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Amazon looking for a location to have a 2nd HQ


jesseps

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il y a 23 minutes, Gotti a dit :

Again, this is my personal opinion. So disagree all you want.

Uber leaving Montréal creates a perception of Québec as having an anti-tech environment. Whether the underlying stats support this assertion or not (and you point out that the stats actually contradict it!) the perception is what will be top of mind for most people. We live in an age of headlines and poorly researched news. As such, I think that this news can only hurt our city's chances of luring Amazon HQ2. I also believe that we are not in the top running: if the goal is to land the HQ we can't afford anything that harms our image.

 

 

You're giving too much importance to Uber.

1- This cie is having big problems elsewhere in the world (London for example, and its busines model and practises). So why would anybody blame Mtl more than other cities?

2- Mtl is attracting millions in investment from Google, Facebook, Samsung and so on in AI, infinitely more tech-wise business than Uber!

3- Knowing this (and the business community does!), I certainly wouldn't shed too much tears over this.

4- Besides, Uber announces its "departure" on Oct 14. Not today. This means negociation tactics. As they always do.

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UBER literally just left the most important city on earth (London), them leaving Quebec isn't cause we're "anti-tech", especially since FB and Samsung will open up AI centres in Montreal. If UBER has a hard time with training their drivers and stricter background checks, it just shows their business model is pretty pathetic. They have until October 14th to negotiate something with the gov't, if not and they leave, whatever. I'm sure Quebec will allow others to be created or someone from Montreal will make their own UBER like service that actually respects guidelines and industries and a proper business/ethics model. 

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6 hours ago, MtlMan said:

You're giving too much importance to Uber.

1- This cie is having big problems elsewhere in the world (London for example, and its busines model and practises). So why would anybody blame Mtl more than other cities?

2- Mtl is attracting millions in investment from Google, Facebook, Samsung and so on in AI, infinitely more tech-wise business than Uber!

3- Knowing this (and the business community does!), I certainly wouldn't shed too much tears over this.

4- Besides, Uber announces its "departure" on Oct 14. Not today. This means negociation tactics. As they always do.

Ce n'est pas juste moi qui partage cet avis. Michel Leblanc, le président de la chambre de commerce de Montréal, vient de dire presque mes paroles exactes. 

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201709/26/01-5136803-vague-dappui-a-uber-apres-lannonce-de-son-depart.php

 

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7 hours ago, andre md said:

Anti-Tech really ????

UBER don't pay taxes doesn't respect rules they are bums. 

UBER is out of LONDON of Vancouver and many other cities it's not a big lost. 

C'est faux. Uber charge les taxes et paie les taxes. Ses chauffeurs paient leurs impôts ici contrairement à la plupart des chauffeurs de taxi qui ne déclarent qu'une infime partie de leurs revenus. Si tu veux faire la guerre aux entreprises qui paient leur impôts seulement à l'étranger t'as pas fini. La plupart des Grandes entreprises étrangères ne paient pas leur impôts ici. Et après? Ils génèrent énormément d'activités économique ici et tout s'équilibre (nos propres grandes entreprises font la même chose à l'étranger) . Vraiment ça me fait rire les raccourcies que certains font en parlant des gros méchants étrangers. Ces petits justiciers qui chialent contre Uber et qui achètent des iPhones et qui sont abonnés à Netflix , come on. 

Modifié par playmind
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Il y a 15 heures, Gotti a dit :

Ce n'est pas juste moi qui partage cet avis. Michel Leblanc, le président de la chambre de commerce de Montréal, vient de dire presque mes paroles exactes. 

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201709/26/01-5136803-vague-dappui-a-uber-apres-lannonce-de-son-depart.php

 

C'est sur. La CdC défendra TOUJOURS les entreprises. Mais dans les faits, c'est loin d'être aussi grave. Uber frappe des murs un peu partout dans le monde. Sa stratégie est irresponsable, en plus d'être associée à une culture d'entreprise franchement malsaine. Honnêtement, Mtl n'a rien à craindre si elle donne une bonne taloche à cette engeance. Car les taloches viendront d'ailleurs aussi dans une avenir pas si lointain. Ne faisons des Penguins de Pittsburgh de nous-mêmes en nous a-plat-ventrissant juste pour espérer bien paraître aux yeux de ceux qui ne font que beugler fort!

