Enalung Posté(e) 27 octobre 2018 Partager Posté(e) 27 octobre 2018 (modifié) En parlant d'étude en architecture... Voici le futur pont des Abénaquis, conçu par des étudiants de l'Université de Laval. La proposition était tellement bonne qu'elle a été entériné par le conseil de ville. Je vous donne un indice qu'entre ce qui va être construit et ces images, les choses ont déjà beaucoup changé et on est pas encore rendu à la première pelleté de terre. Ouf! Pas de giratoire, probablement pas de parc en bordure de l'eau au nord de la rivière Magog, et les rendus 3d du pont sont passablement différent des dessins. C'est là qu'il est le problème de Sherbrooke. Les étudiants qui ont conçu ça pour nous méritent mieux. https://www.latribune.ca/actualites/galerie-dillustrations-du-pont-des-abenaquis-d632a01ce444747e22e5f14c65c7cc3e-slideshow Modifié 27 octobre 2018 par Enalung 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mk.ndrsn Posté(e) 27 octobre 2018 Auteur Partager Posté(e) 27 octobre 2018 Il y a 5 heures, arch a dit : Cela dit, je ne suis pas contre l'idée de programmes satellites en région comme Trois-Rivières, Sherbrooke, ou le Grand-Nord (dans une idée de pont entre les cultures des Premières Nations et le sud du Québec). Ces programmes pourraient être conjoints entre l'UdeM, McGill et Laval, de sorte qu'il y aurait un véritable partage des cultures des écoles d'architecture, et une mise en commun des ressources financières. Une école d'architecture coûte cher en immobilisations et matériel: ateliers, tables de travail, ordinateurs de pointe, imprimantes laser et 3D pour les maquettes, coop, auditoriums pour les cours théoriques et j'en passe! Ça me fait penser à l’école d’architecture de l’université Laurentienne à Sudbury. Elle semble atteindre cet objectif de pont culturel, et les Premières Nation sont bien représentées dans le corps professoral et administratif. Si jamais un tel programme venait à voir le jour au Québec, une seule école d’architecture suffirait, avec l’aide d’un partenaire local. McGill entretien déjà des partenariats avec plusieurs établissements du réseau de l'Université du Québec pour quelques un de ses programmes. Un programme satellite de McGill sur un cheminement 3+2 à l’UQO, l’UQTR ou même l’Université de Sherbrooke serait génial! À l’inverse, un partenariat entre l’Université de Montréal et l’Université Bishop serait tout aussi fantastique! Persuadé qu’il y aurait de l’intérêt et de la place pour un tel programme. Sinon aussi cher soient-elles, les ressources physiques ne seraient pas un problèmes majeur, mais plutôt les ressources humaines… prendrais-tu un poste de chargé de cours dans un tout nouveau programme dans une toute petite ville? 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
arch Posté(e) 27 octobre 2018 Partager Posté(e) 27 octobre 2018 il y a 7 minutes, mk.ndrsn a dit : Sinon aussi cher soient-elles, les ressources physiques ne seraient pas un problèmes majeur, mais plutôt les ressources humaines… prendrais-tu un poste de chargé de cours dans un tout nouveau programme dans une toute petite ville? Dans l'idée que je me faisais de la proposition, les professeurs des programmes décentralisés seraient les mêmes que les programmes des campus principaux, de sorte qu'il n'y ait pas de doublons (cela dit, à budget illimité, on peut littéralement construire un nouveau programme!!). Peut-être un défi qui serait à surmonter dans une telle proposition est le recrutement de candidats de qualité. Plusieurs professeurs et chargés de cours dans les écoles d'architecture de la province (et du pays) sont des professionnels engagés dans leurs pratiques privés (pour la plupart) qui ne peuvent prendre congé de leurs autres occupations pour aller en "région"... 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mk.ndrsn Posté(e) 28 octobre 2018 Auteur Partager Posté(e) 28 octobre 2018 Exactement. Pour les cours d'introduction, si l'expertise est disponible localement, certains des cours en histoire, en CAO, en mécanique, en statique ou en sciences des matériaux pourrait être dispensés par le département de génie et département des arts de l'université partenaire . Ça se complique davantage ensuite, pour tout ce qui est charge de cours avancés ou de type projets, ateliers, intégrations, théorie architecturale, etc. mais j'ose imaginer que les personnes qualifiées ne travaillent pas exclusivement à Montréal et à Québec. Finalement, l'Institut royal d'architecture du Canada et l'Université d'Athabasca utilisent des solutions virtuelles pour la formation de premier cycle et certains membres des écoles québécoises d'architecture y enseigne; je ne peux pas commenter sur leur qualité, mais il y aurait peut être de quoi s’inspirer pour certaines activités d'enseignement bien spécifiques. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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