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Industrie montréalaise des jeux vidéo et des effets visuels


mtlurb

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Il y a 12 heures, steve_36 a dit :

c'est assez incroyable tous les entreprises en jeux vidéo qui s'installent à Montréal. On pourrait dire la même chose pour les entreprises de l'Intelligences artificielles.  Mais chose certaine, il doit commencer à y avoir un éco systeme assez impressionnant en ville.

Il s'agit en effet d'un écosystème qui fait que l'on retrouve à Montréal toute une palette d'industries technologiques de calibre mondial dans les jeux vidéos, les effets visuels, l'intelligence artificielle, etc. Pour illustrer ce phénomène j'ai joint une vidéo, qui date un peu (2017) et qui a déjà été partagée ici, mais qu'il vaut la peine de montrer à nouveau car elle demeure très pertinente.

 

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  • 4 semaines plus tard...

Publié le 08 mars 2019 à 06h54 | Mis à jour à 06h54

Effets visuels: le studio britannique Outpost VFX s'implante à Montréal

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201903/08/01-5217484-effets-visuels-le-studio-britannique-outpost-vfx-simplante-a-montreal.php

Outpost VFX a choisi un immeuble en plein centre-ville de Montréal, à l'angle des rues Peel et Sainte-Catherine, pour installer son centre de production avec ses stations de travail et une salle de visionnement de très haut niveau technique.

 

Martin Vallières
La Presse

Le studio britannique d'effets spéciaux Outpost VFX, qui compte des films comme Jurassic World et Jason Bourne dans son portfolio, a choisi Montréal pour implanter son premier centre de production hors du Royaume-Uni.

Et c'est à Rebecca Scott, une productrice d'effets spéciaux d'expérience (Pirates of the Caribbean, The Martian, Fantastic Four, etc.) établie à Montréal depuis quelques années, que les dirigeants d'Outpost VFX ont confié la direction de leur nouveau centre de production dans la métropole québécoise.

« La demande pour les effets spéciaux est en forte croissance, et Outpost VFX cherchait l'occasion de grandir au-delà de son marché d'origine au Royaume-Uni et en Europe », a expliqué Mme Scott lors d'un entretien avec La Presse.

« Le choix de Montréal est devenu évident pour Outpost VFX en raison de son énorme bassin de compétences artistiques et techniques en effets spéciaux, mais aussi du climat d'affaires très attrayant dans ce secteur à Montréal qui est supporté par les diverses mesures d'assistance des instances gouvernementales. »

Développer son effectif

Outpost VFX a choisi un immeuble en plein centre-ville de Montréal, à l'angle des rues Peel et Sainte-Catherine, pour installer son centre de production avec ses stations de travail et une salle de visionnement de très haut niveau technique.

Selon Rebecca Scott, ou « Becca » de son surnom professionnel, Outpost VFX veut rapidement développer ses capacités et son effectif à Montréal.

On prévoit avoir une quarantaine de personnes dans six mois, et grandir ensuite jusqu'à 150 personnes dans deux ans, ce qui serait un effectif comparable à celui de son siège social à Bournemouth, sur la côte sud du Royaume-Uni.

« Autour de 150 personnes, c'est la taille optimale pour être efficace en capacité technique et artistique, tout en constituant un milieu de travail convivial qui favorise la créativité et l'innovation », a souligné Mme Scott.

Pour l'implantation et l'expansion d'Outpost VFX à Montréal, Rebecca Scott sera assistée de James Rustad, un superviseur en production d'effets spéciaux qui compte des titres comme Wonder Woman, The Revenant et Harry Potter dans son portfolio.

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  • 3 semaines plus tard...

Publié le 30 mars 2019 à 05h00 | Mis à jour à 07h02

Google pourrait ouvrir un studio à Montréal

https://www.lapresse.ca/affaires/techno/201903/29/01-5220190-google-pourrait-ouvrir-un-studio-a-montreal.php

Jade Raymond a été embauchée par Google pour diriger sa nouvelle division de jeux, Stadia.

 

Jean-François Codère
La Presse

Montréal pourrait bientôt compter sur un nouveau studio de jeux vidéo, propriété de Google. L'entreprise californienne, qui a récemment embauché la Montréalaise Jade Raymond pour diriger sa nouvelle division de jeux, Stadia, aurait la métropole dans sa ligne de mire.

En recrutant Mme Raymond, qui dirigeait jusqu'à l'automne dernier le studio montréalais Motive, d'Electronic Arts, Google a déclenché une série de rumeurs dans l'industrie locale du jeu vidéo.

Au moment de son embauche par Electronic Arts, en juillet 2015, Mme Raymond avait convaincu celle-ci d'ouvrir un studio à Montréal. L'entreprise, qui avait mis le pied en ville en 2004, n'y avait pourtant jamais vraiment connu de grand succès et donnait jusque-là plutôt l'impression, à coups de licenciements et de suppressions de postes, de vouloir partir.

Selon ce qu'il a été possible d'apprendre, Mme Raymond aurait cette fois convaincu Google. Deux sources ont confirmé à La Presse le fort intérêt de l'entreprise californienne pour Montréal. Selon l'une d'elles, le dossier serait confirmé. Pour l'autre, Montréal est bien positionné, mais la décision n'aurait pas encore été prise.

Google a présenté la semaine dernière Stadia, une nouvelle plateforme de jeux vidéo appelée à concurrencer les consoles de Microsoft (Xbox), Sony (PlayStation) ou Nintendo.