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Il y a 14 heures, playmind a dit :

C'est faux. Uber charge les taxes et paie les taxes. Ses chauffeurs paient leurs impôts ici contrairement à la plupart des chauffeurs de taxi qui ne déclarent qu'une infime partie de leurs revenus. Si tu veux faire la guerre aux entreprises qui paient leur impôts seulement à l'étranger t'as pas fini. La plupart des Grandes entreprises étrangères ne paient pas leur impôts ici. Et après? Ils génèrent énormément d'activités économique ici et tout s'équilibre (nos propres grandes entreprises font la même chose à l'étranger) . Vraiment ça me fait rire les raccourcies que certains font en parlant des gros méchants étrangers. Ces petits justiciers qui chialent contre Uber et qui achètent des iPhones et qui sont abonnés à Netflix , come on. 

Uber ne payait pas leurs taxes (les transactions en ligne se rendaient dans comptes à l'extérieur du Canada, et comme plusieurs commerces en lignes, ils évitaient de payer des taxes), et ça a TOUT prix pour qu'ils le fassent. Mais même en payant leurs taxes de "vente", Uber enlève des revenus au gouvernement parce qu'il retire (dans son modèle d'affaire) la relation employé/employeur que la Loi des normes du travail recquiert pour protégé les individus contre les abus de conditions de travail (ce qui leur permet de faire travailler des chauffeurs de taxi pour des peanuts souvent). De plus, n'étant pas officiellement des "employeurs" ils ne financent pas la caisse de l'assurance chômage ou les autres programmes d'assistance sociale. 

Si les chauffeurs actuels ont si peur qu'Uber part c'est justemment parce qu'ils n'ont aucune sécurité d'emploi. Cet état de fait leur provient, ironiquement, du modèle d'affaire de leur "non-employeur" favori, Uber. 

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Oui, un modèle qui n'a absolument rien de "moderne". C'est plutôt digne du 19e siècle, mais avec une appli. Franchement, arrêtons d'être dupes. S'il veulent rester, qu'ils respectent certaines règles. Y'a des limites à "s'écarter les fesses" comme on dit. Je trouve Amazon bien moins pire qu'Uber, pour faire écho à certains débats ailleurs sur le site. Bien que je comprenne les arguments de ceux qui n'aiment pas le bébé de Bezos....

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Le 9/26/2017 à 17:51, Gotti a dit :

Ce n'est pas juste moi qui partage cet avis. Michel Leblanc, le président de la chambre de commerce de Montréal, vient de dire presque mes paroles exactes. 

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201709/26/01-5136803-vague-dappui-a-uber-apres-lannonce-de-son-depart.php

 

Ok, dans ce cas c'est Michel Leblanc qui accorde trop d'importance à Uber.

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Deux réactions dans La Presse...

...

http://plus.lapresse.ca/screens/c0ef3f30-5bc2-4886-ac4d-b7598da46b73|_0.html

CHRONIQUE

L’ENFIROUÂPAGE UBÉRISÉ

YVES BOISVERTLA PRESSE

Donc, Uber abandonnerait le marché québécois parce qu’on y forcerait ses chauffeurs à subir 35 heures de formation au lieu de… 25 ?

C’est une sorte de blague, mais on dirait que de la Chambre de commerce aux écolos d’Équiterre, plein de gens prennent ça très au sérieux.

Pour la Chambre de commerce, le départ d’Uber enverrait un « mauvais signal » aux investisseurs. Ce serait comme dire que le Québec est fermé à l’innovation et aux start-up.

On peut se demander : à part des honoraires d’avocats et de la publicité, qu’est-ce qu’Uber a investi au Québec exactement ? Essentiellement, des clients du taxi ou d’autres moyens de transport ont payé des chauffeurs Uber, les profits allant à la maison mère plutôt qu’à Taxi La Salle, disons. En termes de création de richesse pour le Québec, ce n’est pas exactement la découverte de l’Amérique.

Quelle terrible réputation nous fera-t-on ? Avez-vous peur, mesdames et messieurs ?

***

Si c’est la même réputation que la très branchée ville d’Austin, Texas, je suis prêt à courir le risque…

Austin, une ville universitaire où se tient chaque année South By Southwest, un festival de musique et de médias interactifs avec une forte composante techno, n’est pas devenue tout à fait un trou quand on y a mis Uber à la porte.

