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Véhicules/Voitures Électriques


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Combien de taxi a montreal?

 

4500 mas o meno.

 

Madrid 15723 taxis!!!!!

 

Versus NYC 13237 taxis

 

Peut etre que Taillefer pourrait s'interesser au marche de winnipeg le maire de cette ville avait été emballé la derniere fois par teo taxi quand il etait venu a montreal.

 

https://blog.bankinter.com/economia/-/noticia/2015/11/09/cuantos-taxis-hay-en-espana.aspx

 

https://www.reference.com/geography/many-taxis-new-york-821b6a10e69512b4

Modifié par andre md
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L'article du JdM donne plus d'infos:

 

http://www.journaldemontreal.com/2016/08/09/alexandre-taillefer-achete-taxi-diamond-1

 

Maintenant qu’Alexandre Taillefer a acheté l’entreprise Taxi Diamond, plusieurs chauffeurs s’interrogent sur leur avenir au sein de l’entreprise.

«C’est juste des annonces et beaucoup de questionnements, laisse savoir Dany Atallah, du Regroupement des propriétaires de taxis de Montréal, qui salue cependant la modernisation de l’industrie par la compagnie. On a juste peur du monopole et on veut qu’il reste de la concurrence dans les intermédiaires de service.»

Amar Chikh, qui cotise mensuellement chez Taxi Diamond, verra ce qu’on lui offrira avec les nouveaux contrats et n’hésitera pas à changer de partenaire d’affaires s’il le faut.

«C’est le système capitaliste et on ne peut pas empêcher les transactions, explique le propriétaire Gilbert Saint-Jean. Taillefer ne me dérange pas, car il est légal, mais Uber me dérange.»

Jean Neptune, un propriétaire de voiture hybride, se questionne sur les tenants et aboutissants de la transaction. «Je suis propriétaire et j’ai du mal à arrimer les deux bouts. Si on nous exige d’acheter des voitures neuves électriques, c’est une affaire de plus.»

Certains concurrents à Taxi Diamond et Taxi Hochelaga ne s’opposaient pas à la venue de ce nouveau joueur.

«Tant que tout se fait dans le respect des lois, contrairement à Uber», indique Rolland Dallaire, chauffeur indépendant.

40 % du marché

Avec Taxi Diamond, Taxi Hochelaga, acheté il y a huit mois et Téo Taxi, Alexandre Taillefer possède une flotte de 1720 sur un peu plus de 4000 voitures, regroupant à lui seul 40 % du marché.

«Aujourd’hui, c’est la dernière transaction que l’on fait dans l’industrie du taxi, a indiqué le «dragon», qui a fondé Taxelco, l’entreprise acheteuse, il y a un an. On a atteint la densité requise pour pouvoir servir les Montréalais en cinq minutes.»

Les travailleurs resteront autonomes et non pas salariés et Taxelco ne devient pas propriétaire des permis. Les chauffeurs qui louent leur permis pourront aussi obtenir une voiture écoresponsable.

Modernisation de l’industrie

Pour le Regroupement des travailleurs autonomes Métallos (RTAM), c’est une bonne nouvelle pour aller vers une modernisation de l’industrie.

«Si on tend vers la modernisation et à répondre aux besoins de la clientèle, à ce moment-là, on est heureux, croit Benoît Jugand porte-parole du RTAM, qui regroupe 3000 membres à Montréal. C’est toujours une analyse coûts et bénéfices de la part du propriétaire qui doit être faite. Si le modèle est intéressant pour le propriétaire, c’est lui qui décide au bout du compte.»

100 % ÉLECTRIQUE D’ICI 2 ANS

Alexandre Taillefer veut rendre la flotte de voitures de Taxi Diamond et Taxi Hochelaga 100 % électrique d'ici deux ans.

On compte louer aux propriétaires des voitures hybrides chez Hochelaga et Diamond et rapidement migrer vers une flotte entièrement électrique.

Chez Taxelco, on estime que les gains d’opérations seront «très motivants» pour les propriétaires lorsqu’ils remplaceront leur véhicule par une écoresponsable.

«La transition sera naturelle et rapide, estime Marc Petit, chef de la direction de Taxelco. L'objectif de deux ans est indicatif, nous pensons que cela va aller vite.»

Les chauffeurs autonomes devront se conformer à cette condition sine qua non pour y travailler, autrement, ils devront poursuivre leur travail chez un autre fournisseur de service.

