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Nouvelle stratégie économique pour la métropole


_mtler_

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7 hours ago, Normand Hamel said:

Oui exactement, c'est un forum de discussion. Mais le bashing systématique, tel que pratiqué par certains membres, n'est pas de la discussion. Personnellement j'aime bien échangé avec des gens qui ne partagent pas nécessairement mes idées et mes opinions car j'en apprends souvent davantage de ces personnes là que de ceux qui pensent exactement comme moi, et cela me permet d'évoluer. Mais pour que la conversation soit agréable, et fructueuse, il faut que cette réceptivité soit réciproque. L'idée ici est de nourrir le débat et non pas de l'empoisonner.

Bonne attitude à prendre! Retournous au sujet principal svp!

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Il y a 7 heures, Habsfan a dit :

Retournous au sujet principal svp!

Le sujet principal étant le plan économique de la nouvelle administration c'est à mon tour de le commenter car je ne l'ai pas encore fait, même si c'est moi qui ai initié le fil en postant la nouvelle. Je ne discuterai pas des détails du plan car il serait préférable d'attendre sa mise en oeuvre avant de le critiquer.

Par contre je me permettrai de dire un mot sur les compétences de la nouvelle administration en matière économique. Si la mairesse Valérie Plante n'a pas encore fait ses preuves il en va tout autrement pour celui qu'elle a choisi comme président du comité exécutif de la ville, qui a entre autres responsabilités de gérer les finances de la ville.

Il faut se rappeler que Benoit Dorais est maire de l'arrondissement du Sud-Ouest depuis 2009 et que depuis qu'il dirige les destinés de ce secteur de la ville on a été témoin d'un développement majeur de ses différents quartiers. Surtout Griffintown, qui a connu une croissance fulgurante depuis qu'il est en poste. Moi je me dis que s'il a été capable de le faire pour le Sud-Ouest il pourrait très bien le faire également pour l'ensemble des arrondissements de la ville.

On sait que Montréal était déjà sur une lancée avant que la nouvelle équipe arrive en place. Pour l'instant je n'ai aucune raison de douter que cela pourra continuer un bon bout de temps encore car nous avons beaucoup de rattrapage à faire. On peut toujours critiquer le taux de taxation mais les prix des immeubles restent encore relativement bas. Par contre ma plus grande crainte est que dans les années à venir les prix commencent à monter de manière incontrôlable. C'est qu'en principe les prix dans l'immobilier sont liés à la croissance économique, croissance qui n'a pas l'air de vouloir s'arrêter et qui pourrait même s'accélérer.

L'autre aspect qui facilitera la tâche de la nouvelle administration est le fait que le ménage a été fait avant qu'ils n'arrivent en poste. Si on ajoute à cela la nouvelle politique familiale, le développement immobilier, l'intelligence artificielle, le REM, et tout le reste, je dirais que les conditions sont maintenant réunies pour que nous connaissions une longue période de prospérité.  

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RELATIONS INTERNATIONALES
MONTRÉAL  FAIT BONNE FIGURE


ANDRÉ DUBUC
LA PRESSE
Montréal se classe dans le peloton de tête de 25 villes nord-américaines au chapitre de l’intensité de ses relations avec le reste du monde, selon une étude des consultants McKinsey.
Un aussi bon résultat est de bon augure pour la croissance de l’économie et celle du revenu des ménages dans la région, soutiennent la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) et Montréal international.
Ces deux organismes ont commandé l’étude à McKinsey en compagnie d’Investissement Québec.
UN INDICE SUR MESURE
Pour son étude, McKinsey a conçu une nouvelle unité de mesure, appelée indice de connectivité. Il a pour utilité de calculer les flux de biens, de personnes, de capitaux, mais aussi – et c’est nouveau – les flux de données. Par flux de données, McKinsey entend l’exportation de services numériques. L’indice donne une bonne image du degré d’ouverture de la ville à l’international. À noter que l’indice s’intéresse à la croissance récente qu’ont connue les diverses variables à l’étude et non pas à leur nombre total. Le tout est exprimé en proportion de la population de la région. Une méthodologie qui permet aux villes de taille moyenne comme Montréal de se comparer aux mégalopoles comme New York, Chicago ou Los Angeles.
AU 7e RANG SUR 25  EN AMÉRIQUE  DU NORD
Montréal pointe au 7e rang, derrière Vancouver, Toronto, Boston et San Francisco, mais devant de grosses pointures comme Miami, New York, Washington.
Montréal fait très bien dans la catégorie des mouvements de biens et obtient des résultats près de la médiane des 25 métropoles retenues dans les trois autres catégories.
QUELQUES RÉSULTATS
(Indice de connectivité)
1- HOUSTON –  65
2- VANCOUVER – 63
4- TORONTO – 60
7- MONTRÉAL – 55
9- NEW YORK – 52
15- DALLAS – 43
25- PHOENIX – 27
« On savait d’instinct que si on performait bien au niveau de l’exportation, ça allait aider nos entreprises. De la même façon, on se doutait bien que si on attirait de l’investissement étranger, on allait obtenir de bons emplois. Ce qu’on obtient avec l’étude, c’est à quel point tout ça est vrai. Les villes  les plus connectées à l’international sont des villes où les entreprises sont plus productives et ces villes ont un impact sur le revenu médian des ménages. »
— Michel Leblanc, président et chef de la direction de la CCMM
2,2 x PLUS RAPIDE

