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Ville de Québec - les projets


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  • 3 semaines plus tard...

Demenagement du marche du Vieux-Port: des commercants en colere | Ian Bussieres | La Capitale

 

Publié le 12 décembre 2016 à 20h54 | Mis à jour le 13 décembre 2016 à 07h34

 

Déménagement du marché du Vieux-Port: des commerçants en colère

 

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«Le déménagement, c'est une aberration», a dit le chef Daniel Vézina, à propos du marché du Vieux-Port icoAdd.png

1066524-ian-bussieres.jpgIan Bussières

Ian Bussières

Le Soleil

 

(Québec) Ils sont de Limoilou, de la rue Saint-Jean et même de Sillery, ils sont inquiets et ils sont en colère. Plusieurs commerçants de la capitale se sont joints lundi à la Coalition pour le Marché du Vieux-Port afin de dénoncer en conférence de presse l'éventuel déménagement du marché vers ExpoCité.

 

Ces commerçants ont reçu un appui de taille de la part du chef du restaurant Laurie Raphaël et animateur de l'émission L'effet Vézina sur Zeste Télé, Daniel Vézina, qui a également mis son grain de sel dans le débat. «J'y achète depuis 40 ans. Les nombreux restaurants qu'il y a autour ont besoin du Marché du Vieux-Port et je suis prêt à me battre pour ça. Mon fils est chef lui aussi et j'y suis allé avec lui. J'aimerais bien pouvoir y aller avec mon petit-fils. Le déménagement, c'est une aberration. C'est comme si tu m'arrachais un bras, comme si tu me coupais une jambe», a-t-il illustré.

 

«Ça prendrait seulement le tiers du budget de 25 millions $ au Vieux-Port et on aurait un marché magnifique. Quand je vais dans un marché dans le monde, je ne veux pas avoir la vue sur une soucoupe volante, je veux une vue sur le fleuve», a poursuivi le chef en faisant référence au Centre Vidéotron.

 

Le porte-parole de la Coalition, Jean Rousseau, avait en main depuis quelques jours une étude d'opportunités sur la relocalisation du Marché. L'étude avait été menée par Desjardins Marketing Stratégique en août 2015 pour la Coopérative des horticulteurs de Québec.

 

La Coalition estime que cette étude, sur laquelle se serait appuyée la Ville de Québec pour annoncer l'investissement de 25 millions $ dans le projet, ne tient pas la route. «Les chiffres ne sont pas les plus probants, l'échantillon est petit et la marge d'erreur est grande», a fait remarquer M. Rousseau au sujet du document dont la conclusion est qu'un marché situé à ExpoCité pourrait recevoir de 1,44 à 1,93 million de visiteurs par année, une hausse de 10 % à 48 % sur l'achalandage actuel du Marché du Vieux-Port. «Les scénarios mis de l'avant sont très fragiles. On est dans un acte de foi.»

 

Il ajoute que les travailleurs et commerçants du Marché, qui étaient absents de la conférence de presse, souhaitent eux aussi que le marché public demeure au Vieux-Port de Québec. «On va vous arriver avec des éléments d'ici le printemps pour montrer que les commerçants ne sont pas d'accord eux non plus avec le déménagement.»

 

Marc Engel, propriétaire de l'épicerie fine La Réserve, dans Limoilou, abondait dans le même sens, indiquant que les commerçants du Marché du Vieux-Port n'osaient pas se prononcer contre le déménagement par peur des représailles.

 

Malgré les failles qu'il a trouvées dans l'étude de Desjardins, Jean Rousseau n'a toutefois pas hésité à en citer quelques passages qui démontrent, selon lui, que l'installation d'un marché public à ExpoCité ne serait pas une bonne chose. «L'étude indique que 69 % des clients potentiels iraient une fois par mois et moins, dont 24 % jamais et 23 % d'une à trois fois par année seulement», a-t-il signalé, ajoutant qu'on pouvait aussi constater que les grands événements du Centre Vidéotron n'auraient aucune synergie avec le nouveau marché.

