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Modernisation rue Notre-Dame


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https://quebec.huffingtonpost.ca/2018/12/14/revitalisation-rue-notre-dame-montreal_a_23618275/

POLITIQUE

14/12/2018 11:50 EST | Actualisé il y a 9 minutes

Montréal et le gouvernement annoncent la création d'un bureau pour revitaliser la rue Notre-Dame... encore

Le projet piétine depuis 2001.

 
La rue Notre-Dame est dans un état de désuétude avancée, mais les projets pour la revitaliser n'ont jamais abouti.
HUFFPOST QUÉBEC
La rue Notre-Dame est dans un état de désuétude avancée, mais les projets pour la revitaliser n'ont jamais abouti.
 

La cinquième fois sera-t-elle la bonne pour la rue Notre-Dame? La Ville de Montréal et le gouvernement du Québec ont signé vendredi une nouvelle déclaration pour l'Est de Montréal, qui comprend la création d'un nouveau «bureau de revitalisation de la rue Notre-Dame».

Le développement de l'Est de Montréal est devenu un point central des relations entre la mairesse Valérie Plante et le nouveau gouvernement caquiste. La Ville et le gouvernement ne s'entendent pas sur plusieurs points, mais l'Est fait consensus.

C'est ainsi que la nouvelle déclaration tente de faire renaître de ses cendres le projet de revitalisation de la rue Notre-Dame.

«La rue Notre-Dame est une voie historique. [...] Ce tronçon Montréalais du chemin du Roy fera enfin son entrée dans le 21e siècle», affirme la ministre responsable de la Métropole, Chantal Rouleau.

 

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HUFFPOST QUÉBEC
La mairesse de Montréal, Valérie Plante, et la ministre responsable de la Métropole, Chantal Rouleau, on annoncé la signature d'une déclaration pour le développement de l'Est de Montréal.

 

Le nouveau «bureau de revitalisation» sera formé de la Ville, du ministère des Transports et de l'Autorité régionale de transport métropolitain. (ARTM). Il aura pour but de faire de la rue Notre-Dame un boulevard urbain «du pont jusqu'à la pointe» de l'île de Montréal.

Le projet a déjà connu plusieurs moutures. Présenté une première fois en 2001, le modèle projeté pour la rue ressemblait davantage à une autoroute. Il a été abandonné avec l'élection de Gérald Tremblay.

Un premier bureau de projet conjoint entre la Ville et le gouvernement a été annoncé en 2006. Il a été fermé en 2010, sans aucune avancée significative puisque la Ville et le gouvernement n'ont pas réussi à s'entendre sur le concept.

Tant la mairesse Plante que le premier ministre François Legault ont fait de l'Est de Montréal une grande priorité. En plus de la rue Notre-Dame, ils espèrent implanter un tramway reliant la pointe de l'île au centre-ville. Ils veulent aussi décontaminer les anciens sites industriels et développer le port de Montréal.

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Quant au secteur de l'arrondissement Ville-Marie, le timing est bon avec le PPU des Faubourgs qui veut aussi repenser les artères autour de la sortie de la Ville-Marie et aussi la rue Papineau et les abords du pont Jacques-Cartier. 

Avec les projets immobiliers comme le Quartier des Lumières, Faubourg Molson et Quais de Lormier, la rue Notre-Dame va obligatoirement être un boulevard qui est sensible à la présence/proximité des résidents qui vont habiter autour et également faciliter les accès vers le fleuve.

It's a good thing!

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Revitalisation de l'Est de Montréal

Présentation

En vertu de la Déclaration pour revitaliser l’Est de Montréal, le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal s’engagent à consolider une vision commune, intégrée et innovante pour le développement de l’Est de Montréal et à réaliser, dans un esprit de collaboration, le grand chantier de revitalisation de ce territoire à fort potentiel de développement. L’accroissement de la mobilité, la décontamination des sols, le développement économique et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens sont les priorités retenues.

À consulter

https://www.mamh.gouv.qc.ca/secretariat-a-la-region-metropolitaine/revitalisation-de-lest-de-montreal/presentation/?fbclid=IwAR0U3VJ8F-cy10HG9pag486WAt7__QqfkiDxcbHgW-mvnFEY97rcunuIp7Y

Actions prioritaires à déployer à court terme

■■ Refonte du réseau d’autobus, incluant l’ajout d’autobus hybrides dans l’Est;

■■ Déploiement de la navette fluviale entre Pointe-aux-Trembles et le centre-ville et étude de son intégration à l’offre de transport collectif régional;

■■ Réaménagement de la rue Notre-Dame afin de créer un corridor de mobilité durable reliant les quartiers de la pointe de l’île au centre-ville.

