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Intelligence Artificielle - AI Montréal Plaque Tournante


LindbergMTL

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Il y a 3 heures, Faitlemou a dit :

Au monde?

Je ne peux pas vraiment le confirmer nais je crois que oui. Comme Montréal a déjà plusieurs premières en IA à son actif je ne serais pas du tout surpris qu'il s'agisse en effet du premier festival grand public en IA dans le mode. D'autant plus que Montréal est une ville de festivals.

Surtout que c'est à Montréal qu'a eu lieu la première déclaration commune dans le monde:

DÉCLARATION DE MONTRÉAL POUR UN DÉVELOPPEMENT RESPONSABLE DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

https://www.declarationmontreal-iaresponsable.com/contexte

Le site de Frontière IA abonde dans le même sens:

Frontière IA propose de mettre le citoyen au cœur d’une série de rencontres et de présentations lors de trois journées d’activités
dédiées à la réflexion sur l’impact de l’intelligence artificielle – IA dans nos vies.

Pour la première édition, nous nous concentrons sur les changements amenés par l’intelligence artificielle sur notre mode de pensée
et d’acquisition de savoir, sur la ville et la possibilité d’enrichir notre vie commune ainsi que sur les arts et leur capacité d’ouvrir
des nouveaux territoires imaginaires. La recherche fondamentale a besoin d’être mise en lumière sans barrières académiques, sans
pressions commerciales, sans les cloisons séparant la création, l’action universitaire et l’industrie. Nous voulons ainsi mettre en
perspective et rendre accessible à un large public le travail de la communauté constituée de chercheurs, d’experts en technologies
et d’entrepreneurs afin qu’elle soit reconnue dans son environnement comme un vecteur de changement inspirant. Plus important
encore, ce sera l’occasion pour cette communauté de nouer un lien avec le citoyen, de prendre le pouls des collectivités.

http://montreal.villeenmouvement.com/frontiere-ia/

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Technologies financières: Montréal aura sa «Station FinTech»

Après plusieurs années de discussions avec des intervenants du milieu financier, le Québec aura finalement un lieu physique officiel de développement pour entreprises spécialisées en technologies financières, ou fintech.

Il sera situé au coeur du centre-ville de Montréal et l'endroit aura sa marque de commerce distinctive afin de créer un sentiment d'appartenance et assurer une reconnaissance instantanée. Le « hub » sera baptisé « Station FinTech ».

Ce pôle d'excellence vise à soutenir les entrepreneurs qui exercent leurs activités dans le secteur fintech ou qui veulent y entrer. La mise en place d'un programme d'incubation et de mentorat a toujours été un objectif poursuivi. Les entreprises qui y seront installées - une trentaine au départ, nous dit-on - pourront profiter d'un « assortiment de services pour favoriser leur croissance ».

Les détails entourant la création de la « Station FinTech » seront précisés ce matin à l'occasion d'un événement organisé à la Place Ville Marie auquel le ministre québécois des Finances, Carlos Leitão, sera présent.

Un investissement de 9 millions de dollars sur cinq ans avait été annoncé en mars dernier par Québec pour appuyer la mise sur pied d'un « hub » fintech, un projet de l'organisme Finance Montréal, dont la mission est notamment de faire de la métropole un pôle financier de calibre mondial.

Selon nos informations, le modèle d'affaires de la « Station FinTech », la façon dont sera utilisée l'enveloppe de 9 millions et les prochaines étapes du projet sont tous des éléments qui seront discutés ce matin.

Selon le Plan économique du Québec, il est question d'offrir un accès aux données et aux problématiques des institutions financières afin d'aider les sociétés fintech à bien déterminer les enjeux des institutions et tester leurs applications avec des données réelles. Différentes activités et formations sur des sujets d'intérêt pour le milieu seraient aussi organisées à la « Station FinTech ».

L'année dernière, un rapport commandé par Finance Montréal recommandait la mise en place d'un pôle d'excellence qui mettrait l'accent sur les forces distinctives du Québec afin de se différencier des autres centres financiers de la planète. 

À titre d'exemples, le rapport suggérait de donner la priorité à l'intelligence artificielle, à la science des données, aux applications mobiles et à l'assurance (assurtech).

