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Amazon looking for a location to have a 2nd HQ


jesseps

Messages recommendés

Pour ceux qui affirmaient qu'il y avait un plus grand bassin de travailleurs en IT à Toronto qu'à Montréal (et que ça devrait pencher dans la balance pour le choix d'Amazon). 

Montréal au premier rang pour les emplois high-tech au pays

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1057844/montreal-premier-rang-pour-emplois-high-tech-canada-intelligence-artificielle?fromBeta=true

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Sorry Toronto, Calgary and Denver seen in horse race for Amazon HQ

Calgary offers the right labour pool, a high quality of life and a willingness to pay to play in bid for the tech giant's new headquarters

 

http://business.financialpost.com/news/retail-marketing/sorry-toronto-data-shows-calgary-and-denver-are-in-a-horse-race-to-win-amazons-hq2

 

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Bye-bye Uber. 

I'm sure that our tech friendly government will be able to lure Amazon HQ2...

 

http://beta.radio-canada.ca/nouvelle/1057986/uber-serait-menace-quitter-quebec

Uber menace de quitter le Québec

PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 6 H 59MIS À JOUR IL Y A 47 MINUTES

 

 

Le directeur général d'Uber au Québec, Jean-Nicolas Guillemette, a convoqué les médias à 11 h, à Montréal, pour annoncer qu'Uber a l'intention de cesser ses activités au Québec en raison des nouvelles conditions que lui impose le ministère des Transports (MTQ).

La semaine dernière, le gouvernement Couillard a confirmé qu’il était prêt à renouveler pour un an le projet pilote mis en place en octobre 2016 pour encadrer les activités de la compagnie de transport, mais à certaines conditions.

Uber doit notamment se plier à de nouvelles exigences, dont une augmentation de 20 à 35 du nombre d'heures de formation des chauffeurs, l'obligation d'effectuer une inspection mécanique tous les 12 mois et un resserrement du processus de vérification des antécédents judiciaires.

Or, d'après nos sources, Uber estime que ce nouveau cadre réglementaire est trop intransigeant, en particulier la formation de 35 heures requise pour les chauffeurs.

Les règles de fonctionnement d’Uber permettent à des particuliers, des travailleurs occasionnels pour la plupart, de transporter des gens avec leur véhicule personnel en échange d’une quote-part sur le prix du transport.

Or, ce modèle d’affaires, en plus de mener une concurrence déloyale aux chauffeurs de taxi traditionnels, soulevait des problèmes fiscaux et des enjeux de sécurité qui rendaient les opérations d’Uber illégales en vertu des lois du Québec.

Le gouvernement Couillard avait cependant accordé un an à Uber pour s'y conformer tout en poursuivant ses opérations dans le cadre d’un projet pilote d’un an.

L’échéance étant arrivée, Québec a décidé d’accorder une prolongation à Uber, mais selon de nouvelles conditions. Et ce sont ces conditions qui ne font pas l’affaire de la compagnie de covoiturage payant.

Au MTQ, on affirme ne pas avoir été informé de la décision qu'Uber doit rendre publique ce matin.

Les chauffeurs de taxi prudents

Questionné sur les ondes de l'émission Gravel le matin, le porte-parole du Comité provincial de concertation et de développement de l’industrie du taxi, Guy Chevrette, a émis des réserves sur un possible départ d’Uber du Québec.

« Si c’est vrai que ça fait des mois que ça négocie pour deux petites contraintes additionnelles, ces gens-là quitteraient le Québec après y être entrés de façon tout à fait illégale? » a-t-il fait remarquer, sceptique.

« Ils n’ont jamais encore remis les 24 millions [de dollars] de taxes non payées […] Il n’y a à peu près pas de poursuites qui ont été faites malgré 400 ou 500 infractions », a ajouté Guy Chevrette.

Pour les chauffeurs de taxi traditionnels, qui doivent payer pour se procurer des permis et se plier à plusieurs contraintes, la présence d’Uber dans le marché du transport est une concurrence déloyale, voire frauduleuse, soutient-il.