 

Un futur «centre d'achat»

 

Mais au-delà d'une étude imparfaite, ce sont des commerçants inquiets et en colère qui se sont exprimés. «Avec 20 commerces d'alimentation et 30 commerces d'autre acabit, ce n'est pas un marché public, c'est un centre d'achat qu'on est en train de construire. Ce n'est pas vrai que je vais me payer de la compétition dans ma cour avec mes taxes», a lancé Nathalie Audet, propriétaire de l'épicerie fine L'Ère du Vrac.

 

«Moi, j'ai traversé une période difficile qui a failli me mettre en faillite quand on nous a imposé des parcomètres sur la rue Maguire», a déclaré Michel Langlois, propriétaire de l'épicerie Roset, à Sillery. «Et on nous annonce que le stationnement sera gratuit au nouveau marché qui viendra nous compétitionner?»

 

Clément Saint-Laurent, propriétaire de l'épicerie J.A. Moisan, a quant à lui déploré les hausses de taxes imposées aux commerçants qui serviront selon lui à financer ce mégamarché. «On va revenir aux années 60 alors qu'on multipliait les centres d'achat en milieu urbain», a-t-il ajouté.

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Un toit pour l'Institut nordique du Quebec | Ian Bussieres | Education

 

Publié le 13 décembre 2016 à 16h05 | Mis à jour le 13 décembre 2016 à 16h05

 

Un toit pour l'Institut nordique du Québec

 

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Les bâtiments de l'Institut nordique du Québec abriteront quelque 200 chercheurs et étudiants des cycles supérieurs.

 

 

1066524-ian-bussieres.jpgIan Bussières

Ian Bussières

Le Soleil

 

 

(Québec) Ils étaient tous là, ou presque, lors de l'annonce d'une contribution de 10,8 millions $ du gouvernement du Québec pour l'élaboration des plans et devis de l'Institut nordique du Québec en clôture du forum de l'Arctic Circle. Le ministre responsable du Plan Nord, Pierre Arcand, le maire Régis Labeaume, le recteur de l'Université Laval Denis Brière et le directeur de la science et de l'innovation de l'Institut, Louis Fortier, s'étaient donné rendez-vous au Centre des congrès.

 

Ne manquait qu'un représentant du gouvernement fédéral, duquel l'Université Laval espère recevoir 30 millions $, soit le tiers du financement de 90 millions $ requis pour la construction des bâtiments qui abriteront les locaux de l'Institut, derrière le pavillon Vandry. Les promoteurs de l'INQ ont d'ailleurs tous laissé entendre qu'ils espéraient que cet engagement du gouvernement provincial et la confection des plans et devis du futur complexe scientifique allaient un peu forcer la main du fédéral.

 

«Ça a fonctionné avec le Super PEPS. Quand on a commencé à mettre des millions de dollars avec Québec, ça a débloqué. Je ne vois pas pourquoi il en serait autrement cette fois-ci», a d'ailleurs lancé le maire Labeaume alors que MM. Brière et Arcand se montraient très optimistes de voir le gouvernement Trudeau confirmer à son tour son engagement au cours des prochaines semaines.

 

 

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Vu sous un autre angle, le concept préliminaire de l'Institut nordique de Québec (INQ), à l'Université Laval

image fournie par l'Institut nordique du Québec

 

Le ministre Arcand a laissé entendre que l'engagement du fédéral était presque une formalité, les discussions entre les deux paliers de gouvernement sur le projet ayant toujours été positives. «Je pense que le gouvernement fédéral va mettre sa part», a indiqué Denis Brière. L'Université Laval investira, avec des entreprises et des fondations qui agiront comme ses partenaires, 27 millions $, alors que l'engagement du gouvernement du Québec a été chiffré à 33 millions $.

