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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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46 minutes ago, Né entre les rapides said:

Les snobinards (ou plus simplement les snobs) sont probablement les plus grandes victimes de cet abus de clichés.

C'est vrai qu'étymologiquement, les s. nob.  (sine nobilitate) font partie de la «plèbe» , mais il ne faut pas penser pour autant que tous les gens ordinaires (désignés péjorativement comme des plébéiens) succombent à ces termes accrocheurs: la plupart ont encore une tête sur les épaules, et sont parfaitement capables de discerner les valeurs réelles des fausses.  

Quand ils déménagent à Laval ça l'enlève toute prose à votre texte.

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il y a 56 minutes, p_xavier a dit :

Quand ils déménagent à Laval ça l'enlève toute prose à votre texte.

Je ne dirai pas que je suis «confus», je dirai bien humblement que je ne comprend pas très bien: prière de m'édifier un peu!. 

Ce que je sais, c'est qu'il y a toutes sortes de clichés attachés à différentes villes, arrondissements ou quartiers, alors même que chacun chacune de ces villes, arrondissements ou quartiers regroupent des réalités parfois fort contrastées.  Il me serait facile de fournir moult exemples, mais je présume que  ce serait superflu.

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10 hours ago, Né entre les rapides said:

Je ne dirai pas que je suis «confus», je dirai bien humblement que je ne comprend pas très bien: prière de m'édifier un peu!. 

Ce que je sais, c'est qu'il y a toutes sortes de clichés attachés à différentes villes, arrondissements ou quartiers, alors même que chacun chacune de ces villes, arrondissements ou quartiers regroupent des réalités parfois fort contrastées.  Il me serait facile de fournir moult exemples, mais je présume que  ce serait superflu.

On peut cracher sur le marketing comme on veut, ça reste que ces mêmes gens sont vendus un style de vie urbain à Laval, et ils adhèrent à ça.

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https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1093835/montreal-economie-immobilier-condominiums

Le marché des condos a toujours le vent dans les voiles à Montréal

Publié le samedi 7 avril 2018 à 18 h 53Mis à jour le 7 avril 2018 à 19 h 42

 

Un peu partout à Montréal, elles poussent; les tours en copropriété continuent de se multiplier dans la métropole, et ce ne sont pas les prix parfois très élevés qui découragent les acheteurs.

Tout juste à côté du Centre Bell, le complexe immobilier des Canadiens croît lentement, et les unités d'habitation s'y vendent comme de petits pains chauds.

Dans la deuxième tour toujours en construction, tout est déjà vendu. Une troisième tour doit prochainement venir s'ajouter au projet immobilier dont la popularité ne se dément pas.

Au bureau des ventes de cette troisième tour, on propose de visiter les futures résidences à l'aide de la réalité virtuelle, en plus de rencontrer Guy Carbonneau, ex-hockeyeur et ancien entraîneur du CH.

« D'avoir accès au Centre Bell, au métro, au train [de banlieue] juste à côté, je pense que c'est un avantage pour les gens qui veulent acheter ici », estime-t-il, tout en rappelant qu'avant la mise en chantier du projet immobilier, les alentours du Centre Bell étaient « délabrés » et sous-développés depuis des années.

Pluralité des offres

Ce n'est pourtant pas le choix qui manque dans le centre-ville de Montréal. On y trouve quelque 8000 condos neufs offerts dans les bureaux de vente et répartis entre une cinquantaine de projets.

L'an dernier, 3400 unités ont trouvé preneur dans le quartier, un record.

Mais qui achète ces condos? « C'est très diversifié », explique Paul Cardinal, directeur de l'analyse du marché à la Fédération des chambres immobilières du Québec.

« Disons que la principale clientèle, c'est les professionnels qui sont seuls, ou en couple sans enfant. Mais il y a aussi un peu d'investisseurs, qu'ils soient originaires d'ici ou de l'étranger, parce qu'il y a environ une copropriété sur quatre qui est offerte en location. »

Pour l'instant, toutefois, ces investisseurs sont peu nombreux sur le marché, y compris lorsque l'on compare la métropole aux autres grandes villes du pays : s'ils représentent 1 % des acheteurs-locateurs à Montréal, ils sont 4 % à Toronto et 8 % à Vancouver.

