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Centech Planétarium Dow (2018)


Malek

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Centech (Planétarium Dow)

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18 000 pieds carrés pour un accélérateur de startups (Centech). Le bâtiment a été racheté par l'ÉTS en 2013. Ouverture prévue en mai 2018.

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  • 3 mois plus tard...

http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/1800912/lancement-des-activites-du-nouveau-centech/

17/09/2018 Mise à jour    : 17 septembre 2018 | 15:55 

Lancement des activités du nouveau Centech
Par Justine Grave

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Le directeur général du Centech, Richard Chénier, est déjà témoin de l'interaction entre les différents acteurs de l'écosystème qui se déroule dans ce corridor.

L’ancien Planétarium Dow grouille maintenant de jeunes entrepreneurs motivés à lancer leur projet sur le marché. L’intérieur du bâtiment de la rue Saint-Jacques a fait l’objet d’une reconstruction totale pour accueillir les nouveaux locaux du Centech, l’incubateur d’entreprises de l’École de technologie supérieure (ÉTS).

Après dix mois de travaux, l’espace de 2000 m2 commence à intégrer ses premiers occupants, qui augmenteront de façon graduelle jusqu’en janvier. Il s’agit d’un projet de plus de 11,4 M$, financé par les gouvernements provincial et fédéral ainsi que l’ÉTS.

«C’est important de préciser qu’il ne s’agit pas d’un déménagement, mais bien d’un agrandissement de nos activités parce que nous sommes en pleine croissance et que nous commencions à être serrés dans nos locaux de la rue Monfort», précise le directeur général du Centech, Richard Chénier. Ce nouveau projet permettra de doubler les activités de l’incubateur.

Complètement métamorphosé par la firme Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes, l’ancien Planétarium Dow est maintenant considéré comme l’épicentre des activités. Il intègre des bureaux, des aires de création et des espaces communs pour les participants au programme d’accélération, une formation de 12 semaines qui permet aux startups d’élaborer une stratégie de commercialisation.

Les participants au programme propulsion poursuivront quant à eux leurs activités sur la rue Monfort tout en continuant à profiter de l’équipement de pointe de l’ÉTS et d’être épaulés par des mentors afin d’optimiser leur projet.

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Le directeur général de L’ÉTS, Pierre Dumouchel Photo: Isabelle Bergeron

Cellules d’innovation
Outre désengorger les locaux actuels du Centech, ce nouvel espace a été spécialement conçu afin de créer un écosystème qui favorisera l’émergence de nouvelles technologies.

«Nous avons créé 10 cellules d’innovation corporatives, où des grandes entreprises vont collaborer avec des chercheurs, des étudiants et des startups», souligne M. Chénier.

Le plus difficile demeure de trouver des sujets d’entreprises, selon le directeur général de l’ÉTS, Pierre Dumouchel.

«Il y a beaucoup de projets déjà lancés, donc trouver de nouvelles idées est difficile. Il faut échanger, connaître les besoins et ce bâtiment permet de stimuler ça», renchérit-il.

Les entrepreneurs en herbe profiteront donc de l’expertise des grandes entreprises, alors que celles-ci auront accès aux talents et aux idées des nouveaux venus en entrepreneuriat.

«Ce partenariat permettra aux grandes corporations de prendre un pied d’avance sur leur compétiteur et d’intégrer des éléments novateurs dans leur produit afin de continuer à être des leaders dans leur secteur d’activités», précise M. Chénier.

Parmi elles, se trouvent notamment Port de Montréal ainsi que des entreprises spécialisées dans le domaine des villes intelligentes. Les autres locataires seront dévoilées au courant de l’automne.

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Photo: Isabelle Bergeron

Architecture
Présentant un aménagement sombre et feutré et une géométrie circulaire rappelant Saturne et ses anneaux, le Planétarium représentait un enjeu de taille pour la firme en charge de lui donner une deuxième vie.

«Ce lieu autrefois destiné à vulgariser l’astronomie est dorénavant un lieu ouvert et inspirant, où la science devient porteuse de l’innovation», souligne l’architecte Julie Morin.

Le principal défi consistait à maximiser l’entrée de la lumière naturelle tout en gardant intact l’extérieur du bâtiment, comme convenu avec la Ville de Montréal lorsque l’immeuble a été cédé à l’ÉTS en 2013.