 

Si Denis Brière n'a pas voulu fixer d'échéancier pour la construction des bâtiments qui abriteront quelque 200 chercheurs et étudiants des cycles supérieurs, il a toutefois juré que la construction des locaux de l'INQ prendrait moins de temps que le Super PEPS. «Le PEPS, ça a pris 10 ans... Ça ne prendra pas 10 ans à partir de maintenant!» a assuré le recteur. Louis Fortier, lui, estime à environ six ans le temps qui sera nécessaire pour que l'Institut ait enfin un toit.

 

«L'INQ existe depuis août 2014, les ressources humaines et l'équipement sont déjà en place et nous avons déjà une quarantaine de partenaires potentiels d'identifiés qui seront bientôt invités à se joindre à l'INQ. Nous avons tenu un premier forum sur la santé dans le Nord en juin, lancé une formation en ligne ouverte à tous, participé à l'Arctic Circle à Reykjavik et inauguré trois nouvelles chaires de recherche», a résumé M. Fortier.

 

 

Les futures installations de l'Institut nordique comprendront des laboratoires, des entrepôts et des ateliers d'innovation technologique et de préparation des missions nordiques en milieux terrestres et marins. Une salle de visioconférence est également prévue pour assurer les communications avec les communautés nordiques et les autres partenaires de même que des espaces consacrés aux cours à distance pour les résidents du Nord.

 

En plus du bâtiment principal sur le campus de l'Université Laval, des installations et des équipements seront également aménagés sur trois autres sites, soit l'Université McGill à Montréal, l'Institut national de recherche scientifique à Québec de même qu'à Kuujjuaq, au Nunavik.

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  • 1 mois plus tard...

La première phase de ce projet, qui consiste en l'édification de 2 immeubles de 9 et 10 étages respectivement, ira de l'avant au printemps. Le premier immeuble sera occupé par un hôtel de 130 chambres alors que le second sera destiné à recevoir des condos locatifs. Ce projet, situé à deux pas de l'Université Laval, représente d'après moi un très bon exemple de densification intelligente. On dit adieu à un immense stationnement et on densifie un pôle déjà très bien desservi en commerce et en transport en commun.

 

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La Pyramide: un hôtel de 130 chambres en vue

 

Un hôtel de 130 chambres ainsi qu'un édifice à condos locatifs d'une centaine d'unités sortiront de terre au printemps dans la ceinture de la Pyramide de Sainte-Foy, a appris Le Soleil. Le promoteur, GCS Développement Immobilier, a précisé ses ambitions, lundi, pour son imposant développement de 125 millions $.

 

La première phase, évaluée à 40 millions $, débutera au cours des prochains mois. Le chantier consiste en la construction de deux immeubles - un hôtel de neuf étages ainsi qu'un édifice de 10 étages - sur l'avenue Nérée-Tremblay. Si tout se déroule comme prévu, les bâtiments devraient être livrés pour 2018 et ils seront reliés par un tunnel au Centre innovation.

 

[...]

La Pyramide: un hotel de 130 chambres en vue | Jean-Michel Genois Gagnon | Actualite economique

 

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http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/748213/pyramide-projet-investissements-125-millions-sainte-foy

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  • 3 semaines plus tard...

Promenade Samuel-de Champlain: la phase III sur les rails | Valerie Gaudreau | La Capitale

 

Publié le 09 février 2017 à 21h16 | Mis à jour le 09 février 2017 à 21h16

 

Promenade Samuel-de Champlain: la phase III sur les rails

 

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Dès 2021, le boulevard Champlain entre la côte Sillery et la côte Gilmour, aura un nouveau visage grâce à des travaux qui s'amorceront cet automne et dont les coûts seront de 130 millions de $.

Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve

 

 

 

 

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Valérie Gaudreau

Le Soleil

 

(Québec) La phase III de la promenade Samuel-De Champlain est de retour sur les rails. Le concept et le tracé sont presque finaux, les contrats rendus caducs par des années de report ont été mis à jour et un appel d'offres pour la gérance de travaux vient d'être relancé.

