Aller au contenu

Industrie montréalaise des jeux vidéo et des effets visuels


mtlurb

Messages recommendés

  • Administrateur

c'est fou le nombre d'histoires un peu partout en europe et aux USA qu'on a eu a cause de l'ouverture de eidos a Montreal! pub gratuite!

 

 

 

 

Eidos sets up Montreal studio

 

UK publisher becomes the latest to establish a development house in game-friendly province of Quebec.

 

By Brendan Sinclair, GameSpot Posted Feb 16, 2007 4:26 pm PT

 

With nearly 5,000 game development jobs, tax credits for software production, and publishers like EA and Ubisoft finding success in the city, Montreal may be the coldest hotbed of game development in the industry today. Yesterday it was announced the city would be receiving another studio from a frontline publisher, as Eidos and the economic development agency Investissement Quebec laid out plans to establish a new studio in Montreal.

The studio will develop four games for the newest generation of systems and be accompanied by a new testing unit. Eidos expects to hire 110 people in Montreal by the end of the year, with the operation reaching 350 people within three years. Eidos attributed the pool of experienced talent in the area and tax incentives on game development as a pair of the factors that convinced it to establish operations in the city.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est triste ce que BELL prévoit de faire ça vraiment po de bonsens.....:( :( :(

c koi? 600 000 pi2 de plus à remplir avant davoir une nouvelle tour à montreal....:( :( :(

 

 

 

 

:mad:

 

c'est une année de plus sans nouvelle construction. Moi je m'attends à rien de nouveau pour les 3 prochaines années

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur

La compagnie Babel Media a annoncé qu'elle doublera ses capacités de production dans son studio de Montréal. Pas moins de 350 nouvelles personnes seront engagées afin de porter le total à 500. Mais qu'est-ce que Babel Media ?

 

Au départ, Babel s'est surtout fait connaître pour ses services de traduction. Maintenant, la compagnie offre aussi des services d'assurance qualité, de création audio et de création de livrets et de boîtiers. En plus du studio de la métropole québécoise, créée en 2005, Babel possède des installations en Angleterre (Brighton), en Inde (New Delhi) et aux États-Unis (Los Angeles).

 

Montréal continue donc de devenir une plaque tournante importante dans l'industrie du jeu vidéo, avec notamment Ubisoft, Electronic Arts, A2M et Eidos. Le directeur de Babel, Algy Williams, affirme avoir déjà des contrats signés de grosses compagnies.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

Le Québec risque d’avoir de la concurrence dans le secteur du jeu vidéo. Après avoir perdu des centaines d’emplois au profit notamment de la Belle Province, la France riposte en adoptant à son tour un crédit d’impôt pour soutenir sur son territoire les entreprises qui développent des jeux vidéo.

 

Les députés français ont adopté la mesure le 1er février dernier. Celle-ci devrait entrer en vigueur en janvier 2008. À Investissement Québec, qui gère le crédit d’impôt remboursable pour les entreprises du secteur multimédia, on n’est pas inquiet.

 

«C’est beaucoup moins généreux», affirme la porte-parole Josée Béland en parlant non seulement du programme français mais aussi des aides offertes en Ontario, en Nouvelle-Écosse ou encore en Irlande.

 

Au ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, on ne se prononce pas pour le moment. «Le dossier est à l’étude», a seulement indiqué la porte-parole France Verrette.

 

Au Québec, le crédit d’impôt qui permet de rembourser une partie des salaires couvre jusqu’à 37,5% des coûts de main-d’oeuvre admissibles.

 

En France, le pourcentage atteint au maximum 20%. Le crédit est aussi limité à 3 millions d’euros par entreprise (soit 4,6M$).

 

D’autres mesures à venir ?

 

À court terme, Guillaume de Fondaumière, président de l’Association des producteurs d’oeuvres multimédias (en France), admet que l’aide québécoise est plus généreuse. Mais à plus long terme, rien n’est moins sûr.

 

«Le crédit d’impôt français est le prélude à une série de mesures qui devraient voir le jour au cours des prochaines années», affirme-t-il.

 

«J’ai bon espoir que mes collègues allemands et britanniques nous emboîtent le pas», dit celui qui milite pour que l’Union européenne se dote d’une véritable politique dans le secteur du jeu vidéo.

 

«Ça prendra peut-être plusieurs années mais on va y arriver!» affirme-t-il.

 

Concurrence féroce

 

En tout cas, la France compte redevenir un joueur de taille dans le domaine.

 

«L’industrie française des jeux vidéo doit pouvoir reprendre sa place de premier rang», indique les textes de loi de l’Assemblée nationale française.

 

La France, avec des entreprises comme Softimage, était une pionnière en matière de jeux vidéo au début des années 1980.

 

Mais en raison de la concurrence provenant principalement de la Chine, des États-Unis et du Canada, le secteur est rapidement tombé en crise. En 6 ans, 70% des emplois dans la production de jeux ont disparu.

 

«On est passé de 5 000 développeurs en 2 000 à 1 500 aujourd’hui», dit M. de Fondaumière.

 

Au Québec, c’est tout l’inverse.

 

Depuis le début de la décennie, la Belle Province est devenue l’un des plus grands pôles technologiques du monde dans le secteur du jeu vidéo.

 

L’industrie compte plus de 70 entreprises. Il y a notamment 40 studios de développement, qui emploient plus de 2 700 personnes.