«Nous avons créé des percées nord-sud et est-ouest en remplaçant les cloisons opaques par des vitrines», explique le directeur du bureau de développement du campus, Patrice Catoir.

D’autres éléments viendront bonifier le projet dans les mois à venir, notamment la transformation du stationnement au sud du Planétarium en parc. L’espace a d’ailleurs déjà été zoné à cet effet et les travaux devraient commencer sous peu.

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  • 2 semaines plus tard...

UN ÉCOSYSTÈME DE PLUS EN PLUS SOPHISTIQUÉ

Didier Bert

L’offre en incubation d’entreprises s’est développée au cours des dernières années au Québec. Certains incubateurs parviennent même à se hisser vers les sommets internationaux. Mais tous les incubateurs, qu’ils soient généralistes ou spécialisés, internationalisés ou régionaux, tendent à échanger de plus en plus.

UN ÉCOSYSTÈME DIVERSIFIÉ

Il existe près de 70 incubateurs et programmes d’accompagnement similaires dans la province, selon le répertoire de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM). Certains ont vu le jour récemment, comme le MT Lab, l’incubateur en tourisme, culture et divertissement, fondé l’an passé.

« L’écosystème est en train de se bâtir, comme une forêt où des arbres robustes côtoient des arbustes en croissance, illustre Manaf Bouchentouf, directeur exécutif et de l’accompagnement entrepreneurial au Pôle entrepreneuriat, repreneuriat et familles en affaires de HEC Montréal. Mais cette forêt n’est pas encore structurée comme un jardin botanique. »

LA RÉVOLUTION DU CENTECH

Au sein de cet écosystème, le Centech se démarque. Fin 2015, Richard Chénier prend les rênes de l’incubateur de l’École de technologie supérieure (ETS) de Montréal. Son plan est simple : tout changer pour devenir un des meilleurs incubateurs technologies au monde. « Les programmes vieillissaient, et nous devions gagner en rapidité », explique-t-il.

Avec son collègue Luc Giguère, responsable du programme d’accélération, Richard Chénier va effectivement tout changer. Ils analysent les meilleures pratiques, et ils réinventent tous les programmes en s’appuyant sur le Lean Startup avec une mission : transformer des scientifiques en entrepreneurs. Le Centech applique aussi une barrière élevée à l’entrée : la concentration en technologie doit être élevée.

Au moment de mettre la nouvelle stratégie en application, 15 start-up étaient hébergées par le Centech. « On en a arrêté 10 », se rappelle Richard Chénier.

UNE EFFICIENCE RECORD

Depuis, le Centech sélectionne de 100 à 125 projets par an, en partenariat avec 26 universités, canadiennes et étrangères. L’incubateur reçoit des candidatures du Mexique, des États-Unis – y compris de la Silicon Valley – et de France.

Aujourd’hui, le Centech sort en moyenne une entreprise en croissance par mois. « Nous sommes un des incubateurs les plus efficients au Canada, se félicite M.Chénier, mais nous visons en sortir deux à trois par mois. » Centech se placerait alors parmi les incubateurs les plus performants du monde.

L’objectif pourrait être atteint d’ici deux ans. 

« Nous demandons à nos entrepreneurs d’avoir de l’ambition, nous devons en avoir nous-mêmes. » 

— Richard Chénier, directeur général du Centech

UN ÉCOSYSTÈME PROPICE À L’ÉCHANGE

Un des atouts de l’écosystème d’incubation québécois est sa taille modeste. « Nous nous connaissons tous, et nous nous parlons, souligne Manaf Bouchentouf. Nous sommes capables d’émettre des critiques constructives, les uns envers les autres. C’est une force. »

Plusieurs dirigeants d’incubateurs témoignent de l’absence de compétition entre incubateurs. « Quand on accompagne une start-up, on veut qu’elle ait toutes les ressources nécessaires avec elle », dit-il.

Certaines start-up envoient ainsi un de leurs membres dans un incubateur spécialisé en technologie, pendant qu’un autre travaillera au sein d’un incubateur tourné vers le management, observe M. Bouchentouf.

VERS LA GRATUITÉ

Les modalités d’incubation sont en cours d’évolution. Comme ils le faisaient il y a 20 ans, des incubateurs proposent encore la location mensuelle d’un espace et la facturation d’expertise. D’autres accompagnent les start-up en échange d’une prise de capital. La formule la plus récente, très présente dans le monde universitaire, consiste à dire : « Nous n’investissons pas, nous nous assurons que la start-up réussisse pour l’amener le plus vite le plus loin possible, et nous avons des investisseurs autour de nous pour nous y aider », observe Manaf Bouchentouf. Pour ces derniers, c’est la façon de produire qui doit innover, davantage que la technologie utilisée.