La plateforme de Google sera toutefois en ligne, les jeux tournant sur des serveurs et leur contenu étant diffusé en temps réel.

Google produira aussi elle-même des jeux destinés à cette plateforme. C'est ici que Montréal pourrait être appelé à jouer un rôle.

Deux autres prises

Avant même de recruter Mme Raymond, Stadia avait déjà attiré deux autres hauts dirigeants qui connaissent bien l'industrie montréalaise : le producteur exécutif Louis-Pierre Pharand et le directeur créatif Julien Cuny.

Habitués à travailler ensemble, les deux hommes ont maintenant la tâche de gérer les relations de Google avec les éditeurs tiers qui créeront des jeux pour la plateforme Stadia. M. Cuny est déjà installé depuis plusieurs mois au siège social de l'entreprise, tandis que M. Pharand restera à Montréal, où plusieurs de ces éditeurs sont déjà présents.

En décembre dernier, La Presse avait annoncé que Google prévoyait déménager son bureau montréalais actuel, qui compte environ 150 personnes, dans de nouveaux locaux deux fois plus grands, ce qui laissait présager une expansion de ses activités.

L'entreprise devrait emménager dans ces nouveaux locaux, au 425, avenue Viger Ouest, devant l'édifice de la Caisse de dépôt, en 2020.

- Avec la collaboration d'André Dubuc, La Presse

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  • 1 mois plus tard...

Square Enix / Eidos vont s'agrandir à Montréal. 100 nouveaux emplois, 55 000 pc de nouveaux bureaux pour Square Enix, le double de la taille pour Eidos qui se spécialise dans les jeux mobiles maintenant.

https://www.destructoid.com/square-enix-is-expanding-its-montreal-divisions-creating-100-new-jobs-551998.phtml

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7 hours ago, steve_36 said:

Excellente nouvelle. Cette industrie n'arrête pas de se développer à Montréal et de prendre de l'ampleur.

Et dans quel coin sont-ils situés ?

 

Last I heard they're at 400 Maisonneuve  W in the Gordon Brown. They're probably getting another floor.

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  • 1 mois plus tard...

Le studio français Caribara débarque à Montréal

 

Agence QMI

Vendredi, 7 juin 2019 11:09 MISE À JOUR Vendredi, 7 juin 2019 11:09

MONTRÉAL – Le studio français Caribara s’installe dans le quartier Mile-End, à Montréal, où il compte créer une centaine d'emplois en animation 2D au cours des 48 prochains mois.

D’ici quelques semaines, Caribara Montréal souhaite même avoir embauché une cinquantaine d’artistes spécialisés, après que la filiale eut déjà obtenu des mandats de Sony Pictures, Cottonwood, Image-In et Mondo TV.

Le studio montréalais, bien qu’il en soit encore à ses balbutiements, vient de réaliser une animation «tradigitale» avec un plan-séquence de 15 minutes pour la nouvelle attraction «Attention Menhir» du Parc Astérix en France, a-t-on précisé vendredi, par communiqué.

«Nous sommes heureux de nous implanter à Montréal, une métropole reconnue mondialement pour sa créativité, ses talents et sa grande qualité de vie. En profitant de l'expertise de notre partenaire canadien Toutenkartoon («Petit Prince»/«Avril et le Monde Truqué»), le Québec se révèle une évidence pour accroître nos solutions de fabrication en complément de nos studios européens», a indiqué Guillaume Dubois, directeur général de Caribara Montréal.

«Notre studio entend se démarquer en offrant un environnement de travail motivant à nos artistes afin qu'ils puissent évoluer et vivre leur passion du dessin au sein de notre équipe», a-t-il ajouté.

Caribara Montréal souhaite mettre en place un «espace unique dédié à la création» avec le Campus Pivaut, une école vouée à l’enseignement technique en dessin narratif qui est voisine de ses installations.

Montréal International et Investissement Québec ont été mis dans le coup pour permettre l’implantation de Caribara dans la métropole.

«Au cours des 10 dernières années, la métropole s'est imposée comme l'une des plaques tournantes mondiales du secteur des effets visuels et de l'animation grâce à une croissance annuelle moyenne du volume d'affaires estimée à 27 %», a souligné Hubert Bolduc, président-directeur général de Montréal International.

«La filière industrielle du jeu vidéo et des effets visuels d'ici est solide et elle regorge de talents: voilà des éléments qui ont pesé dans la balance», a ajouté Guy LeBlanc, président-directeur général d'Investissement Québec.

 

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Il y a 3 heures, monctezuma a dit :

Le studio français Caribara débarque à Montréal

MONTRÉAL – Le studio français Caribara s’installe dans le quartier Mile-End, à Montréal, où il compte créer une centaine d'emplois en animation 2D au cours des 48 prochains mois.

.....«Au cours des 10 dernières années, la métropole s'est imposée comme l'une des plaques tournantes mondiales du secteur des effets visuels et de l'animation grâce à une croissance annuelle moyenne du volume d'affaires estimée à 27 %», a souligné Hubert Bolduc, président-directeur général de Montréal International.

«La filière industrielle du jeu vidéo et des effets visuels d'ici est solide et elle regorge de talents: voilà des éléments qui ont pesé dans la balance», a ajouté Guy LeBlanc, président-directeur général d'Investissement Québec.

 

Espérons que cela incitera davantage de français à venir s'installer ici ou à tout le moins de tenter l'expérience.

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