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1 minute ago, amos404 said:

Mes cours des pays en dévellopement mon bien montrée que ce prend un seul système bien intégré et non pas une multitude de petit acteur pour avoir un bon service de transport! je n'ai pas de probleme avec cette exclusivité si la CDPQ ne deviens pas maladive avec et suprime plein de petit trajet qui au fond ne l'affecte pas vraiment. J'espère juste que l'ARTM saura bien négocier avec!

C'est plus au niveau des projets futur que je suis ambivalent. Même avec le REM, je suis d'avis que ça prend une autre ligne nord sud pour désengorger la ligne orange. Est-ce que l'entente de non-concurrence viendrait compromettre un projet de ce genre? J'imagine qu'il va obligatoirement falloir consulter la caisse.

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il y a 23 minutes, Enalung a dit :

C'est plus au niveau des projets futur que je suis ambivalent. Même avec le REM, je suis d'avis que ça prend une autre ligne nord sud pour désengorger la ligne orange. Est-ce que l'entente de non-concurrence viendrait compromettre un projet de ce genre? J'imagine qu'il va obligatoirement falloir consulter la caisse.

La non concurrence est pour s'assurer d'un seuil minimal de rentabilité. Tout à fait normal.

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8 minutes ago, nephersir7 said:

Je trouve que la non-concurrence entre YUL et Lionel-Groulx est nuisible à l'intérêt public. Un corridor d'autobus dédié est présentement en construction le long de l'A20

Tout à fait d'acord. Ça dessert un secteur different.

Cependant, pourrait-t'on donner l'opération de ligne 747 au secteur privé...?

  • Confused 1
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La question de la «clause de non-concurrence» ne se serait pas posée si l'ensemble des activités liées au TEC dans la région (et l'ensemble des recettes qui en découlent) avaient été  regroupées sous un opérateur unique  --qui aurait agi comme un monopole cherchant à maximiser son profit (régularisé par l'Etat, comme il se doit dans des situations monopolistiques).

Mais c'est un très gros si, triplement:

1) D'abord, le TEC  est une opération presque toujours déficitaire sur le plan strictement comptable: le secteur public le soutient financièrement parce les externalités économiques, sociales et environnementales le justifient.

2) Pour qu'un investisseur privé (comme la CDPQ-i )  soit interessé à s'impliquer dans un tel «ensenble», il faut qu'il soit assuré d'un rendement monétaire suffisant  --ce qui nécessite, d'une façon ou d'une autre, des contributions financières publiques, qui peuvent être ponctuelles et permanentes.  Notons que dans le cas réel en vertu du Protocole, c'est ce qui se produit;  une différence, c'est que ça ne concerne que le REM, pas l'ensemble du réseau de transport en commun.

3) Pour à la fois attirer l'investisseur privé et fusionner toutes les opérations, il faudrait surmonter d'immenses défis, surtout en matière de gouvernance (partagée...), mais aussi de méthodes d'attribution (comptable)  des dépenses et des recettes afférentes aux différentes composantes du réseau.  Mon verdict: trop parsemé d'embûches et trop compliqué.  Donc absolument non souhaitable! (QED, pourrais-je dire!).

Retour au point de départ: pour planifier, financer et gérer (un système comme) le REM, il n'y avait finalement que deux voies: celle qui fut choisie, et une autre qui aurait consisté, pour le secteur public, à tout prendre en charge  --ce qui aurait impliqué des emprunts supplémentaires s'ajoutant à la dette publique et par la suite au service (de la dette), ainsi que le transfert de la responsabilité des opérations, en l'occurence à l'ARTM.  Avec la voie choisie, l'application de la clause de non-concurrence constitue un élément important  du calcul de rentabilité fait par la CDPQ-i.  Sans cette clause, il aurait fallu introduire d'autres garanties dans le Protocole  --pour atteindre le même objectif -- ce qui aurait été pratiquement l'équivalent de garantir un taux de rendement sur l'investissement ainsi qu'une rémunération fixe pour les fonctions de gestion exercées par la CDPQ-i dans le projet; ce faisant, on aurait grandement diminué l'intérêt de la CDPQ-i à gérer de façon efficace.  Dans l'avenir, si le secteur public (L'ARTM?) souhaite obtenir un assouplissement de la clause de non-concurrence, il faudra qu'elle fournisse une compensation suffisante, directement, ou par d'autres types de concessions de valeur équivalente. 

 

 

 

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Il y a 9 heures, Rocco a dit :

J'avoue que j'ai pas trop compris. C'est le Grand Blocage ou le Grand Déblocage?

C'est une façon subtile de dire que tu as très bien compris.

Le «projet» du PQ,  ce serait le Grand Blocage, suivi de la Grande Chamaille puis du Grand Bricolage.

Penser qu'il serait facile de scinder le projet du REM et de n'en conserver qu'une partie est illusoire.  Les calculs de fréquentation et de rentabilité seraient à refaire, ainsi que probablement la conception de certaines stations au centre-ville.  L'entente de financement avec le gouvernement  fédéral devrait être révisée, et la participation de la CDPQ-i serait remise en question..

Par ailleurs, plusieurs des projets inclus dans le «Grand Déblocage», notamment dans des secteurs géographiquement éloignés du tracé du REM, peuvent être réalisés sans qu'il faille pour cela mettre la hache dans le REM.  On ne peut pas prétendre que l'effort financier requis pour la réalisation du REM en compromet/en empêche la réalisation.

De surcroît, on ne convaincra personne qu'il serait possible de compléter des projets «équivalents» au REM dans des délais aussi serrés  --si on se fie à l'expérience passée (SRB Pie IX etc.)

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http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201803/22/01-5158307-rem-les-monopoles-au-coeur-du-projet-choquent-le-pq.php

 

Admettons que le PQ gagne, même s'il y a des pénalité d'1G$, quoi qui arriveraient avec les infrastructures construites, un autre 500M$ pour les démolir? C'est tellement un non sens toute cette histoire.

Modifié par p_xavier
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Le PQ y va avec un projet façonné pour perdre les prochaines élections. Valérie Plante est en faveur du REM, CAQ et PLQ. Le PQ ira mal sur l'île de Montréal. Les citoyens ne changeront pas leur vote vers le PQ pour une question de TEC, même en banlieue. Les discussions de TEC en politique c'est comme prendre un drink avant de manger.

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