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Stade de tennis Uniprix, agrandissement (2012)


WestAust

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Le poids des ans commence à se faire sentir sur le sympathique stade Uniprix et Tennis Canada projette des rénovations de l'ordre de 11,8 millions qui le rendront conforme aux normes des grands tournois internationaux, a appris Le Journal de Montréal.

 

Cela fait déjà 13 ans (1996) que les installations avaient été complètement remodelées au coût de 25 millions. Depuis ce temps, la popularité de l'événement a connu une croissance phénoménale et en plus, le site sert maintenant de base au Centre national d'entraînement.

 

Sans compter la pratique récréative du sport au stade, qui compte pour 45% des plages horaires sur les courts, dont l'occupation d'octobre à avril est de 100%.

 

Avec tout cet achalandage, les travaux sont rendus nécessaires afin «d'assurer la pérennité et la croissance des Internationaux de tennis du Canada à Montréal, l'un des neuf tournois majeurs des circuits professionnels de l'ATP et la WTA», a souligné Tennis Canada dans un document présenté récemment à la Ville de Montréal.

 

Fonds publics

 

Tennis Canada investira 1,6 million, le reste provenant des trois paliers de gouvernement : 1,6 million de Montréal, et une somme de 8,6 millions divisée à part égale entre Québec (programme d'infrastructures) et Ottawa (Chantiers Canada) à même les enveloppes budgétaires déjà en place.

 

On prévoit l'ajout de quatre nouveaux courts sur terre battue, de nouveaux salons aériens, des vestiaires remodelés, une galerie de presse moderne et une aire d'accueil améliorée au stade secondaire.

 

Le projet a été très bien reçu par la Ville de Montréal, reste à négocier les modalités de financement avec Québec et Ottawa. Dans le meilleur des scénarios, les travaux débuteraient au printemps 2010.

 

# Les Internationaux de tennis du Canada existent depuis 1881; c'est le 3e plus vieux tournoi du monde après Wimbledon et le US Open.

 

# De 2001 à 2007, selon une étude de la firme CFM Stratégies, les retombées économiques du tournoi sont passées de 15 à 28 millions, une augmentation de 9% par année.

 

# Le tournoi fait l'objet de plus de 2000 heures de diffusion dans 150 pays.

 

# Près de 50% des revenus générés par les deux Coupe Rogers sont réinvestis au Québec pour le développement du tennis.

 

source: http://www.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2009/05/20090515-062700.html

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Quatre terrains sur terre battue

 

Denis Poissant

Le Journal de Montréal

15/05/2009 06h40

 

Pas besoin de chercher de midi à quatorze heures les raisons des succès de Rafael Nadal sur terre battue. L'Espagnol a passé son enfance à jouer sur cette surface, c'est son carré de sable, sa vie. Et pour espérer un jour rivaliser avec les maîtres en la matière, nos joueurs devront pouvoir s'entraîner sur autre chose que des terrains durs.

 

C'est pourquoi le projet comprend l'ajout de quatre terrains sur terre battue où les meilleurs espoirs du Centre national d'entraînement seront en mesure de raffiner leurs techniques 12 mois par année.

 

«Plusieurs joueurs dans le top 20 et plein d'Américains sont perdus sur terre battue, indique le vice-président du tennis professionnel à Tennis Canada, Eugène Lapierre. Pour que nos athlètes soient compétitifs sur cette surface et s'imposer sur la scène mondiale, ils doivent avoir la possibilité de s'y entraîner, ce qu'ils ne peuvent faire en ce moment.»

 

Il s'agit de la priorité numéro un du plan de développement des athlètes de haut niveau, ajoute-t-il.

 

Les terrains seraient aménagés dans l'un des stationnements du site, et couverts d'une bulle permettant leur utilisation durant l'hiver. En été, le toit serait enlevé pour profiter des conditions de jeu extérieures.

 

La meilleure école

 

«La terre battue c'est la meilleure école de tennis qui soit», explique Louis Borfiga, directeur du développement des athlètes au centre d'entraînement.

 

Auparavant, monsieur Borfiga a dirigé pendant 21 ans le programme du Centre national de la Fédération française de tennis. Il s'est battu, avec succès, pour que l'on implante de telles surfaces en France.

