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Bizarrement j'ai pas trouvé de fil pour ce méga projet au croisement de la 640 et de la 15. Un projet très important avec 1400 unités d'habitations.

 

Voici une description de la compagnie Cherokee

 

Redevelopment Plan

The mixed-use lifestyle development, known as Faubourg Boisbriand, features a communityfocused design that includes the Boisbriand Town Center, 1,400 residential units, a new community center, recreational facilities and an urban square — all within walking distance of the future regional commuter rail line that connects the site to downtown Montreal. More than 15 percent of the development is dedicated to open spaces, including parks, several miles of walking and biking trails and other public amenities. In addition, 2,400 trees are being planted on site, and roughly 140,000 tons of concrete and 2.5 million square feet of asphalt are being reused. The project’s significant achievements were recently recognized by the Canadian Urban Institute’s (CUI) prestigious 2007 “Brownie” Award for best large-scale redevelopment project. Additional information can be found on our project Web site, www. faubourgboisbriand.com.

 

Project Background

Cherokee’s project in Boisbriand, Quebec, located just 15 miles north of Montreal, is a former General Motors automobile manufacturing plant encompassing 232 acres. Industrial activity at the site resulted in soil contamination, including petroleum from leaking underground storage tanks and an oil spill.

 

The Cherokee Solution

Cherokee acquired the property in 2004, upgraded the remediation to residential standards and secured the necessary entitlements to facilitate redevelopment of an integrated lifestyle community that combines shopping facilities with residential and office space, while providing urban infrastructures and respecting the natural environment. The project was designated as a pilot for USGBC’s new Leadership in Energy and Environmental Design for Neighborhood Development (LEED-ND) program, which integrates principles of smart growth, neighborhood design and green building.

 

 

 

Volet résidentiel

 

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Le complexe NC4, comptant 68 condos, est situé sur la magnifique avenue bordée d’arbres de la Promenade Saint-Germain, à proximité de la Place de la Fontaine. Les commerces et restaurants environnants complètent ce quartier chaleureux.

http://www.nc4condosboutique.com/

 

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Les habitations du Quartier

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Maisons en rangées

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Les loggias sur le parc

 

Les unités multifamiliales sont des bâtiments de grande qualité de 4 à 7 étages, avec ossature de béton et ascenseurs. Chaque unité comporte de 1 à 3 chambres, l’accès au garage souterrain et une vue sur le parc central et sur le lac, assurant calme et tranquillité.

 

Vue04_v01-lr2.jpg

 

Les triplex du Faubourg Boisbriand comprennent 21 bâtiments de 2 triplex chacun. Idéal comme investissement, ils peuvent être loués, habités ou vendus en condos

 

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Volet commercial

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Adidas

Allstate

Aqua Tapas

Banque Scotia

Bâton Rouge

Bell

Bouclair

Brick

Bronzage Laguna

Bureau en Gros

CentreCorp

Commensal

Costco

Déco Découverte

DeSerres

Dollarama

Empire Sports

Future Shop

Golf Town

Homesense

IGA Extra

JYSK

Kabab Restaurant

La Cage aux Sports

L’Entrepôt du Cadre

L’Équipeur

Linen Chest

Presse Café

SAQ

Structube

Subway

TD Canada Trust

Toys’R’Us

Vacances Le Faubourg

Vinnie Gambini’s

Zellers

À venir au Faubourg

 

Antoine Laoun Opticien

Café Folie

Cuisine Gourmet

Grafica Studio de photos

Jack Astor's

McDonald's

Petcetera

Telus

Trade Secret

Wasabi

 

Le Village

(ouverture 2009)

 

Le Village Phase II

(à venir au Faubourg)

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Métamorphose verte à Boisbriand

 

Publié le 14 novembre 2008 à 10:04:49 | Mis à jour à 10:32:43

 

 

 

Le secteur commercial du Faubourg Boisbriand a pris forme en premier. Le quartier résidentiel est aménagé à côté. Les futurs résidants pourront faire leurs courses à pied. Ils n’auront pas besoin de prendre leur voiture pour aller au restaurant, au cinéma ou au théâtre.

