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http://www.radio-canada.ca/nouvelles...er-sante.shtml

 

 

CHUM

Vers une technopole de la santé

 

La première pelletée de terre en vue de construire le futur Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) paraît encore loin, mais il est déjà question de créer un quartier de la santé au centre-ville de Montréal.

 

Radio-Canada a appris qu'un organisme vient d'être créé dans le but d'attirer des établissements de recherche autour du CHUM.

 

Le nouvel organisme sans but lucratif aura le mandat d'attirer plusieurs des quelques 600 centres de recherches en sciences de la vie de la région à élire domicile entre le CHUM et le palais des Congrès.

 

Radio-Canada a aussi obtenu des images de la nouvelle maquette du CHUM.

 

Les administrateurs du projet prévoient construire de nouvelles tours dans lesquelles seront logés les futurs centres de recherches. Ces investissements sont inclus dans les quelque 1,5 milliard de dollars prévus pour l'ensemble du projet.

 

Les premiers 55 millions de dollars ont déjà été débloqués, notamment pour acheter l'immeuble de Vidéotron, qui sera transformé en centre d'enseignement.

 

Par ailleurs, le conseil d'arrondissement de Ville-Marie doit adopter, mardi soir, des projets de règlements qui mèneront à la tenue d'une consultation publique sur le développement du nouveau CHUM, en octobre, puis à l'émission des différents permis.

 

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Qui choisira le Quartier de la santé ?

Thomas Gervais logo_presse.gif

02 octobre 2006 - 06h49Le plus gros chantier hospitalier de pointe en Amérique du Nord devrait être lancé à Montréal l'été prochain, avec la construction de deux hôpitaux universitaires.

 

Texte: b_text_size1b.gifb_text_size2a.gifb_text_size3a.gif email.gifEnvoyerprinter.gifImprimer© Reproduire

L'un anglophone - le CUSM, rattaché à l'Université McGill - et l'autre francophone - le CHUM, rattaché à l'Université de Montréal. Le CHUM doit donner naissance à un vaste Quartier de la santé au coeur de la ville.

 

Le pari : maximiser l'impact des fonds publics en attirant chercheurs et investisseurs internationaux. Mais comment y arriver ?

 

En sciences de la santé, la concurrence est féroce pour attirer les talents et les capitaux de la planète.

 

En quelques années et à coup de milliards en investissement publics, Singapour est sorti subitement de l'obscurantisme biotechnologique pour devenir l'un des pôles mondiaux de la recherche en cellules souches. Il en est de même pour l'Inde et la Chine. Ces pays attirent de plus en plus les multinationales pharmaceutiques, qui y établissent leurs laboratoires de recherche et développement (R&D).

 

Pendant que le gouvernement québécois annonce des dépenses de 3,6 milliards dans la construction des nouveaux centres hospitaliers universitaires, la question de la compétitivité internationale est au coeur des préoccupations des dirigeants du technopôle Ville-Marie. L'organisme à but non lucratif, incorporé au printemps dernier, a pour seule mission de stimuler les investissements et multiplier les retombées économiques au centre-ville de Montréal.

 

«Tout l'investissement, la création d'emplois et de richesse, on veut les faire à partir du travail des chercheurs», explique Guy Gélineau, le directeur du Technopôle. Son équipe inclut le vice-recteur à la recherche de l'Université de Montréal, Jacques Turgeon, des promoteurs immobiliers, ainsi que des représentants de la Caisse de dépôt et placement et de la Société générale de financement.

 

Leur but: s'installer le plus près possible du futur CHUM afin de faciliter la collaboration entre le milieu universitaire et le secteur privé. «Lorsqu'on permet à la recherche d'être plus près de ses applications, on augmente les chances qu'elle ait une valeur commerciale», explique Michel Leblanc, vice-président sciences de la santé pour Montréal International, et partenaire actif dans le projet du technopôle.

 

En stimulant l'investissement privé dans le secteur de l'actuel hôpital Saint-Luc, un peu à l'est de Saint-Laurent, la société espère non seulement maximiser les retombées économiques du mégaprojet hospitalier mais aussi revivifier ce quartier de Montréal. Un objectif qui rejoint bien celui de la chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM). «On n'a pas besoin de regarder longtemps le périmètre dans lequel le technopôle va s'implanter. C'est clair qu'on fait de la revitalisation urbaine», dit Isabelle Hudon, présidente de l'organisme, en désignant la portion à ciel ouvert de l'autoroute Ville-Marie entre le palais de justice et le Quartier chinois.

