Aller au contenu

Messages recommendés

La nouvelle gouvernance du transport en commun approuvée

 

Le projet de loi 76, qui vise à instaurer une nouvelle gouvernance du transport en commun dans la région métropolitaine, a été adopté jeudi à l’Assemblée nationale.

 

Un comité de transition sera «rapidement» formé pour mettre fin aux activités de l’Agence métropolitaine de transport, a indiqué le ministre des Transports Jacques Daoust. Il aura pour mission de mettre sur pied, d’ici les premiers mois de 2017, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), qui sera en charge de la planification, du financement et de la tarification, ainsi que du Réseau de transport métropolitain qui lui exploitera les réseaux de train de banlieue et de bus des couronnes sud et nord. Le nombre d’autorités organisatrices de transport diminuera du même coup de 16 à 5.

 

La Société de transport de Montréal, la Société de transport de Laval et le Réseau de transport de Longueuil continueront d’exploiter leur réseau respectif, est-il prévu dans la nouvelle loi.

 

La Communauté métropolitaine de transport, qui sera appelée à collaborer de près avec l’ARTM a applaudi l’adoption du projet de loi. «Il s’agit d’une réforme très attendue qui répond aux demandes historiques des élus du Grand Montréal», a indiqué par communiqué le maire de Montréal, Denis Coderre.

 

Transport 2000 fonde de son côté beaucoup d’espoir en la nouvelle gouvernance surtout pour «améliorer la cohérence et la vision en transport, mais également la transparence des décisions, la reddition de comptes et la structure tarifaire». L’organisme, qui représente les usagers de transport en commun, entend surveiller de près l’application de la nouvelle loi, particulièrement en ce qui concerne la réforme tarifaire.

 

Le Conseil régional de l’environnement de Montréal croit pour sa part que, après la gouvernance du transport en commun, le gouvernement doit maintenant s’attaquer au financement ses réseaux.

http://journalmetro.com/actualites/montreal/966561/la-nouvelle-gouvernance-du-transport-en-commun-approuvee/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si les employés restent les mêmes, pas grand nouvelle vision...

 

oui, c'est un changement énorme, car les CIT vont disparaître, ce qui va faire en sorte que les banlieues vont devoir se soumettre à la volonté de Montréal. On aura enfin une ville-région, et ce, sans avoir besoin de faire des fusions. La CMM aura le plein contrôle.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

oui, c'est un changement énorme, car les CIT vont disparaître, ce qui va faire en sorte que les banlieues vont devoir se soumettre à la volonté de Montréal. On aura enfin une ville-région, et ce, sans avoir besoin de faire des fusions. La CMM aura le plein contrôle.

 

Au fait non, le projet de loi a été modifié justement pour pas que ceci arrive.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Au fait non, le projet de loi a été modifié justement pour pas que ceci arrive.

 

...ainsi que du Réseau de transport métropolitain qui lui exploitera les réseaux de train de banlieue et de bus des couronnes sud et nord. Le nombre d’autorités organisatrices de transport diminuera du même coup de 16 à 5.

 

à moins d'un changement, 5 reste le nombre d'organismes. Même si ceux qui travaillent dans les CIT restent en place, ils se feront dire quoi faire par la RTM.

Modifié par vivreenrégion
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Métiers du rail: le projet de centre de formation toujours sur la table

Archives-TC Media L'AMT a déjà signé avec le RESO un protocole d’entente pour la création d'un centre de formation à son futur centre d'entretien de Pointe-Saint-Charles.

 

Bien que le projet de train électrique de la Caisse de dépôt et placement du Québec vienne brouiller les cartes, le RESO poursuit le développement du projet de centre de formation de la main-d’œuvre de l’industrie ferroviaire associé au centre d’entretien que l’Agence métropolitaine de transport (AMT) construit dans Pointe-Saint-Charles.

 

L’AMT construit présentement au coût de 320 M$ un centre d’entretien pour ses trains de banlieue. Il doit être opérationnel en 2018. Selon le scénario original, 170 personnes doivent y travailler. L’Agence l’a conçu au départ pour recevoir les voitures de ses lignes de Deux-Montagnes, Mascouche, et Mont-Saint-Hilaire.

 

Mais le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) présenté en avril par la Caisse entraînerait le remplacement du train de Deux-Montagnes. Quant à celui de Mascouche, il ne pourrait plus se rendre au futur centre d’entretien. Il devrait s’arrêter à l’extrémité nord du tunnel du mont Royal, qui serait emprunté par le REM. Finalement, les seules voitures de l’AMT entretenues au centre seraient celles de la ligne de Mont-Saint-Hilaire.

 

«Mais ça ne change rien au projet de centre de formation. Il est toujours sur la planche à dessin», assure Guy Biron, directeur général du RESO. «La pertinence de ce centre de formation demeure», affirme Fanie Clément St-Pierre, porte-parole de l’AMT.

 

Ouverture prévue en 2019

En 2013, l’AMT a signé avec le RESO un protocole d’entente pour la création du centre de formation, dont l’ouverture est prévue en 2019.