Savez-vous quoi ? D’autres firmes de « partage » ont pris la place d’Uber. Soit en respectant les règles commerciales, soit en fonctionnant sans but lucratif pour faire du vrai covoiturage.

Uber n’est pas l’alpha et l’oméga de la prétendue « Économie de partage » ni des start-updu transport.

« Ce n’est pas vraiment difficile de créer une application de partage des courses qui respecte les règles », a dit au quotidien The Guardian un des patrons de RideAustin, qui a pris un bout du marché laissé vide par le départ d’Uber.

Des pays pas spécialement arriérés comme le Danemark ont dit : ça suffit. Londres vient de les interdire. Y a pas juste au désert de Gobi qu’on les a bannis.

***

Bref, ce n’est pas vrai qu’on n’a pas le choix entre, d’un côté, « des-taxis-pas-de-springs-vraiment-sales-avec des-chauffeurs-pas-fins-qui-vous-font-la-gueule-quand on-leur-montre-notre-carte-de-crédit »…

… et, de l’autre, « des-voitures-tellement-propres-avec des chauffeurs-amènes-qui-vous-emmènent-au-bout-du monde et-au-bout-de-vos-rêves-pour-une-bouchée-de pain-et-dans-l’économie-du-partage-en-plus-c’est-le monde-de-demain-mon-vieux-j’en-pleure-c’est-trop beau ».

Faux, archifaux.

Je ris énormément en lisant que les gens d’Équiterre déplorent le départ de ce système de « covoiturage commercial ». L’expression elle-même est sublime : dès que deux êtres humains sont dans un véhicule, par définition, ils « covoiturent ». Si je prends un taxi, c’est-tu du covoiturage ? Je prendrais l’autobus, j’économiserais à l’environnement un déplacement en voiture, non ?

Les chauffeurs d’Uber, que je ne blâme pas du tout ici en passant, ne font pas du « covoiturage ». Ils ne font pas monter quelqu’un qui se trouve sur leur trajet pour l’emmener avec eux et ainsi optimiser leur déplacement. Ils font… du taxi. Ils vont chercher des clients et les emmènent où ils veulent aller.

J’aimerais bien savoir sur quelles données se fonde Équiterre pour affirmer qu’Uber contribue à « réduire les problèmes de congestion routière urbaine et les émissions de gaz à effet de serre ». On ne retire aucun véhicule. On peut même faire l’hypothèse que certains délaissent les transports en commun pour utiliser Uber (c’est vrai à l’aéroport), et donc augmenter la circulation.

Quant à François Bonnardel de la CAQ, c’est encore plus comique. Selon lui, on envoie le message aux firmes de haute technologie venant s’installer ici qu’on les entrave. Encore une fois, Uber est venu chercher des clients, mais nullement installer sa haute technologie – sauf pour rouler l’impôt quand les gens de Revenu Québec sont entrés dans leur local, en faisant disparaître des données à distance. Ça, j’avoue, c’était de la super belle et haute technologie.

Il y a d’autres options.

***

Si les firmes high-tech s’installent ici, c’est parce qu’il y a des pôles de recherche et des secteurs d’excellence. L’intelligence artificielle à l’Université de Montréal et à McGill en est un exemple. Faut-il pour ça abolir l’environnement réglementaire ?

Il est vrai que le taxi était figé dans l’ancien temps et avait besoin d’être secoué. Les années qui viennent vont bouleverser tous les secteurs, à peu près personne ne sera épargné.

C’est vrai, il va falloir s’adapter. Il va falloir changer des habitudes. Il va falloir accepter que rien ne sera plus comme avant.

Mais sous prétexte de nouveaux « modèles d’affaires » et de technologies révolutionnaires, l’État n’est pas obligé de s’écraser, d’abdiquer ses responsabilités, de laisser les revenus de taxes partir vers les paradis fiscaux.

Encadrer les bouleversements qui s’annoncent, s’assurer de l’équité entre les concurrents, ce n’est pas résister au changement. C’est ne pas confondre économie du partage et intimidation technologique.

Alors si 10 heures de formation de plus font fuir Uber, on ne me fera pas brailler.