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Le ‎2018‎-‎12‎-‎14 à 13:12, IluvMTL a dit :

https://quebec.huffingtonpost.ca/2018/12/14/revitalisation-rue-notre-dame-montreal_a_23618275/

POLITIQUE

14/12/2018 11:50 EST | Actualisé il y a 9 minutes

Montréal et le gouvernement annoncent la création d'un bureau pour revitaliser la rue Notre-Dame... encore

Le projet piétine depuis 2001.

 
La rue Notre-Dame est dans un état de désuétude avancée, mais les projets pour la revitaliser n'ont jamais abouti.
HUFFPOST QUÉBEC
La rue Notre-Dame est dans un état de désuétude avancée, mais les projets pour la revitaliser n'ont jamais abouti.
 

La cinquième fois sera-t-elle la bonne pour la rue Notre-Dame? La Ville de Montréal et le gouvernement du Québec ont signé vendredi une nouvelle déclaration pour l'Est de Montréal, qui comprend la création d'un nouveau «bureau de revitalisation de la rue Notre-Dame».

Le développement de l'Est de Montréal est devenu un point central des relations entre la mairesse Valérie Plante et le nouveau gouvernement caquiste. La Ville et le gouvernement ne s'entendent pas sur plusieurs points, mais l'Est fait consensus.

C'est ainsi que la nouvelle déclaration tente de faire renaître de ses cendres le projet de revitalisation de la rue Notre-Dame.

«La rue Notre-Dame est une voie historique. [...] Ce tronçon Montréalais du chemin du Roy fera enfin son entrée dans le 21e siècle», affirme la ministre responsable de la Métropole, Chantal Rouleau.

 

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HUFFPOST QUÉBEC
La mairesse de Montréal, Valérie Plante, et la ministre responsable de la Métropole, Chantal Rouleau, on annoncé la signature d'une déclaration pour le développement de l'Est de Montréal.

 

Le nouveau «bureau de revitalisation» sera formé de la Ville, du ministère des Transports et de l'Autorité régionale de transport métropolitain. (ARTM). Il aura pour but de faire de la rue Notre-Dame un boulevard urbain «du pont jusqu'à la pointe» de l'île de Montréal.

Le projet a déjà connu plusieurs moutures. Présenté une première fois en 2001, le modèle projeté pour la rue ressemblait davantage à une autoroute. Il a été abandonné avec l'élection de Gérald Tremblay.

Un premier bureau de projet conjoint entre la Ville et le gouvernement a été annoncé en 2006. Il a été fermé en 2010, sans aucune avancée significative puisque la Ville et le gouvernement n'ont pas réussi à s'entendre sur le concept.

Tant la mairesse Plante que le premier ministre François Legault ont fait de l'Est de Montréal une grande priorité. En plus de la rue Notre-Dame, ils espèrent implanter un tramway reliant la pointe de l'île au centre-ville. Ils veulent aussi décontaminer les anciens sites industriels et développer le port de Montréal.

Des promesses, des promesses, des promesses, des promesses, des promesses, des promesses, des promesses..............................

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Publié le 19 décembre 2018 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

https://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/paul-journet/201812/18/01-5208556-boulevard-notre-dame-lest-a-deja-trop-attendu.php

Boulevard Notre-Dame: l'Est a déjà trop attendu

« En 2002, Québec propose un compromis : un... (photo Bernard Brault, archives La Presse)

« En 2002, Québec propose un compromis : un boulevard en surface sur 80 % du trajet avec deux voies consacrées aux autobus. Il ne va nulle part », rappelle Paul Journet.

photo Bernard Brault, archives La Presse

 

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Paul Journet

Éditorialiste

La Presse

Un bureau de projet pour le boulevard Notre-Dame... Ils n'ont annoncé qu'un bureau de projet, le cinquième depuis 2001 ! Voilà encore des études qui ne serviront à rien, à part perpétuer la tradition des promesses brisées pour l'est de Montréal.

Voilà comment plusieurs citoyens ont sans doute accueilli vendredi dernier l'engagement de Montréal et de Québec à relancer le projet du boulevard Notre-Dame. On comprend leur désabusement. Ne serait-ce que pour des raisons de santé mentale, ils ont raison de baisser les attentes afin de ne pas se sentir trahis une fois de plus.

