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Agrandissement Stade Percival-Molson


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Agrandissement du stade Molson: «Ça niaise et ça niaise...»

 

Miguel Bujold

 

La Presse

 

Larry Smith ne sait plus quoi penser. Le président des Alouettes estime que son organisation a tout fait ce qui a été exigé d'elle pour le projet d'agrandissement du stade Percival-Molson.

 

Mais le dossier, bloqué dans les bureaux de la Ville de Montréal, n'avance pas d'un pouce.

 

«On aimerait avoir une rencontre avec le maire Tremblay le plus tôt possible, mais on ne nous répond pas, a expliqué M. Smith lors d'une entrevue téléphonique. Les gouvernements provincial et fédéral ont accepté de s'impliquer et on n'attend que la Ville de Montréal pour officialiser, mais ça niaise et ça niaise et ça niaise...»

 

Jouant à guichets fermés depuis 1997, les Alouettes veulent ajouter 5000 sièges à leur domicile, ambition qu'ils caressent depuis plusieurs années déjà. Coût de l'aventure: entre 28 et 30 millions.

 

Selon Smith, les gouvernements provincial et fédéral auraient accepté d'investir approximativement 10 millions chacun, alors que les Alouettes s'engagent à trouver 4,6 millions du secteur privé. Ne resterait que les 4,4 millions demandés à la Ville.

 

«Nous avons revu nos demandes à la Ville à la baisse parce que nous comprenons la situation dans laquelle elle se trouve. Nous savons qu'elle est très sollicitée et nous sommes conscients que ce n'est pas le dossier le plus important pour elle. Mais en même temps, on parle d'un projet rassembleur qui profitera à plusieurs personnes. Et ça fait plusieurs années qu'on travaille sur ce dossier.

 

«Depuis 1998, nous avons investi 2,5 millions afin de rénover un stade qui ne nous appartient pas, a rappelé Smith. Ça ne fait aucun doute qu'il y a une demande pour un plus grand nombre de places. Nous avons 17 400 détenteurs de billets de saison à l'heure actuelle et notre liste d'attente en compte déjà 2000 autres.»

 

À défaut d'avoir résolu toutes les questions sur le plan financier, l'organisation aurait réglé celles concernant l'environnement.

 

«Nous avons rencontré plusieurs groupes de pression et, sans dire qu'ils sont maintenant heureux, ils sont contentés. Nous avons modifié le projet afin de les satisfaire, a indiqué le président. On devra abattre 68 arbres si le projet se réalise, mais notre organisation s'engage à planter 300 arbres et 500 arbustes.»

 

La Ville en dit peu

 

De son côté, la Ville de Montréal s'est montrée avare de commentaires. «Nous sommes à l'étape de prendre une décision. On analyse présentement le dossier», s'est limité à dire le relationniste Bernard Larin.

 

Smith, lui, croit que la Ville a eu amplement de temps pour étudier la question.

 

«Ça fait plus de deux ans qu'on attend. Et le coût du projet augmente de deux à trois pour cent à chaque année en raison du prix des matériaux et de la main-d'oeuvre», a poursuivi l'ancienne vedette des Alouettes, qui soutient que l'avenir de la concession montréalaise est directement lié aux 5000 nouveaux sièges.

 

«Notre bail actuel se termine en 2010. Si nous annonçons que le projet va de l'avant d'ici l'automne, nous croyons qu'il pourrait être complété à temps pour la saison 2010 ou 2011. N'importe quelle entreprise est en affaires afin de faire des profits et, présentement, ce n'est pas notre cas. Nous ne voulons pas augmenter le prix des billets de façon significative, alors la survie de l'équipe passe par l'agrandissement du stade. C'est également un must afin qu'on puisse continuer à avoir une équipe compétitive sur le terrain.

 

«C'est le temps de bouger! C'est M. Tremblay qui décidera de l'avenir du football à Montréal.»