Le document soulignait que l'offre actuelle en fintech à Montréal est encore assez limitée. « Elle est principalement orientée vers le B2B [institutions financières et PME] et concentre ses activités dans le paiement et l'investissement. » On peut notamment penser à des entreprises montréalaises comme Lightspeed, Thinking Capital, etc.

La mise en place d'un réseau d'espaces locatifs abordables voués aux fintech et à la collaboration était également proposée dans le rapport.

Le choix de la Place Ville Marie pour annoncer la création de la « Station FinTech » ne semble pas étranger au fait qu'on y retrouve déjà le spécialiste des postes de travail à louer, WeWork, ainsi que le « hub » d'investissement et d'accompagnement, Espace CDPQ.

Il existe plusieurs « hubs » d'innovation en technologies financières bien connus un peu partout dans le monde. À Tel-Aviv, en Israël, The Floor est un endroit qui se présente comme un lieu pour partager des idées dans le secteur fintech. En Asie, le Singapore Fintech Consortium (SFC) est un modèle qui a fortement été suggéré pour inspirer la création de la « Station FinTech » à Montréal. Par l'intermédiaire de sa plateforme d'incubation Fintech, le SFC propose des services d'incubation d'entreprises, de recherche en laboratoire et d'accélérateur d'entreprises, en plus d'offrir des outils d'analyse et des ressources liées au domaine des fintech.

- Richard Dufour, La Presse

http://www.lapresse.ca/affaires/economie/services-financiers/201806/18/01-5186157-technologies-financieres-montreal-aura-sa-station-fintech.php

Modifié par Normand Hamel
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Finance Montréal annonce la création de la Station FinTech Montréal

MONTRÉAL, le 18 juin 2018 /CNW Telbec/ - Finance Montréal a le plaisir d'annoncer la création de la Station FinTech Montréal grâce au soutien financier du Gouvernement du Québec. La Station FinTech Montréal aura pour mission d'appuyer le développement de jeunes entreprises du secteur des technologies financières ainsi que de favoriser la transformation numérique des grandes institutions financières. Ce nouvel espace physique, qui ouvrira ses portes en automne 2019, sera situé au 4 Place Ville-Marie. La Station FinTech Montréal sera dirigée par M. Matthieu Cardinal, Vice-président, Développement FinTech et affaires corporatives sous la gouverne duquel le Forum FinTech Canada a connu une croissance notable depuis son lancement en 2013. 

La Station FinTech Montréal aura une superficie initiale de près de 25 000 pieds carré une fois les travaux complétés en 2019.  On compte pouvoir y accueillir de 20 à 30 jeunes entreprises ainsi que plusieurs partenaires corporatifs. Dès l'automne 2018, des activités telles que des conférences, des formations et des rencontres ciblées avec différents intervenants du secteur seront lancées. Certaines de ces activités se tiendront dans les locaux de l'Espace CDPQ, situé à la Place Ville-Marie.

« Nous souhaitons faire de la Station Fintech Montréal un lieu à la fine pointe de la technologie et branché sur les tendances mondiales qui transforment les services financiers. À la Station, les grands et les petits joueurs du secteur financier travailleront à résoudre de réels problèmes d'affaires. Ensemble, nous contribuerons à créer les solutions financières de demain pour le bénéfice des entreprises et des citoyens, » a commenté M. Cardinal.

« La Station FinTech Montréal sera le projet phare de Finance Montréal pour des années à venir. Elle incarne la concrétisation du travail dévoué de l'équipe ainsi que du soutien précieux du gouvernement du Québec qui a cru en notre vision et que nous remercions. Ce projet permettra de développer la communauté FinTech du Québec et contribuera à renforcer la position de Montréal en tant que place financière innovante, » a déclaré M. Louis Lévesque, directeur général de Finance Montréal.