 

«On ne parle pas de pelle pour l'instant, mais on est à finaliser le dossier d'affaires qui va être présenté au gouvernement pour obtenir l'autorisation de travaux», a indiqué au Soleil jeudi la porte-parole de la Commission de la capitale nationale du Québec, Anne-Marie Gauthier.

Les contrats relancés visent «à terminer les plans et devis» pour cet aménagement de 2,5 km entre les côtes de Sillery et Gilmour.

Une chose est sûre, toutefois, l'appel d'offres daté du 27 janvier pour la gérance de construction confirme le déplacement de la voie ferrée du Canadien National (CN) du côté nord du boulevard, la démolition du viaduc au-dessus de la voie ferrée dans le secteur de la côte de Sillery et la construction d'un nouveau viaduc étagé dans le secteur de la marina de Sillery. Le tronçon comportera aussi un bassin de baignade et un miroir d'eau.

Or, l'automne dernier, Le Soleil révélait que les relations n'étaient pas au beau fixe avec le CN qui boudait les discussions avec la CCNQ en raison de la peinture du pont de Québec. «Nos communications et négociations se déroulent normalement avec tous nos partenaires, dont le CN», a assuré Mme Gauthier jeudi.

La phase III de la populaire promenade a été mise sur la glace depuis juin 2014, alors que le projet de 130 millions $ était absent du budget du ministre des Finances Carlos Leitão.

Quelques mois plus tôt, le réaménagement avait essuyé de sérieuses critiques du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Puis, le projet est revenu dans le budget provincial en mars 2016.

Le 27 janvier, la CCNQ a relancé l'appel d'offres pour les services de gérance et de travaux de construction. Ce contrat de 3,5 millions $ avait initialement été signé avec Pomerleau en 2010.

Mais plus de six ans se sont écoulés et le projet est depuis passé de 100 à 130 millions $. «Une faible partie du mandat avait été réalisée, seulement 10 %», a expliqué Anne-Marie Gauthier. Le contrat a donc été résilié, d'autant plus que «les honoraires sont calculés sur le montant total du projet» et que celui-ci a considérablement changé. La firme Pomerleau pourra soumettre de nouveau sa candidature.

Deux autres contrats devenus caduques ont aussi été revus, mais cette fois-ci resignés avec les mêmes firmes qu'à l'époque. Il s'agit de celui des devis de l'architecture et du design paysager octroyé une première fois en 2009 et qui vient d'être résigné avec le Consortium Daoust Lestage inc./William Asselin Ackaoui et associés/Option aménagement au coût de 999 416 $. Quant à celui pour l'ingénierie, il a été réitéré avec le Consortium Génivar/SNC-Lavalin qui avait obtenu le mandat en 2010. Ce contrat est d'une valeur de 942 659 $.

Le nouvel échéancier prévoit des travaux d'octobre 2017 à décembre 2021.

 

Faits saillants des travaux

 

 

  • Promenade de 2,5 km le long du fleuve entre les côtes de Sillery et Gilmour
  • Réaménagement du boulevard Champlain pour lui enlever son caractère autoroutier
  • Déplacement de la voie ferrée du CN du côté nord du boulevard (adossé à la falaise)
  • Démolition du viaduc au-dessus de la voie ferrée dans le secteur de la côte de Sillery
  • Construction d'un nouveau viaduc étagé dans le secteur de la marina de Sillery
  • Création d'un miroir d'eau agrémenté de fontaines
  • Construction d'une piscine et d'une pataugeoire
  • Réalisation des travaux d'octobre 2017 à décembre 2021

Source : Document d'appel d'offres de la Commission de la capitale nationale du Québec

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La première phase de ce projet, qui consiste en l'édification de 2 immeubles de 9 et 10 étages respectivement, ira de l'avant au printemps. Le premier immeuble sera occupé par un hôtel de 130 chambres alors que le second sera destiné à recevoir des condos locatifs. Ce projet, situé à deux pas de l'Université Laval, représente d'après moi un très bon exemple de densification intelligente. On dit adieu à un immense stationnement et on densifie un pôle déjà très bien desservi en commerce et en transport en commun.

