudreuil-Hudson and St-Jérôme lines. The old double-deckers would move to the Deux-Montagnes Line, and that line’s*MR-90 cars would be taken out of circulation so they can be recommissioned. *

 

But that contract was recently cancelled by the AMT. The agency*told Radio-Canada*that*Bombardier was not able to deliver the double-decker cars within the fall 2018*time frame, outlined in the contract and that the cars did not meet their specifications.

 

A new call for tenders will be issued, and new companies will be able to bid on it. But the cancellation likely means the trains will be delivered later than expected. That’s bad news for regular riders of the*agency’s busiest line, because delivery of the new cars*would have allowed the AMT to move its old double-deckers onto the overcrowded Deux-Montagnes Line. It was hoped that double-decker cars would*increase the train’s capacity and give riders some elbow room.**

 

http://montrealgazette.com/business/local-business/amt-quietly-cancels-103-million-bid-from-bombardier-report-says

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Incroyable! L' AMT continue de penser, communiquer et agir comme si l'annonce du REM n'avait jamais eu lieu!

 

 

 

http://montrealgazette.com/business/local-business/amt-quietly-cancels-103-million-bid-from-bombardier-report-says

Au contraire. Je suis sûr que la conversion de la ligne Deux-Montagnes pour le RÉM, l'abandon du projet de réfection en milieu de vie des rames MR-90 et le raccourcissement de la ligne Mascouche sont venus changer la donne dans le dossier.

Bombardier n'ont rien fait d'autre que d'ouvrir la porte de sortie de ce projet pour l'AMT, tant qu'à moi.

 

 

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Même si ça semble complètement absurde, on doit leur donner deux bons points:

- Théoriquement le REM n'est qu'un projet. Dans l'entente avec le gouvernement, on n'est encore qu'à l'étape de la planification.

echeancier.jpg

L'AMT ayant meublée les 10 dernières années avec des études de projet, il est bien normal qu'elle prenne celui-là avec un grain de sel.

- Ils tiennent tête à Bombardier. Dans le contexte actuel, c'est politiquement très risqué! Pas que des constructeurs autre que Bombardier aient réellement une chance (le devis technique décrivait avec exactitude une voiture de la série 2000)... Je crois plutôt que l'AMT a trouvé un échappatoire pour annuler l'appel d'offre sans s'exposer à des représailles.

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via Radio-Canada

 

L'AMT annule la signature d'un gros contrat destiné à Bombardier

 

PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 7 H 05

 

EXCLUSIF – Radio-Canada a appris que l'Agence métropolitaine de transport (AMT) vient d'annuler, en toute discrétion, un appel d'offres de 103 millions de dollars pour lequel Bombardier Transport était le seul soumissionnaire. Parmi les raisons invoquées : Bombardier n'était pas capable de livrer les voitures de train dans le délai requis.

Un texte de Thomas Gerbet

 

Le 2 mai, l'Agence a annulé son appel d'offres après avoir jugé non conforme la soumission reçue de la part de Bombardier Transport. L'appel d'offres international lancé en décembre visait la construction et la livraison de 24 voitures à deux niveaux destinées aux lignes de train de banlieue de Candiac, Vaudreuil-Dorion et Saint-Jérôme.

 

Deux raisons pour justifier l'annulation

 

Première raison invoquée par l'AMT : le non-respect des délais de livraison. « Le calendrier établi ne convenait pas », explique la porte-parole de l'Agence, Fanie St-Pierre. L'AMT exigeait un maximum de 24 mois entre la signature et la livraison de la première voiture, alors que Bombardier s'estimait incapable de le faire en moins de 30 mois.

 

Deuxième raison : « la façon dont les voitures étaient livrées, ce qu'elles contenaient, ne répondait pas à ce qu'on avait demandé », dit Fanie St-Pierre. L'AMT exigeait la présence d'écrans afficheurs dans les voitures pour signaler la prochaine gare. Elle voulait également un système de communication et un autre pour détecter automatiquement la présence de passagers dans les voitures, ce que Bombardier ne lui proposait pas.

