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Pont Samuel-De Champlain


mtlurb

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It's a little sad that we've been so used to projects going over budget and being late in this province...can't help but become a little cynical because of it!

 

Who cares about the fed's budget. That's no problem for the Quebec government. Let Her Majesty go over budget to build the bridge. Quebec should concentrate on mass transit options for the south shore.

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If I had a say the yellow line would go over the Champlain bridge... but hey... it's gonna be LRT I guess...

 

Yeah that would be cool. From Berri to the Champlain via McGill and Bonaventure? With the already proposed yellow line extension it would make a "U" shape like the orange line: Longueuil-Montreal-Brossard.

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  • 1 mois plus tard...

Le pont Champlain transformé en corridor vert surélevé ?

 

Par Alexandre Lampron

Vendredi 11 mai 2012 14:20:42 HAE

 

 

LONGUEUIL - Avec la construction d’une nouvelle structure reliant la Rive-Sud à Montréal, le pont Champlain actuel pourrait-il être transformé en un corridor vert surélevé, et ce, à l’instar du High Line de New York?

 

C’est ce que les militants libéraux souhaiteraient, eux qui ont entériné, lors du Conseil général du Parti libéral du Québec (PLQ), les 4, 5 et 6 mai, une résolution demandant au gouvernement de réaliser une étude de faisabilité technique, économique et financière pour aller de l’avant le projet de conversion. Ce projet permettrait ainsi d’assurer une longévité au pont Champlain, affirment-ils.

 

Le projet High Line de New York, situé dans un secteur industriel sur la rive ouest de Manhattan, a requalifié une vieille voie ferrée aérienne désaffectée construite de 1929 à 1934 un vaste espace public vert pour soulager la congestion urbaine.

 

Une transformation audacieuse

 

La Commission politique régionale de la Montérégie-Centre du PLQ demande au gouvernement de considérer la transformation de la structure en une zone réservée pour les transports alternatifs, soit les autobus et les taxis. Un verdissement d’un autre couloir pourrait aussi être envisagé pour les piétons et les cyclistes.

 

«Nous croyons à une utilisation plus judicieuse des fonds qui seraient consentis à la destruction de la structure actuelle du pont Champlain et à une démonstration de développement durable, de la gestion du territoire en milieu urbain et d’une meilleure occupation, a expliqué le président de la Commission, Stéphane Chagnon. Ce projet s’insère parfaitement dans la logique des autorités municipales, montréalaises et de la Rive-Sud, qui est de redonner et de faciliter l’accès au fleuve pour les citoyens.»

 

Rappelons que le consortium constitué des bureaux d’ingénieurs conseil BPR, Cima +, Dessau et Egis Structures et Environnement, qui avait obtenu le mandat de réaliser l’étude de préfaisabilité en vue du remplacement du pont Champlain, avait évalué le coût global de démolition du pont à près de 155 M$, sur une période d’environ trois ans.

 

Une signature personnalisée

 

Le projet imaginé par les militants libéraux permettrait également à la grande région de Montréal de se doter d’un attrait touristique majeur qui pourrait faire d’elle une renommée internationale, a ajouté M. Chagnon.

 

«L’initiative permettrait à la région métropolitaine d’avoir une nouvelle signature personnalisée avec des impacts significatifs sur le rayonnement de Montréal, a-t-il ajouté. Avec New York, la Ville de Montréal serait la seule municipalité en Amérique du Nord à posséder une infrastructure que certains ont qualifiée d’innovation en agritecture (un mélange syntaxique entre les termes d’architecture et d’agriculture).»

 

2012 Les Hebdos Régionaux Québecor Média

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Idéalement, advenant le cas que ce projet se réalise, le nouveau pont Champlain devrait être situé à l'ouest du pont actuel et non à l'est, afin de ne pas masquer la vue sur le centre-ville.

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Excellente idée! Les coûts d'entretient serait vraiment minime si le seul poids pouvant user la structure est celui de vélo et d'humain! Non?

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  • 1 mois plus tard...

Publié le 19 juin 2012 à 08h25 | Mis à jour à 08h25

 

Oui au pont Maurice-Richard

 

Philippe Cantin

La Presse

 

Il s'agit d'un gigantesque projet de construction, une affaire de 5 milliards de dollars.

 

Si ses concepteurs ont de l'imagination, cette structure sera bien plus qu'un simple pont. Ce sera la nouvelle signature de Montréal, un ouvrage architectural avec du panache.

 

Voilà pourquoi le choix du nom est si important. La décision la plus prudente serait de conserver l'appellation actuelle, pont Champlain. Même si le grand explorateur est d'abord connu comme le fondateur de la ville de Québec, son immense influence a été ressentie dans toute l'Amérique.

 

La construction du nouveau pont fournit cependant une occasion extraordinaire de saluer le Québec moderne en honorant un homme qui symbolise à merveille nos espoirs, nos luttes et nos réalisations.

 

Maurice Richard a été un grand Montréalais et un grand Québécois. Plus de 50 ans après sa retraite du hockey et plus de 10 ans après sa mort, son nom demeure synonyme de fierté, d'accomplissement et d'affirmation collective. Les valeurs associées à ses exploits sont inspirantes et expliquent pourquoi il est devenu une légende.