«Il pourrait y avoir des mécontents chez Hochelaga et Diamond et on pense que ça va entrainer une attrition, ce qui va faire migrer certains de ces chauffeurs vers le modèle Téo», a indiqué Alexandre Taillefer.

Taxi Diamond

• Créee en 1922

• 1100 propriétaires membres, près de 1700 chauffeurs, tous travailleurs autonomes

• Dessert principalement le centre et l'ouest de l'île

• Spécialité: corporatif et l'institutionnel

Taxi Hochelaga

• Créée en 1967

• 500 Propriétaires membres, près de 800 chauffeurs tous travailleurs autonomes

• Dessert principalement l'est de la ville

• Spécialité: le transport spécialisé (principalement transport adapté pour la STM)

Téo Taxi

• Créée en novembre 2015

• 65 permis en location (110 fin septembre)

• Plus de 200 chauffeurs, tous salariés (350 de plus à la fin septembre)

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  • 10 mois plus tard...

Publié le 12 juin 2017 à 09h10 | Mis à jour le 12 juin 2017 à 09h10

http://affaires.lapresse.ca/portfolio/transport-electrique/201706/12/01-5106633-des-voitures-electriques-et-volantes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS4

Des voitures électriques et volantes

Uber Elevate vise à créer un marché du... (image reuters/Uber)

 

Uber Elevate vise à créer un marché du transport aérien de personnes au sein des métropoles.

image reuters/Uber

Transport électrique

Transport électrique

L'automobile électrique ne fera-t-elle que passer sur nos routes... avant de s'envoler ? Plusieurs projets en développement ambitionnent d'utiliser la propulsion électrique pour nous transporter par les airs. Petit tour d'horizon. »

Didier Bert

Collaboration spéciale

La Presse
 

L'automobile électrique ne fera-t-elle que passer sur nos routes... avant de s'envoler ? Plusieurs projets en développement ambitionnent d'utiliser la propulsion électrique pour nous transporter par les airs. Petit tour d'horizon.

La compagnie chinoise Ehang a obtenu l'approbation des... (Photo fournie par Ehang) - image 1.0

 

La compagnie chinoise Ehang a obtenu l'approbation des autorités de Dubaï pour son drone-taxi.

Photo fournie par Ehang

La compagnie chinoise Ehang a obtenu l'approbation des... (photo John Locher, archives associated press) - image 1.1

 

La compagnie chinoise Ehang a obtenu l'approbation des autorités de Dubaï pour opérer son drone-taxi.

photo John Locher, archives associated press

L'Uber des airs

Après avoir bouleversé le transport routier des personnes, Uber vise à prendre de la hauteur. La plateforme américaine a embauché Mark Moore, un expert de la NASA, pour faire voler ses automobiles. Présenté en octobre 2016, le projet Uber Elevate vise à proposer des services de taxi d'ici 2026. « Cette vision a motivé plusieurs grandes entreprises aérospatiales, comme Embraer et Bell Helicopter, à travailler sur le sujet », observe François Adam, directeur général de l'Institut du véhicule innovant (IVI). L'appareil imaginé par Uber, à décollage et atterrissage à la verticale, servirait au transport de personnes dans les grands centres urbains.

Taxi drone à Dubaï

 

Dès le mois de juillet, le drone chinois Ehang 184 pourrait être mis en service à Dubaï pour transporter des passagers d'un point à l'autre de la capitale de l'émirat. Équipé de huit moteurs, ce taxi volant pourrait prendre à bord une personne durant 20 minutes, en volant jusqu'à 100 km à l'heure à 300 m d'altitude. L'appareil fonctionne en pilotage automatique, sans pilote à bord. « Ce type d'engins est devenu possible grâce à la hausse de la densité énergétique des batteries, commente François Adam. Le développement du marché des drones a entraîné une réflexion sur la possibilité de transporter des personnes en poussant la technologie. »

Kitty Hawk pour survoler les eaux

Un véhicule volant peut aussi être récréatif. C'est le pari qu'a fait Larry Page, le cofondateur de Google en investissant dans le projet Kitty Hawk. Cet engin est à mi-chemin entre la moto marine et un vaisseau sorti d'un film de science-fiction. Ce mini-avion personnel doté de deux gros flotteurs pourrait être mis en vente d'ici la fin de l'année. Le Kitty Hawk ne nécessite pas de licence de pilote d'avion. Ses huit moteurs peuvent porter une personne au-dessus d'une étendue d'eau jusqu'à une vitesse de 40 km/h. « D'ici 2020, on peut s'attendre à l'arrivée de plusieurs projets comparables sur le marché », croit François Adam.

