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  • 6 mois plus tard...

Publié le 03 juin 2015 à 10h26 | Mis à jour à 10h33

 

SNC-Lavalin dans la ligne de mire de deux firmes internationales

 

La multinationale montréalaise SNC-Lavalin (T.SNC) est convoitée par des entreprises d'Espagne et d'Australie, rapporte le Financial Post.

 

Selon le quotidien torontois, Actividades de Construccion y Servicios (ACS), de Madrid, et WorleyParsons, de Sydney, ont fait part à la direction de SNC-Lavalin, de façon «informelle», de leur intention d'acquérir l'entreprise.

 

Un porte-parole de SNC, Louis-Antoine Paquin, a toutefois indiqué au journal que la firme d'ingénierie «ne mène pas de discussions de cette nature avec quelque entreprise que ce soit».

 

Dans un courriel envoyé mercredi à La Presse Affaires, un porte-parole d'ACS, Juan José Diaz Clavel, a soutenu que «l'information publiée (par le Financial Post) n'est pas véridique». Il a toutefois refusé de commenter davantage.

 

Le quotidien indique par ailleurs que des conseillers ont proposé à SNC-Lavalin de scinder l'entreprise en deux afin de séparer les «actifs souillés» par des malversations de ceux qui n'ont pas été touchés par les scandales.

 

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201506/03/01-4874881-snc-lavalin-dans-la-ligne-de-mire-de-deux-firmes-internationales.php

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  • 4 mois plus tard...

You are fortunately wrong Rocco; SNC will come back.

The balance is super strong (cash and ICI assets) and they are a predator (not a target).

CDPQ owns more than 10% of shares, blocking any potential takeover tentative. Also, I suspect they will support if they need a large cheque for an acquisition.

They are refocusing the business and still employs very capable people, winnig significant projects lately.

Btw, the HQ has been reinforced recently with almost all recent key Sr. executive hires in Mtl.

They will get over their troubles.

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Les avantages concurrentielles ne s'acquièrent pas uniquement par du dégraissage (de branches mortes, quelle que soit la hiérarchie) elles doivent aussi exiger la promotion et le recrutement de ressources humaines perspicaces et surtout moralement et intellectuellement intègres. Si SNC Lavalin poursuit sa lancée tout en recourant à ces vielles combines malhonnêtes, les concurrents n'auront pas de mal à la neutraliser sur le marché

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  • 6 mois plus tard...
....mais ca doit pas etre facile de convaincre des grosses pointures de la bas de venir s'installer a Montreal.

 

Un article dans le journal de Montréal de vendredi 29 avril 2016

 

Le patron de SNC-Lavalin s’installe officiellement à Montréal

 

Le Britannique Neil Bruce, grand patron de la firme de génie montréalaise SNC-Lavalin, a déménagé dans une maison de Westmount acquise pour 2,8 millions $. Elle est évaluée à 3,1 millions $. «Superbe résidence détachée traditionnelle (...) offrant des vues imprenables de Westmount», écrit le courtier. Neil Bruce a été nommé à la tête de SNC en 2015. Il habitait auparavant dans une résidence appartenant à l’homme d’affaires Reza Tehrani, qui a été accusé de fraude en 2012 et qui fait actuellement l’objet d’une enquête de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).

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  • 6 mois plus tard...

SNC-Lavalin envisage de vendre son siege social de Montreal | Ross Marowits | Resultats financiers

 

Le Groupe SNC-Lavalin envisage de réduire son empreinte à Montréal en vendant son siège social mondial et en regroupant ses activités dans un moins grand nombre d'immeubles.

 

La firme d'ingénieurs étudie la possibilité de vendre son édifice de 21 étages au centre-ville, ainsi que le terrain qui lui est adjacent, pour ensuite y louer des bureaux. Malgré ce projet, qui vise à réduire ses coûts, SNC-Lavalin assure qu'elle restera engagée envers la métropole du Québec.

 

«Nos employés sont répartis dans sept emplacements à Montréal, et notre objectif est de les regrouper en un moins grand nombre d'endroits et de moderniser nos lieux de travail», a expliqué le chef de la direction, Neil Bruce, lors d'une conférence de presse visant à discuter des résultats financiers du troisième trimestre.

 

SNC-Lavalin a réduit ses coûts de 95,3 millions au cours des neuf premiers mois de l'année, se rapprochant de son objectif de 100 millions pour l'ensemble de l'exercice.

 

Mais malgré les progrès au chapitre des coûts, l'entreprise a vu son bénéfice plonger au plus récent trimestre, en raison des circonstances défavorables entourant deux projets pétroliers au Moyen-Orient. SNC avait précédemment averti que ceux-ci pourraient nuire à ses résultats de 2016.

 

 

La firme de construction a engrangé un total de 43,3 millions, soit 29 cents par action, au cours du trimestre clos le 30 septembre. En comparaison, il avait réalisé un profit de 224,2 millions, ou 1,49 $ par action, pour la même période l'an dernier, mais celle-ci comprenait alors un gain de 145,7 millions lié à la vente de sa participation dans le projet minier de nickel Ambatovy, à Madagascar.

 

En excluant les éléments non récurrents, SNC-Lavalin a affiché un bénéfice de 67 millions, ou 45 cents par action, comparativement à un profit de 115,8 millions, ou 78 cents par action, un an plus tôt. Cette diminution était essentiellement liée aux difficultés connues par les projets au Moyen-Orient.

 

Les revenus ont diminué de 11 % à 2,68 milliards.

 

Selon M. Bruce, la construction du nouveau pont Champlain, à Montréal, est légèrement en avance. En outre, le carnet de commandes de 5,3 milliards $ pour les infrastructures devrait garder l'entreprise occupée tout au long de 2017, alors qu'elle présentera des soumissions pour de nouveaux projets un peu partout dans le pays.

 

«Lorsque nous observons les projets prévus, (nous constatons que plusieurs) se trouvent dans notre secteur idéal du rail et du transport», a-t-il noté.

 

SNC-Lavalin a maintenu ses prévisions de résultats pour l'ensemble de l'exercice 2016, qu'elle avait abaissées en septembre. L'entreprise mise toujours sur un bénéfice par action d'entre 1,30 $ et 1,60 $.

 

L'action de SNC a avancé jeudi de 1,97 $, soit 3,8 pour cent, à la Bourse de Toronto, pour clôturer à 54,08 $.

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  • 2 mois plus tard...

Des arpenteurs procèdent en ce moment à des travaux pour remettre un certificat de localisation à SNC Lavalin qui a vendu son terrain situé angle René-Lévesque et Bleury. Parallèlement, des ouvriers de Downing font des études de sol sur le terrain. Le nouvel acquéreur va-t-il enfin développer ce terrain vague depuis trop d'années? Décidément ce secteur de la ville est bouillonnant en ce moment!

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