 

Trois phases

 

En trois phases, le technopôle entend y installer son «Centre international d'innovation thérapeutique». La phase 1 du projet comprend un édifice de 35000 m2, d'une valeur de 75 millions de dollars. Il doit être situé directement au-dessus de la station de métro Champ-de-Mars, au coin des rues Sanguinet et Viger. Cet édifice pourrait même être prêt avant l'inauguration du CHUM, prévue pour 2011 selon les plans actuels.

 

Les phases 2 et 3 seraient édifiées au-dessus de l'autoroute Ville-Marie, dans la partie à ciel ouvert.

 

La somme des capitaux privés recueillis sous la bannière du Technopôle Ville-Marie dépasse maintenant les 500 millions de dollars. Les deux tiers sont gérés par le promoteur immobilier Philip O'Brien. Sa compagnie, Développement Télémédia, vient d'acquérir le site historique de la gare-hôtel Viger, situé au 700, rue Saint-Antoine, auquel il entend redonner sa vocation hôtelière et profiter ainsi de la proximité du futur CHUM.

 

L'engouement autour du futur Quartier de la santé montréalais n'est pas sans rappeler le MaRS Discovery District, son émule torontois. La phase 1 de MaRS, qui a été inaugurée en mai 2005, accueille déjà deux douzaines de petites entreprises et des dizaines d'organismes. Ils profitent de l'interaction avec le milieu de la recherche clinique grâce à leur situation géographique enviable, en plein coeur du quartier des hôpitaux au centre-ville de la métropole canadienne.

 

«Nos locaux sont occupés à plus de 90% de leur capacité et nous prévoyons doubler notre superficie d'ici 2008», explique Ross Wallace, directeur de stratégie corporative pour le projet MaRS. Avec ses deux années d'avance sur Montréal, le quartier torontois est un bon étalon de comparaison pour les investisseurs du Technopôle Ville-Marie. Mais est-il une garantie de succès?

 

Jusqu'à maintenant, aucune compagnie n'a été pressentie pour emménager sur le site avoisinant le nouveau CHUM. Aucune étude n'a chiffré les retombées économiques d'un tel projet. La machine du Technopôle carbure à l'optimisme et à la «vision» tant qu'elle n'aura pas structuré son plan d'affaires.

 

C'est dans ce but que l'organisme s'est adressé à Pierre Marc Johnson, ancien premier ministre du Québec, pour occuper la présidence de son conseil d'administration. Ses deux mandats à court terme: «compléter la constitution du conseil et élaborer avec celui-ci un plan d'affaires qui positionne le Technopôle Ville-Marie à l'échelle internationale», a-t-il déclaré le mois dernier. D'ailleurs, l'équipe reçoit présentement des propositions qui lui permettront de sélectionner une firme de consultants - de calibre mondial dit-on - afin d'épauler Technopôle Ville-Marie.

 

La région montréalaise ne part pas de rien. Son positionnement en matière de recherche biomédicale est déjà fort. Selon l'étude préliminaire Secor-Taktik, déposée l'an dernier, Montréal se classe au huitième rang mondial (juste derrière Toronto) par sa taille dans le secteur des biotechnologies: 40000 emplois directs appuyés par des investissements annuels de 500 millions de dollars.

 

Rien n'est gagné pour autant. Pour tirer son épingle du jeu, Montréal doit bien jouer ses atouts. «Nous tenons mordicus à attirer des compagnies dans les niches bien spécifiques où nous possédons une expertise. Il ne faut surtout pas nous éparpiller», soutient Isabelle Hudon.

 

Selon Michel Leblanc, la métropole québécoise constitue l'une des rares «grappes de recherche intégrées» au monde. «Montréal est une véritable école de développement de médicaments», affirme-t-il. Autrement dit, de la recherche fondamentale aux essais cliniques, toute la chaîne nécessaire au développement d'une nouvelle molécule thérapeutique est présente dans la région.

 

«En fait, c'est la seule ville qui possède des centres de recherches précliniques au Canada: chez Merck Frosst, Boehringer Ingelheim et Astra Zeneca», fait valoir Charles Kaplan, directeur de la R&D chez Astra Zeneca.

 

Le grand défi du Technopôle demeure donc de faciliter la collaboration entre les chercheurs et le secteur privé.

 

Tout d'abord pour créer des entreprises par essaimage (spin off), ou pour tester des médicaments en phase clinique. L'expertise ainsi acquise pourra peut-être attirer l'attention des Johnson&Johnson et Novartis de ce monde. «C'est le pari qu'on fait, explique Michel Leblanc. On a des équipes de recherche de calibre mondial. Si on est capable de jouer nos cartes comme il faut, on va attirer ici un, deux ou trois grands labos sur une période de 10 ans. Déjà ça, ce serait génial.»

