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Dossier Urbain

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Dossier Urbain

 

Cette première étape est très importante dans l’élaboration d’un projet urbain. Le Dossier Urbain est dressé de manière à mieux saisir les réalités touchant le site d’intervention. Ce dossier constitue une sorte de base de données qui servira de référence tout au long de l’élaboration du projet. Il est composé d’une série de mini-études concernant l’histoire du Quai de la Pointe-du-Moulin, les infrastructures patrimoniales, les perceptions à partir du site et sur le site, le traffic autoroutier et de transports en commun, les terrains contaminés et ainsi de suite.

 

Situé tout près du centre des affaires de la Ville de Montréal le site présente pourtant des caractéristiques bien particulières! Allez les découvrir à travers les liens ci-haut!

 

Firme Urbaine Z.

WordPress.

modifié pour le plaisir par Phil René

 

http://firmez.ca/dossierurbain

 

Vidéo sur youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=QTcrZkXisKg&feature=youtu.be&hd=1

 

Site:

http://firmez.ca/dossierurbain

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Following last year’s successful guided tours of the unique Pointe-du-Moulin and Silo #5, Heritage Montreal is proud to renew its partnership with the Canada Lands Company (CLC) in order to present a second edition of these hors-serie ArchitecTours. This encore presentation is a not-to-be-missed opportunity to discover one of Montreal’s most iconic industrial heritage landmarks.

 

Silo no5

 

Inaccessible and usually closed to the public, this site will be open for a special edition of our guided walking tours on the following Saturdays and Sundays. On each of these dates, the 10 AM, 11 AM and 1 PM visits will be in French and the 2:30 PM visits will be in English :

 

Saturday and Sunday, June 4-5th

Saturday and Sunday, June 11-12th

Saturday and Sunday, June 18-19th

Saturday and Sunday, July 9-10th

Saturday and Sunday, July 16-17th.

 

Visits will also be offered on the following Wednesday evenings (departure ar 5:30 pm): June 1st, 8th, 15th, and 22nd, as well as July 6th and 13th.

 

Participants on the tour will explore one of the most imposing elements of Montreal’s industrial heritage, and will be guided by experienced volunteers who are passionate and knowledgeable about our city and its secrets. The tours will be held mainly outdoors but will also include access into the main floor of Grain Elevator B, where grains were at one time unloaded off trains and stored.

 

To highlight Heritage Montreal’s exceptional work towards enhancing awareness of urban heritage, the CLC is collaborating with Heritage Montreal for this special ArchitecTour. For more information on CLC and on the Pointe-du-Moulin property, visit http://www.clc.ca and http://www.port-montreal.com.

 

Conditions

 

Rain or shine

Tours are 90 minutes long

Reservations are required, please contact us at 514-286-2662, ext. 22

For safety reasons, participants must wear closed footwear; safety helmets will be distributed to participants on site.

Children must be 12 years or older

 

Rates

Heritage Montreal Members $10

Students/Seniors (65+) $12

Adults $14

 

For more details and for reservations, please contact us at (514) 286-2662, or architectours@heritagemontreal.org

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  • 10 mois plus tard...

http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/345941/le-silo-no-5-citadelle-numerique

 

Fabien Deglise * 26 mars 2012 *Actualités culturelles

 

L'effet vient avec la cause. La numérisation de nos vies quotidiennes fait, partout sur la planète, s'empiler des serveurs informatiques dans d'immenses entrepôts baptisés data centers. Ce marché du stockage explose. Il sourit également au Québec, à son climat nordique et même à des éléments de son patrimoine.

 

Un silo à grain construit avant les Années folles peut-il devenir un symbole fort de la modernité? C'est le pari que veut relever la compagnie Vert.Com qui, depuis quelques mois, propose une drôle de transformation dans le Vieux port de Montréal: celle du Silo à grain no 5 en... centre de données — data center, comme disent les Anglos —, ces entrepôts de serveurs informatiques qui se multiplient pour répondre au flux grandissant à un rythme exponentiel d'informations numériques produit chaque jour par l'humanité.

 

Baptisé Siloctet, le projet, sur les tables à dessin, consiste en l'installation de 112 000 serveurs informatiques savamment placés à la verticale dans les 44 espaces cylindriques totalement désaffectés depuis 1994 de l'annexe B1. Il attend toujours, pour prendre forme, le feu vert de la Société immobilière du Canada (SIC), propriétaire des lieux depuis 2010.

 

Unir le monde du grain à celui de la communication numérique qui s'écrit sur iPhone et iPad: l'idée semble folle, mais elle est surtout cohérente, assure Éric Mateu, responsable du projet, puisque «les grains et les données informatiques ont besoin finalement du même environnement pour leur conservation», dit-il. «Cela va donner aussi une nouvelle vie à ce vestige industriel», tout en inscrivant Montréal dans un présent numérique qui aurait tout pour sourire au Québec.

 

«En matière d'installation de centres de données, il y a un intérêt marqué pour le Québec qui se retrouve dans la liste des cinq endroits les plus prometteurs au monde, avec l'Islande, la Norvège, la Finlande et la Suède», résume M. Mateu. Et le coût de l'énergie qui prévaut ici — les centres de données sont énergivores —, les hivers et les lois moins intrusives en matière de surveillance électronique ne sont pas étrangers à la chose...