« Les technologies occupent une place centrale et grandissante dans le secteur financier et dans ce contexte, il devient essentiel de regrouper nos forces autour d'un pôle dynamique et bien structuré afin de tirer profit de la grande expertise développée dans la métropole et qui attire de plus l'attention partout sur la planète, notamment dans le créneau de l'intelligence artificielle. Les retombées seront sans aucun doute importantes pour le secteur financier québécois et je tiens à remercier tous les partenaires qui contribuent à la mise sur pied de la Station FinTech Montréal, » a conclut le ministre des Finances du Québec, M. Carlos J. Leitão.

https://www.newswire.ca/fr/news-releases/finance-montreal-annonce-la-creation-de-la-station-fintech-montreal-685821421.html

Modifié par Normand Hamel
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Selon Matthieu Cardinal, il y aurait entre 75 et 80 fintech actives à Montréal. Il s’agit de « l’un des secteurs des start-up les plus dynamiques, car il représente environ 18 % des start-up et 25 % des emplois liés à celles-ci », indiquait FinFusion Montréal, un organisme de réseautage, dans son rapport sur l’écosystème fintech montréalais rendu public en décembre 2017.

https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/montreal-a-son-pole-fintech/

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Charles-Édouard Bouée: l'IA va supplanter les géants du numérique

L'hégémonie des géants du numérique, tels que Google et Facebook, tire à sa fin et leur modèle économique basé sur la publicité et l'utilisation des données personnelles de leurs utilisateurs sera supplanté par l'avènement de l'intelligence artificielle portative, anticipe Charles-Édouard Bouée, PDG du groupe international de conseil en stratégie Roland Berger. La 4e révolution technologique est en marche et c'est la Chine qui pourrait le plus en bénéficier.

Charles-Édouard Bouée était de passage dans la métropole la semaine dernière pour participer à la Conférence de Montréal, où il est venu discuter d'intelligence artificielle et des ambitions technologiques de la Chine.

Le PDG de Roland Berger est installé depuis 12 ans à Shanghai, où il a été responsable du premier bureau du groupe conseil en stratégie en Chine. Aujourd'hui, l'entreprise est présente dans 5 villes chinoises, où elle compte 350 consultants.

Depuis qu'il est devenu PDG, il y a quatre ans, Charles-Édouard Bouée partage son temps entre Shanghai et Munich, qui abrite le siège social de la firme internationale qui compte 2500 consultants dans 35 pays.

Depuis quatre ans, les experts de Roland Berger se penchent sur les transformations prévisibles que va induire l'utilisation grandissante de l'intelligence artificielle, un développement que Charles-Édouard Bouée décrit comme la 4e révolution technologique.

« La première révolution technologique est née avec l'avènement de l'ordinateur et des logiciels et a donné naissance aux géants américains IBM et Microsoft. La 2e révolution a été l'apparition des téléphones portables qui a été dominée par les grands opérateurs européens, Vodafone, Deutsche Telekom, Orange.

« Dix ans plus tard, l'arrivée du téléphone intelligent a bouleversé l'ordre établi en reléguant l'ordinateur loin derrière. La création des géants du numérique Apple, Google, Facebook, Amazon a éclipsé IBM et Microsoft.

« Le développement de l'intelligence artificielle et particulièrement l'utilisation massive de l'intelligence artificielle portative viendra bousculer fortement les modèles d'affaires des géants d'aujourd'hui », constate Charles-Édouard Bouée

DE TÉLÉCOMMANDE À COMMANDE

L'arrivée de l'intelligence artificielle portative va reléguer loin derrière les modèles économiques de Google et Facebook. Grâce à l'implantation d'une simple puce d'IA, le portable va se transformer en outil de recherche permanent, privé, qui ne passera plus par des applications qui génèrent de la publicité. On va passer d'un modèle centralisé à un autre beaucoup plus personnalisé et privé.

« Le portable est une espèce de télécommande. On télécharge des applications qui conduisent vers des sites qui choisissent à notre place et qui nous imposent des pubs.

« Avec l'IA portative, on va avoir le plein contrôle sur nos recherches et notre vie privée. Le portable ne sera plus une télécommande, mais une commande qui va faire de nous des humains augmentés », anticipe Charles-Édouard Bouée.

Aujourd'hui, les consommateurs n'ont pas accès à la meilleure information, mais à celle qui a été payée pour être référencée. L'IA portative va permettre de réaliser des choix, selon les vrais goûts et besoins des utilisateurs.

Pendant la nuit, l'IA va faire des recherches pour vous présenter ses résultats le matin. Elle pourra même réaliser des achats à votre place et gérer vos rapports avec Facebook ou Google et réussir, par exemple, à récupérer toutes vos données personnelles accumulées par ces géants du numérique.

