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Démographie de Montréal, sa région et du Québec


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19 minutes ago, LindbergMTL said:

I can not stop mentioning the merits of Montreal on my side as well. Especially since the city is on an important momentum, it is not difficult to do it.

I sold the city hard to them and after this summer they came. They loved all the events, art, culture, etc... of course, the business investments help as well as a selling point and they were encouraged with all the investments. There's more opportunities here than Miami (trust me), for the L.A people they wanted a change of pace. 

Edit: I should also mention the relatively large Hispanic population in Montreal (by Canadian standards) was also a selling point for my Miami friends. 

Modifié par Djentmaster001
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Le 22/12/2017 à 14:56, Ashok a dit :

To be fair, even if everyone is bilingual in Montreal  - you still need to speak and write in French. 

 

The inter-province migration that often does not get talked about is that many French-Canadians outside of Quebec seek Montreal. Makes sense - I would imagine if you were a French-Canadian growing up in Sudbury or Rural Manitoba, the idea of moving to the big city would be Montreal. 

Don't have statistics, but in my experience, franco-ontarians from the north tend to move to ottawa, and not Montréal. Montréal is too french for them :P

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9 hours ago, ChrisDVD said:

Don't have statistics, but in my experience, franco-ontarians from the north tend to move to ottawa, and not Montréal. Montréal is too french for them :P

Because it's easier to stay in the same province.  Why bothering to apply for a new driver license + medical health card. Also quite often your skills are not accepted  in the other province. 

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Vous n'avez aucune idée comment c'est compliqué devenir résident du Québec avec les avantage des natifs. Dans mon cas, retrait de ma carte d'assurance maladie quand ma seule résidence était au Québec, non reconnaissance de mon expérience de travail alors que mes diplômes étaient obtenus au QC et je travaillais à Gatineau... 

J'ai peine à imaginer les problèmes avec un anglophone unilingue qui travaillait en Saskatchewan. Le monstre gouvernemental s'en sacre carrément du red tape.

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il y a une heure, Lake a dit :

Dans your cara, Toronto!*

 

Publié le 29 décembre 2017 à 20h00 | Mis à jour à 20h00

Trilinguisme: Montréal devance largement Toronto et Vancouver

La Presse Canadienne

Alors que certains politiciens québécois se sont inquiétés en 2017 en raison de la perception selon laquelle Montréal serait devenue «trop bilingue», de nouvelles données tirées du recensement de 2016 révèlent que la métropole est de loin la plus trilingue au Canada.

La province a fait les manchettes internationales en novembre dernier lorsque l'Assemblée nationale a voté à l'unanimité en faveur d'une motion pour encourager les commerçants à accueillir les clients par «Bonjour» plutôt que la formule bilingue «Bonjour, Hi».

En réalité, il semble bien que les Montréalais soient aussi à l'aise avec «hola, ciao, namaste, salaam ou marhaba», car 21% de la population parle au moins trois langues selon Statistique Canada.

Ces chiffres tirés du recensement de 2016 font de Montréal la ville la plus trilingue du pays, loin devant Toronto, à 11%, et Vancouver, à 10%.

Ces données ont été commandées par l'organisme Montréal International, dont la mission est d'attirer des investisseurs étrangers dans la métropole, et ont été transmises à La Presse canadienne vendredi.

Environ 850 000 Montréalais ont déclaré parler au moins 3 langues et plus de 40% des résidents issus de l'immigration ont dit être trilingues.

Ironiquement, ce sont les lois sur la langue et les politiques d'immigration du Québec qui favorisent le trilinguisme, d'après le vice-président de l'Association d'études canadiennes, Jack Jedwab, qui a fourni les données.

[...]

http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201712/29/01-5148631-trilinguisme-montreal-devance-largement-toronto-et-vancouver.php

 

*In your face, Toronto.

Vive l'immigration et vive la Loi 101.   :thumbsup:

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Montréal plus trilingue que Toronto ou Vancouver: il fallait s'y attendre, car les immigrants dont la langue maternelle n'est ni le français ni l'anglais continuent naturellement de parler leur langue, et apprennent l'anglais  --ainsi que le français au Québec.  Sans la loi 101, une bien moindre part apprendrait aussi le français.  Mais ce que cette enquête révèle également, c'est que ces immigrants au Québec parlent aussi l'anglais! (sans qu'ils n'aient bénéficié du moindre programme  d'apprentissage de cette langue).  

Par conséquent, il est possible d'apprécier cette nouvelle de deux façons, comme le proverbial «verre à moitié plein, verre à moitié vide».  Montréal international voit naturellement le côté positif; les tenants d'un Québec français (et non pas bilingue français-anglais) peuvent facilement déplorer le côté négatif.  

Je pense qu'il faut voir les choses différemment de ce qu'il en était lorsque au Canada et principalement au Québec, l'anglais était la langue des conquérants et le français la langue des «vaincus».  De nos jours, l'anglais est la lingua franca universelle et à ce titre, elle est devenue la langue seconde la plus couramment parlée presque partout dans le monde.  Le fait qu'elle soit aussi la langue dominante (pas toujours officielle) dans certains pays n'y change rien.  On peut la concevoir comme un simple «code» permettant la communications entre différentes communautés linguistiques.  Elle ne compromet pas la pérennité de la langue maternelle d'une communauté nationale, à condition que celle-ci soit suffisamment forte (une masse critique de locuteurs est essentielle).

Dans le cas de la langue française au Québec, la masse de locuteurs francophones peut paraître petite à l'échelle du continent nord-américain, mais cette perception de la réalité est fautive, à l'heure où les communications avec les autres communautés francophones du monde est aisée, contrairement à la situation qui prévalait depuis le milieu du 18ième siècle jusqu'au début du 20ième.  

Je ne pense pas qu'on puisse remettre en question la prévalence de l'usage de l'anglais dans nos (québécoises) communications commerciales et scientifiques avec le reste du monde.  Ce qui doit retenir notre attention, c'est la langue des communications internes au Québec: cette langue doit être le français.  Logiquement, si les immigrants dont il est question dans les statistiques citées parlent (vraiment) le français (en plus de leur langue maternelle et de l'anglais), cette exigence ne devrait  pas constituer un fardeau (pour eux), mais aller de soi.

 

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Les données de la Gazette officielle du Québec du décret 2018 sont maintenant disponibles. L'étalement urbain continue, la majorité de la croissance se fait maintenant en banlieue. Les banlieues de 2e et 3e couronne continuent leur croissance démesurée.

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