Les métropoles les plus connectées au niveau international affichent une croissance moyenne  de la productivité 2,2 fois plus rapide que les villes ayant un faible indice de connectivité comme Phoenix, Denver, St. Louis, Tampa ou Baltimore.
REVENU MÉDIAN  DES MÉNAGES
Les villes en haut de classement génèrent une croissance du revenu médian des ménages 1,2 fois plus rapide que les derniers au classement. Historiquement, Montréal a souvent été à la traîne tant en matière de productivité de ses entreprises qu’au chapitre du revenu des ménages. L’indice confirme que Montréal est bel et bien en rattrapage à cet égard.
« C’est une prise de conscience. L’internationalisation de notre base d’affaires, c’est l’un des vecteurs les plus importants qu’on a pour réussir à rattraper  le revenu médian nord-américain et aussi pour améliorer  la productivité de nos entreprises. » — Michel Leblanc
L’IMPORTANCE DE L’INVESTISSEMENT  DIRECT ÉTRANGER
Quand on segmente l’indice en fonction des quatre variables, on remarque que Montréal fait bonne figure au chapitre des capitaux, ce qui ne surprend pas Hubert Bolduc, PDG de l’agence Montréal international (MI), qui a le mandat d’y attirer les investissements étrangers.
« En 2017, MI a fait 48 projets en investissement direct étranger pour 2,05 milliards, du jamais vu, la moitié des nouvelles implantations, l’autre moitié des agrandissements de sociétés déjà existantes. La tendance  se confirme en 2018. On connaît  le meilleur premier trimestre 2018  de notre histoire avec 11 projets. »
— Hubert Bolduc, PDG de Montréal international

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Il y a 4 heures, Archi Mtl a dit :

Les villes en haut de classement génèrent une croissance du revenu médian des ménages 1,2 fois plus rapide que les derniers au classement.

Dans ce rapport on discute du revenu sans tenir compte du coût de la vie. Pour être plus complet, et plus juste, il faudrait montrer la croissance du ratio revenu/coût de la vie. Vivre ici coûte en effet beaucoup moins cher qu'ailleurs en Amérique du Nord, ce qui devrait en principe avantager Montréal dans le classement.

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  • 2 mois plus tard...

Développement économique du territoire: Montréal injectera 106,4 millions

Texte de Kathleen Lévesque, La Presse

La mairesse Valérie Plante a dévoilé mercredi le huitième et dernier plan d'action de la Stratégie de développement économique de Montréal 2018-2022. Un budget de 106,4 millions sera ainsi consacré au développement économique du territoire au cours des trois prochaines années.

Ce budget fait partie des investissements de 360 millions sur quatre ans déjà annoncés lors du lancement de la Stratégie en avril dernier. 

«Ce que l'on souhaite faire, c'est être en amont et être proactif avec nos partenaires», a indiqué en conférence de presse la mairesse, qui avait réuni pour l'occasion le tout Montréal économique à l'hôtel de ville. 

Ce plan se décline en trois axes et 35 actions au cours des quatre prochaines années. Peu de précisions ont toutefois été données sur les actions à mener. Il est question de mobilisation, de partenariat, de développement d'outils de promotion, de définir des enjeux, de contribuer à certaines «initiatives et projets structurants». 

Concrètement, Valérie Plante a parlé de la responsabilité sociale des entreprises (préserver les milieux humides, par exemple) et de favoriser la mobilité. Son collègue Robert Beaudry, responsable au comité exécutif du développement économique, a évoqué des projets pilotes à venir concernant des navettes électriques autonomes. Il a également mentionné qu'un million de dollars sera disponible pour la mise aux normes d'institutions culturelles. Le programme est en préparation et les premiers investissements se feront à compter de 2019.

Trois pôles 

Pour parvenir à structurer ses intentions, l'administration municipale a divisé l'île de Montréal en trois pôles d'action : ouest, centre et est. «Ce plan d'action vise à avoir un positionnement clair de chaque secteur géographique clé à travers la métropole», a souligné M. Beaudry.

Or, l'arrondissement Rosemont-Petite-Patrie a été classé dans le pôle centre alors que Villeray, au nord-ouest, fait partie du pôle est. La directrice du service du développement économique de la Ville, Véronique Doucet, justifie ce choix. «Rosemont, par son caractère économique actuel, est beaucoup plus dans l'innovation, dans ce qui s'apparente aux activités du centre-ville. Dans l'est, on est dans une autre approche plus territoriale. La notion des pôles est virtuelle», a affirmé Mme Doucet.

Par ailleurs, la mairesse a annoncé la création d'un comité aviseur présidé par le Michel Leblanc de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. M. Leblanc et ses collègues mèneront des consultations au cours des prochaines semaines et déposeront un plan à l'automne.

La Stratégie de développement économique de Montréal 2018-2022, intitulée Accélérer Montréal, a été lancée en avril dernier.

http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201806/27/01-5187398-developpement-economique-du-territoire-montreal-injectera-1064-millions.php

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