 

- En juin 2003, le crédit d’impôt remboursable à la production de titres multimédias a été réduit de 50 % à 37,5 %.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur

Boom du jeu vidéo

Au tour d'Eidos Interactive de s'établir à Montrèal

 

- par Steve Tilley

12/03/2007 04h00

e-sun.gif

pix.gifpix.gif20070311-171535-g.jpg

 

pix.gifpix.gif

Un autre géant de l'industrie du jeu vidéo est en voie de s'établir à Montréal. Proposant un heureux cocktail économique, démographique et des avantages en tout genre, la métropole québécoise se veut pratiquement irrésistible aux yeux des créateurs de divertissement numérique.

 

Eidos Interactive, le développeur du Royaume-Uni derrière la série de jeux Tomb Raider mettant en vedette la voluptueuse archéologue Lara Croft, précisait la semaine dernière ses recherches pour trouver des bureaux à Montréal. Après avoir ouvert ses portes ce printemps, Eidos Montréal embauchera 110 personnes d'ici la fin de l'année, puis procédera à l'expansion de son studio afin de compter 350 employés d'ici la fin de l'année 2009, un investissement total de 50 millions $.

Eidos se joint ainsi à trois autres grands studios de développeurs dans la ville - Ubisoft, Electronic Arts et Artificial Mind and Movement, fréquent collaborateur des studios Disney - de sorte que la demande pour les concepteurs de jeux vidéos talentueux pourrait surpasser l'offre.

«Nous avons d'excellentes écoles de programmation», affirme le directeur général d'Eidos Montréal, Stéphane D'Astous. «Ce qui est plus difficile à trouver, ce sont des concepteurs de jeu et des concepteurs de niveaux. Peu d'écoles en Amérique du Nord offrent des programmes de formation menant à ce genre d'emploi.»

Le vice-président et directeur général d'Electronic Arts Montréal, Alain Tascan, est du même avis. «À court terme, il sera difficile de trouver le talent nécessaire», a indiqué M. Tascan, dont le studio a récemment lancé le jeu de planche à neige SSX Blur pour la console Wii de Nintendo et complète ces jours-ci le travail sur Army Of Two, un jeu de tir à haut indice d'octane conçu pour être joué à deux joueurs en mode coopératif.

L'annonce de l'arrivée d'Eidos à Montréal survient tout juste après qu'Ubisoft Montréal eut dévoilé un ambitieux projet d'expansion de 451 millions $ sur six ans. En vertu de ce plan, les effectifs québécois d'Ubisoft passeront de 1 600 à 3 000 d'ici la fin de 2013. Quelque 500 de ces nouveaux postes seront consacrés à un nouveau studio d'animation par ordinateur.

«Nous allons passer les prochaines années à apprendre comment faire des films», a indiqué le directeur des communications d'Ubisoft Montréal, Cédric Orvoine, avant d'ajouter que sa compagnie est actuellement à la recherche de scénaristes, de directeurs photo et d'autres artisans du cinéma traditionnel.

Le premier projet du studio sera un court-métrage d'animation numérique de huit minutes inspiré du futur jeu vidéo Assassin's Creed, qui devrait être lancé plus tard cette année. Selon M. Orvoine, le studio d'Ubisoft se préparera aussi pour la prochaine génération de consoles de jeux - la Playstation 4 et le successeur de la Xbox 360 - qui promet de mettre en scène des jeux vidéos dont la qualité des images générées en temps réel rivalisera pratiquement avec celle des images de synthèse précalculées du cinéma d'aujourd'hui.

Selon les dirigeants de la société, les profondes racines de Montréal dans le développement de logiciels d'animation numérique et la longue présence d'Ubisoft dans la métropole ont permis de jeter les fondations de la poussée de croissance actuelle, stimulée par le faible coût de la vie, la présence de plusieurs grandes universités et les subventions du gouvernement du Québec aux compagnies de l'industrie.

Malgré les allégations de maraudage qui ont éclaboussé les compagnies montréalaises de jeux vidéo par le passé, les studios affirment maintenant que la concurrence est amicale et non sauvage. «Nous évoluons tous dans le même milieu et il est essentiel de respecter cet "écosystème"», a dit M. D'Astous de chez Eidos.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

12/03/2007Lorsque vient le temps de se vanter, Vancouver peut toujours prétendre au titre du plus grand centre de développement de jeux vidéo au Canada.

Mais non seulement Montréal se rapproche-t-elle de la marque des 3 000 emplois en studios de jeux à Vancouver, certains considèrent même que la Belle Province surpasse la Côte Ouest - et peut-être toute l'Amérique du Nord - au chapitre de la qualité.

 

«Je me demande s'il existe une ville autre que Montréal qui génère autant de titres "triple A" par année de la part d'autant de développeurs différents», note Stéphane D'Astous, directeur général des bureaux montréalais du géant du jeu vidéo du Royaume-Uni, Eidos Interactive.

 

Les titres «triple A» - l'équivalent des blockbusters hollywoodiens dans le monde du jeu vidéo - sont nombreux dans le catalogue d'Ubisoft Montréal, dont la franchise Tom Clancy's Splinter Cell s'est vendue à plus de 17 millions d'exemplaires tout en étant une des séries les plus acclamées par la critique ces cinq dernières années.

 

Le studio Artificial Mind and Movement travaille fréquemment avec des géants de l'animation comme Disney et Dreamworks et a produit plus de 50 jeux vidéos inspirés de films et de séries télévisées comme Monsters Inc. ou Kim Possible.

 

Eidos, qui compte parmi ses succès les immensément populaires Tomb Raider et Hitman, ne veut pas dévoiler son premier projet pour Montréal. M. D'Astous a néanmoins indiqué qu'il s'inscrira dans une série fort populaire et hautement estimée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


  • Les dernières mise à jour

    1. 360

      Règlement 3 X VAIN

    2. 360

      Règlement 3 X VAIN

    3. 360

      Règlement 3 X VAIN

    4. 3 875

      Royalmount

×
×
  • Créer...