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Pont Samuel-De Champlain


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Ça aurait été bien qu'ils prévoient un ascenseur ou une rampe entre le belvédère et la piste cyclable de la voie maritime, pour les piétons et cyclistes.

Une rampe aurait probablement été inesthétique et surtout coûté trop cher pour le nombre limité de cyclistes qui voudront passer directement de Brossard à la partie ouest de la piste cyclable de la voie maritime.

 

Ceux qui veulent de Brossard aller vers l'est (Parc Jean Drapeau) ont déjà le Pont Victoria et ceux qui viennent de Montréal ont déjà l'Estacade.

 

Au pire, ils n'auront qu'à prendre le REM de Panama à l'île des soeurs ;)

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Une rampe aurait probablement été inesthétique et surtout coûté trop cher pour le nombre limité de cyclistes qui voudront passer directement de Brossard à la partie ouest de la piste cyclable de la voie maritime.

 

Ceux qui veulent de Brossard aller vers l'est (Parc Jean Drapeau) ont déjà le Pont Victoria et ceux qui viennent de Montréal ont déjà l'Estacade.

 

Au pire, ils n'auront qu'à prendre le REM de Panama à l'île des soeurs ;)

 

L'estacade ne permet pas d'aller à Brossard, seulement à Ste-Catherine ou au pont Victoria. C'est justement ce lien qui manque.

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L'estacade ne permet pas d'aller à Brossard, seulement à Ste-Catherine ou au pont Victoria. C'est justement ce lien qui manque.

Le lien qui manque est d'abord et avant tout entre l'Île des Soeurs et Brossard et le nouveau pont va directement combler ce besoin.

 

Comme je l'ai dit dans mon précédent commentaire, je crois qu'à côté de ça, la demande pour un lien direct entre Brossard et la partie ouest de la piste cyclable de la voie maritime est vraiment fragmentaire puisque ce lien direct n'aurait aucune valeur utilitaire.

 

Avec le nouveau pont, il sera tout de même possible de partir de Brossard et d'y accéder en environ 20 minutes, indirectement. Il suffira simplement de continuer jusqu'à l'île des soeurs et rebrousser chemin à via l'estacade, ce qui ajoute 5km (15 min) au trajet, ce qui n'est pas un inconvénient majeur pour les cyclosportifs et le cyclisme récréatif non plus, considérant le parcours scénique que ça représente.

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Erreurs coûteuses sur le pont Champlain

Des ratés ont ralenti la construction des premiers piliers de la nouvelle structure

 

Le chantier du nouveau pont Champlain, qui est soumis à l’un des échéanciers les plus serrés de l’histoire du Québec, a subi trois ratés importants depuis le mois de mai, a appris Le Journal.

 

Des erreurs touchant la construction des premiers piliers ont même forcé les ouvriers à détruire une partie de leur travail, occasionnant chaque fois des retards de plusieurs jours.

 

Les problèmes touchent les deux premières piles construites du côté de Montréal, sur la jetée de L’Île-des-Sœurs.

 

Dans un premier cas, le coffrage servant de moule n’était pas assez solide pour garder sa forme pendant que le béton séchait. Ainsi, le matériau ne prenait pas la bonne forme.

 

Selon nos sources, il a fallu recommencer l’opération au moins cinq fois. Cela a généré des jours de retard au consortium.

 

Manque de matériaux

On a aussi constaté un manque d’acier dans l’armature, qui renforce le béton de l’intérieur. Cette absence aurait pu créer de «graves» faiblesses à la base de la structure si elle n’avait pas été repérée par un ingénieur qui surveillait les travaux, ont indiqué nos sources.

 

«On avait demandé à l’ingénieur d’approuver l’armature en vue de la coulée de béton, mais il a remarqué qu’il y avait encore des sacs inutilisés de matériaux qui traînaient sur le chantier. C’est là qu’il a sonné l’alarme», a raconté au Journal un travailleur, sous le couvert de l’anonymat par peur de représailles.

 

Le consortium privé qui réalise le pont en partenariat public-privé, Signature sur le Saint-Laurent, nous a confirmé qu’il manquait un total de 5 % d’armature dans la première amorce de pile, mais que dans «aucun cas» les entrepreneurs ne coupent dans les matériaux pour économiser.

 

La situation ne s’est pas du tout améliorée pour SSL lors de la construction de la deuxième amorce de pile. Lors de la coulée du béton, un ancrage du coffrage n’a pas tenu le coup, ce qui a brisé le moule.