 

«Elle permet de former des joueurs plus complets, car la touche de la balle est très importante sur terre battue et les échanges sont plus longs, ce qui demande d'être inventif et une excellente touche de balle pour remporter des points.

 

«Un bon joueur de terre battue peut s'adapter facilement sur le dur, mais l'inverse n'est pas toujours vrai», ajoute-t-il.

 

En 1996, le stade Uniprix comptait huit courts intérieurs, et 12 aujourd'hui. Si le projet se concrétise, cela portera le total à 16.

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Denis Poissant

Le Journal de Montréal

15/05/2009 06h27

 

Le poids des ans commence à se faire sentir sur le sympathique stade Uniprix et Tennis Canada projette des rénovations de l'ordre de 11,8 millions qui le rendront conforme aux normes des grands tournois internationaux, a appris Le Journal de Montréal.

 

Cela fait déjà 13 ans (1996) que les installations avaient été complètement remodelées au coût de 25 millions. Depuis ce temps, la popularité de l'événement a connu une croissance phénoménale et en plus, le site sert maintenant de base au Centre national d'entraînement.

 

 

Sans compter la pratique récréative du sport au stade, qui compte pour 45% des plages horaires sur les courts, dont l'occupation d'octobre à avril est de 100%.

 

 

Avec tout cet achalandage, les travaux sont rendus nécessaires afin «d'assurer la pérennité et la croissance des Internationaux de tennis du Canada à Montréal, l'un des neuf tournois majeurs des circuits professionnels de l'ATP et la WTA», a souligné Tennis Canada dans un document présenté récemment à la Ville de Montréal.

 

 

Fonds publics

 

 

Tennis Canada investira 1,6 million, le reste provenant des trois paliers de gouvernement : 1,6 million de Montréal, et une somme de 8,6 millions divisée à part égale entre Québec (programme d'infrastructures) et Ottawa (Chantiers Canada) à même les enveloppes budgétaires déjà en place.

 

 

On prévoit l'ajout de quatre nouveaux courts sur terre battue, de nouveaux salons aériens, des vestiaires remodelés, une galerie de presse moderne et une aire d'accueil améliorée au stade secondaire.

 

 

Le projet a été très bien reçu par la Ville de Montréal, reste à négocier les modalités de financement avec Québec et Ottawa. Dans le meilleur des scénarios, les travaux débuteraient au printemps 2010.

 

 

 

Les Internationaux de tennis du Canada existent depuis 1881; c'est le 3e plus vieux tournoi du monde après Wimbledon et le US Open.

 

 

De 2001 à 2007, selon une étude de la firme CFM Stratégies, les retombées économiques du tournoi sont passées de 15 à 28 millions, une augmentation de 9% par année.

 

 

Le tournoi fait l'objet de plus de 2000 heures de diffusion dans 150 pays.

 

 

Près de 50% des revenus générés par les deux Coupe Rogers sont réinvestis au Québec pour le développement du tennis.

 

Source à cette adresse:

http://www.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2009/05/20090515-062700.html

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  • 2 semaines plus tard...

Publié le 26 mai 2009 à 14h31 | Mis à jour à 14h39

 

Inquiétudes au parc Jarry

 

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Éric Clément

La Presse

 

Touchez pas à mon parc! Après les projets immobiliers Marianopolis et du 1420, boulevard Mont-Royal, critiqués pour le fait qu'ils nuiront au mont Royal, un autre parc fait l'objet d'inquiétudes: le parc Jarry où Tennis Canada et le poste de police PDQ 31 ont des projets d'expansion.

 

Dans les deux cas, il s'agit de constructions sur des stationnements actuels. «Pas un pouce de verdure disparaîtra», assure la mairesse de l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, Anie Samson.

 

Le dossier a été évoqué lors du conseil municipal, lundi soir. François Touchette, président de la Coalition des amis du parc Jarry, a demandé des explications. «En avril 2008, Mme Fotopulos, responsable des grands parcs urbains au comité exécutif, nous avait signalé que le parc Jarry en était arrivé à un équilibre parfait entre le récréatif, le sportif et tout ce qui était bâti, a-t-il dit. Comment conciliez-vous le fait de dire à la population qu'il y a un équilibre parfait dans le parc Jarry alors qu'en 2009, on arrive à ces deux projets.»

