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Quartier Namur-Hippodrome (reconversion de Blue-Bonnets)


ErickMontreal

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Montreal racetrack closed under bankruptcy protection

Horse racing tracks in Gatineau, Trois-Rivières and Quebec City allowed to remain open

 

Last Updated: Friday, June 27, 2008 | 9:57 AM ET Comments1Recommend0

CBC News

 

The company that owns Quebec's four horse racing tracks has been placed under bankruptcy protection, resulting in the immediate closure of the Hippodrome de Montréal, formerly known as Blue Bonnets Raceway.

 

Under the bankruptcy agreement, the tracks in Gatineau, Trois-Rivières and Quebec City will be allowed to continue operating while an effort is made to restructure the company. In 2005, the racetracks were sold by the province to Attractions Hippiques, owned by Senator Paul Massicotte.

 

The government wanted to get out of a business that was costing it $25 million a year.

 

Under the purchase agreement, the company was guaranteed 22 per cent of revenues earned at Loto-Québec gaming rooms built adjacent to the hippodromes.

 

Benoit Gingues is a partner with RSM Richter, the firm appointed to oversee the restructuring of the company while under bankruptcy protection. "Revenues were 30 per cent of what had been expected," Gingues said Thursday.

 

The company was also counting on additional profits from a new gaming room that would be built under a plan to move Montreal's hippodrome to the city's North Shore. "That project is basically not happening right now," Gingues said.

 

The court has given the company 30 days to present a new plan, he said.

 

"And during that restructuring, we're going to have to find a long-term solution for this industry.

 

"There is a lot of jobs involved. At Attractions Hippiques there are 600 employees, and that isn't counting all the people directly or indirectly associated to the horse racing industry," Gingues said.

 

Finance Minister Monique Jérôme-Forget is in Europe, but a spokesperson in her office said the minister is saddened by the news that the tracks are in financial trouble.

 

The spokesperson said, however, that the government is not prepared to invest any taxpayers' money in an industry that has been in decline for some time.

 

Source : CBC.ca

 

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  • 6 mois plus tard...

Un nouvel hippodrome à Montréal?

 

 

La Ville de Montréal souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome, situé près des autoroutes Décarie et Métropolitaine. Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, mieux connu sous le nom de Blue Bonnets.

 

André Noël

La Presse

 

 

Un nouveau projet se dessine à Montréal: vendre les vastes terrains de l'hippodrome et, avec les profits de la vente, aménager une piste de chevaux de course sur les terrains contaminés et peu constructibles que la Ville possède sur les rives du fleuve, entre les ponts Victoria et Champlain.

 

Le projet est porté par Marcel Lacaille, principal propriétaire de chevaux de course au Québec, et soutenu par Serge Savard, ancien joueur étoile du Canadien et vice-président d'une société immobilière. Une partie importante du milieu des courses y est favorable.

 

M. Lacaille, membre actif de la Société des propriétaires et éleveurs de chevaux Standardbred, a fait valoir son projet à Claude Dauphin, président du comité exécutif de la Ville, lors d'une rencontre, cet automne. Il en a parlé aussi au sous-ministre des Finances, Jean Houde.

 

«M. Lacaille a dit que les courses pourraient se tenir pendant la saison estivale, a indiqué Bernard Larin, porte-parole du comité exécutif, au cours d'un entretien, hier. Il s'agit des terrains de l'ancien Adacport. M. Dauphin a posé des questions. La Ville n'est pas fermée à l'idée. On aimerait voir le projet dans son ensemble.»

 

 

La Ville de Montréal souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome, situé près des autoroutes Décarie et Métropolitaine, a souligné M. Larin. L'accès en sera amélioré par le prolongement du boulevard Cavendish. Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, mieux connu sous le nom de Blue Bonnets.

 

En 2006, le gouvernement a privatisé les courses de chevaux au profit de la compagnie Attractions Hippiques, du sénateur Paul Massicotte. Le printemps dernier, cette société s'est placée sous la protection de la loi sur les arrangements avec les créanciers. Aucune course ne s'est déroulée à l'hippodrome de Montréal cet été et quelques-unes seulement ont eu lieu pendant l'automne. Aucune autre n'est prévue avant mai prochain.

