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Merci steve_36! :)

Est-ce que tu as plus d'information? Si la ville prévoit vraiment une piste cyclable à cet endorit, je pourrais modifier ma vision en conséquence.

 

Voilà un lien de mtlurb.com qui n'est pas très détaillé mais qui rapporte un article paru il y a quelques semaines. Ça semble sérieux mais aucun travaux n'a été effectué pour l'instant, bien sur !!!

 

Si ça se fait alors cela pourrait modifier ta version considérablement.

 

http://mtlurb.com/forums/showthread.php?t=16394

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  • 7 années plus tard...

7 années passées depuis le dernier message sur ce fil, et enfin ça bouge pour l'échangeur Côte-des-Neiges-Remembrance. 

Ben ça bouge, enfin c'était surtout à la veille de s'effondrer, alors il semble que la ville va bouger. 

Article du Journal de Montréal 14 novembre 2017 

L’échangeur Côte-des-Neiges-Remembrance, dans le quartier Côte-des-Neiges à Montréal, sera démoli et réaménagé d'ici 2021.
ZACHARIE GOUDREAULT
Mardi, 14 novembre 2017 18:43
MISE à JOUR Mardi, 14 novembre 2017 18:47
Un échangeur considéré en fin de vie depuis dix ans pourrait être enfin démoli et réaménagé d’ici 2021 dans le quartier Côte-des-Neiges, à Montréal.
En 2007, l’échangeur Côte-des-Neiges–Remembrance, construit dans les années 1960, comptait déjà parmi les infrastructures en fin de vie de Montréal.
Deux ans plus tard, cette infrastructure, qui représente la porte d’entrée du mont Royal, faisait l’objet d’une promesse du maire Gérald Tremblay, qui prévoyait la démolition et le réaménagement de celle-ci pour 2012.

Depuis, seuls des travaux d’entretien mineurs ainsi que l’installation en février de «grillages pour retenir les fragments de béton potentiels» ont été effectués sur cet échangeur, a indiqué Marilyne Laroche Corbeil, relationniste à la Ville de Montréal.
L’architecte-paysagiste Daniel Chartier s’inquiète de la désuétude de cet échangeur. «Actuellement, il y a des bouts où il manque plusieurs centimètres de béton autour de la colonne [...] Ça n’a pas de bon sens. Il est temps d’agir. Ça fait peur», a-t-il déclaré au «24 Heures».

Un rapport d’inspection de la Ville faisait d’ailleurs état en 2014 de «corrosion très importante» à plusieurs endroits et de l’«éclatement très important du béton» sur les piliers de l’infrastructure routière.
27,7 millions $
L’échangeur pourrait toutefois être remplacé pour 2021 si le projet évalué à 27,7 millions $ proposé en septembre par le comité exécutif afin de démolir cet échangeur et de le remplacer par une nouvelle infrastructure est approuvé par la nouvelle administration de Valérie Plante.
«Je suis convaincu que la prochaine administration va comprendre la nécessité d’aller de l’avant avec ce projet», a déclaré avec optimisme le responsable des infrastructures à la Ville, Lionel Perez.
Les plans du projet n’ont pas encore été réalisés, mais la Ville envisage «l’ajout de traverses piétonnes et de feux piétons aux intersections, de même que le prolongement du chemin de ceinture du Mont-Royal», a détaillé Marilyne Laroche.
Bien qu’elle salue ce projet, Sylvie Guilbault, la directrice générale de l’organisme Les amis de la montagne, qui réclame depuis longtemps le réaménagement de cette «intersection dangereuse», croit qu’il n’est «pas normal» que la Ville ait mis tant d’années avant de se pencher sur ce dossier.
Daniel Chartier rappelle quant à lui qu’il est important de ne pas aller trop vite. «Souvent, on attend à la dernière minute et on fait ça n’importe comment. Il faut prendre le temps de faire des études» afin de tenir compte de l’impact des travaux sur l’environnement et le paysage, a-t-il soulevé.
Circulation affectée
Actuellement, selon les données fournies par la Ville, 1200 à 1400 véhicules empruntent chaque heure en période de pointe le chemin de la Côte-des-Neiges, qui passe sur l’échangeur.
«Le chantier aura inévitablement des impacts temporaires sur la circulation. Cependant, des mesures seront mises en œuvre afin de minimiser ces derniers», a assuré la relationniste de la Ville.
La Société de transport de Montréal (STM) sera aussi affectée, car quatre lignes d’autobus empruntent la voie réservée du chemin de la Côte-des-Neiges, pour un total de plus de 460 voyages par jour.
Le projet de la Ville prévoit d’ailleurs de préserver les voies réservées de ce chemin une fois le réaménagement de l’échangeur complété.