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One of the largest tech-company launchers in the country is a relatively unknown entity

Montreal's Centech is home to technopreneurs from 26 universities in 11 countries across varied disciplines

Denise Deveau - National Post

Richard Chénier is sometimes taken aback by the number of applicants at Centech. “I don’t know why they choose us because we don’t do promotions,” says the director-general of the Montreal-based incubator and accelerator.

The fact that word of mouth is enough to fill their ranks is a clear testament to Centech’s success. Established in 1996, it is in fact one of the oldest incubator/accelerators in the country. Over those 20-plus years it has grown to become one of the largest tech company launchers in the country and has been ranked among the top 10 accelerators in the world according to University Business Incubator.

Up to 2015, applicants were exclusively students from its founding partner, the École de technologie supérieure engineering school. At that point it opened its doors to any applicants, and is now home to technopreneurs from 26 universities in 11 countries. Projects range from smart lighting and 3D modelling for industrial applications to medical cannabis and monitoring tools for turtle nests.

Centech’s main focus is on hardware and deep tech. According to Chénier, 100 per cent of solutions developed there have software and 85 per cent of those have software embedded in an object.

“We don’t create startups,” he says. “We launch businesses. That’s a different mindset from other accelerators. Even when a company has significant seed round financing, they still need to know how to spend that money and build their business in terms of legal, cash flow and pipeline building.”

Locketgo, a provider of temporary lockers for transporting to and from large events, is a member of the Centech two-year Propulsion Program. Since starting the company, Gabrielle La Rue has become a fixture on the startup scene.

Despite being a native of Montreal, La Rue says when someone recommended she apply to Centech, “My first question was, what is Centech? I had never heard of it.”

La Rue, who has extensive connections with the entertainment and event industry, realized Centech was the perfect place to build up expertise in the technology needed for her product. While the concept resonated well with customers, she says, “We were far from knowing what we were doing and weren’t even close to understanding the technology we needed to build our systems properly. I talked to Centech on a Friday and joined their Acceleration Program on the Monday.”

After completing that program Locketgo was accepted into the Propulsion Program. “The first stage taught me everything about running a business – how to pitch, future planning, etc. The next stage really gave us the strength and knowledge we needed to build the company.” Now, she says, they have a much bigger team and a new and improved product that is ready to launch.

One advantage of her time at Centech is that she can tap into a wide range of engineering talent. “Everyone here has their strengths. That helps a young company like ours shape where we want to go.”

Isabel Galiana, CEO and co-founder of Saccade Analytics, was equally surprised to hear about Centech during her business’ formative years. “When someone told me to apply to Centech, I had no idea what it was.”

Saccade was founded with the intent of commercializing 30 years of medical research into the neurophysiology of eye movement done by Dr. Mimi Galiana at McGill University’s Department of Medical Engineering; she is also a co-founder and chief science officer of Saccade. Unlike Locketgo, engineering technology was not as much of an issue as expanding its network of connections beyond academic circles, Isabel Galiana says.

In simple terms, the software, which can be embedded in off-the-shelf virtual reality goggles, evaluates brain functions based on eye and head movement. It’s a technology that can be used to diagnose abnormalities from concussion, neurological disorders or other causes.

Typically patients have to wait months for an assessment, which can take up to two hours and requires heavy, expensive equipment. Saccade’s software can complete a test within seven minutes and generate a report in about 30 seconds.

Galiana says Centech has pushed the team to build a company while growing a network with key contacts including medtech companies, healthcare organizations and sports associations. “Here we are not treated as a startup but as a company. The key is the security and support Centech provides. That’s very rare in every other aspect of an entrepreneur’s existence.”

The security means a great deal in terms of keeping innovation in Canada, Chénier believes. “When they leave Centech, they are autonomous and ready to grow. In our minds that’s the best way to create a future for our economy.”

https://calgaryherald.com/entrepreneur/fp-startups/one-of-the-largest-tech-company-launchers-in-the-country-is-a-relatively-unknown-entity/wcm/92e82406-36be-4c01-aa4a-5be515191afe

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