 

Marcel Lacaille, propriétaire de la ferme Canaco à Saint-Bernard-de-Lacolle, ne croit pas qu'Attractions Hippiques puisse sauver l'industrie des chevaux de course. Selon une évaluation, le terrain de Blue Bonnets, qui appartient au gouvernement du Québec, pourrait être vendu pour 80 millions, dit-il. Une partie de ce profit pourrait servir à l'aménagement d'un nouvel hippodrome sur les terrains de l'ancien Adacport.

 

«Il suffirait de 50 millions pour aménager une piste de 7/8e de mille, des gradins pouvant recevoir de 8000 à 10 000 spectateurs et un club-house, assure-t-il. Une partie de l'espace pourrait être loué à Loto-Québec. Il n'y aurait pas d'écuries sur place. Mais ça assurerait du travail à bien des gens. L'hippodrome serait dirigé par un Jockey Club.»

 

M. Savard, lui-même propriétaire de quelques chevaux, a confirmé qu'il voulait donner un coup de pouce pour relancer les courses hippiques à Montréal. «Dans les années 70, j'avais plusieurs chevaux, dit-il. Les courses, c'était le fun. Le samedi matin, on allait faire jogger les chevaux avec les enfants. Il faut que le fun revienne à Montréal. Et en cette période économique difficile, ça peut assurer de l'emploi. Mais il faut d'abord régler le litige avec Attractions Hippiques.»

 

«Le gouvernement est toujours lié par contrat à Attractions Hippiques, a souligné Jacques Delorme, porte-parole du ministère des Finances, qui a refusé de commenter la rencontre entre M. Lacaille et le sous-ministre Jean Houde. La destinée des courses se trouve entre les mains du syndic, a ajouté M. Delorme. C'est lui qui va formuler des recommandations. Le ministère les attend. Quand il les aura, il pourra les étudier. D'ici là, aucune décision ne sera prise.»

http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200901/13/01-817367-un-nouvel-hippodrome-a-montreal.php

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  • 2 semaines plus tard...

L'Hyppodrome de Montréal pourrait fermer

 

Kathleen Lévesque

Édition du samedi 24 et du dimanche 25 janvier 2009

 

Mots clés : Privatisation, Hyppodrome de Montréal, Fermeture, Ministère, Gouvernement, Québec (province), Montréal

 

Attractions hippiques ne serait plus tenu de le déménager dans la couronne nord. L'industrie des courses de chevaux perdrait alors 60 % de ses revenus

 

C'est à Montréal que se tiennent 60 % de toutes les courses de chevaux au Québec.

 

Photo: Jacques Nadeau

Le gouvernement du Québec envisage de permettre la fermeture définitive de l'Hippodrome de Montréal, qui génère à lui seul 60 % des revenus de toute l'industrie des courses de chevaux, a appris Le Devoir.

 

Ce scénario est actuellement discuté entre le ministère des Finances et le propriétaire des quatre hippodromes, Attractions hippiques, dans l'objectif de revoir les termes du contrat de privatisation établi en 2006. Les pourparlers ont commencé dès qu'Attractions hippiques s'est placé sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers en juin dernier, en vue de d'établir un plan de redressement de l'entreprise. Ce plan doit être présenté début février en Cour supérieure. Du coup, les parties se sont engagées dans un sprint de négociations.

 

Selon les informations recueillies, la mise à mort de l'Hippodrome de Montréal, qui existe depuis 1907 (longtemps connu sous le nom de Blue Bonnets), est l'hypothèse la plus sérieuse au coeur des discussions. Attractions hippiques pourrait ainsi être libérée de son obligation de transporter l'Hippodrome de Montréal dans la couronne nord, un projet qui avait rencontré de nombreuses embûches.

 

C'est à Montréal que se tiennent 60 % de toutes les courses de chevaux au Québec. Les bourses qui y sont décernées ont une importance équivalente pour toute l'industrie. Ce sont ces revenus qui permettent aux éleveurs et aux propriétaires de chevaux, par exemple, de réinvestir dans les écuries et le développement du cheptel équin.

 

Les courses de chevaux seraient limitées désormais aux hippodromes de Québec, de Trois-Rivières et d'Aylmer. Les bourses que garantit Attractions hippiques seraient réduites de façon importante. Selon le contrat en vigueur, l'entreprise dirigée par le sénateur libéral Paul J. Massicotte doit payer 25 millions en bourses la première année d'opérations, 28 millions la deuxième année et 16,7 millions les années suivantes. Le chiffre de 10 millions par année circule depuis quelques jours, ce qui est du même ordre de grandeur que le total des bourses réellement versées par Attractions hippiques en 2008 (11 millions).