 

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La Pyramide: un hotel de 130 chambres en vue | Jean-Michel Genois Gagnon | Actualite economique

 

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http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/748213/pyramide-projet-investissements-125-millions-sainte-foy

Je viens de remarquer ce projet. Très intéressant effectivement. Y'a pas beaucoup de logements de qualité dans le coin. On remplace un immense stationnement (qui était mal foutu de toute façon) et on densifie un secteur en demande.

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Promenade Samuel-de Champlain: la phase III sur les rails | Valerie Gaudreau | La Capitale

 

Publié le 09 février 2017 à 21h16 | Mis à jour le 09 février 2017 à 21h16

 

Promenade Samuel-de Champlain: la phase III sur les rails

 

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Dès 2021, le boulevard Champlain entre la côte Sillery et la côte Gilmour, aura un nouveau visage grâce à des travaux qui s'amorceront cet automne et dont les coûts seront de 130 millions de $.

Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve

 

 

 

 

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Valérie Gaudreau

Le Soleil

 

(Québec) La phase III de la promenade Samuel-De Champlain est de retour sur les rails. Le concept et le tracé sont presque finaux, les contrats rendus caducs par des années de report ont été mis à jour et un appel d'offres pour la gérance de travaux vient d'être relancé.

 

«On ne parle pas de pelle pour l'instant, mais on est à finaliser le dossier d'affaires qui va être présenté au gouvernement pour obtenir l'autorisation de travaux», a indiqué au Soleil jeudi la porte-parole de la Commission de la capitale nationale du Québec, Anne-Marie Gauthier.

Les contrats relancés visent «à terminer les plans et devis» pour cet aménagement de 2,5 km entre les côtes de Sillery et Gilmour.

Une chose est sûre, toutefois, l'appel d'offres daté du 27 janvier pour la gérance de construction confirme le déplacement de la voie ferrée du Canadien National (CN) du côté nord du boulevard, la démolition du viaduc au-dessus de la voie ferrée dans le secteur de la côte de Sillery et la construction d'un nouveau viaduc étagé dans le secteur de la marina de Sillery. Le tronçon comportera aussi un bassin de baignade et un miroir d'eau.

Or, l'automne dernier, Le Soleil révélait que les relations n'étaient pas au beau fixe avec le CN qui boudait les discussions avec la CCNQ en raison de la peinture du pont de Québec. «Nos communications et négociations se déroulent normalement avec tous nos partenaires, dont le CN», a assuré Mme Gauthier jeudi.

La phase III de la populaire promenade a été mise sur la glace depuis juin 2014, alors que le projet de 130 millions $ était absent du budget du ministre des Finances Carlos Leitão.

Quelques mois plus tôt, le réaménagement avait essuyé de sérieuses critiques du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Puis, le projet est revenu dans le budget provincial en mars 2016.

Le 27 janvier, la CCNQ a relancé l'appel d'offres pour les services de gérance et de travaux de construction. Ce contrat de 3,5 millions $ avait initialement été signé avec Pomerleau en 2010.

Mais plus de six ans se sont écoulés et le projet est depuis passé de 100 à 130 millions $. «Une faible partie du mandat avait été réalisée, seulement 10 %», a expliqué Anne-Marie Gauthier. Le contrat a donc été résilié, d'autant plus que «les honoraires sont calculés sur le montant total du projet» et que celui-ci a considérablement changé. La firme Pomerleau pourra soumettre de nouveau sa candidature.

Deux autres contrats devenus caduques ont aussi été revus, mais cette fois-ci resignés avec les mêmes firmes qu'à l'époque. Il s'agit de celui des devis de l'architecture et du design paysager octroyé une première fois en 2009 et qui vient d'être résigné avec le Consortium Daoust Lestage inc./William Asselin Ackaoui et associés/Option aménagement au coût de 999 416 $. Quant à celui pour l'ingénierie, il a été réitéré avec le Consortium Génivar/SNC-Lavalin qui avait obtenu le mandat en 2010. Ce contrat est d'une valeur de 942 659 $.