 

Photo Rémi Lemée, La PresseDanielle Bonneau

La Presse

 

 

 

L’ancienne usine GM, à Boisbriand, n’est plus qu’un souvenir. À l’intersection des autoroutes 15 et 640, Cherokee Canada et ses partenaires innovent en aménageant à la place un quartier résidentiel vert, lié de près à un secteur commercial et industriel. Le but: réduire la dépendance à l’automobile et fournir une excellente qualité de vie.

 

>> Visitez le chantier en photos.

 

Pour concevoir un projet résidentiel avant-gardiste, le promoteur s’est inspiré des principaux courants en urbanisme (New Urbanism, Smart Growth et Transit Oriented Development). Faubourg Boisbriand est d’ailleurs l’un des cinq projets pilotes québécois retenus par le Conseil du bâtiment durable des États-Unis pour mettre au point sa nouvelle grille d’évaluation des quartiers, LEED-Neighborhood Development.

 

Cette nouvelle norme LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) poursuit plusieurs objectifs: réduire l’étalement urbain, diminuer la dépendance face à l’automobile, promouvoir une utilisation efficace de l’énergie et de l’eau, encourager les activités pédestres, améliorer la qualité de l’air et protéger l’environnement. Afin de former une communauté aux intérêts diversifiés, la construction de plusieurs types d’habitations, destinées à des clientèles variées, est également encouragée.

 

«Grâce à l’interaction entre les différents milieux, les résidants auront à proximité tous les services dont ils auront besoin, a indiqué Hélène Gignac, chef de l’exploitation du Faubourg Boisbriand. Ils ne devront pas toujours se déplacer en voiture.»

 

La construction d’une gare de banlieue, un projet inscrit au plan triennal d’immobilisations 2008-2010 de l’Agence métropolitaine de transport (AMT), favorisera l’utilisation des transports collectifs. «C’est un de mes souhaits les plus grands», a souligné la mairesse de Boisbriand, Sylvie St-Jean, qui suit de très près l’évolution des différents chantiers.

 

Avec l’ouverture à proximité, au cours des deux prochaines années, de restaurants et de terrasses, d’un hôtel de la chaîne Marriott, d’un théâtre régional et d’un cinéma, le promoteur compte reproduire un mode de vie urbain, en banlieue. Parallèlement, dans le secteur résidentiel, il aménagera beaucoup d’espaces verts, des sentiers piétonniers et des pistes cyclables. « Nous avons voulu créer un environnement à échelle humaine », a précisé Mme Gignac.

 

Un quartier pas comme les autres

 

En pénétrant dans le secteur résidentiel du Faubourg Boisbriand, les visiteurs sont avisés : ils entrent dans un lieu qui vise la certification LEED-ND (Neighborhood Development). Sur les chantiers, la présence de bacs, dûment identifiés, témoignent d’une gestion organisée des déchets et des matières recyclables. Des trottoirs de béton blanc ont déjà été aménagés pour faciliter la marche tout en réduisant les îlots de chaleur.

 

Le lac, qui recueillera les eaux de ruissellement à travers le site, a pris forme. Les voitures des résidants, par ailleurs, sont invisibles, car elles sont garées dans les stationnements souterrains. Et aucun fil, qu’il soit électrique ou téléphonique, ne dépare le paysage. Tous les fils, en effet, ont été enfouis.

 

Faubourg Boisbriand est l’un des cinq projets-pilotes québécois retenus par le Conseil du bâtiment durable des États-Unis pour mettre au point sa nouvelle grille d’évaluation des quartiers, LEED-ND. Les quatre autres sont le Technopôle Angus, le Campus Outremont de l’Université de Montréal, le Quartier sur le fleuve, à l’Île-des-Sœurs et L’Éco-quartier, à Saint-Marc-sur-Richelieu.