Les prix de l'immobilier sont par ailleurs plus élevés dans ces deux villes, rappelle M. Cardinal.

Pour le moment, l'offre est très bien enlignée avec la demande qui est vraiment en pleine effervescence actuellement. Nous on prévoit que ça va continuer de se poursuivre au cours des prochains. C'est sûr qu'à un moment donné, l'augmentation des taux d'intérêt va faire son effet.

Paul Cardinal, directeur de l'analyse du marché à la Fédération des chambres immobilières du Québec

Et pour l'instant, les banlieusards vendant leur résidence au moment de la retraite n'alimentent pas pour l'instant le boom immobilier à Montréal, poursuit le responsable de la Fédération des chambres immobilières du Québec.

Car même si ceux-ci vendent leur domicile, ils demeurent habituellement en périphérie de Montréal.

Avec les informations de Sarah Sanchez et Michel Marsolais

Reportage vidéo : http://ici.radio-canada.ca/info/videos/media-7880858/montreal-economie-immobilier-condominiums?isAutoPlay=true

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I am sure that he deliberately avoided mentioning Cadillac Fairview; in part perhaps because it goes against his central thesis. I can understand that, but the Cadillac Fairview impact is a is a current reality and it is a hangover from the past where we allowed outside interests to benefit financially, without their paying any real consideration to the long-term interests of the city. And, why would they? They are not from here; they have deep ;pockets; they can make quick bucks and then move on. That`s what they do. So., although this article demonstrates some important improvements, we still need to be careful about the role of those carpetbaggers.  Yes, a few locals will benefit financially from their investments, but there could be a very negative long-tern impact on the quality of life here. Vigilance  and discipline is still required.  

Also, some of the local developers are not exactly visionaries either. They too are looking for a quick return.

One of the real challenges of urban physical development is that we are dealing with the long term, while most of our tools and instincts are to serve the short term. When Mao was asked what he thought of the French revolution , he replied that it was too early to tell. In my view , he was right, and, as a city that now has close to 400 years of history behind it, we need to benefit form the past errors of short term vision that have , all too often, had a harmful impact on our city. 

We can all share the excitement over the exploding energy of what is happening in our city today, and it is indeed wonderful. But we have to also temper our excitement with a calm and long-term view. Today' s mistakes will live on with our grandchildren and their children.   

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Il y a 21 heures, MtlMan a dit :

Il écrit exactement ce que je pense. Mot à mot. Quelle perte pour la ville. J'espère qu'il finira par revenir d'une manière ou d'une autre.

Cet éditorial est en effet excellent.

Pour ce qui est de Bergeron lui-même, je trouve qu’il fait un bien meilleur urbaniste que politicien. Je ne souhaite pas son retour comme conseiller, et certaines de ses manœuvres politiques m’ont laissé un goût amer. Je pense plutôt que c’est un bureaucrate dans l’âme: il serait probablement beaucoup plus à sa place (et efficace) à la tête d’un organisme ou service municipal avec un réel pouvoir de décision en aménagement urbain. J’imagine que cela existe mais je ne connais pas assez l’organisation municipale.

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Il y a 2 heures, bob a dit :

Cet éditorial est en effet excellent.

Pour ce qui est de Bergeron lui-même, je trouve qu’il fait un bien meilleur urbaniste que politicien. Je ne souhaite pas son retour comme conseiller, et certaines de ses manœuvres politiques m’ont laissé un goût amer. Je pense plutôt que c’est un bureaucrate dans l’âme: il serait probablement beaucoup plus à sa place (et efficace) à la tête d’un organisme ou service municipal avec un réel pouvoir de décision en aménagement urbain. J’imagine que cela existe mais je ne connais pas assez l’organisation municipale.

Je me disais la même chose. Pas comme politicien, mais comme gestionnaire d'un organisme vraiment important. Oui.

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