 

Selon cette entente, l’Agence doit fournir les locaux et un accès aux équipements du futur centre d’entretien tandis que le RESO s’occupera du recrutement et de l’accompagnement de la main-d’œuvre en apprentissage.

 

«Nous sommes présentement en phase exploratoire. Nous voulons identifier les métiers dans les domaines qui sont les plus porteurs et accessibles à la population locale, voir quels métiers nous allons privilégier», explique Guy Biron.

 

Les travaux de construction du centre d’entretien ont commencé l’été dernier. «Ils se poursuivent. Le projet avance bien. Il est réalisé à 50%», note Fanie Clément St-Pierre. Selon les plans initiaux, il doit comprendre des ateliers pour les inspections et les réparations, un lave-train automatisé et un atelier de profilage de roues.

 

http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/970403/metiers-du-rail-le-projet-de-centre-de-formation-toujours-sur-la-table/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines plus tard...

Taux d'occupation des trains de banlieue de l'AMT, pour chacun des départs à l'horaire régulier des 3 dernières années:

 

https://www.amt.qc.ca/Media/Default/pdf/section8/Diffusion-Info/Reponses-Acces-Info/document-2016-39.pdf

 

La présente fait suite à votre demande d’accès aux documents reçue en date du 8 juin 2016 relative aux

informations portant sur les «TAUX D'OCCUPATION DES TRAINS DE BANLIEUE, SUR SES SIX LIGNES,

POUR CHACUN DES DÉPARTS À L'HORAIRE RÉGULIER, POUR CHACUNE DES 3 DENIÈRES ANNÉES À CE

JOUR».

Après analyse, nous vous transmettons en pièce jointe le document correspondant à votre demande.

Veuillez noter que les données disponibles sont celles relatives aux départs de la pointe du matin en

direction de Montréal. De plus, les taux d’occupation fournis représentent une estimation, pour un jour

moyen d’un mois donné, du nombre de passagers maximal observés à bord pour chaque départ.

Nous portons à votre attention que l’AMT effectue, sur l’ensemble de son réseau, une gestion

dynamique et évolutive du matériel roulant en fonction des besoins, que l’on appelle la «Gestion

optimisée du matériel roulant». La capacité d’accueil des trains de chaque ligne du réseau change donc

en fonction des besoins.

Ainsi, les rames de trains qui effectuent les départs les plus achalandés de chaque ligne comportent plus

de voitures, alors que celles qui effectuent les départs les moins achalandés en comportent moins. La

Gestion optimisée du matériel roulant implique également que certaines rames de trains auront aussi

moins de voitures en été qu’à l’automne.

Il est important de noter qu’une même rame de trains possédant un nombre fixe de voitures effectuera,

au cours d’une journée, plusieurs départs. Tous les départs desservis par une même rame de trains

n’ayant pas le même achalandage mais le même nombre de voitures, le taux d’occupation des départs

desservis par cette rame de trains variera au cours d’une même journée.

 

Enfin, en raison de ce qui vient, entre autres, d’être mentionné, veuillez prendre note que les données

fournies ne peuvent être utilisées pour calculer le taux d’occupation moyen d’une ligne de trains ou du

réseau de trains de banlieue ou pour estimer la capacité d’accueil totale des infrastructures du réseau

de trains de banlieue.

 

source: https://www.amt.qc.ca/fr/a-propos/politiques-lois/acces-information/diffusion-information

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...
Nouvelle gouvernance du transport en commun: le comité de transition formé

 

 

Québec a mis sur pied le comité de transition qui sera en charge de mettre en place la nouvelle gouvernance du transport en commun dans la région métropolitaine. Paul Côté, qui dirigeait l’Agence métropolitaine de transport (AMT), en assurera la présidence.

 

Le ministre des Transports, Jacques Daoust, a annoncé jeudi que M. Côté sera remplacé à la tête de l’AMT par Marieke Tremblay à compter de lundi prochain. Cette dernière occupait jusqu’à présent les fonctions de vice-présidente communication et marketing au sein de l’agence gouvernementale. Elle devra maintenant permettre la transition vers la nouvelle gouvernance.

 

M. Côté s’est dit privilégié d’obtenir ce nouveau mandat. Pour remplir celui-ci, il entend miser sur la collaboration, même s’il s’attend à des obstacles sur son chemin.

 

«Nous ne faisons pas cela pour brasser des structures, a-t-il avisé jeudi, en entrevue à Métro, à la suite de l’annonce de sa nomination. Nous faisons cela pour offrir ultimement un meilleur service à la clientèle. C’est le critère numéro un. Ceux qui y seront opposés devront justifier pourquoi ils ne veulent pas le faire.»

 

«On ne s’assoira pas dans un aquarium pour dire qu’on a toute la connaissance et qu’on va dicter ce qui va se passer, a-t-il ajouté. Ce n’est pas cela du tout. On consultera.»