Et pourtant... Même si le projet vient à peine d'être relancé, on peut prudemment dire que les astres s'alignent de mieux en mieux pour le concrétiser.

Autant le premier ministre François Legault que la mairesse Valérie Plante reconnaissent qu'à la suite du REM, c'est au tour de l'Est de recevoir un grand projet. Et ils partagent une vision commune pour celui-là - un boulevard urbain avec un réseau de transports collectifs (tramway ou autre technologie), le tout en décontaminant certains terrains et en redonnant accès aux berges. Cette vision, M. Legault l'a déjà esquissée en 2013 dans un livre, Cap sur un Québec gagnant. Quant à Mme Plante, son parti se bat depuis deux décennies pour que le projet profite réellement aux citoyens du secteur. Car cela fait très longtemps qu'on lance de mauvaises idées.

 

***

En 1972, le gouvernement Bourassa expropriait plus de 1200 citoyens de Hochelaga et du Centre-Sud afin de transformer le boulevard Notre-Dame en autoroute. L'autoroute fut abandonnée pour ne pas perturber la circulation durant les Jeux olympiques. On les a donc jetés à la rue pour rien et le secteur ne s'en est jamais remis. « C'est probablement un des endroits les plus déprimants de Montréal », déplorait Réjean Charbonneau, directeur de l'Atelier d'histoire d'Hochelaga-Maisonneuve, en 2010 à notre collègue Bruno Bisson.

Différentes versions du projet ont circulé dans les années 80 et 90 jusqu'à ce que le gouvernement Bouchard le relance en 2001. Il projette alors un segment de voie rapide sur le modèle de l'autoroute Ville-Marie. C'est imminent, assure-t-on. Le chantier devait même commencer avant celui de l'échangeur Turcot. À l'époque, le gouvernement prétend même que l'autoroute Notre-Dame réduirait les gaz à effet de serre, car les véhicules rouleront à une vitesse constante... Les résidants du coin s'opposent avec raison à cette cicatrice qui les couperait encore plus du fleuve.

En 2002, Québec propose un compromis : un boulevard en surface sur 80 % du trajet avec deux voies consacrées aux autobus. Il ne va nulle part.

En 2006, le gouvernement Charest lance la troisième mouture du projet. C'est une « autoroute temporaire » bancale sur laquelle les feux de circulation des rues transversales ne fonctionneraient qu'en dehors des périodes de pointe. Les délais s'accumulent, comme les coûts. Après une réécriture du projet et 29 millions en frais de consultation, le gouvernement se désiste en 2010.

Pourquoi serait-ce différent en 2018 ?

***

Pourquoi alors être optimiste ? Pour la première fois, le projet se soucie vraiment d'aménagement durable.

D'abord, il réserve une place significative aux transports en commun. L'Autorité régionale de transport métropolitain a le mandat d'y proposer un « corridor de mobilité durable » qui va au-delà de simples voies réservées aux autobus. Parmi les solutions envisagées, il y a le tramway et peut-être même le REM. Ce corridor pourrait s'intégrer au futur service rapide par bus (SRB) sur Pie-IX, qui sera prolongé jusqu'au boulevard Notre-Dame. Cela commence à ressembler à un réseau intégré.

Ensuite, M. Legault et Mme Plante projettent de décontaminer les terrains industriels en friche dans l'Est. Et ils veulent redonner accès aux berges.

Le projet traversait plusieurs autres secteurs déjà en voie de revitalisation ou à tout le moins de transformation, comme celui de l'ancienne usine Molson et de la Maison de Radio-Canada. L'occasion est belle d'intégrer le tout dans un plan cohérent.

Enfin, le travail est aussi déjà avancé pour prolonger le tronçon Souligny afin de faciliter le transit des camions vers le port sans passer par le boulevard urbain.

Bien sûr, il ne s'agit que des débuts de la relance du projet. Tout dépendra du soin apporté aux détails et de la volonté pour avancer rapidement.

Mais le simple fait que le bureau de projet soit annoncé dans les 100 premiers jours du gouvernement Legault envoie un message fort. Il ne reste plus qu'à apprendre des échecs qui se succèdent depuis des décennies.

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  • 4 semaines plus tard...

