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Ville de Québec - les projets


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Hé ouais, je venais justement poster le même article que Kaffloc pour répondre à Fortier. C'est quand même effarant pour Montréal de constater qu'une ville avec un marché 5 fois moindre construise la même superficie d'espaces à bureaux. Je pense que la tendance va continuer de s'accentuer; les québécois des régions ne veulent pas vivre à Montréal, ils préfèrent de loin Québec. Il faudrait que la qualité de vie s'améliore beaucoup à Montréal pour qu'elle arrête de perdre du terrain. C'est triste à voir... Même si je ne vivrais pas à Montréal personnellement, j'aimerais vraiment voir la métropole performer et se développer en hauteur à la même vitesse que Toronto.

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Hé ouais, je venais justement poster le même article que Kaffloc pour répondre à Fortier. C'est quand même effarant pour Montréal de constater qu'une ville avec un marché 5 fois moindre construise la même superficie d'espaces à bureaux. Je pense que la tendance va continuer de s'accentuer; les québécois des régions ne veulent pas vivre à Montréal, ils préfèrent de loin Québec. Il faudrait que la qualité de vie s'améliore beaucoup à Montréal pour qu'elle arrête de perdre du terrain. C'est triste à voir... Même si je ne vivrais pas à Montréal personnellement, j'aimerais vraiment voir la métropole performer et se développer en hauteur à la même vitesse que Toronto.

 

J'adore Québec, et je suis d'accord que la ville va bien, par contre j'ai des doutes sur tes chiffres.

 

90% des immigrants choisent Montreal.

La plus forte croissance au Québec, c'est toujours à Montréal

La majorité des gens qui quittent les régions vont à Montréal

Et en ce qui concerne la qualité de vie, Montréal se classe mieux que Québec (même que Montréal se classe parmis les meilleures villes du monde)

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Hé ouais, je venais justement poster le même article que Kaffloc pour répondre à Fortier. C'est quand même effarant pour Montréal de constater qu'une ville avec un marché 5 fois moindre construise la même superficie d'espaces à bureaux. Je pense que la tendance va continuer de s'accentuer; les québécois des régions ne veulent pas vivre à Montréal, ils préfèrent de loin Québec. Il faudrait que la qualité de vie s'améliore beaucoup à Montréal pour qu'elle arrête de perdre du terrain. C'est triste à voir... Même si je ne vivrais pas à Montréal personnellement, j'aimerais vraiment voir la métropole performer et se développer en hauteur à la même vitesse que Toronto.

 

Quel arrogance crasse. Tu débarques sur un forum destiné à la région métropolitaine avec un paquet de préjugés et de faits très discutable...

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Concernant l'études, il est de fait établie qu'ils s'est construit énormément d'immeubles à bureau sur la rive sud, à Laval et sur la rive nord.

 

Si on prend l'ensemble de la région métropolitaine, je doute que Québec fasse le poids. En réalité Montréal est un peu asphyxié par les transport. Mais la région métropolitaine n'est pas sans être dynamique pour autant.

 

Mais pour la qualité de vie, je pense que Québec offre une meilleur qualité de vie avec voiture mais Montréal offre une meilleur qualité de vie urbaine. C'est une simple question de choix.

 

Mais la qualité de vie, ça se juge selon les valeurs des gens. Certain vous dirons que le meilleurs endroit pour vivre, c'est en région éloigné sur le bord d'un lac dans le fond d'un rang avec des voisins éloigné...

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Le marché des immeubles à bureaux est en pleine ébullition à Québec. Entre 2009 et 2012, il se sera construit dans la capitale 1,85 million de pieds carrés d'espaces de bureaux, soit autant qu'à Montréal.

Via Davidivivid

 

Bravo! :) Une question toutefois.

 

1,85 million de pieds carrés d'espaces de bureaux c'est beaucoup d'espaces à remplir, quel est le temps qu'il faudra au marché locatif pour absorber autant d'espace ?

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Bravo! :) Une question toutefois.

 

1,85 million de pieds carrés d'espaces de bureaux c'est beaucoup d'espaces à remplir, quel est le temps qu'il faudra au marché locatif pour absorber autant d'espace ?

 

Un marché équilibré necessite un taux d'innocupation de 7%, il est présentement à 4% à Québec.

 

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201106/02/01-4405537-location-de-bureaux-a-quebec-taux-dinoccupation-le-plus-bas-au-pays.php

 

De plus, les promoteurs attendent d'avoir loué plus de 60% de l'espace avant de lancer le chantier, donc le building est déjà au 2/3 rempli avant même d'être terminé. Le peu de place qui reste, comme ce sont des adresses de prestiges, se loue assez rapidement.