 

Dans le comité de transition, M. Coté sera assisté par l’associé principal de Consilium Management, Jocelyn Leclerc, l’ancienne sous-ministre des Transports, Ginette Sylvain, ainsi que par le directeur général de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), Massimo Lezzoni et la directrice principale de la planification stratégique à la Société de transport de Montréal, Céline Desmarteau. Ces deux derniers ont été nommés par la CMM.

 

Les membres du comité de transition auront notamment comme tâche de mettre sur pied l’Autorité régional de transport métropolitain (ARTM), qui sera en charge de la planification des projets de transport en commun dans la région métropolitaine et de la tarification, mais aussi du Réseau de transport métropolitain (RTM), qui gèrera les réseaux de trains de banlieue et de bus sur les couronnes sud et nord. Ils devront aussi décider des compétences recherchées pour les membres indépendants des conseils d’administration des deux organisations, élaborer les premiers budgets et assurer le transfert des actifs et des employés. La politique de financement de l’ARTM devra en plus être établie.

 

Paul Côté dirigera le comité de transition et deviendra au début de l’année 2017 le premier directeur général de l’ARTM. Il occupera ce poste pendant deux ans.

 

Avec l’adoption du projet de loi 76, en mai dernier, le gouvernement du Québec veut abolir l’AMT et la remplacer au cours des prochains mois par l’ARTM et le RTM afin d’améliorer les services de transport en commun et surtout, de les harmoniser entre les différentes municipalités de la CMM. Le nombre d’autorités organisatrices de transport diminuera du même coup de 16 à 5. La Société de transport de Montréal, la Société de transport de Laval et le Réseau de transport de Longueuil continueront à exploiter leur réseau respectif.

 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/990249/changement-de-garde-a-lamt/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Réorganisation du transport collectif: des retards à prévoir

 

Bien que prévues pour le début janvier, les nouvelles entités de gestion du transport collectif ne verront pas le jour avant avril, prévient le président du comité de transition, qui sera chargé dès lundi, de leur mise en place.

 

«L’intention du gouvernement était le 1er janvier, mais je pense que le ministre réalise aujourd’hui que c’est fort peu probable étant donné que la loi prévoit que les administrateurs des sociétés doivent être nommés quatre mois avant la mise en place des entités. Le 1er avril semble plus réaliste», indique Paul Côté, président sortant de l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et qui sera dès lundi, président du comité de transition, chargé de mettre en place les deux organisations régionales.

 

Ainsi, le Réseau de transport métropolitain (RTM) s’occupera de la gestion des autobus et trains de banlieue dans toutes les municipalités, à l’exception de Montréal, Laval et Longueuil alors que l'Autorité régionale de transport métropolitain planifiera les services et la tarification.

Priorité au tarif

 

«Aujourd’hui, l’offre est extrêmement complexe, il y a au-delà de 700 tarifs différents, il est possible de la réduire de façon significative à 15 par exemple», croit M. Côté, qui dirigera l’Autorité durant deux ans. Sans se commettre sur les détails de sa future politique, il ne ferme pas la porte à offrir un modèle de tarification basée sur les revenus des usagers.

 

«Tout ça va être pris en considération, assure-t-il, on a des partenaires à travers le Canada, on va regarder ce qui se passe dans leurs territoires et voir ce qui peut s’appliquer chez nous.»

 

Des correspondances plus efficaces

L’autre problématique qu’il espère régler, c’est l’arrimage des réseaux et la communication des horaires.

«Il faut s’assurer que les gens aient le temps de faire les correspondances et qu’ils soient mieux informés. On veut tenter d’offrir à la clientèle de l’information plus simple et plus intégrée sur l’ensemble du réseau.»

 

Pour Paul Côté, ce nouveau modèle de gestion des transports en commun combiné au projet de train électrique de la Caisse de dépôt est une occasion de «créer un enthousiasme autour du transport collectif».

 

D’«énormes défis»

Pour ce qui est des enjeux d’accessibilité, que ce soit pour les personnes à mobilité réduite ou le manque de stationnement aux gares de banlieue, il convient que l’Autorité aura d’«énormes défis».

 

«Le transport adapté est définitivement une préoccupation, mais c’est un défi de transformer des infrastructures vieillissantes pour des besoins de plus en plus présents, concède M. Côté. Pour les stationnements, c’est une question très précise qui implique de discuter de modalités et je n’ai pas les réponses pour l’instant.»

 

Comme le prévoit la loi et comme c’est déjà le cas à l’AMT, les conseils d’administration de l’Autorité et le RTM seront privés. Seules les séances dites «spéciales» et une rencontre annuelle publique devront accueillir le public.

 

http://www.journaldemontreal.com/2016/07/07/reorganisation-du-transport-collectif-des-retards-a-prevoir

Modifié par nephersir7
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




  • Les dernières mise à jour

    1. 80

      Rénovation de l'Hôtel de ville de Montréal

    2. 80

      Rénovation de l'Hôtel de ville de Montréal

    3. 769

      Aéroport Montréal-Trudeau (YUL) - Discussion générale

    4. 3 585

      Série de vieilles photos de Montréal

    5. 3 585

      Série de vieilles photos de Montréal

×
×
  • Créer...