 

«Pour faire ce type de projet-pilote, il faut voir le développement durable comme nécessaire et incontournable, indique Claude Bourbeau, président de la section québécoise du Conseil du bâtiment durable du Canada, qui participe au projet du Campus Outremont, en attente de financement. Déjà, pour faire certifier un bâtiment LEED, cela demande un certain effort. Imaginez lorsqu’on contribue à développer un outil pour évaluer la performance environnementale de l’aménagement d’un quartier !»

 

Des critères stricts

 

Pour recueillir les points nécessaires à l’obtention de l’accréditation LEED-ND, les promoteurs doivent rencontrer des critères bien précis. Pour se qualifier, Faubourg Boisbriand devait notamment occuper un emplacement stratégique, être à proximité d’infrastructures sanitaires et pluviales et préserver des terres agricoles. Il obtient d’entrée de jeux trois points pour avoir redonné vie à un terrain contaminé. Sur une possibilité de 106 points (selon une évaluation préliminaire), le projet-pilote compte obtenir 72 points, ce qui lui vaudrait une accréditation Or.

 

«Le système LEED-ND nous permet de réfléchir à la façon dont on veut s’y prendre pour créer un quartier écologique, même en banlieue, souligne Lyse Tremblay, consultante LEED pour le Faubourg Boisbriand. On obtient des points, par exemple, lorsqu’on favorise le transports en commun, aménage des pistes cyclables et des sentiers piétonniers, favorise l’accès aux espaces environnants et propose divers types d’habitations.»

 

Les constructeurs qui bâtissent les maisons en rangée, les condos et les triplex dans le secteur résidentiel se sont tous engagés à respecter certaines normes bien précises. Ils doivent par exemple capter l’eau de pluie et la réutiliser pour arroser les aménagements paysagers, composés de plantes indigènes. Pour réduire de 30 % la consommation d’eau, ils doivent installer des robinetteries à faible débit et des toilettes à double chasse. Pour réduire la consommation d’énergie, par ailleurs, toutes les habitations doivent être certifiées Novoclimat.

 

Éric Boudreau, président des Habitations du quartier, a décidé d’aller plus loin en faisant certifier ses maisons en rangée LEED for Homes. Une première, au Québec.

 

«Il faisait déjà plein de choses pour se conformer aux exigences du système d’évaluation LEED-ND, indique Emmanuel Blain-Cosgrove, responsable de la vérification du programme LEED for Homes au Québec. Sans être un écologiste jusqu’à la moelle, il a choisi de pousser plus loin sa démarche et d’atteindre l’excellence en habitation verte. C’est quelque chose !»

 

http://www.faubourgboisbriand.com/index_flash.html

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  • 2 mois plus tard...

Boisbriand a gagné au change

 

Publié le 14 février 2009 à 12h20 | Mis à jour à 12h22

 

Hélène Baril

La Presse

 

Si plusieurs ex-employés de GM se sont ennuyés de leur chèque de paie après la fermeture de leur usine, la ville de Boisbriand, elle, s'est bien remise de cette perte.

 

En réalité, la ville se porte même mieux que lorsque l'usine était en activité, selon la mairesse Sylvie St-Jean.

 

Faubourg Boisbriand, le complexe commercial et résidentiel qui occupe maintenant l'emplacement de l'usine, a généré 3 millions d'impôts fonciers en 2008, comparativement aux 2,5 millions par année qui provenaient de GM. La ville s'attend à recevoir jusqu'à 10 millions par année en taxes lorsque le projet sera complété.

 

 

 

Élue à la mairie en 2005, Sylvie St-Jean était membre du conseil municipal quand GM a plié bagage, en 2002. «Ça n'a pas été facile», rappelle-t-elle.

 

À l'époque, on prévoyait le pire. Les emplois disponibles étaient loin d'offrir le même salaire que le fabricant américain d'automobiles. Dans les commerces de détail qui ont poussé sur les ruines de l'usine, le salaire tourne autour de 8,50$, loin des 30$ l'heure des employés de GM. Les sous-traitants allaient tous périr. La région pouvait se vider de ses habitants.