 

«Quand l’ancrage du coffrage a lâché, le béton a fendu et il a fallu tout recommencer. Ça a fait comme une explosion. Je n’ai jamais vu ni entendu ça de toute ma carrière», a expliqué un travailleur du chantier.

 

«SSL a procédé à un changement d’approche au niveau de la méthode de construction des coffrages pour une meilleure performance», a expliqué par courriel Annie-Claire Fournier, porte-parole du consortium Signature sur le Saint-Laurent.

 

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^^

1. Le constructeur du nouveau pont Champlain a connu une série de problèmes avec le coffrage (moule) des deux premiers piliers, semblables à celui-ci. Dans un cas, l’ancrage de la structure qui la retenait en place a lâché, ce qui a fendu autant le coffrage que le béton à l’intérieur. Il a donc fallu tout démanteler et recommencer.

 

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^^

2. Les tiges qui ressortent de cette dalle, sur laquelle reposera une des 74 piles du nouveau pont, s’appellent des armatures. Il manquait 5 % de la quantité minimale d’armatures semblables à celles sur la photo dans la première amorce de pile construite par SSL, ce qui aurait pu créer de «graves» faiblesses dans la structure si cette «irrégularité» n’avait pas été réglée.

 

On assure que l’échéancier est toujours respecté

Malgré les contrecoups qui s’accumulent sur le chantier, le constructeur du nouveau pont Champlain assure que l’échéancier sera respecté et que la structure tiendra bon pendant 125 ans.

 

«Sur un chantier de l’ampleur du nouveau pont Champlain, il va y avoir des activités de construction qui rencontreront des défis [...] Le système de gestion de la qualité de SSL est en place pour identifier ces non-conformités et pour nous assurer que les ajustements sont apportés afin que les travaux finaux soient conformes», a indiqué la porte-parole Annie-Claire Fournier.

 

Naufrage

Rappelons que le 1er avril, le naufrage d’un bateau-remorque qui œuvrait sur le projet a obligé le constructeur à suspendre les travaux de près d’un tiers du chantier, le temps que les autorités fédérales enquêtent sur l’événement.

 

«Les échéanciers des multiples secteurs d’activités sur l’ensemble du projet prévoient du temps de contingence pour corriger de telles situations. Cela est la pratique normale dans l’industrie de la construction», a ajouté Mme Fournier.

 

Des sources anonymes sur le chantier évaluent à un demi-million de dollars les frais supplémentaires occasionnés par ces ratés.

 

SSL a refusé de commenter cette estimation, prétextant la confidentialité des informations commerciales. La porte-parole a toutefois indiqué que les contribuables n’auront pas à payer plus que le budget du projet fixé à 4,24 G$.

 

«SSL livrera un pont de qualité avec une durée de vie de 125 ans, dont les Montréalais pourront être fiers», a rassuré la porte-parole.

 

 

OÙ EN EST RENDU LE CHANTIER?

Portion haubanée

Les deux fondations et amorces de piles ont été coulées. Le constructeur érige présentement des piliers temporaires (grosses structures rouges) qui ont également servi lors de la construction du viaduc de Millau (France). Ceux-ci soutiendront les travées du pont lors de leur construction.

 

Approche ouest

L’équipe de préfabrication a complété 16 des 38 dalles sur lesquelles reposeront cette portion du pont, tandis que l’équipe d’excavation maritime a fini de préparer 20 des emplacements qui les accueilleront. La première semelle devra d’ailleurs bientôt être installée au fond du fleuve.

 

Approche est

Les 10 ensembles de piles qui reposeront sur la terre ferme sont en cours de construction. On peut également voir prendre forme la culée sur laquelle reposera l’entrée du pont à partir de la Rive-Sud.

 

http://www.journaldemontreal.com/2016/07/07/erreurs-couteuses-sur-le-pont-champlain

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"Trois ratés importants depuis le début de mai."

 

On parle donc de plusieurs choses, dont une est arrivée en mai.

 

OÙ EN EST RENDU LE CHANTIER?

Portion haubanée

Les deux fondations et amorces de piles ont été coulées. Le constructeur érige présentement des piliers temporaires (grosses structures rouges) qui ont également servi lors de la construction du viaduc de Millau (France).

 

on est loin en avant.

C'est comme dans le temps où on parlait que Azur frottait dans les tunnels du Métro, mais que dans le fond, ça faisait des mois que ça c'était produit , que le problème avait été réglé, et/mais tout le monde a pris l'info au présent.

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De la belle ouvrage, tout croche par des incompétents sélectionnés à la va-vite au plus bas soumissionnaire. On s'enligne pour remplacer ce nouveau pont dans 50 ans! Vive le Québec.

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