 

L'essor du football

 

Il ne fait aucun doute que le football a connu un essor fulgurant au Québec depuis une dizaine d'années. Les équipes de football mineur et universitaire ont jailli de partout et les Alouettes y sont pour beaucoup. L'organisation se fait un devoir d'être impliquée dans différentes écoles à travers la province. D'ailleurs, pour une équipe professionnelle avec des moyens limités - rappelons que les joueurs font en moyenne moins de 100 000$ par année - son implication dans la communauté est à peu près irréprochable.

 

Puis, il y a le fait que les Alouettes évoluent devant des salles combles depuis maintenant 10 ans. Vous voulez une paire de billets pour un match au mois d'août? Bonne chance.

 

Malgré tout ça, la Ville, elle, marche sur des oeufs. Compte tenu de toutes les demandes qui lui parviennent, c'est évident qu'il s'en trouvera pour critiquer sa décision si elle devait accepter de venir en aide à une équipe de sport professionnel, même si celle-ci ne ressemble pas vraiment aux équipes professionnelles typiques...

 

Montréal est-elle encore une ville de sport? À ce compte, la décision du maire Tremblay nous en dira plus long.

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Membres prolifiques

Stade Molson: où est M. le maire?

 

Réjean Tremblay

 

La Presse

 

Les Alouettes de Montréal ont fait tout ce qu'ils devaient faire pour qu'on puisse enfin réaliser le projet d'agrandissement du stade Molson de l'Université McGill.

 

Le fédéral et le provincial sont d'accord, les problèmes de petits lobbies du «non à tout sauf les lits d'hôpitaux» sont résolus, ne reste plus que la Ville à branler dans le manche.

 

Ah ! La Ville ! Ah ! Le maire Gérald Tremblay !

 

Ça vous surprend que le maire Tremblay et ses conseillers se poussent dans les garde-robes dans ce dossier ? Vous croyez que M. Tremblay, un fort gentil monsieur par ailleurs, a le coffre voulu pour mener à bien ce projet comme l'a fait avant lui Jean Doré avec le stade Uniprix du Parc Jarry ?

 

Le dimanche du Grand Prix, j'en ai encore appris beaucoup sur ce qui se passait à l'hôtel de ville. Et honnêtement, ce n'est pas toujours la faute du maire Tremblay si tout semble aller croche à la Ville. La Ville n'a pas d'argent, les cols bleus font ce qu'ils veulent, les autobus roulent quand ça leur tente et le maire n'arrive pas à prendre certaines décisions qui s'imposeraient.

 

Ce dimanche de Grand Prix, j'ai appris que M. Tremblay espérait imposer une surtaxe de 2 % sur les tickets pour les spectacles et les événements sportifs. Que le Grand Prix du Canada paye déjà 700000$ en loyer n'était pas suffisant. Gérald visait une taxe supplémentaire pour être certain que le cochon de contribuable qui paye déjà la TPS et la TVQ dans son billet de Grand Prix, dans son abonnement de saison pour le Canadien ou les Alouettes ou pour un concert à la Place des Arts, que ledit cochon allait se faire égorger encore davantage.

 

C'est fait, le gouvernement de Jean Charest vient d'autoriser Gérald Tremblay à aller de l'avant avec sa surtaxe qui va taxer la TVQ qui elle-même taxe la TPS. Ça veut donc dire que le citoyen honnête va payer trois taxes sur un ticket qu'il paye avec ce qu'il lui reste après avoir payé tous ses impôts fédéral et provincial et toutes ses taxes scolaires et municipales.

 

Ce sont vraiment des menteurs. Ils avaient enlevé la taxe d'amusement en la remplaçant par la TPS et la TVQ. Ça serait plus juste, qu'ils nous disaient. Qu'est-ce qui fait que la surtaxe à Tremblay est maintenant juste ?

 

Vous aurez compris que ce sont les amateurs de sport et les gens qui s'intéressent à la vie culturelle qui vont financer une partie du trou de Montréal. Vos billets pour le Canadien viennent de subir une augmentation que même George Gillett avait oubliée. Même chose pour vos billets des Alouettes.