Si Uber devait quitter le Québec, Guy Chevrette estime que ce serait une occasion pour le gouvernement de travailler à la modernisation de l’industrie du taxi de concert avec les chauffeurs traditionnels.

« Le départ d’Uber permettrait de moderniser légalement, de ne pas avoir deux poids deux mesures, d’avoir les mêmes règles de concurrence et qu’on ait les mêmes obligations pour partir sur un pied d’égalité. », explique Guy Chevrette.

Pour Alexandre Taillefer, propriétaire de Taxelco, c'est une bonne chose que le gouvernement du Québec mette en place des règlements qui soient « le plus équitable possible et au bénéfice de la population ».

Quant à Uber, M. Taillefer estime que c'est dans sa façon de faire de « brandir des menaces » et d'annoncer ses décisions « en cowboy » à ses employés.

Selon lui, les exigences qu'impose Québec à Uber sont minimales et encore loin de celle qu'on impose à l'industrie du taxi actuellement au Québec.

« Nos normes sont encore plus contraignantes ne serait-ce qu’en vertu des polices d’assurance qu’on doit mettre en place pour nos taxis. Le coût de notre police est probablement trois fois plus important que celui d’un chauffeur Uber », a expliqué le propriétaire de Taxelco sur les ondes de RDI.

 

Pure stratégie de négociation

Pour les intermédiaires de taxi de regroupés, qui représentent près de 2000 voitures de taxi au Québec, la stratégie d’Uber n’est destinée qu’à mettre de la pression sur le gouvernement du Québec en frustrant ses clients.

« Il ne faut pas que les Québécois se trompent : Uber n’est pas obligée de stopper ses opérations, elle le fait uniquement pour frustrer ses utilisateurs et faire pression sur le gouvernement », explique Georges Malouf, porte-parole montréalais des intermédiaires de taxi dans un communiqué.

« La vraie question, nous la posons depuis bientôt trois ans, le gouvernement du Québec est-il capable de se faire respecter ou va-t-il encore flancher et se mettre à plat ventre devant les quelques pressions d’Uber », demande M. Malouf.

Des problèmes à Londres aussi

Montréal ne serait pas la première ville où Uber a plié bagage en raison de la controverse entourant son modèle d’affaires. Vendredi dernier, l’autorité des transports de Londres a décidé de ne pas renouveler la licence d'exploitation d'Uber, qui vient à échéance le 30 septembre prochain.

Selon un communiqué de l’autorité des transports, « l'approche et l'attitude d'Uber montrent un manque de responsabilité de l'entreprise en ce qui concerne un certain nombre d'aspects ayant de possibles implications sur la sécurité publique ». Uber a porté la décision en appel.

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29 minutes ago, Gotti said:

Bye-bye Uber. 

I'm sure that our tech friendly government will be able to lure Amazon HQ2...

 

http://beta.radio-canada.ca/nouvelle/1057986/uber-serait-menace-quitter-quebec

Uber menace de quitter le Québec

PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 6 H 59MIS À JOUR IL Y A 47 MINUTES

 

 

Le directeur général d'Uber au Québec, Jean-Nicolas Guillemette, a convoqué les médias à 11 h, à Montréal, pour annoncer qu'Uber a l'intention de cesser ses activités au Québec en raison des nouvelles conditions que lui impose le ministère des Transports (MTQ).

La semaine dernière, le gouvernement Couillard a confirmé qu’il était prêt à renouveler pour un an le projet pilote mis en place en octobre 2016 pour encadrer les activités de la compagnie de transport, mais à certaines conditions.

Uber doit notamment se plier à de nouvelles exigences, dont une augmentation de 20 à 35 du nombre d'heures de formation des chauffeurs, l'obligation d'effectuer une inspection mécanique tous les 12 mois et un resserrement du processus de vérification des antécédents judiciaires.

Or, d'après nos sources, Uber estime que ce nouveau cadre réglementaire est trop intransigeant, en particulier la formation de 35 heures requise pour les chauffeurs.