 

Chez Merck Frosst, qui compte plus de mille employés à Montréal, on voit tout ce branle-bas d'un bon oeil. «Dans le projet du Technopôle, explique Jean-Luc Blais, directeur des communications, on voit enfin que la santé n'est pas qu'une dépense, mais aussi un investissement dans la société.»

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  • Administrateur

QUARTIER DE LA SANTÉ

 

Le centre-ville sera redessiné

 

Sara Champagne

 

La Presse

 

Les trous béants de l’autoroute Ville-Marie seront entièrement recouverts d’une dalle de béton d’ici 2008. On y construira une quinzaine de bâtiments de quatre à huit étages d’ici 2015, a appris La Presse. Ces édifices, ajoutés au vaisseau amiral du CHUM, transformeront cette partie du centre-ville en Quartier de la santé.

 

Afin de planter le décor de ce qui deviendra le «Campus des sciences de la vie», la Ville de Montréal prévoit éliminer graduellement plusieurs terrains de stationnement. Les pertes seront compensées par un millier de places de vélos, deux nouvelles pistes cyclables et un tunnel piétonnier qui reliera les stations de métro Place-d’Armes, Champ-de-Mars et Berri-UQAM.

 

Il s’agit de l’une des plus importantes opérations d’urbanisme de toute l’histoire de la Ville de Montréal. Le projet prévoit plusieurs phases de démolition et de construction en simultané avec l’érection du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM). Le tout transformera complètement la face du centre-ville.

 

 

 

En fait, il ne manque que le plan d’affaires «multipartite» à ce Programme particulier d’urbanisme (PPU), que La Presse a obtenu, pour qu’il soit dévoilé par la Ville de Montréal. Le PPU de 45 pages, commandé par l’arrondissement de Ville-Marie, a été réalisé par les groupes d’urbanistes-conseils Gauthier-Biancamano-Bolduc et Christian Thiffault Architecture design urbain. Il décrit en détail comment le centre-ville deviendra un «quartier prestigieux».

 

Au total, il est prévu de transformer une superficie de 2 500 000 pi2. Tout le Quartier de la santé s’articulera autour de l’autoroute Ville-Marie, de la rue Saint-Urbain à la rue Saint-Hubert, et de la rue Saint-Antoine au boulevard René-Lévesque. Le projet pourrait donc entraîner, du même coup, la reconfiguration de certaines bretelles d’accès, comme celle qui conduit à l’hôtel Viger.

 

Dans le détail, le cœur de ce technopôle des sciences de la vie, qui comprend un carrefour de la santé (espace vert), sera situé entre le nord de l’avenue Viger et le sud de la rue Saint-Antoine. Ces deux rues deviendront d’ailleurs des «voies de prestige». D’autres artères, tel le boulevard Saint-Laurent, deviendront des voies «d’ambiance». Tout le mobilier urbain sera remplacé par du «haut de gamme».

 

Quant aux nouveaux bâtiments, la Ville prévoit qu’au moins le tiers (500 000 pi2), d’une hauteur de six à huit étages, seront occupés à l’est par des laboratoires privés et des entreprises des sciences de la vie. La partie située à l’extrême ouest, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Saint-Urbain, d’une hauteur projetée de six étages, doit pour sa part servir à une expansion éventuelle du Palais des congrès.

 

Un peu plus au nord, il est prévu, d’ici deux ans, de rendre piétonnière la rue de La Gauchetière, afin d’assurer une liaison entre le Quartier chinois et le milieu universitaire hospitalier. Les terrains de stationnement qui la bordent seront remplacés par des constructions.

 

En outre, la Ville étudie la possibilité d’aménager un corridor cyclable le long de l’avenue Viger et un autre le long de la rue Saint-Antoine. On espère également connecter les pistes Berri et Notre-Dame avec le Vieux-Montréal par une piste bidirectionnelle via le viaduc Notre-Dame.

 

Ce Programme particulier d’urbanisme est attendu depuis que le gouvernement de Jean Charest a annoncé, au printemps 2005, le choix du 1000, rue Saint-Denis, comme emplacement du futur Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM).

 

Il pourrait d’ailleurs servir à l’expansion du complexe hospitalo-universitaire, qui se déploiera sur plus de 3,6 hectares dans le quadrilatère formé par le boulevard René-Lévesque et les rues Saint-Antoine, Saint-Denis et Sanguinet.