LA CHINE EN BONNE POSITION

Contrairement aux cycles technologiques précédents, Charles-Édouard Bouée est d'avis que l'entreprise qui développera cette intelligence artificielle portative pourrait fort provenir de l'extérieur des États-Unis, probablement, selon lui, de l'Europe ou de la Chine.

« On parle ici d'un modèle émergent totalement nouveau. Ce ne sont pas les joueurs existants qui sont dans leur modèle et qui le perpétuent qui vont arriver avec cette innovation. » - Charles-Édouard Bouée, PDG du groupe international de conseil en stratégie Roland Berger

« La Chine a récemment annoncé qu'elle allait consacrer 150 milliards pour développer l'intelligence artificielle. C'est là que pourrait naître la prochaine compagnie qui va valoir un jour 1000 milliards », estime le PDG de Roland Berger.

La Chine, explique-t-il, travaille sur des cycles de 300 ans. Le cycle actuel a débuté en 1830 par l'humiliation. Durant 100 ans, l'empire du Milieu a subi les invasions de tout le monde : France, Angleterre, Allemagne, Japon. Cette première étape a pris fin en 1930.

Depuis 1930, la Chine est dans sa phase de renouveau et ce cycle devrait durer encore jusqu'en 2030. De 2030 et 2130, la Chine prévoit entrer dans la phase qu'elle a définie comme son âge d'or.

La Chine va être alors devenue la première puissance économique mondiale et c'est de bon augure, selon le stratégiste. « C'est la seule nation-civilisation au monde et la culture entrepreneuriale y est très forte », souligne-t-il.

LE PARCOURS D'UN GLOBE-TROTTER

Avant de se joindre au groupe Roland Berger, en 2001, à titre d'associé, Charles-Édouard Bouée a d'abord travaillé à Londres comme banquier d'affaires à la Société Générale.

Titulaire d'une maîtrise en droit et d'un MBA de l'Université Harvard, il a habité les États-Unis et il a aussi travaillé pour une firme américaine de consultation à Paris.

En 2006, Roland Berger l'a envoyé en Chine pour que la firme participe au décollage économique de cette puissance en devenir. « Soit je fermais le bureau ou on repartait en force. En six ans, on a multiplié par sept notre activité là-bas », explique-t-il.

Arrivé le mardi à Montréal, en provenance de New York, Charles-Édouard a quitté la ville le mercredi soir pour gagner Berlin pour une série de rencontres avant de faire un saut à Munich et retourner à Shanghai.

« Je suis souvent en déplacement, on a des clients dans tous les secteurs d'activités et partout dans le monde. Évidemment, si on suit la tendance économique, c'est en Chine que nous aurons bientôt le plus d'effectifs », précise le PDG de Roland Berger.

http://www.lapresse.ca/affaires/economie/grande-entrevue/201806/19/01-5186321-charles-edouard-bouee-lia-va-supplanter-les-geants-du-numerique.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_grande-entrevue_4268315_section_POS1

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Why the smart money is on the Twin Cities for finance operations — artificial intelligence

 

Welcome to the Twin Cities, the (potential) back-office capital of the upper Midwest.

Hey, it could happen. In fact, some corporate consultants say the Twin Cities metro is well positioned to become a national or even global destination for banks and financial services companies that are looking to relocate their back-office operations to cheaper surroundings. Think of accounting, IT, cyber-security, payroll, records maintenance, payment processing and the like.

Those back-end operations — which don’t require face-time with clients — don’t necessarily need to be housed within the typical corporate, big-city headquarters. They’re happy on their own in smaller-market suburbs, provided there’s a wealth of talent nearby.

“Since 2015, New York City has lost more than 30,000 banking jobs to smaller markets like Nashville and Salt Lake City,” said corporate relocation consultant John Boyd, who frequently works with economic development groups such as Greater MSP to help them compare the costs of doing business in different regions of the country.

Boyd says key changes in the financial services industry — including recent banking deregulation moves that could lead to a wave of new mergers — make it more and more likely that back-end services will be relocated out of financial hubs like London, New York, San Francisco and Chicago to surroundings with cheaper overhead, lower labor costs and an educated workforce.