 

Invoquant des difficultés financières, Attractions hippiques a diminué le montant des bourses ainsi que le nombre de courses au cours des derniers mois, ce qui a provoqué la grogne des différentes associations d'hommes de chevaux. Trois d'entre elles, dont l'Association trot et amble du Québec (ATAQ), ont entrepris des démarches légales afin que les courses reprennent et que les bourses soient versées en conséquence. Les audiences se poursuivront dans dix jours devant la Cour supérieure.

 

En fermant l'Hippodrome de Montréal se pose également le problème des 200 appareils de loterie vidéo (ALV) qui y sont installés. Attractions hippiques touche 22 % des revenus de ces ALV. Entre janvier et novembre 2008, l'entreprise du sénateur Massicotte a ainsi empoché quelque 7 millions de dollars, selon les documents déposés en cour la semaine dernière par Attractions hippiques; cette somme concerne les ALV de Montréal, ceux de l'hippodrome d'Aylmer ainsi que ceux qui s'alignent dans les salons de jeux adjacents aux hippodromes de Trois-Rivières et de Québec, qui sont gérés par Loto-Québec.

 

Selon différentes sources, Attractions hippiques continuerait à recevoir cette commission même si l'Hippodrome de Montréal fermait ses portes. Le scénario analysé prévoit que les ALV pourraient être déménagés sous un nouveau toit. Cela pourrait être dans un salon de paris.

 

La survie d'Attractions hippiques semble être intimement liée aux discussions avec Québec, qui sont menées par le sous-ministre des Finances, Jean Hudon, et la sous-ministre adjointe aux sociétés d'État, Suzanne Lévesque. Dans une lettre qu'a fait parvenir Attractions hippiques à tous ses employés mardi dernier, et dont Le Devoir a obtenu copie, on souligne l'importante de ces pourparlers.

 

«Sans un nouvel arrangement raisonnable avec le gouvernement du Québec, il est impossible d'offrir et de maintenir des bourses à un niveau adéquat», écrit Ian Wetherly, président et chef de l'exploitation chez Attractions hippiques. «Rien n'est encore arrêté. Je le répète: des discussions sérieuses sont en cours avec le gouvernement du Québec et une solution est envisageable dans les délais prescrits», ajoute-t-il.

 

Au cabinet de la ministre des Finances, on refuse de faire quelque commentaire que ce soit sur la situation. La ministre Monique Jérôme-Forget n'a toutefois jamais caché son peu d'enthousiasme à soutenir une industrie qu'elle a qualifiée à plusieurs reprises de moribonde.

 

Attractions hippiques dit connaître des difficultés financières causées entre autres par le rendement plus faible que prévu des salons de jeux de Loto-Québec ainsi que par la résistance rencontrée quant au déménagement de l'Hippodrome de Montréal dans la couronne nord. Les problèmes financiers d'Attractions hippiques ont eu un impact sur l'industrie, mais également sur la Société nationale du cheval de course (SONACC), un organisme gouvernemental à qui appartient le terrain de l'Hippodrome de Montréal. L'entreprise du sénateur Massicotte ne paie plus le loyer ni les taxes foncières depuis l'été dernier, ce qui crée un manque à gagner important pour la SONACC. L'organisme a décidé en décembre dernier de poursuivre Attractions hippiques pour 800 000 $.

 

Si l'Hippodrome de Montréal est fermé, la SONACC pourra vendre le terrain (5 millions de pieds carrés non contaminés) et se saborder comme le prévoyait le gouvernement lors de la privatisation des hippodromes.

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  • 1 année plus tard...

Samcon veut acheter l’hippodrome

 

16 juin 2010 | 16h15

Carl Renaud

Argent

 

Le promoteur immobilier Samcon veut construire des habitations résidentielles à Blue Bonnets. Argent a appris que l’entreprise montréalaise, associée à la revitalisation du quartier Hochelaga-Masonneuve, va déposer une offre d’achat avec des partenaires financiers afin d’acquérir l’ancien hippodrome auprès du gouvernement.