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  • 4 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201112/01/01-4473717-a-la-plage-du-foulon-en-2015.php

 

Québec se mouilleront à la plage du Foulon à l'été 2015, un an plus tard que l'échéancier prévu. Les consultations du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) en vue de ce projet de 95 millions $ débuteront en février.

 

442993-projet-necessite-entre-autres-prolongation.jpg

Fermée au cours des années 70 en raison de la pollution dans le fleuve Saint-Laurent, la plage du Foulon a déjà fait la joie des baigneurs de la région, comme en témoigne cette photo de 1968.

 

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

 

Le ministre responsable de la Capitale-Nationale, Sam Hamad, a présenté jeudi au Soleil les premières esquisses du projet pour la phase III de la promenade Samuel-De Champlain. «On va tout réaménager, comme on a fait pour la première phase, à partir de la côte de Sillery jusqu'à la côte Gilmour», a noté le ministre Hamad.

 

La réalisation de la plage du Foulon, tout juste à côté du Yacht Club de Québec, dans l'anse Saint-Michel, nécessitera la prolongation d'une jetée à son extrémité ouest. Il pourrait y avoir construction d'un restaurant ou de concessions sur la structure. Combiné au brise-lames du Yacht Club, la jetée permettrait d'éviter que des vagues heurtent la rive et déplace le sable de la plage.

 

Un autre bâtiment, parallèle au boulevard Champlain, apparaît à l'esquisse. Un bassin de moindre profondeur serait aménagé de manière à offrir une descente graduelle vers le fleuve et à permettre aux plus jeunes de faire saucette.

 

Selon le ministre Hamad, la qualité de l'eau sera propice à la baignade à l'ouverture de la plage.

 

Boulevard déplacé

 

Le boulevard Champlain doit être déplacé vers la falaise de manière à «laisser les gens profiter du terrain», dit M. Hamad. Les emprises de voie ferrée déménageront aussi du côté de la falaise, aux frais du gouvernement. La piste cyclable et le sentier piétonnier sont aussi prévus.

 

«C'est un document préliminaire, mais ça donne une bonne idée du projet», indique le ministre à propos de l'esquisse fournie. «Il y aura un plan d'aménagement plus détaillé pour l'audience publique.»

 

Le BAPE mènera des consultations à partir du mois de février, certifie le ministre. Le temps d'obtenir le feu vert, la construction débuterait au printemps 2013, et la plage serait ouverte à tous pour l'été 2015. La Ville de Québec est un partenaire important dans l'aventure. Elle paie le tiers de la note, puisqu'elle construit des bassins de rétention nécessaires à la réalisation du projet.

 

Négociations complexes

 

L'année dernière, le ministre Hamad a évoqué la possibilité que la plage du Foulon soit ouverte «au plus tard» en 2013, même si l'échéance prévue était en 2014. Le report à 2015 s'expliquerait par la longueur et la complexité des négociations à mener avec la Ville pour les bassins de rétention et avec le CN pour le déplacement des emprises de voie ferrée.

 

La première phase de la promenade, un segment de 2,5 km entre le quai des Cageux et la côte de Sillery, réalisé au coût de 70 millions $, a été un succès populaire instantané. La seconde phase, pour relier la première à la plage Jacques-Cartier sur 3,1 km, au coût de 6 millions $, sera complétée au printemps à l'intérieur du budget, promet-on.

 

Une étude de 500 000 $ a été lancée en février pour la quatrième phase, la plus longue, 7 km, qui s'étendrait jusqu'à la chute Montmorency, sans oublier de relier la baie de Beauport. En tout, la promenade Samuel-De Champlain ferait alors 15 km de long.

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  • 1 mois plus tard...

Affaires

Amphithéâtre: du bois, mais pas à n'importe quel prix

10 janvier 2012 | 07h51

Agence QMI

Tant le premier ministre Charest que le maire de Québec se montrent favorables à l'utilisation du bois dans la conception du futur amphithéâtre, mais pas à n'importe quel prix, s'entendent-ils.

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Agence QMI

Tant le premier ministre Charest que le maire de Québec se montrent favorables à l'utilisation du bois dans la conception du futur amphithéâtre, mais pas à n'importe quel prix, s'entendent-ils.

 

Le premier ministre du Québec, Jean Charest, et le maire de Québec Régis Labaume, parlent avec Frédéric Verrault lors de leur visite d’une usine de bois, le Chantier Chibougamau, à Chibougamau. (Photo: Agence QMI)Le projet de toiture hybride en bois (aux deux tiers) et en acier (un tiers) des Chantiers Chibougamau, seul procédé en lien avec le futur amphithéâtre à être homologué jusqu'à maintenant, emballe visiblement le maire et le premier ministre.

 

Tous deux ont passé l'après-midi de lundi à visiter cette usine, qui grâce à un procédé très avant-gardiste fabrique des structures à l'aide de bois d'épinette. L'entreprise a d'ailleurs participé, à Québec, à la construction du Super PEPS et du Stade de soccer Chauveau.