On dirait que ca avancer vite!

http://journalmetro.com/actualites/montreal/2049482/la-caq-veut-lancer-une-ruee-vers-lest-en-tramway-a-montreal/

15/01/2019 Mise à jour : 15 janvier 2019 | 9:52 

La CAQ veut lancer une «ruée vers l’Est» (en tramway) à Montréal

Par Mathias MarchalMétro
 

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Josie Desmarais/MétroChantal Rouleau

Tramways, navettes fluviales, prolongement du service rapide par bus (SRB) Pie-IX, modernisation de la rue Notre-Dame, décontamination des terrains: la nouvelle ministre de la métropole, Chantal Rouleau, compte sur plusieurs chantiers pour redynamiser l’est de Montréal.

L’axe central de la stratégie caquiste passe par la décontamination des terrains et l’amélioration de la mobilité. En tant que ministre responsable de la métropole et ministre déléguée aux transports, Chantal Rouleau sera aux premières loges pour orchestrer ces chantiers.

«En tant qu’ancienne mairesse d’arrondissement et maintenant comme ministre, à chaque fois que je les rencontre, les gens d’affaires de l’Est me disent qu’ils perdent leur personnel, car il faut une voiture pour venir travailler», a mentionné lundi la députée de la Coalition avenir Québec (CAQ) Chantal Rouleau, en entrevue avec Métro.

Même si plusieurs militent pour le prolongement du Réseau express métropolitain (REM) dans l’est de l’île de Montréal, le gouvernement Legault privilégie toujours un tramway qui relierait le centre-ville à Pointe-aux-Trembles, mais aussi à Rivière-des-Prairies.

«Un tramway moderne et électrique sera très efficace pour desservir la pointe de l’île, mais aussi Rivière-des-Prairies par le long de l’autoroute 25. Là aussi, il y a des besoins et des secteurs industriels importants qu’il faut aller desservir», a-t-elle ajouté.

Les deux branches se rejoindraient sur la rue Notre-Dame pour converger ensuite vers la station de métro Bonaventure et la gare Centrale. Ce projet implique de créer en parallèle un boulevard urbain (sans tranchée) sur la rue Notre-Dame désengorgée par l’ajout d’un nouvel accès au Port de Montréal pour les camions. Le tramway circulerait au nord de la rue Notre-Dame sur l’ancienne voie du Canadien national, qui est aujourd’hui un parc linéaire. Il serait aussi relié au futur SRB Pie-IX, dont le gouvernement veut étudier le prolongement jusqu’au sud de l’île.

«Le bureau de projet de revitalisation de la rue Notre-Dame issu de l’entente signée début décembre avec la Ville de Montréal dévoilera bientôt les budgets et les échéanciers dont il dispose», a précisé la ministre.

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Réjean Benoit, un expert du tramway, fait remarquer que l’implantation de plusieurs stations du centre-ville ont déjà été évaluées dans le cadre d’un rapport d’étude concernant l’instauration d’un tramway entre le Vieux-Montréal et l’arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. Le tracé proposé passait par le boulevard René Lévesque, en passant par la rue de la Commune pour terminer sa boucle au niveau de la station Bonaventure.

Un Montréalais vivant dans l’est de l’île vit en moyenne neuf ans de moins que la moyenne. Mme Rouleau veut que d’ici huit ans, le fossé soit en partie comblé.

Cette amélioration de la mobilité permettra de justifier la décontamination des quelque 846 hectares (deux fois Outremont) de terrains contaminés situés dans l’est de l’île en utilisant notamment la phytoremédiation. «On a annoncé 200M$ rien que pour l’Est. C’est bien plus que les gouvernements précédent. On en est à la phase de recensement et de priorisation des lots à décontaminer», a souligné Mme Rouleau.

L’entrepreneur Christian Yaccarini, qui se spécialise notamment dans la requalification d’anciennes friches industrielles, se félicite de cette volonté. Il mentionne toutefois qu’il est important que ces sommes ne soient pas octroyées à des spéculateurs ou aux anciens pollueurs de ces sites.

Le défi du ministère des Transports consistera à améliorer son taux de réalisation. Si l’on se fie au calendrier de réalisation d’Infrastructure Canada créé dans le cadre de son plan Investir dans le Canada, le Québec est la province qui a pris le plus de retard dans la réalisation de projets.

En attendant:
Plusieurs autres dossiers attendent la ministre déléguée aux transports. Il faudra gérer les mesures de mitigation autour des chantiers du REM, pérenniser le projet pilote de navette fluviale qui attiré plus de 4600 passagers en une semaine, s’assurer que prolongement de la ligne bleue du métro se concrétise et rénover l’autoroute 40, de même que le tunnel Louis-H. Lafontaine.

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