The Twin Cities may not be an especially low-cost market — it’s more like middle of the road — but the metro offers all three criteria in spades, according to a new report from Boyd and the Boyd Co. The Princeton, N.J.-based consultant has been flying into Minneapolis-St. Paul International Airport with greater regularity.

“(High-end), ‘Class A’ office space in Midtown Manhattan can approach $170 per square foot,” Boyd said in an interview last week. “Here in the Twin Cities, you can negotiate $30 per square foot.”

The Twin Cities metro also offers something bankers used to fear but are now embracing: access to artificial intelligence. Industry insiders say it won’t be long before as many as a third of financial services jobs are replaced by robots and computer programs. And that side of the industry won’t be designed by bank tellers or accountants. It will be assembled, maintained and expanded by technologists.

FORGET SAN FRANCISCO AND CHICAGO — WATCH OUT FOR MONTREAL

If cities market themselves correctly, Boyd says, automation could make markets like the Twin Cities metro future power players in the banking industry, given their proximity to the University of Minnesota, which is on the cutting edge of artificial intelligence research. But they already face stiff competition in Montreal.

“I don’t think people realize the degree to which AI is playing into site selection today,” said Boyd, pointing to Boston-based State Street’s and New York-based Morgan Stanley’s decision to move 2,000 workers to Montreal. “The University of Montreal has the best AI program in the world. You’re competing with Montreal more than people realize.”

The impact that artificial intelligence could play in the physical relocation of corporate offices resonates with Joel Akason, vice president of Business Investment and Research with Greater MSP, a Twin Cities-based economic development group. “Given what we know, Boyd’s points on the … region’s competitiveness due to lower costs and proximity to AI seem to be correct,” Akason said.

Meanwhile, high housing costs in Chicago and coastal areas have made relocating workers there even more difficult, and smaller markets like the Twin Cities even more attractive.

An educated workforce is key. Boyd notes that when companies up and move, roughly half of their workers stay put, so they have to hire local talent — or convince more workers that relocating doesn’t amount to a pay cut after housing costs are factored in.

DODD-FRANK IS LOOSENED

And closer to Silicon Valley, technologists can charge more for their skills. “Bankers are competing with IT ‘trophy’ employers like Apple and Google, and bankers need to pay a premium for that talent,” Boyd said. “Labor costs tend to dominate the equation.”

Boyd notes that the Trump administration has softened banking regulations that were put in place after the financial panic of 2008. The Dodd-Frank act — formally known as the “Dodd–Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act” — required even small community banks to spend millions of dollars proving compliance.

With those rules loosened, banks will have access to more capital, and they can grow their assets five-fold from the previous limit of $50 billion to $250 billion without intense federal scrutiny. That means the financial industry — and consumers in general — can expect a wave of mergers and acquisitions, which will lead to “money moves:” corporations making new location decisions, shuffling their headquarters and relocating their back-office operations.

Yes, the Twin Cities metro has a reputation for offering relatively limited tax incentives while imposing hefty state income and property taxes. Nevertheless, “companies want it all,” said Boyd, who points out that a strong quality of life, good schools and other assets are strong selling points. He said Minnesota would do well to further explore more non-tax-based incentives, like workforce training, which “serve a public good.”

FROM THE BOYD REPORT:

The Boyd Co. ranked 40 cities around the world — including Paris, London, New York City, San Francisco, San Jose (Costa Rica) and others — based on the cost of operating a financial services back office for a year. Those costs include labor, electricity, office rents, amortization and sales taxes, and corporate travel.

NO. 1 — SAN FRANCISCO: At $13.6 million per year, San Francisco ranked as the the costliest city in which to operate a financial services back office.

NO. 12 — MINNEAPOLIS/ST. PAUL METRO: At $11.3 million per year, the Twin Cities metro ranked as the 12th-costliest city.

NO. 37 — MONTREAL: At $8.5 million, Montreal ranked as the fourth most affordable city in the survey. Montreal has drawn some 2,000 workers from Boston-based State Street and New York-based Morgan Stanley.

NO. 40 — WARSAW: At $5.6 million, Warsaw, Poland, ranked as the most affordable of the 40 cities surveyed. Credit Suisse AG has moved a growing number of back-office operations there.