 

«On a fait, avec la nouvelle maison symphonique à Montréal, l'intérieur avec beaucoup de bois qui venait du Québec et c'est une réussite merveilleuse, a fait valoir le premier ministre. Maintenant la Ville de Québec est maître d'oeuvre de son projet et nous on travaille en étroite collaboration pour s'assurer que tout est fait dans les formes.»

 

Pas peureux

 

De son côté, le maire Labeaume statue que «la question, c'est est-ce qu'il existe dans le monde un amphithéâtre de 18 000 places qui a une structure en bois ? Je ne le sais pas encore. Ceci dit, on n'est pas contre le fait d'innover, on n'est pas peureux là-dessus.»

 

À savoir si Chantiers Chibougamau sera inclus dans le projet d'amphithéâtre : «Nous on veut bien, mais on ne peut pas procéder par gré à gré. Il y aura un processus d'appels d'offres, avec tous les critères que ça implique, et le prix le plus bas sera retenu, comme le prévoit la règle.»

 

Le maire affirme avoir reçu la semaine dernière des premiers plans et spécifications concernant l'amphithéâtre. Les aspects touchant la structure n'ont toutefois pas encore été évalués.

 

Appel d'offres

 

Le concept hybride développé par Chantiers Chibougamau pour l'amphithéâtre devra également passer l'étape de la conception. Après quoi il devra se qualifier pour l'appel d'offres, qui n'est pas encore lancé.

 

Jusqu'à maintenant, la durée de vie s'avère excellente (pas de rouille, procédé centenaire), et les structures demeurent solides. La résistance sismique et la stabilité semblent également concluantes. «Notre prétention est limitée à la toiture du bâtiment, rappelle Frédéric Verreault, porte-parole des Chantiers Chibougamau. Dans l'Ouest, on a des bâtiments avec des fondations en bois. Nous, ce n'est pas notre tasse de thé.»

 

L'entente entre Quebecor et la Ville de Québec prévoit que les coûts estimés de 400 millions de dollars ne doivent pas être dépassés pour permettre la réalisation du projet, ce qu'on saura au printemps.

 

Quebecor: Charest se défend

 

Le premier ministre Charest s'est défendu d'avoir fait preuve de favoritisme envers Quebecor, dans le dossier de la gestion du futur amphithéâtre.

 

Considérant qu'il se doit au contraire, en tant qu'élu, d'être accessible et disponible pour écouter les gens, M. Charest a souligné que Pierre Karl Péladeau, président et chef de la direction de Quebecor, «avait présenté un projet qui était très important».

 

Réagissant au rapport du Commissaire au lobbyisme, déposé avant les Fêtes, M. Charest est d'avis que ce n'est pas à celui qui fait l'objet de lobbyisme de s'assurer que les entreprises sont inscrites. «Notre travail deviendrait invivable, évalue-t-il. On ne pourrait pas, à chaque fois qu'on se tourne de bord, vérifier si la personne qui nous aborde dans toutes sortes de circonstances se conforme à la loi. Les gens doivent s'enregistrer.»

 

Mais le revers de la médaille, selon M. Charest, «c'est de ne pas non plus tomber dans le revers de l'absurde, où on s'isole complètement des gens qui présentent des projets».

 

Le commissaire au lobbyisme concluait, dans un rapport publié avant les Fêtes, que plusieurs entreprises, dont Quebecor et Bell, avaient contrevenu à la loi en ne s'inscrivant pas au Registre des lobbyistes malgré des discussions avec la Ville de Québec relativement à la gestion de l'amphithéâtre.

 

Seul Evenko risque des poursuites, les autres dossiers n'ayant pas fait l'objet de manquements répétés et la prescription légale étant échue.

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  • 2 semaines plus tard...

@Philippe

 

Tu as visiblement un problème avec le fait que Québec soit une ville florissante parce que l'arrogance que tu as trouvé dans mon propos a totalement été inventée par ton subconscient. Calme-toi donc un peu et relis mon commentaire tout en écoutant ''Hey Jude'' des Beatles... Peut-être que tu va l'interpréter de la bonne façon...

 

Je ne comprends pas l'histoire du paquet de préjugés!? J'ai parlé d'une statistique sur la construction d'espace à bureaux, ensuite j'ai dit que je ne vivrais pas à Montréal mais que j'aimerais la voir prospérer, ce qui est un choix et non un préjugé.

 

En passant, ça s'écrit : ''Quelle arrogance crasse''. Appliques-toi un peu. <--- Ça c'est de l'arrogance, j'espère que tu comprends bien la différence maintenant. <--- Ça c'est une deuxième couche d'arrogance par dessus la première.

 

En espérant que ça t'aide un peu dans ta vie de tout les jours.

Modifié par Sebast13
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