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Amazon looking for a location to have a 2nd HQ


jesseps

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il y a 33 minutes, MtlMan a dit :

Brossard ou Laval, ça reste Montréal at large. 

 

Pas dans la tête du maire de Laval, malheureusement. Pareil pour Brossard.

Comme ca a été dit: si on cherche un compromis qui en surface contente tout le monde (genre la suggestion dans l'article de mettre un morceau sur l'île et un en banlieue: come on!), on va avoir un beau "design by committee" qui va définitivement enterrée les chances de la soumission.

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Je sis convaincu que le maire de Mississauga se bat fort pour avoir des investissements qui n'iront pas au cv de Toronto. C'est normal.

Ce que je veux dire c'est que mieux vaut à Laval qu'à Toronto (Mississauga ou whatever)!

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Useless read. Vraiment y'a rien de nouveau dans ce qu'il dit. 

Citation

Mayor John Tory thinks Toronto would be the perfect place for it. Not so fast, says Vancouver Mayor Gregor Robertson, his city has it all over any competitor in the country. But then, Mayor Naheed Nenshi feels the same way about Calgary, and Mayor Don Iveson, about his kingdom in Edmonton.

Smh. Montreal doesnt exist for the ROC. 

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il y a une heure, man with the golden gun a dit :

C'est ça le problème au Québec. Des petits roitelets qui ne pensent qu'à leurs  propres intérêts, des gens qui ne voient pas plus loin  que leur bout de leur petit nez. Contrairement à Toronto et d'autres grandes villes américaines  qui  ont comprise depuis longtemps  que tu dois t'allier avec ceux qui t'entourent, pas les voir comme de la compétition. Montréal c'est pas juste le maudit plateau Mont-Royal  et Ville -marie, c'est Blainville, Laval, Brossard ,etc...

Ça fait des décennies que les banlieues sont tout aussi responsables de cette attitude, et n'hésite jamais à dénigrer la ville lorsque leur santé fiscale en dépend, tout en nuisant au développement durable de la région si cela simplifie les investissements chez eux.

Et on ne peut pas blâmer Montréal ou n'importe quelle autre ville de faire de la sorte, le système fait en sorte que nous sommes effectivement en compétition en bout de ligne, car tout le monde dépend des revenus fiscaux fonciers sur son territoire pour balancer son budget (et encore là, les villes en périphérie sont encore plus dépendantes des nouveaux revenus pour soutenir leurs dépenses, dans de nombreux cas).

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8 000 000 de pieds carré pour le ou les bâtiments c'est énorme. Je ne suis pas certains que Brossard à la place pour ça.

Un exemple d'endroit serait l'ancien (ou bientôt ancien) IKEA entrepot qui fait 850 000 pieds carré.

Correct pour la première phase, mais il faut un potentiel de 10 fois ça d'ici 2027 pour leur HQ2.

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Publié le 16 septembre 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/francois-cardinal/201709/15/01-5133853-siege-social-damazon-toronto-a-des-chances-montreal-aussi.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS1

Siège social d'Amazon: Toronto a des chances... Montréal aussi!

Amazon... (Photo Mike Segar, archives Reuters)

Amazon

Photo Mike Segar, archives Reuters

 
 
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François Cardinal
La Presse

Le Canada a des chances d'accueillir le futur siège social d'Amazon, quoi qu'en disent les oiseaux de malheur.

La multinationale de Jeff Bezos n'a pas lancé son invitation aux régions métropolitaines de l'« Amérique du Nord » par accident. Aucune règle du commerce mondial ne la forçait à inclure le pays voisin dans son appel de candidatures, et pourtant, on y évoque les « provinces »... à 13 reprises !

Et pourquoi pas ?

Le Canada suscite toutes les convoitises, et ce serait malhonnête de réduire cet intérêt à la couleur des chaussettes de Justin Trudeau. Le pays, après tout, est « l'endroit idéal au sein du G7 pour faire des affaires », selon The Economist Intelligence Unit.

 

Il a pris le virage de l'innovation, il attire les investissements étrangers, il possède un impressionnant bassin de main-d'oeuvre et il offre une qualité de vie incomparable.

Donc Amazon au Canada ? Oui ! Surtout avec le contexte qui sévit aux États-Unis. Donald Trump ne sera pas éternellement à la Maison-Blanche, mais les électeurs qui épousent ses idées ne disparaîtront pas en 2020, la fermeture et le repli sur soi du pays non plus.

C'est donc loin d'être perdu d'avance pour les villes canadiennes. Vancouver a probablement peu de chances, étant trop près de Seattle pour qu'Amazon profite d'un bassin frais de talents, mais Toronto et Montréal ont raison de préparer leur candidature.

Entre les deux, soyons honnêtes, la Ville Reine a l'avantage, et pas seulement parce qu'elle a déjà nommé un lobbyiste pour la cause, l'ancien banquier Ed Clark. C'est aussi la métropole techno qui connaît la plus forte croissance sur le continent. Elle est sur l'écran radar des Cisco et Uber de ce monde. Et elle possède suffisamment d'atouts pour s'être faufilée dans la plupart des palmarès élaborés ces derniers jours, à CNN et ailleurs.

Cela dit, le nom de Montréal circule également. Il s'est même retrouvé dans la liste du Washington Post, que possède aussi Bezos (il est même premier... grâce à l'ordre alphabétique !).

Il suffit de consulter les critères de l'appel de candidatures pour voir que Montréal remplit toutes les cases, sauf pour le lien aérien direct avec Seattle, ce qui se corrige facilement. Il possède même, à l'ancien Blue Bonnets, un gigantesque terrain qui cadre avec les besoins d'Amazon (accès au métro, moins de 45 minutes de l'aéroport, moins de 3 km d'une autoroute, etc.)

La ville est aussi à mi-chemin entre Seattle et Londres, à 60 minutes de Boston et de New York. Elle est championne de l'intelligence artificielle, comme en témoigne l'annonce de Facebook d'hier. Elle offre de l'électricité propre et peu chère. Elle est hip et cosmopolite, innovante et diversifiée, abordable et concurrentielle. Et disons-le, elle joue maintenant dans les ligues majeures.

Quant à la langue, elle peut être un inestimable atout. La population est la plus bilingue et trilingue du pays, ce qui est précieux pour une entreprise dont le modèle d'affaires s'appuie sur des offres locales différenciées, partout dans le monde.

L'énergie et les ressources que mettent Montréal international et Toronto Global valent donc amplement la peine. Ne serait-ce que pour le message qu'enverrait une présence parmi les candidats finaux. Mais rien n'empêche de viser le gros lot.

«« Il suffit de consulter les besoins d'Amazon pour voir que les deux villes sont de sérieuses candidates pour l'obtention de son futur siège social. »»

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