Les règles de fonctionnement d’Uber permettent à des particuliers, des travailleurs occasionnels pour la plupart, de transporter des gens avec leur véhicule personnel en échange d’une quote-part sur le prix du transport.

Or, ce modèle d’affaires, en plus de mener une concurrence déloyale aux chauffeurs de taxi traditionnels, soulevait des problèmes fiscaux et des enjeux de sécurité qui rendaient les opérations d’Uber illégales en vertu des lois du Québec.

Le gouvernement Couillard avait cependant accordé un an à Uber pour s'y conformer tout en poursuivant ses opérations dans le cadre d’un projet pilote d’un an.

L’échéance étant arrivée, Québec a décidé d’accorder une prolongation à Uber, mais selon de nouvelles conditions. Et ce sont ces conditions qui ne font pas l’affaire de la compagnie de covoiturage payant.

Au MTQ, on affirme ne pas avoir été informé de la décision qu'Uber doit rendre publique ce matin.

Les chauffeurs de taxi prudents

Questionné sur les ondes de l'émission Gravel le matin, le porte-parole du Comité provincial de concertation et de développement de l’industrie du taxi, Guy Chevrette, a émis des réserves sur un possible départ d’Uber du Québec.

« Si c’est vrai que ça fait des mois que ça négocie pour deux petites contraintes additionnelles, ces gens-là quitteraient le Québec après y être entrés de façon tout à fait illégale? » a-t-il fait remarquer, sceptique.

« Ils n’ont jamais encore remis les 24 millions [de dollars] de taxes non payées […] Il n’y a à peu près pas de poursuites qui ont été faites malgré 400 ou 500 infractions », a ajouté Guy Chevrette.

Pour les chauffeurs de taxi traditionnels, qui doivent payer pour se procurer des permis et se plier à plusieurs contraintes, la présence d’Uber dans le marché du transport est une concurrence déloyale, voire frauduleuse, soutient-il.

Si Uber devait quitter le Québec, Guy Chevrette estime que ce serait une occasion pour le gouvernement de travailler à la modernisation de l’industrie du taxi de concert avec les chauffeurs traditionnels.

« Le départ d’Uber permettrait de moderniser légalement, de ne pas avoir deux poids deux mesures, d’avoir les mêmes règles de concurrence et qu’on ait les mêmes obligations pour partir sur un pied d’égalité. », explique Guy Chevrette.

Pour Alexandre Taillefer, propriétaire de Taxelco, c'est une bonne chose que le gouvernement du Québec mette en place des règlements qui soient « le plus équitable possible et au bénéfice de la population ».

Quant à Uber, M. Taillefer estime que c'est dans sa façon de faire de « brandir des menaces » et d'annoncer ses décisions « en cowboy » à ses employés.

Selon lui, les exigences qu'impose Québec à Uber sont minimales et encore loin de celle qu'on impose à l'industrie du taxi actuellement au Québec.

« Nos normes sont encore plus contraignantes ne serait-ce qu’en vertu des polices d’assurance qu’on doit mettre en place pour nos taxis. Le coût de notre police est probablement trois fois plus important que celui d’un chauffeur Uber », a expliqué le propriétaire de Taxelco sur les ondes de RDI.

 

Pure stratégie de négociation

Pour les intermédiaires de taxi de regroupés, qui représentent près de 2000 voitures de taxi au Québec, la stratégie d’Uber n’est destinée qu’à mettre de la pression sur le gouvernement du Québec en frustrant ses clients.

« Il ne faut pas que les Québécois se trompent : Uber n’est pas obligée de stopper ses opérations, elle le fait uniquement pour frustrer ses utilisateurs et faire pression sur le gouvernement », explique Georges Malouf, porte-parole montréalais des intermédiaires de taxi dans un communiqué.

« La vraie question, nous la posons depuis bientôt trois ans, le gouvernement du Québec est-il capable de se faire respecter ou va-t-il encore flancher et se mettre à plat ventre devant les quelques pressions d’Uber », demande M. Malouf.