 

https://www.twincities.com/2018/06/09/twin-cities-the-next-big-back-office-banking-hub-from-payroll-to-it-financial-service-firms-are-looking-to-relocate-back-end-services-out-of-new-york-san-francisco-and-london-to-more-affordable/

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il y a une heure, LindbergMTL a dit :

FORGET SAN FRANCISCO AND CHICAGO — WATCH OUT FOR MONTREAL

If cities market themselves correctly, Boyd says, automation could make markets like the Twin Cities metro future power players in the banking industry, given their proximity to the University of Minnesota, which is on the cutting edge of artificial intelligence research. But they already face stiff competition in Montreal.

“I don’t think people realize the degree to which AI is playing into site selection today,” said Boyd, pointing to Boston-based State Street’s and New York-based Morgan Stanley’s decision to move 2,000 workers to Montreal. “The University of Montreal has the best AI program in the world. You’re competing with Montreal more than people realize.”

Je n'ai jamais entendu parler de cette histoire de déménagement de 2000 travailleurs de Boston vers Montréal. Il faudrait voir ce qui se cache derrière ça car il s'agit d'une nouvelle tellement importante qu'il faudrait qu'un journaliste de Montréal se penche là-dessus.

Par contre, que l'IA joue un rôle de plus en plus important dans la localisation des entreprise ne me surprend pas du tout. Cela pourrait d'ailleurs expliquer en bonne partie pourquoi il y autant de création d'emplois présentement à Montréal.

Cependant il faudra encore quelques années avant que l'on commence à voir les résultats de manière plus tangible car le phénomène ne date que de deux ou trois ans environ. Les années à venir devraient donc être très intéressantes pour la ville.

il y a une heure, LindbergMTL a dit :

NO. 37 — MONTREAL: At $8.5 million, Montreal ranked as the fourth most affordable city in the survey. Montreal has drawn some 2,000 workers from Boston-based State Street and New York-based Morgan Stanley.

Je me demandais pourquoi Montréal était classée 37e, pour finalement me rendre compte que cela voulait en fait dire 4e au monde. Avec d'aussi bas coûts d'opération et une si grande avance dans le domaine de l'intelligence artificielle Montréal détient un avantage certain sur la majorité des autres grandes villes d'Amérique du Nord, et même ailleurs dans le monde. 

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Il y a 4 heures, Normand Hamel a dit :

Je n'ai jamais entendu parler de cette histoire de déménagement de 2000 travailleurs de Boston vers Montréal. Il faudrait voir ce qui se cache derrière ça car il s'agit d'une nouvelle tellement importante qu'il faudrait qu'un journaliste de Montréal se penche là-dessus.

Par contre, que l'IA joue un rôle de plus en plus important dans la localisation des entreprise ne me surprend pas du tout. Cela pourrait d'ailleurs expliquer en bonne partie pourquoi il y autant de création d'emplois présentement à Montréal.

Cependant il faudra encore quelques années avant que l'on commence à voir les résultats de manière plus tangible car le phénomène ne date que de deux ou trois ans environ. Les années à venir devraient donc être très intéressantes pour la ville.

Je me demandais pourquoi Montréal était classée 37e, pour finalement me rendre compte que cela voulait en fait dire 4e au monde. Avec d'aussi bas coûts d'opération et une si grande avance dans le domaine de l'intelligence artificielle Montréal détient un avantage certain sur la majorité des autres grandes villes d'Amérique du Nord, et même ailleurs dans le monde. 

Les banques déplacent leur back-office ici car les loyers sont moins chers et les salaires sont moins élevés et le coût de la vie est moins élevé également et nous avons l'avantage d'être dans le même fuseau horaire que New-York.

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Il y a 7 heures, Normand Hamel a dit :

Je n'ai jamais entendu parler de cette histoire de déménagement de 2000 travailleurs de Boston vers Montréal. Il faudrait voir ce qui se cache derrière ça car il s'agit d'une nouvelle tellement importante qu'il faudrait qu'un journaliste de Montréal se penche là-dessus. 

Ce n’est pas une nouvelle, il s’agit simplement du nombre d’employés de Morgan Stanley et State Street actuellement en place à Montréal. Cela fait bientôt 10 ans que MS est présent ici, rien de nouveau là dedans.

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