 

La majorité des Québécois sont trop jeunes pour avoir vu jouer le Rocket. Mais ils n'ont qu'à fermer les yeux pour imaginer une de ses montées à l'emporte-pièce. Cela illustre la place considérable qu'il occupe dans notre imaginaire collectif.

 

Bien sûr, Maurice Richard n'était pas parfait. Il a commis des erreurs dans sa carrière. Cela aussi le rend attachant.

 

Derrière l'immense vedette, on retrouve toujours ce jeune homme issu d'un quartier ouvrier de Montréal, qui a vaincu mille obstacles pour accomplir son rêve.

 

Nommer le nouveau pont en l'honneur de Maurice Richard constituerait un choix audacieux.

 

Le ministre fédéral Denis Lebel a causé une surprise en évoquant l'idée après avoir étudié les suggestions de nombreux citoyens. «Les gens nous disent que c'est un digne représentant du Québec, qu'il faisait l'unanimité», a-t-il déclaré à mon collègue Joël-Denis Bellavance.

 

La coutume suggère plutôt qu'on associe le nom d'athlètes méritants à des installations sportives. Pas à un ouvrage majeur comme ce lien entre Montréal et la Rive-Sud.

 

Un aréna près du Stade olympique porte d'ailleurs le nom de Maurice Richard, mais il s'agit d'un édifice modeste pour honorer un personnage clé de notre histoire.

 

Dans un Québec souvent divisé sur le plan politique, la décision d'honorer ainsi Maurice Richard serait rassembleuse. On éviterait, par exemple, une controverse semblable à celle provoquée par le nouveau nom de l'aéroport Montréal-Trudeau.

 

Mais ce n'est pas l'essentiel. Si la suggestion est pleine de bon sens, c'est parce que le Rocket a été beaucoup plus qu'un formidable hockeyeur. Même s'il ne l'a pas souhaité, il a porté sur ses épaules les aspirations de tout un peuple.

 

L'émeute du 17 mars 1955, provoquée par sa suspension pour les derniers matchs du calendrier régulier et les séries éliminatoires, constitue un événement phare de notre histoire contemporaine.

 

Quatre jours après ces événements, André Laurendeau, alors journaliste au Devoir, a publié un billet célèbre intitulé: «On a tué mon frère Richard».

 

Pour le peuple canadien-français, écrivait Laurendeau, «Maurice Richard est une sorte de revanche».

 

Laurendeau, sans doute avec raison, croyait que le sort de Richard ne ferait pas longtemps les manchettes. «Et puis, il ne s'agit tout de même que de hockey... Tout paraît destiné à retomber dans l'oubli.»

 

Ce fut bien la seule erreur d'appréciation de Laurendeau. Suspendu, Maurice Richard devint plus grand que nature. Il l'est toujours aujourd'hui.

 

* * *

 

En 1955, à l'annonce de sa construction, le pont Champlain a d'abord été nommé pont de l'Île-des-Soeurs. Trois ans plus tard, au plus fort des fêtes soulignant le 350e anniversaire de Québec, le gouvernement fédéral lui a donné le nom du fondateur de la première ville canadienne.

 

Oui, conserver ce nom représenterait un choix honorable. Mais le Québec d'aujourd'hui doit aussi honorer ceux qui ont contribué à son histoire plus récente.

 

C'est ainsi qu'on a donné le nom de Félix Leclerc à une autoroute qui traverse une grande partie du Québec. Merveilleux symbole pour un homme ayant laissé son empreinte aux quatre coins du territoire.

 

Donner au nouveau pont le nom de Maurice Richard serait un geste aussi puissant. Tous les Québécois, peu importe leur origine, leur condition sociale ou leurs opinions politiques, aiment et respectent Maurice Richard.

 

Un pont sert à nous réunir.

 

À sa manière, c'est ce que Maurice Richard a fait toute sa vie.

 

Oui au pont Maurice-Richard.

 

Dopage: la fin des grands procès

 

La décision rapide du jury dans le long procès de Roger Clemens mettra sans doute fin aux actions en justice intentées par le gouvernement américain contre des athlètes soupçonnés de dopage.

 

Après avoir raté leur coup dans l'affaire Barry Bonds, reconnu uniquement coupable d'un chef d'accusation mineur, les procureurs ont essuyé un cinglant revers, hier. Le jury, après quelques heures de délibérations, a exonéré l'ancien lanceur vedette.

 

Pas étonnant que les procureurs aient quitté la salle d'audience en coup de vent. Pour eux, le verdict est catastrophique.

 

C'était le deuxième procès contre Clemens dans ce dossier. Le premier a été stoppé après une erreur de la poursuite. Compte tenu des coûts immenses de ces recours, le ministère public hésitera avant de poursuivre d'autres athlètes.

 

Ces doutes expliquent en partie pourquoi aucune accusation criminelle n'a été déposée contre Lance Armstrong après une enquête de plusieurs mois.

 

L'ex-champion du Tour de France doit maintenant se défendre devant l'Agence américaine antidopage. Son combat s'annonce ardu, mais il ne s'agit pas de justice criminelle, susceptible d'entraîner une peine d'emprisonnement.

 

Dans le cas de Clemens, le jury n'a pas été convaincu par le témoignage de Brian McNamee, son ancien soigneur et un homme à la crédibilité suspecte. Dans l'affaire Armstrong, les témoins potentiels avaient aussi un passé controversé.

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