 

Sauf que bout de clisse, cette fois la Ville n'a plus de raison de tataouïner. Le sport et la culture vont faire tomber des millions dans les coffres de la Ville, que le maire s'arrange pour au moins améliorer les services offerts aux amateurs et aux organisations. L'amélioration du stade Molson, dont la propriété reste à l'Université McGill, c'est un investissement pour une Ville qui ressemble à un gros morceau de gruyère tellement on y trouve des trous de toutes sortes.

 

On pourrait peut-être avoir un semblant de projet quelque part en ville, non ? Surtout que ce sont les Alouettes qui vont être maîtres d'oeuvre et que de ce simple fait, il y a de bonnes chances que ça fonctionne.

 

Quand c'en est rendu dangereux de circuler sur les puisards de la ville parce qu'ils peuvent vous exploser en pleine face comme c'est arrivé cette semaine au coin d'Atwater et Sherbrooke, on se dit que tous les lobbies du Non ne peuvent avoir tout le temps raison.

 

Gérald Tremblay a montré dans le passé qu'il pouvait être un leader. Le présent aurait bien besoin qu'il se bouge un peu les fesses.

 

leur temps !

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  • 2 semaines plus tard...

29 juin 2007 Enfin du positif pour le projet d'agrandissement du stade Percival-Molson où les Alouettes de Montréal, de la Ligue canadienne de football (LCF), disputent leurs matchs locaux.

 

« Les Alouettes peuvent dire de façon très claire qu'ils ont l'appui de la Ville de Montréal, affirme le maire Gérald Tremblay. Partant de là, je fais confiance aux Alouettes pour finaliser les discussions avec les gouvernements provinciaux et fédéraux. »

 

L'appui de la Ville de Montréal, les Alouettes craignaient ne pas l'obtenir depuis quelques semaines. Mais, une rencontre vendredi matin à l'hôtel de ville entre le maire Tremblay et le président des Alouettes Larry Smith a fait changer le vent de bord.

 

« On a identifié des pistes de solutions et je pense que d'ici quelques semaines on essaiera de donner une réponse positive aux Alouettes », affirme Tremblay.

 

Afin d'assurer la rentabilité de l'équipe, les Alouettes rêvent depuis plusieurs années à l'ajout de 5000 sièges au vieux stade du campus McGill.

 

Les gouvernements fédéral et provincial ont déjà donné leur accord pour investir 10 millions de dollars chacun dans le projet. La Ville de Montréal doit fournir 4,4 millions.

 

Les Alouettes jouent à guichets fermés depuis 1997 et l'avenir de l'équipe dans la métropole passe par l'agrandissement du stade.

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  • 2 semaines plus tard...
  • Administrateur

Agrandissement du stade Molson: Montréal dit oui

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Photo Bernard Brault, La Presse

 

 

 

Cyberpresse, La Presse

La Ville de Montréal a accordé mercredi après-midi aux Alouettes le financement nécessaire au projet d'agrandissement du stade Percival-Molson.

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Avec ce versement de 4,3 millions, les Alouettes pourront aujouter 5000 sièges au vétuste stade du campus McGill.

 

Le dossier traînait depuis plusieurs mois, ce qui a soulevé l'ire du président des Alouettes, Larry Smith.

 

Selon ce que rapportait Smith ces dernières semaines, les gouvernements provincial et fédéral auraient accepté d'investir approximativement 10 millions chacun, alors que les Alouettes s'engagent à trouver 4,6 millions du secteur privé.

 

Avec Jean-Sébastien Gagnon, La Presse

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  • 6 mois plus tard...

Stade : des bonnes nouvelles

Samedi 12 janvier 2008

 

RDS.ca

 

Selon La Presse, les Alouettes pourront aller de l'avant avec l'agrandissement du stade Percival-Moslon. Québec a approuvé les plans de transformation mais l'équipe devra toutefois apporter quelques modifications.