 

Ce n'est pas ce qui s'est passé. La région a connu une croissance démographique soutenue. À proximité de Boisbriand, d'autres emplois de qualité ont été créés, notamment dans le secteur aéronautique (Bombardier, Pratt&Whitney) et dans le secteur du transport (Nova Bus).

 

«Malgré la fermeture des installations de GM à Boisbriand, l'industrie axée sur la fabrication de matériel de transport ne s'est pas effondrée dans les Laurentides», constate l'économiste Louis Gagnon, de Desjardins, qui a examiné de près les forces et les faiblesses de la région.

 

L'attrait de la région pour les premiers acheteurs de maisons a créé un véritable boom démographique, ce qui a stimulé les investissements dans la construction, le commerce de détail et les autres services, explique-t-il.

 

Résultat: le taux de chômage, qui avait légèrement remonté en 2002, s'est remis à diminuer en 2003. Il se situe depuis à un niveau inférieur à la moyenne québécoise, qui est de 7,4%.

 

La proximité de Montréal et sa situation stratégique au carrefour des autoroutes 15 et 640 a facilité l'occupation rapide de l'immense terrain occupé par l'usine. Il a été racheté pour 53 millions par la firme américaine Cherokee, dont le siège social est à Raleigh, en Caroline-du-Nord.

 

Faubourg Boisbriand est un projet à long terme qui devrait accueillir des investissements totalisant un milliard de dollars dans des commerces, des résidences et des entreprises.

 

Selon Hélène Gignac, chef de l'exploitation de Faubourg Boisbriand, 65% du volet commercial est complété. Côté résidentiel, 300 des 1700 unités d'habitation devraient être livrées à la fin de l'année.

 

Un parc d'affaires devrait venir s'ajouter aux volets commercial et résidentiel, si tout se passe comme prévu. Le ralentissement économique pourrait retarder le projet, mais pas le compromettre. «Les gens sont plus prudents dans leurs décisions, mais les choses continuent d'avancer», assure Hélène Gignac.

 

Pour compléter leur projet, les promoteurs de Faubourg Boisbriand rêvent d'une gare qui mettrait le centre-ville de Montréal à quelques minutes des résidants. Des résidants qui peuvent déjà trouver de tout à distance de marche de leur maison, qui profitent de voies cyclables et qui pourraient vivre sans auto. C'est tout un changement de vocation pour un emplacement où il s'est fabriqué des voitures pendant 37 ans.

 

À terme, Faubourg Boisbriand devrait générer autant d'emplois que l'usine GM à sa fermeture, soit environ 1500.

 

Les salaires et les conditions de travail reliées à ces emplois, surtout dans le commerce de détail, sont toutefois à des années-lumière de celles dont ont profité les salariés de GM.

 

L'économiste de Desjardins en convient: les salaires et autres avantages payés par GM sont impossibles à battre, et sont d'ailleurs responsables en partie des difficultés actuelles du manufacturier.

 

Malgré tout, des entreprises comme Bombardier et Pratt&Whitney ont besoin de travailleurs qualifiés et doivent offrir de bons salaires pour les garder, souligne Louis Gagnon.

 

Avec le temps, la région a prouvé qu'elle pouvait vivre sans GM. En 2001, 23,1% des résidants travaillaient à l'extérieur de la région (surtout à Montréal). En 2006, cette proportion n'était plus que de 21,8%. «Elle réussit à décoller son étiquette de région-dortoir», constate l'économiste.

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  • 10 mois plus tard...

Ah je savais pas que le truc à Boisbriand était ici.

 

 

Un jour j'étais allé jusque là-bas chercher un magasin en particulier...

En tout cas je n'ai vraiment pas aimé cet endroit.

 

 

11 octobre 2009

 

centre d'achat

IMG_4419.jpg

 

résidences au fond

IMG_4420.jpg

 

Ce jour-là (dimanche) il y avait énormément de trafic sur la A-15 nord et la A-640 est

IMG_4415.jpg

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  • 1 année plus tard...

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