 

 

Au début de l’année, Québec a mandaté BMO Marchés de capitaux pour trouver un acheteur dans le but de développer les installations hippiques. Le projet immobilier qui sera réalisé deviendra le plus important des dernières décennies car de 3 000 à 8 000 unités résidentielles pourraient être érigées.

 

Pour le moment, le site de 4,7 millions de pieds carrés n’est pas officiellement en vente mais le porte-parole de BMO, Ronald Monet, indique que l’institution s’apprête à expédier un prospectus pour sonder l’intérêt d’acheteurs nord-américains. Le document sera distribué à la fin de l’été ou au plus tard à l’automne.

 

«On veut développer un projet strictement résidentiel car il y a déjà beaucoup de commercial dans les environs», a affirmé Sam Scalia, président de Samcon. Son projet n’est pas entièrement défini mais le promoteur planche sur un développement mixte regroupant des habitations pour tous les budgets.

 

Le futur quartier situé près des autoroutes 15 et 40 regrouperait des tours de condos de plusieurs étages et des immeubles moins denses de 3 ou 4 étages. Samcon n’exclut pas la construction de maisons de ville sur une portion du site. «On doit s’entendre avec la Ville de Montréal et la population a aussi son mot à dire», a expliqué M. Scalia, souligant que son projet comptera plusieurs espaces verts.

 

D’autres investisseurs risquent de se retrouver sur la ligne de départ lorsque BMO va donner le coup d’envoi et mettre l’ancienne piste de course en vente. Selon nos sources, l'un des promoteur du Quartier Dix 30, le Fonds Bombardier Beaudoin, ainsi que la famille Saputo auraient manifesté de l’intérêt pour Blue Bonnets.

 

Les Saputo ont des intérêts dans la Tour de la Bourse et dans la Tour CIBC au centre ville alors que les Bombardier sont liés au développement du Quartier Bois-Franc dans l’arrondissement St-Laurent.

 

Un prix trop élevé

 

Selon le rôle d’évaluation foncière, les installations hippiques sont évaluées à 32 M$ mais TVA Nouvelles a dévoilé en février dernier que la Sonac, la filiale du gouvernement propriétaire du site, espère tirer au moins 120 M$ en vendant le terrain. Une somme trop élevée aux yeux de Samcon car le développement de Blue Bonnets va entrainer beaucoup de frais inhérents.

 

«Il n’y a aucune infrastructure sur ce genre de terrain. On doit souvent les décontaminer en plus de payer des taxes foncières jusqu’à la fin du projet», a expliqué le président de Samcon, soulignant que le développement de Blue Bonnets prendra entre 15 et 25 ans.

 

Sam Scalia refuse de chiffrer la valeur de son offre d’achat mais il précise que des fonds d’investissement et des partenaires privés feront équipe avec lui. Le Fonds immobilier de Solidarité FTQ, qui investit dans des projets résidentiels, ne veut pas dire s’il a été approché.

 

«Nous analysons toutes les propositions avec intérêt», a commenté Josée Lagacé, porte-parole du Fonds de solidarité FTQ, ajoutant que le Fonds aura un grand intérêt pour le terrain lorsqu'il sera officiellement en vente.

 

Un projet de redéveloppement urbain, le secteur Namur-Jean-Talon, est actuellement en cours à proximité de Blue Bonnets. La ville estime que le quartier aura à terme une valeur de 800 M$ alors que l’évaluation foncière se chiffre présentement à 80 M$. La Ville de Montréal estime que la valeur foncière du futur quartier «Blue Bonnets» pourrait atteindre 2 G$ en plus de générer à terme des revenus annuel de 28 M$ en taxes foncières.

 

Samcon a construit plus de 50 projets depuis sa fondation en 1991. Une vingtaine de ses complexes immobiliers sont actuellement en cours à Montréal et Laval dont Place de la Gare Bois-Franc dans l’arrondissement St-Laurent et Le St-Antoine au centre-ville.

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  • 1 année plus tard...

En passant, pour ceux pour qui ça pourrait intéressé...j'ai entendu Serge Savard dire (a The Team 990) qu'il était en disucssions pour ouvrir un nouvel Hippodrome à Montréal. Soit sur la Rive-Nord ou sur la Rive-Sud. La décision n'était pas encore prise.

Modifié par Habsfan
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