 

Les experts en urbanisme qui ont conçu le document de travail se sont inspirés des technopôles américains de Boston, Chicago et Philadelphie, du Parc Eurasanté de Lille, en France, et du Discovery District, à Toronto. Ils ont même conçu une charte du Quartier de la santé en cinq points : environnement, santé, communauté, milieu de vie et transport. Le projet s’articule en trois phases de construction qui dureront 10 ans en tout.

 

Mais comme le PPU nécessite plusieurs entorses aux règles d’urbanisme actuelles, il devra passer par l’Office de consultation publique de Montréal, en vertu de l’article 89 de la Charte de la Ville de Montréal, avant d’être approuvé. Il devra ensuite être soumis à un processus référendaire.

 

Le projet devra enfin franchir une étape ultime, et non la moindre, qui consistera à conclure des ententes de financement (tripartite) entre tous les ordres gouvernementaux, administratifs et institutionnels. À ce sujet, un rapport de la firme Daniel Arbour & Associés, daté de janvier 2004, a déjà conclu que le recouvrement de l’autoroute coûterait à lui seul 183 millions mais que le potentiel fiscal dépasse facilement ces coûts.

 

Ce n’est pas la première fois qu’on songe à recouvrir l’autoroute Ville-Marie. Le premier projet en ce sens date de 1985 et avait été évoqué par le maire Jean Drapeau. Il est tombé dans l’oubli quand le Parti québécois a perdu les élections.

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  • 2 semaines plus tard...
  • 1 année plus tard...

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain reçoit Pierre Marc Johnson, président du conseil d'administration, Technopôle Ville-Marie/

<<

UN QUARTIER DE LA SANTE POUR MONTREAL

>>

 

MONTREAL, le 13 mars /CNW Telbec/ - Les représentants des médias sont

conviés au Midi-chaud de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, le

vendredi 14 mars 2008, au Palais des congrès de Montréal, à midi. Pierre Marc

Johnson, président du conseil d'administration, Technopôle Ville-Marie, sera

le conférencier invité.

Me Johnson dévoilera les principales orientations du plan d'affaires du

Technopôle Ville-Marie. Il discutera notamment du potentiel immobilier relié

au développement économique et institutionnel du Quartier de la santé : "C'est

maintenant un projet avec une vocation précise, un potentiel connu et une

possibilité de démarrer les travaux d'ici la fin de l'année."

 

<<

Date : Le vendredi 14 mars 2008

 

Lieu : Palais des congrès de Montréal

1001, place Jean-Paul Riopelle

Montréal

 

Heure : De 12 h à 14 h

Allocution - 12 h 15

Point de presse - 14 h (Salle 720)

 

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain compte quelque 7 000

membres. Sa mission est de représenter les intérêts de la communauté des

affaires de l'agglomération urbaine de Montréal et d'offrir une gamme intégrée

de services spécialisés aux individus, aux commerçants et aux entreprises de

toutes tailles de façon à les appuyer dans la réalisation de leur plein

potentiel en matière d'innovation, de productivité et de compétitivité. La

Chambre est le plus important organisme privé au Québec voué au développement

économique.

>>

 

 

 

Renseignements: ou réservation: Sylvie Paquette, Coordonnatrice,

Relations médias, Chambre de commerce du Montréal métropolitain, (514)

871-4000, poste 4015, sylvie.paquette@ccmm.qc.ca; Guy Versailles, ARP,

Versailles communication, (514) 386-9774, versailles@versaillescom.com

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  • Administrateur

Hey! Je ne comprends pas que personne n'est répondu encore à cette nouvelle, puisqu'elle est excellente!

 

Je me disais justement, cette semaine, que je trouvais dommage que ce projet soit tomber à l'eau... mais non! Il n'est pas oublié! :awesome:

 

On parle même de travaux débutant à la fin de cette année! :thumbsup: (J'imagine que l'on va commencer par couvrir l'autoroute)

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J'aime bien la reconstruction du centre ville en quartier, le quartier de la santé, le quartier des spectacles, le quartier international.... c'est intéressant comme concept qui je crois pourra donner une fière allure à la ville.

Le problème c'est que les grand média on tendance à ne parler des problèmes avec le chum que de parler des bons côté du projet.

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J'aime bien la reconstruction du centre ville en quartier, le quartier de la santé, le quartier des spectacles, le quartier international.... c'est intéressant comme concept qui je crois pourra donner une fière allure à la ville.

 

Il manque juste le Quarter des finance :) et le centre ville sera tout rangé en orde!