 

L'équipe a déjà reçu l'assurance d'une aide financière de 4,2 millions de Montréal. Les Alouettes attendent maintenant des aides d'Ottawa et Québec pour mettre en branle le projet de 25 millions.

 

Les modifications, à caractère patrimonial, visent à protéger la montagne.

 

http://www.rds.ca/alouettes/chroniques/243649.html

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  • Administrateur

Les plans approuvés

Mise à jour le samedi 12 janvier 2008, 19 h 01 .

.

060902stadepercival-molson_n.jpgStade Percival-Molson

 

Les Alouettes de Montréal viennent d'avancer d'un autre premier jeu...

 

Le gouvernement du Québec a approuvé les plans d'agrandissement du stade Percival-Moslon, selon ce que rapporte La Presse de samedi.

 

En retour, le gouvernement exigera quelques modifications pour protéger le caractère patrimonial de la montagne. Les Alouettes attendent maintenant que les promesses se transforment en argent sonnant et trébuchant pour faire une annonce officielle.

 

Les Alouettes ont déjà reçu un engagement financier de 4,2 millions sur 5 ans du maire Tremblay. Ils attendent aussi que le fédéral et le provincial débloquent chacun 10,4 millions.

 

Parmi les compromis imposés par le gouvernement, plusieurs touchent le panneau indicateur de 6,6 m sur 11 m. Les Alouettes se sont engagés à le déplacer d'une centaine de pieds plus au nord afin de le rendre moins envahissant, et de l'abaisser de 45 cm, à la demande de citoyens.

 

Aussi, pour minimiser l'impact visuel derrière le tableau, des arbres devront être plantés. Le Ministère exige enfin que des mesures soient prises pour protéger les arbres matures durant les travaux de rénovation.

 

http://www.radio-canada.ca/regions/montreal/version_imprimable.asp?nv=/regions/Montreal/2008/01/12/002-stade-molson.xml

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  • Administrateur

Les Alouettes marquent un touché

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Photo Bernard Brault, La Presse

 

 

 

Sara Champagne

La Presse

La direction des Alouettes de Montréal vient de marquer un touché. Le gouvernement du Québec a approuvé ses plans pour agrandir le stade Percival-Molson, moyennant quelques modifications pour protéger le caractère patrimonial de la montagne.

 

 

L'équipe de football, qui a déjà obtenu un engagement financier de 4,2 millions sur cinq ans de l'administration Tremblay, attend que le provincial et le fédéral débloquent chacun 10,4 millions de dollars avant d'en faire l'annonce officielle.

Les discussions entre le ministère de la Culture et les Alouettes ont duré plus d'un an avant qu'une autorisation écrite soit délivrée, juste avant Noël, le 20 décembre. Au total, huit améliorations sont exigées aux plans qui avaient pourtant été approuvés, tels quels, par la Ville de Montréal.

 

La modification la plus importance concerne le panneau indicateur géant, d'une dimension de 6,6 mètres sur 11, au-dessus de la zone des buts, du côté est. Les Alouettes se sont engagés à le déboulonner de son socle pour le déplacer d'une centaine de pieds, plus au nord, afin de le rendre moins «envahissant», tel que décrié par l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) lors des audiences sur le projet. Toujours au chapitre de l'écran, jugé trop haut par les citoyens des environs, le Ministère exige qu'il soit abaissé de 45 centimètres (un pied et demi).

 

Le directeur du patrimoine et de la muséologie au ministère de la Culture, Jean Bissonnette, qui a révélé les détails de l'entente à La Presse, ajoute que pour minimiser «l'impact visuel» derrière le panneau indicateur, où il y a une dizaine d'espaces de stationnement, des arbres devront être plantés. Le Ministère exige aussi des mesures durant les travaux pour protéger les arbres matures et la pose de pierres naturelles à l'entrée principale, où se trouve la billetterie.

 

«Pour chaque arbre coupé, il y aura trois arbres de plantés, assure M. Bissonnette. Au total, 50 arbres seront coupés pour 150 arbres replantés. Nous avons traité ce dossier comme les autres, mais on espère qu'il servira d'exemple aux autres promoteurs pour travailler en amont de leur projet.»