 

L'AMT n'a signé aucun contrat pour l'achat de nouvelles voitures depuis 10 ans. Or, les besoins de l'Agence sont devenus pressants, en raison notamment de la hausse de l'achalandage. L'appel d'offres annulé prévoyait d'ailleurs une option d'achat pour un maximum de 60 voitures neuves. Toutes les voitures de train de banlieue de l'AMT ont été construites par Bombardier.

 

Bombardier se justifie

 

Bombardier Transport « prend acte » de cette décision, mais maintient que sa proposition était réaliste. « Elle était avantageuse au niveau des coûts et à moindres risques », assure le porte-parole de la compagnie, Marc-André Lefebvre. « Ça nous apparaissait être le délai requis pour mettre en place la ligne de production ».

 

Quant à savoir pourquoi Bombardier ne pouvait pas ajouter les outils électroniques demandés par l'AMT, le porte-parole répond : « l'offre que nous avons présentée [était] basée sur un produit que nous livrons présentement à l'agence Metrolinx [dans la région de Toronto] ». Il s'agit de la « même plateforme éprouvée », explique Marc-André Lefebvre.

 

Bombardier face aux retards

 

Le mois dernier, Bombardier a appelé en renfort les travailleurs de son usine de La Pocatière, au Québec, pour accélérer l'assemblage des tramways de Toronto en cours à Thunder Bay, en Ontario. La livraison avait connu plusieurs retards. La production des nouvelles voitures AZUR du métro de Montréal a aussi subi du retard à La Pocatière. Bombardier assure que ces deux situations n'ont aucun lien avec l'échec de l'appel d'offres de l'AMT.

 

L'AMT veut encourager des compagnies étrangères à soumissionner

 

L'AMT prépare un nouvel appel d'offres qui pourrait être modifié pour faciliter l'accès à d'autres soumissionnaires. Si Bombardier Transport était seul en lice, c'est surtout parce que l'appel d'offres exigeait au moins 25 % de contenu canadien.

 

« Ça fait partie des éléments qu'on est en train de réviser », révèle la porte-parole Fanie St-Pierre, même si elle ajoute qu'il est « trop tôt pour affirmer si on va modifier [cet élément] ».

 

Plusieurs constructeurs étrangers avaient fait part de leur intérêt pour le contrat, mais n'avaient pas soumissionné. Le marché ne manque pas de concurrence avec des entreprises comme Alstom (France), Siemens (Allemagne), Hitachi (Japon) ou encore CNR/CSR (Chine).

 

Bombardier Transport assure qu'elle fera tout pour être de la prochaine course. « On regardera ce qu'on pourra proposer », conclut son porte-parole Marc-André Lefebvre.

 

La facture doit être payée à 75 % par le ministère des Transports du Québec (MTQ).

 

L'AMT a-t-elle l'obligation de produire ses voitures de train au Canada ?

 

Non. Au Québec, le MTQ ne spécifie pas de proportion de contenu canadien obligatoire pour les équipements destinés au transport sur rail, contrairement aux autobus (minimum 20 %). Le Programme d'aide gouvernementale au transport collectif des personnes permet toutefois de fixer des contraintes au cas par cas. Par exemple, l'appel d'offres pour les nouvelles voitures du métro de Montréal devait contenir 60 % de contenu canadien en plus d'un assemblage final au Canada. L'AMT affirme qu'elle n'a pas à obtenir l'autorisation du gouvernement pour réduire le contenu canadien prévu à son appel d'offres.

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On dirait qu'on ne sait pas ou est ce qu'on s'en va exactement. Tant mieux si on annule le contrat, pourquoi pas tout transformer les lignes de train de banlieue en SLR dans la mesure du possible.

Un beau rêve, mais un rêve impossible tant que les rails appartiendront au Barons du rail (CP ou CN, au choix).

 

 

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