Les étrangers qui viens dans ses secteurs... ca va vraiment les aidé.... toute en une place est vraiment bien.... j'espère que ça va attirer beaucoup de nouveau centre de recherche! :cool:

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MONTRÉAL, le 14 mars

Un exceptionnel potentiel économique et institutionnel - Le Quartier de la santé pourrait éclore d'ici la fin de l'année

 

MONTRÉAL, le 14 mars /CNW Telbec/ - "La vocation et les perspectives du Quartier de la santé sont désormais claires et il est fort possible que les travaux démarrent d'ici la fin de l'année". Le président du conseil d'administration du Technopôle Ville-Marie (TVM), Me Pierre Marc Johnson, concluait ainsi l'allocution présentée aujourd'hui lors d'un dîner-conférence de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain où il a présenté les grandes lignes du plan d'affaires du TVM.

 

La construction prochaine du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) et de son centre de recherche crée une concentration exceptionnelle de savoir, d'expertise et de technologie de pointe qui recèle d'importantes possibilités de développement dans le pourtour géographique immédiat du centre-ville Est.

 

Me Johnson confirme l'existence d'un potentiel de développement se situant entre 13 000 et 20 000 m2 dans le Quartier de la santé . Selon les études, il s'avère réaliste et souhaitable d'attirer un locataire principal qui occuperait de 5 000 à 8 000 m2. Par ailleurs, une superficie de 8 000 à 12 000 m2 pourrait être occupée par de nouvelles entreprises issues du Centre de recherche du CHUM ou par des entreprises existantes attirées par les plateformes technologiques, l'expertise et par les cohortes de patients du nouveau CHUM.

 

"Ce potentiel est celui qui existe aujourd'hui. Il devrait augmenter au fil du temps, au fur et à mesure que nos stratégies se développeront".

 

L'École de santé publique de l'Université de Montréal

 

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Me Johnson a aussi révélé que le TVM explore actuellement la possibilité de construire un édifice qui abriterait l'École de santé publique de l'Université de Montréal (ESPUM) créée en juin 2007. Cette École requiert un espace de 15 000 mètres carrés. Le TVM et l'Université de Montréal ont convenu de travailler ensemble au cours des prochains mois pour documenter les délais de réalisation du projet.

 

La construction d'un immeuble conçu sur mesure pour l'ESPUM et conforme avec le plan d'urbanisme et la réglementation de zonage actuels pourrait être complétée dans les 500 jours suivant l'approbation du projet.

 

L'intérêt de l'Université de Montréal est d'autant plus vif que le TVM est aussi en discussion avec l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) qui explore la possibilité de regrouper l'ensemble de ses effectifs montréalais au Quartier de la santé sur une superficie d'environ 5 000 m2. Il existe également une possibilité que la Direction de la santé publique du Montréal métropolitain migre vers le Quartier de la santé.

 

Le regroupement éventuel d'autant d'expertise en santé publique au Quartier de la santé serait très propice à la création à Montréal d'un vaste Campus de santé publique unique pour son envergure, son excellence, ses synergies et la riche diversité de ses activités. "On ne pourrait trouver mieux comme vocation pour revitaliser le centre-ville Est de Montréal" commente Me Johnson.

 

Un partenaire immobilier et financier

 

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Me Johnson a aussi révélé que le TVM a conclu une entente de partenariat avec Technoparc Montréal, un organisme à but non lucratif entièrement dédié au développement des infrastructures scientifiques et technologiques sur le territoire de la Ville de Montréal. Au cours des dix dernières années, cet organisme a construit plus de 170 000 m2 de bâtiments consacrés à la haute technologie.

 

Outre son expertise évidente dans la construction et la gestion d'immeubles à vocation scientifique, Technoparc Montréal peut aussi compter sur un financement assuré par la Société immobilière technologique de Montréal (SITM) dont les partenaires sont Desjardins sécurité financière, SOLIM, la filiale immobilière du fonds de solidarité FTQ et la Fiducie du Technoparc.

 

Le TVM aura donc accès à l'expertise immobilière et au financement requis pour la construction du Quartier de la santé.

 

Un projet en marche

 

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"Le potentiel de développement relié aux sciences de la vie et de la santé publique est immense" a conclu Me Johnson qui s'adressait à près de 1000 personnes réunies dans deux salles du centre-ville. En plus des 600 personnes venues assister à la présentation de Me Johnson au Palais des congrès de Montréal, plus de 300 participants au colloque de l'Association des industries des technologies de la santé (AITS) réunis au Centre Mont-Royal ont assisté en direct à la diffusion de cette allocution.

 

Source : http://argent.canoe.com/communiques/cnw.html?lang=fr&id=20080314124500PE

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