 

À la direction des Alouettes, on se réjouit de l'autorisation, qui va entraîner des coûts supplémentaires «minimes», mais on signale qu'il ne s'agit là que d'une autre étape. Claude Rochon, vice-président au marketing et communications des Alouettes, affirme qu'il a eu une rencontre positive à Ottawa, cette semaine, avec Lawrence Cannon, ministre des Transports, en plus d'un engagement financier «non formel» du provincial. «On pense qu'avec les modifications qui seront apportées, il ne va rester qu'une poignée de citoyens mécontents, soutient M. Rochon. Notre projet va améliorer un secteur de la montagne; on va redonner de la biodiversité, en plus de freiner l'érosion du sol du côté est du site.»

 

 

Calmer le jeu?

 

 

En revanche, le regroupement Les Amis de la montagne, préoccupé depuis trois ans par l'impact de l'agrandissement sur le mont Royal, se demande si les modifications demandées «rencontrent les standards d'excellence» de l'arrondissement, décrété «historique et naturel» par le gouvernement. Les gradins demeurent à la même hauteur, fait-on remarquer.

 

«Pourquoi on n'a pas fait déplacer l'écran de l'autre côté du stade, là où il y a des stationnements? s'interroge Sylvie Guilbault, directrice générale des Amis. Ce que je comprends, c'est que l'écran est essentiel au stade, oui, mais on le cache derrière des boisés, c'est donc qu'il ne l'est pas pour la montagne.»

 

Mme Guilbault prévient qu'elle va profiter de la révision de la loi sur les biens culturels, avec la nouvelle pièce pour ajouter un statut de protection aux paysages, pour poser des questions au gouvernement. «Ça va nous prendre une explication globale, dit-elle. Le gouvernement ne nous a pas donné de justifications sur les modifications, ni les Alouettes. On se demande si elles ne servent qu'à calmer le jeu.»

 

Même son de cloche chez les citoyens qui vivent aux abords du stade.

 

«Quelles que soient les lois, cette autorisation démontre aux promoteurs de la montagne qu'il est possible d'y déroger, déplore Janine Kirby, de l'Association du Village Durocher. On nous promet, par exemple, qu'il n'y aura pas de concert rock au stade, mais on n'a pas obtenu de garantie écrite. Les Alouettes ont été bons joueurs dans leur projet, mais la Ville et le gouvernement n'ont pas porté leurs culottes.»

 

http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPACTUALITES/801120783/1019/CPACTUALITES

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  • 1 année plus tard...

C'est fait, les Alouettes auront leur stade rénové

 

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(CKAC)– Selon ce qu'a appris CKAC Sports, d'ici les prochaines semaines, les Alouettes annonceront qu'ils ont une entente avec l'Université McGill pour procéder aux dernières rénovations du stade Percival Molson. Les rénovations permettront aux Alouettes d'ajouter 5000 sièges de plus du côté sud du stade. Le projet inclut aussi une nouvelle entrée. Celle-ci donnera du côté est du stade, rue Parc.

 

Certaines rumeurs circulaient à l'effet qu'il y avait un différent financier entre le propriétaire des Alouettes Robert Wetenhall et les gens de l'Université, mais il semble que le dossier soit maintenant réglé.

 

«Ça n'a pas été facile de convaincre l'Université McGill que les rénovations étaient nécessaires. Mais je crois que les revenus qui leur reviennent à cause des concessions et de la publicité qui leur revient grâce à nous, ont eu comme effet de les convaincre», a mentionné le vice-président marketing des Alouettes Claude Rochon.

 

Une partie des rénovations seront déboursées par les différents paliers de gouvernements.

 

«On croit qu'en l'espace de 6 saisons, le gouvernement aura récupéré tout son argent grâce aux différentes taxes payées. Je crois que cette nouvelle est bonne pour le monde du football en général, mais plus précisément ça assurera la survie du football canadien à Montréal.»

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