http://www.journaldemontreal.com/2017/11/14/corrosion-et-eclatement-du-beton-un-echangeur-de-cote-des-neiges-sera-demoli

 

2017.11.14ma JdeMtl échangeur CDN-Remembrance.jpg

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Je retiens quatre citations contenues dans l'article:

- «En 2007, l'échangeur ...comptait déjà parmi les infrastructures en fin de vie de Montréal»

- «Les plans du projet n'ont pas encore été réalisés»

- « Il est important de ne pas aller trop vite»

- «L'échangeur pourrait toutefois être remplacé pour 2021»

Disons simplement  que je ne suis pas impressionné.:(

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Il y a 12 heures, Né entre les rapides a dit :

Je retiens quatre citations contenues dans l'article:

- «En 2007, l'échangeur ...comptait déjà parmi les infrastructures en fin de vie de Montréal»

- «Les plans du projet n'ont pas encore été réalisés»

- « Il est important de ne pas aller trop vite»

- «L'échangeur pourrait toutefois être remplacé pour 2021»

Disons simplement  que je ne suis pas impressionné.:(

N'y a-t-il pas de programme d'aide à mourir pour les infrastructures routières? Il faudrait y songer avant que leur dangereuse persistance concorde à servir d'élément du programme d'aide à mourir pour les usagers. >:(

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  • 1 mois plus tard...
  • 4 années plus tard...
il y a 43 minutes, Rocco a dit :

3 ans pour refaire un mini-échangeur. 2 employés probablement.

Hallucinant. 

Hallucinant?  (au sens de "mind-blowing" en anglais, sinon le risque de dérapage est élevé).   Mais alors quoi?  -- Ce n'est qu'un exemple parmi la multitude.  C'est généralisé.  Et ça confirme ma crainte maintes fois formulée à l'effet qu'il ne suffit pas d'échafauder des projets sur papier  et de les inscrire dans un soi-disant programme triennal ou décennal, pour qu'ils se réalisent dans ce cadre.  En deux mots, la capacité de l'industrie montréalaise de la construction d'infrastructures est inadéquate  (dans sa composition) et insuffisante (dans son envergure); et les appels d'offre sont "complaisants".  Ce n'est toutefois pas l'apanage exclusif de Montréal au Québec; les petits projets qui traînent en longueur sont légions ailleurs aussi, mais pas partout.

Ceci dit, nous avons quand même quelques exemples positifs, par exemple le nouveau pont Samuel-de-Champlain, dont la construction a exigé le recours à des fournisseurs hors-Montréal et même étrangers.  Aussi, le transformation radicale de la route 175 entre Québec et Saguenay s'est déroulée rondement, compte tenu de l'ampleur du projet.  Pas comme la route 117...

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  • 2 semaines plus tard...

J'avoue que 3 ans c'est abusé...

Je prenais ce chemin une ou 2 fois pas semaine, bus ou voiture. Traffic monstre au départ sans arrêt (bus compris). Le pire a été la bouche d'égout relevé de 4 pouces qui avec une bonne vitesse nous permettait de décoller en auto pour éviter le feu rouge.

Depuis le début de l'été ça s'est amélioré sinon!

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