 

Le conseiller Michael Applebaum, responsable des sports et loisirs au comité exécutif, a dit que «le nouveau projet de Tennis Canada respecte le plan directeur du parc Jarry» et qu'il est «très intéressant». Il consiste notamment à construire quatre courts de tennis en terre battue en lieu et place d'un stationnement situé près du stade Uniprix.

 

M. Touchette est aussi préoccupé par l'agrandissement de la galerie de presse du stade qui va nuire à la vue du mont Royal depuis le parc. À Tennis Canada, le porte-parole, Louis-Philippe Dorais, dit qu'Eugène Lapierre, le directeur du tournoi, va rencontrer la coalition pour la rassurer sur les effets de son projet.

 

Les retombées économiques du tournoi de tennis pour la Ville sont indéniables : près de 30 millions, selon Tennis Canada. Mais si l'événement grossit, ne serait-il pas temps de penser à un déménagement, la fréquentation augmentant année après année? D'autant qu'il ne manque pas de terrains sur l'île de Montréal. Selon M. Dorais, le projet de 12 millions actuellement sur la table est suffisant pour combler les besoins de Tennis Canada.

 

En ce qui concerne l'agrandissement du poste de police PDQ 31 projeté à l'angle du boulevard Saint-Laurent et de la rue Gounod, il est nécessaire à cause de la fusion de deux postes de police. L'agrandissement des locaux se fera sur un stationnement. Un bâtiment sur pilotis y sera construit.

 

Pour le Conseil régional de l'environnement de Montréal, les parcs ne sont pas des endroits à développer, la présence de stationnements est questionnable et encore plus celle d'un poste de police. «Devrait-on avoir un poste de police dans un parc? se demande Coralie Deny, directrice-adjointe de l'organisme. Ne devrait-on pas le déplacer? Quand on regarde une carte des espaces verts de Montréal, on voit une tache verte, mais dans les espaces zonés verts, il y a beaucoup d'infrastructures. Ce qui est vraiment vert, c'est loin d'être tout l'espace. On trouve ça dommage.»

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  • 2 semaines plus tard...

Montréal | Parc Jarry

Une pétition contre deux projets de construction

Agence QMI Julie Charette/

03/06/2009 15h11

 

Des résidents de Villeray lancent une pétition en ligne afin de protéger le parc Jarry contre les visées expansionnistes du poste de quartier 31 et de Tennis Canada.

 

La Coalition des amis du parc Jarry est revenue à la charge mercredi pour dénoncer les deux projets d’agrandissement dans cet espace vert du Nord de Montréal.

 

En plus de faire circuler en ligne une pétition, ce groupe de citoyens promet de faire entendre ses doléances le 17 juin lors d’une consultation publique portant sur le projet du poste de quartier (PDQ) 31.

 

Deux projets de construction

 

Cette Coalition juge que ces projets de construction grugeront encore une fois l’intégrité du parc Jarry.

 

Depuis la fusion des postes de quartier de la rue Rousselot et du parc Jarry, les effectifs du PDQ 31 sont à l’étroit dans les locaux du boulevard Saint-Laurent.

 

Le PDQ 31 souhaite construire un nouvel immeuble sur pilotis sur un stationnement déjà existant.

 

De son côté, Tennis Canada Tennis Canada souhaite aménager au coût de 11, 8 millions $ quatre courts de tennis en terre battue sur les stationnements bordant la rue Faillon.

 

La consultation publique de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension se tiendra le 17 juin à 19h dans les locaux de Tennis Canada au 285, rue Faillon Ouest.

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  • 11 mois plus tard...
  • Administrateur
http://maps.google.com/maps?hl=en&ie=UTF8&ll=45.532609,-73.627185&spn=0.002461,0.006866&t=k&z=18

 

 

 

Euhh, on construit par dessus du terrain asphalté. C'est quoi le problème? Ca nuit pas au parc, c'est même pas dans le secteur vert du parc!

 

Si je me souviens bien un article que j'ai lu, le problème vient du fait que la hauteur dépassera la hauteur permise pour le secteur.

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