La Pop.Up d'Airbus

La firme aérospatiale Airbus s'est mise à fréquenter les salons automobiles. La raison ? L'entreprise européenne y présente sa Pop.Up, une voiture volante autonome. L'engin peut rouler comme une automobile électrique. Mais il peut se transformer en drone transportant deux passagers, grâce à ses huit rotors. L'utilisateur saisit sa destination sur le tableau de bord, et le système calcule le meilleur moyen pour y parvenir : par la route, par les airs, ou par une combinaison des deux modes. Airbus prévoit de commercialiser son véhicule d'ici 10 ans. « De tels véhicules volants nécessitent une redondance des batteries et des propulseurs pour assurer le maintien en vol », commente François Adam.

La science-fiction par Terrafugia

Le TF-X de l'entreprise américaine Terrafugia est développé par d'anciens cerveaux du MIT. Après son décollage à la verticale, cet engin digne de la science-fiction peut être propulsé à 320 km/h par deux moteurs électriques de 300 ch. Son autonomie de 800 km et ses quatre places à bord lui promettent une nette avance sur ses concurrents, plus souvent limités à de courts déplacements. Certes, le marché est restreint puisqu'il faudrait compter 1 million de dollars pour obtenir un exemplaire... et pas avant 2025, année prévue pour sa commercialisation. « À long terme, les missions des voitures volantes s'élargiront avec la progression de leur autonomie », souligne François Adam.

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  • 10 mois plus tard...
Citation

Pendant que le nombre de véhicules électriques sur les routes du Québec augmente tranquillement, les recherches réalisées dans la province pour favoriser leur développement avancent à grande vitesse. Entre les murs de l’Université Concordia, une équipe de chercheurs menée par le professeur Pragasen Pillay met à l’épreuve un faux moteur électrique qui pourrait avoir un impact bien réel sur la conception des futurs véhicules électriques.

Dans un laboratoire du troisième sous-sol de Concordia, des fils jaune, rouge, bleu et noir s’entremêlent à gauche et à droite, sur des étagères remplies d’ordinateur et de cartes électroniques. À première vue, impossible de comprendre à quoi sert ce labyrinthe multicolore, et encore moins de deviner que tout ceci pourrait contribuer à créer la voiture électrique de demain.

« Dans le développement des systèmes de conduite électrique, il faut un moteur et un contrôleur pour actionner le moteur, explique le professeur Pillay. Le problème, c’est que la fabrication du moteur est très longue, alors que celle du contrôleur est beaucoup plus rapide. Il faut donc attendre longtemps avant de pouvoir effectuer des tests avec le contrôleur. »

Jouer le rôle du moteur

La solution ? Créer ce qu’on appelle un « émulateur », c’est-à-dire un logiciel qui permet de simuler le fonctionnement d’une composante, dans ce cas-ci un moteur électrique.

« Nous développons un dispositif qui ressemble à un moteur électrique pour être en mesure de tester les autres composantes pendant que le moteur réel est en train d’être développé, résume le professeur. Quand on reçoit le moteur, on peut l’insérer dans le système. Si les tests ont été bien faits, le système va fonctionner sans problème tout de suite ou ne nécessitera que des changements mineurs. »

« C’est très nouveau, explique le titulaire de la Chaire de recherche industrielle CRSNG/Hydro-Québec en efficacité énergétique. Peu de gens ont développé des émulateurs, et nous sommes parmi les premiers au monde à développer un émulateur destiné à un type de machine en particulier. […] À certains égards, nous sommes parmi les meneurs à travers la planète. »

Le grand avantage du système mis au point par M. Pillay est le fait que l’émulateur est programmé à l’aide d’un modèle mathématique. Il réagit comme le ferait un véritable moteur électrique, tout en offrant une grande flexibilité en cas de problème.

« Nous pouvons modifier le faux moteur d’une manière qui est impossible avec un véritable moteur. Je peux modifier ses paramètres pour faire les changements nécessaires très rapidement », souligne le chercheur.

Concrètement, l’utilisation de ce faux moteur permet de déterminer si toutes les composantes du système de conduite fonctionnent comme prévu, mais aussi de simuler son utilisation quotidienne selon l’usage qu’on compte en faire.