Des problèmes à Londres aussi

Montréal ne serait pas la première ville où Uber a plié bagage en raison de la controverse entourant son modèle d’affaires. Vendredi dernier, l’autorité des transports de Londres a décidé de ne pas renouveler la licence d'exploitation d'Uber, qui vient à échéance le 30 septembre prochain.

Selon un communiqué de l’autorité des transports, « l'approche et l'attitude d'Uber montrent un manque de responsabilité de l'entreprise en ce qui concerne un certain nombre d'aspects ayant de possibles implications sur la sécurité publique ». Uber a porté la décision en appel.

Bon débarras s'ils ne veulent pas suivre nos lois! On n'est pas les seuls, ils sont déjà interdits entre autres au Danemark, en Australie, à Vancouver, maintenant à Londres et bientôt en Italie.

http://www.independent.co.uk/travel/news-and-advice/uber-ban-countries-where-world-taxi-app-europe-taxi-us-states-china-asia-legal-a7707436.html

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il y a 52 minutes, Gotti a dit :

Bye-bye Uber. 

I'm sure that our tech friendly government will be able to lure Amazon HQ2...

It has NOTHING to do with tech policies. It's Uber's business model that is illegal at times, let alone immoral. I'm not saying that I think it's immoral, but it is definetly not in line with the established employee-employer model on which our social insurance system is based. (that model is the established norm in western societies, dating back to Bismarck)

Modifié par fmfranck
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My point wasn't to discuss the legality of Uber in Québec or their impact on our society. I think it's been debated to death and everyone is entitled to their opinion.

My only point was that having a large tech company leave our fair province does not reflect well from a corporate decision making perspective. Others here point out our tech strength, engineering student strength, cheap cost of labour and dwelling, etc. All I wanted to do was point out what I believe to be a negative factor in attracting Amazon here. Please debate this idea - not the legality of Uber.

I think that Montréal is a hail-mary at best to land Amazon HQ2. This news certainly doesn't help.

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il y a 17 minutes, Gotti a dit :

My point wasn't to discuss the legality of Uber in Québec or their impact on our society. I think it's been debated to death and everyone is entitled to their opinion.

My only point was that having a large tech company leave our fair province does not reflect well from a corporate decision making perspective. Others here point out our tech strength, engineering student strength, cheap cost of labour and dwelling, etc. All I wanted to do was point out what I believe to be a negative factor in attracting Amazon here. Please debate this idea - not the legality of Uber.

I think that Montréal is a hail-mary at best to land Amazon HQ2. This news certainly doesn't help.

You implied that the Québec government wasnt tech friendly, which is totally false. For years, IT companies benefited from VERY generous tax cuts (maybe they still do). Also its a ludicrous statement to make when Montréal leads Canada in IT jobs according to a recent study, and Google, IBM, Samsung, Facebook and many others have made important IT investments in our city in the last months/years. 

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il y a 21 minutes, Gotti a dit :

My point wasn't to discuss the legality of Uber in Québec or their impact on our society. I think it's been debated to death and everyone is entitled to their opinion.

My only point was that having a large tech company leave our fair province does not reflect well from a corporate decision making perspective. Others here point out our tech strength, engineering student strength, cheap cost of labour and dwelling, etc. All I wanted to do was point out what I believe to be a negative factor in attracting Amazon here. Please debate this idea - not the legality of Uber.

I think that Montréal is a hail-mary at best to land Amazon HQ2. This news certainly doesn't help.

Really? I though it was a taxi business... how many IT jobs you figure Uber has in Montreal?

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Why are we helping amazon killing tons of entreprise. Why are we giving the monopoly to one company to rules the retail business online. 

We should help Lightspeed (headquarter in Montreal ) to get all the stores and companies online.

More diversity more competition  this is real capitalism. 

UBER , Amazon are trying to bypass the coutries laws. Not paying taxes , not following the rules etc... Why are some politicians so willing to please those corporations?? I don't get it.  They don't pay taxes wake up dudes. 

If Uber want to leave Montreal it won't be a big loss.  

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