Le nouvel échéancier prévoit des travaux d'octobre 2017 à décembre 2021.

 

Faits saillants des travaux

 

 

  • Promenade de 2,5 km le long du fleuve entre les côtes de Sillery et Gilmour
  • Réaménagement du boulevard Champlain pour lui enlever son caractère autoroutier
  • Déplacement de la voie ferrée du CN du côté nord du boulevard (adossé à la falaise)
  • Démolition du viaduc au-dessus de la voie ferrée dans le secteur de la côte de Sillery
  • Construction d'un nouveau viaduc étagé dans le secteur de la marina de Sillery
  • Création d'un miroir d'eau agrémenté de fontaines
  • Construction d'une piscine et d'une pataugeoire
  • Réalisation des travaux d'octobre 2017 à décembre 2021

Source : Document d'appel d'offres de la Commission de la capitale nationale du Québec

Superbe, finalement un lien piétonnier qui se respecte avec la marina. Les automobilistes vont sacrer en tout cas. La limite de vitesse sur le boulevard Champlain va encore ralentir. :P Blagues à part, ça sera un merveilleux ajout à l'aménagement en place, des deux ponts à la côte de Sillery (qui elle aussi est présentement en rénovation).

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Une tour de 592 condos à Sainte-Foy

 

Le plus important développement immobilier résidentiel en termes d'unités à une même adresse au Québec lèvera de terre au cours des prochains mois. Une tour de 14 étages comptant 592 condos sera construite sur les anciens terrains du marché public de Sainte-Foy, a appris Le Soleil. Un projet immobilier de 100 millions $.

 

Les travaux pour le site situé sur l'avenue Roland-Beaudin sont commencés depuis quelques semaines. La livraison des premières unités, principalement des studios (à partir de 300 pieds carrés) et des 3 ½, est prévue pour septembre 2018. L'édifice comprendra également quelques condos de dimension 4 ½ et une quinzaine de 5 ½.

 

«C'est après avoir lu à plusieurs reprises le programme particulier d'urbanisme (PPU) de Sainte-Foy que j'ai décidé de faire mon projet dans ce secteur avec un fort potentiel», indique dans une entrevue au Soleil le promoteur Marc Lachance, qui, en 2016, avait déboursé 6,69 millions $ pour acquérir le terrain auprès de la Ville de Québec.

 

Afin d'atténuer quelque peu l'impact de son développement sur la circulation, l'homme d'affaires de 47 ans et son associé Régent Bouffard se sont engagés à acheter quatre voitures de marque Tesla ainsi qu'une douzaine de vélos pour les résidents.

 

[...]

Une tour de 592 condos a Sainte-Foy | Jean-Michel Genois Gagnon | Actualite economique

 

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Début des travaux au Diamant de Lepage

 

Un des plus importants chantiers de la région s'active à la place D'Youville où des pelles mécaniques sont maintenant à l'oeuvre afin de dégager l'espace pour la naissance du Diamant de Robert Lepage.

 

Jeudi, les ouvriers terminaient les palissades coiffées de barbelés autour des anciens YMCA et Cinéma de Paris; d'autres installaient des conteneurs-bureaux; d'autres encore géraient le trafic de camions, piétons et voitures.

 

Le Diamant est ce projet de théâtre de 625 places promu par le dramaturge depuis des lunes. Le budget de 54 millions $ est largement soutenu par les gouvernements : 7 millions $ de la Ville de Québec, 10 millions $ du fédéral et 30 millions $ du provincial.

 

La fin des travaux a maintes fois été repoussée, mais le dernier échéancier faisait toujours état d'une ouverture à l'automne 2018.

 

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Debut des travaux au Diamant de Lepage | Baptiste Ricard-Chatelain | La Capitale

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