C’est ce que Pragasen Pillay appelle le « cycle de conduite » du véhicule. « Si nous analysions un autobus qui doit circuler à Montréal, nous voudrions savoir combien de fois il doit arrêter et démarrer et combien de côtes il doit monter, dit-il. On pourrait estimer quelle puissance est nécessaire pour monter Côte-des-Neiges, par exemple. »

Voiture québécoise ?

Le système développé par le professeur Pillay pourrait rendre de fiers services à l’industrie mondiale du véhicule électrique, mais ne comptez pas sur lui pour vendre quoi que ce soit. Il espère cependant que l’entreprise Opal-RT — avec laquelle il collabore dans le cadre du projet de recherche — parviendra à commercialiser le système, et qu’Hydro-Québec, qui finance sa chaire de recherche, pourra en bénéficier.

À son avis, il ne s’agit que d’une question de temps avant qu’une voiture électrique 100 % québécoise voie le jour, après les autobus électriques de Lion et de Nova Bus et les moteurs électriques développés par TM4, une filiale d’Hydro-Québec.

« Nous avons besoin d’entrepreneurs pour utiliser les technologies et les commercialiser. Nous générons les idées, les concepts, nous formons du personnel, mais nous avons besoin de gens pour utiliser ces ressources, dit-il. Toutes les recherches que nous faisons offrent de nouvelles possibilités d’avancement afin d’accroître l’utilisation des véhicules électriques. »

https://www.ledevoir.com/societe/science/526500/ajouter-le-bandeau-des-entretiens-concordia

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  • 4 mois plus tard...

Publié le 20 septembre 2018 à 16h26 | Mis à jour le 20 septembre 2018 à 16h26

http://auto.lapresse.ca/auto-ecolo/201809/20/01-5197374-sion-solaire-lauto-electrique-qui-se-fiche-dhydro-quebec.php

Sion solaire : l'auto électrique qui se fiche d'Hydro-Québec

La Sion de Sono Motors peut parcourir 30... (photo Solo Motors)

La Sion de Sono Motors peut parcourir 30 km par jour grâce à ses seuls panneaux solaires.

photo Solo Motors

Alain McKenna

Collaboration spéciale

La Presse

La société allemande Sono Motors a présenté les détails de la Sion, citadine électrique qu'elle compte mettre en marché en Europe l'an prochain. Elle est équipée de 330 capteurs solaires d'appoint pouvant générer chaque jour assez d'énergie pour parcourir jusqu'à 30 km, assure le constructeur.

La Sion, qui coûtera 20 000 euros (30 000 $), possède une batterie promettant 250 km par charge.

Auto-bureau-dodo sans Hydro

À condition qu'elle soit stationnée dehors, elle pourrait assurer les déplacements entre la maison et le bureau et terminer la semaine avec une pleine charge, sans même avoir été branchée. 

En Allemagne, la distance médiane parcourue chaque jour pour aller au travail est de 22 km (aller-retour). Au Québec, la distance moyenne est sous les 18 km, et plus de 7 automobilistes sur 10 parcourent moins de 30 km par jour, selon Statistique Canada. 

Il ne reste plus qu'à convaincre le constructeur de traverser l'Atlantique...

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il y a une heure, jesseps a dit :

always be covered in snow

Tu y vas un peu fort. Il neige quoi, 20-30 fois par année? Et on déblaie nos voitures, à ce que je sache. De là à dire qu'elles seront "toujours" couvertes de neige, il y a des limites... C'est comme dire qu'il pleut toujours à Londres, alors qu'il pleut plus ici selon les stats.

Modifié par Megafolie
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L'hiver va certainement posé problème, mais ça ne sera pas nécessairement la neige le plus gros problème. Ce sera l'ensoleillement qui sera réduit. Moins d'heure par jours. De plus, le soleil est très bas en hiver et dans plusieurs endroit, Dans plusieurs rues, les voitures vont avoir très peu de temps d'ensoleilement vu que les immeubles de chaque coté von't obstrué la lumière. 

Même en été, ça sera délicats, il faudra s'assurer de stationner son auto du bon coté de la rue. 

Le concept n'est pas si inintéressant que ça, c'est juste le titre qui est racolleur. Si les panneau son relativement abordable à installer, ça sera toujours un bonus pour augmenter l'autonomie du véhicule. Il pourra être plus efficace en roulant et l'autonomie sera ralongé quand il sera stationné sans prise. 

 

 

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