 

Environnement et Patriot Act

C'est qu'en se multipliant, les serveurs informatiques commencent en effet à mettre une pression énorme sur l'environnement partout sur la planète. Pour cause. Les centres de données sont en effet de gros consommateurs d'énergie, pour faire fonctionner ces concentrations de serveurs, mais aussi pour assurer leur refroidissement par climatisation. Les pays nordiques, avec leurs climats typiques se présentent désormais comme des lieux de prédilection pour l'implantation de ces centres, et encore plus quand les ressources énergétiques y sont à bon prix.

 

Mais il y a plus. Plusieurs entreprises européennes qui jusqu'à maintenant allaient déposer des données numériques dans des centres de données aux États-Unis commencent à réviser cette décision, au bénéfice du Québec, et ce, pour plus de sécurité et... de confidentialité, prétend M. Mateu. La raison? Le Patriot Act, cette législation américaine adoptée dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001 et qui renforce le pouvoir des autorités dans les mondes numériques, entre autres.

 

«Dans ce cadre légal, dit-il, le FBI peut entrer dans les serveurs des centres de données sans trop de difficulté, ce qui fait réfléchir des entreprises européennes qui s'en servent pour y conserver des copies de sauvegarde de leurs brevets, de leurs plans, de leurs rapports, de leurs communications internes.»

 

Une prolifération logique

Les effets de cette nouvelle délocalisation des données commencent d'ailleurs à se faire sentir, comme en témoigne l'inauguration au début de l'année d'un nouveau centre de données à Beauharnois, dans la région de Montréal. La compagnie française OVH est derrière ce projet qui, à terme, pourrait rassembler sur le site de l'ancienne usine de Rio Tinto Alcan, dans cette petite ville de 12 000 âmes, pas moins de 360 000 serveurs informatiques. Au même moment, Technoparc Montréal et Canix Colo, une boîte canadienne spécialisée en traitement de données, planchent également sur un projet de vaste entrepôt de serveurs dans le sud de la métropole.

 

«Ce n'est pas un phénomène de mode, résume M. Mateu. C'est une réponse normale à un besoin logique» alimenté chaque jour par les usagers de technologies de communication, internautes et entreprises qui revendiquent une existence en ligne.

 

Pause technique: en faisant se multiplier dans l'environnement social toujours plus d'appareils de communication portable (tablettes, téléphones intelligents), en succombant à l'appel de l'informatique en nuage qui permet le fonctionnement de blogues, de la plupart des services de Google, de Facebook, de Twitter, de YouTube... les humains encouragent de manière naturelle la multiplication de données numériques et, du coup, des serveurs permettant de stocker ces données.

 

«Les appareils que nous utilisons, pour être toujours plus petits, doivent réduire leur capacité de stockage. Or, quand on dématérialise cette capacité dans nos outils de communication, il faut la rematérialiser ailleurs, dans le nuage [informatique] qui, lui, a une existence physique: le centre de données».

 

Les chiffres sont étourdissants. Selon CISCO, en 2015, nos vies numériques devraient entraîner la conservation dans les seuls centres de données de la compagnie de 4,8 zettabytes de données informatiques — une valeur astronomique —, soit trois fois plus que la quantité évaluée l'an dernier à 1,5 zettabytes. Sur l'ensemble de la planète, ces flux d'informations en format numérique se mesurent désormais en millions d'exabytes, dont quelques milliers pourraient bien un jour passer par un des 44 cylindres du Silo no 5 de Montréal.

 

Le lieu, qui trône depuis le début du siècle dernier sur la Pointe-au-Moulin à Montréal, n'a jamais réussi à trouver son deuxième souffle après une fermeture complète il y a près de 20 ans. Des transformations en musée, en hôtel et même en climatiseur géant ont été envisagées. En vain.

 

«Le centre de données est sans doute le seul capable de donner une valeur économique à ce bâtiment tout en respectant sa nature», prétend M. Mateu qui évalue entre 150 et 200 millions de dollars le coût d'implantation de ce centre de données à la verticale.

 

Mieux, l'endroit viendrait du coup soustraire de l'environnement un énième centre de données qui, construit de manière traditionnelle, occupe de grandes surfaces au sol. «On voit donc l'intérêt d'investir des bâtiments désaffectés pour les centres de données, comme cela a été fait dans une partie du vieux port de New York, dit-il. Construit au sol, Siloctet occuperait l'équivalent de cinq terrains de football américain», conclut-il. Des surfaces bien concrètes, surtout dans les zones urbaines étriquées, qui donnent corps et matière à des vies sociales et professionnelles qui tendent à en avoir de moins en moins.

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  • 1 année plus tard...

http://journalmetro.com/actualites/montreal/402245/des-projets-pour-le-375e-anniversaire-de-montreal/

 

Par ailleurs, la Société immobilière du Canada (SIC), qui gère le Vieux-Port, souhaite redonner accès au Silo no. 5 aux Montréalais pour 2017. «Il y a une magnifique vue sur le toit, une histoire unique du passé industriel à l’intérieur, et ça doit être partagé», a signifié Daniel Dorey, vice-président principal de la SIC.
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Je ne sais pas si la vue sur l'eau est si spectaculaire à cet endroit. Il y a un bassin assez étroit (Windmill-Point) en ensuite le quai Bickerdike derrière.

 

De l'autre côté, il y a des grues de transbordement, des conteneurs aux couleurs variées et des cargos.

Ce ne serait pas une vue bucolique mais ça pourrait être intéressant.

Modifié par Monsieur_MA
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