Je soupçonne que : 1) c’est des menaces pour soulever l’opinion publique (c’est très populaire !) ou 2) leur modèle fonctionne déjà moins bien au Québec, vu que les redevances y sont huit fois plus élevées que dans des villes ontariennes… ou les deux.

Mais tout ça arrive comme par hasard en même temps que leur sympathique campagne de pub.

M’est avis qu’ils se sont encore lancés dans une superbe manœuvre d’enfirouâpage du citoyen ubérisé.

...

http://plus.lapresse.ca/screens/5f3d05f4-2bb0-4a68-930a-98bfce36466b|_0.html

ÉDITORIAL

À UBER DE SE CONFORMER… SINON, BYE-BYE !

FRANÇOIS CARDINALLA PRESSE

Uber a lancé un ultimatum au gouvernement ? Pour quelques heures de formation ?

Vraiment ?

Eh bien si Uber veut s’en aller, qu’il s’en aille ! On préférerait qu’il reste ici pour toutes sortes de raisons, mais le devoir d’une entreprise est de se conformer à la réglementation du gouvernement, pas l’inverse.

Et ce, même s’il s’agit d’une multinationale techno tout droit sortie de la Silicon Valley dont la capitalisation se chiffre en milliards US…

Il est franchement de plus en plus difficile de se porter à la défense du bad boy californien, de son attitude de cowboy et de ses méthodes de négociation, comme si tout lui était dû, partout, tout le temps.

Il était possible de comprendre son attitude de défiance des débuts, alors qu’Uber débarquait en zone hostile, confrontée à des monopoles d’entreprise qui bloquaient avec agressivité le moindre changement au transport des personnes depuis Mathusalem.

Elle a donc dû marcher sur bien des orteils pour s’imposer dans les villes du monde, bousculer une industrie qui en avait besoin et réduire le recours à l’autosolo en s’intégrant au cocktail transport. Il aurait été difficile de faire autrement.

Mais que cette entreprise profite aujourd’hui de la porte ouverte par un gouvernement volontaire pour imposer ses exigences impératives sans autre possibilité que son départ est un manque flagrant de décence.

Uber a eu la chance de pouvoir négocier avec Québec l’implantation d’un projet-pilote unique, dont elle a par le fait même accepté chacune des clauses. Cette entente visait « à expérimenter » et « à innover en matière de services de transport par taxi ». Elle servait aussi « à étudier, à améliorer et à définir des normes applicables en telle matière ».

En acceptant l’idée même du projet-pilote, on acceptait donc que des changements aient lieu un moment donné, en fonction des leçons tirées de l’expérience. C’est ce qui s’est produit à l’issue de la première période d’essai.

Normal. Les chauffeurs avaient accumulé un certain nombre d’infractions. Des reportages ont été diffusés faisant état de chauffeurs accueillant des clients malgré leur dossier criminel. Et le travail d’harmonisation entre Uber et les taxis s’est poursuivi, si bien que les règles ont été ajustées pour assurer équité et sécurité : vérifications d’antécédents judiciaires par la police, inspection des véhicules aux 12 mois et formation de 35 heures (qui peut être livrée d’une manière ou d’une autre, par modules, internet ou autre).

Rien pour écrire à son maire, convenons-en. Et pourtant, parce qu’on resserre un tout petit peu les règles, Uber crie à l’injustice et menace même de plier bagage ! Qu’il le fasse donc s’il est incapable de comprendre le contexte dans lequel il évolue et l’importance de la sécurité des usagers. Qu’il quitte le Québec s’il ne peut être aussi conciliant qu’Airbnb, qui a accepté les règles du gouvernement sans claquer de portes. Qu’il parte si son sacro-saint modèle d’affaires l’empêche de faire tout compromis sur la formation.

Montréal, de toute façon, ne serait pas la première à se passer d’Uber, ni en Europe ni en Amérique du Nord. Des villes comme Londres, tout récemment, ou encore Vancouver et Copenhague lui ont montré la porte sans disparaître de la géopolitique urbaine.

La popularité du service à Montréal montre qu’Uber répond clairement à une demande. Tant mieux, donc, si l’entreprise peut se conformer aux conditions et continuer de prospérer ici, au bonheur des clients et des chauffeurs qui en profitent.

Sinon… bye-bye !

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