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6 hours ago, Bartimeus said:

Juste mon opinion pour le fun, c'est la que je travail.

Bloc A (ancestrale) et bloc B (emblématique) vont rester propriété de MolsonCoors. Avec musée, resto-Pub, microbrasserie ouvert au publique, dans les bâtiments. La salle John Molson pourrait aussi être conservé(dans le bloc A). Une partie de la façade et une cheminé de brique lettré Molson ont été restaurer a grands frais dans les dernières années. Ils vont vendre le reste du terrain selon moi (bloc B, C , Ouest  ...et les stationnements)

Je crois pas que le bloc B soit en bon état. (eau, amiantes et plus) Il y a peut être le dernier grand entrepôt a l’extrême ouest du terrain. On m'a déjà dit que ce bâtiment avait les fondations pour supporter plusieurs étages. Une phase 2 qui na pas eu lieu. Peut être le seul autre bâtiment qui pourrait résister au bulldozer d'un nouveau propriétaire.

 

 

 

Intéressant Bartimeus, mais tu ne parles pas du haut bloc D, celui avec l'horloge et les grosses lettres Molson, auquel la plupart des gens sont attachés.

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il y a 47 minutes, jerry a dit :

Intéressant Bartimeus, mais tu ne parles pas du haut bloc D, celui avec l'horloge et les grosses lettres Molson, auquel la plupart des gens sont attachés.

Disons tout de go que visuellement parlant, le bloc D est le plus emblématique parce qu'il domine (avec le pont) cette partie du paysage urbain montréalais depuis des décennies et qu'on peut l'apercevoir de partout en ville. De ce point de vue c'est un édifice identitaire de premier choix, au même titre que celui de la Farine Five Roses notamment.

Ces derniers se démarquent d'ailleurs clairement de jour comme de nuit dans le ciel montréalais et leur disparition serait perçue comme une amputation majeure dont souffrirait l'image caractéristique de la ville. Ils témoignent de ce fait haut et fort du passé industriel de Montréal, comme centre névralgique au pays durant plus de deux siècles. 

Intéressant de constater aussi que ce ne sont pas nécessairement des édifices de premier intérêt architectural et personne ne nous envierait leur présence au premier abord. Mais comme ils font partie des symboles distinctifs de la métropole, ils deviennent tout aussi précieux par leur authenticité, que par leur facture unique.

Pour revenir à l'ensemble du complexe Molson, toute la partie est est hautement significative et a indéniablement un potentiel muséal indiscutable. Ses racines plongent profondément dans l'histoire suite à la conquête anglaise, qui a repris en main une industrie brassicole modeste mais déjà présente. https://fr.wikipedia.org/wiki/Molson

Finalement à l'ouest, c'est là qu'on retrouve le plus grand espace à développer et qui donne directement sur une immense fenêtre ouverte sur le fleuve. On comprendra que c'est carrément un bijou sur le plan immobilier et que sa valeur marchande, comme son potentiel, sont tout simplement extraordinaires.

Du vrai bonbon pour urbanistes, comme pour architectes. Alors à eux seuls et bien sûr en complément aux autres grands sites voisins, ils auront le pouvoir de transformer durablement l'image de cette partie de la ville, pour en faire un véritable modèle de cité du vingt et unième siècle. 

 

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Il y a 3 heures, jerry a dit :

Intéressant Bartimeus, mais tu ne parles pas du haut bloc D, celui avec l'horloge et les grosses lettres Molson, auquel la plupart des gens sont attachés.

Arfff désoler erreur de frappe dans mon 1er paragraphe, c'est évidemment le bloc D qui est emblématique, le bloc B a rien d’emblématique sauf peut-être sa laideur !

A noter aussi que le grand terrain/stationnement sous le pont (secteur Dorion et disons Papineau) est un stationnement de Molson. 

 

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DÉMÉNAGEMENT DE MOLSON

UN INTÉRÊT DE LONGUE DATE À LA CONVERSION DE LA BRASSERIE

ANDRÉ DUBUCLA PRESSE

Ce n’est pas d’hier que la brasserie Molson Coors planifie la revitalisation de ses bâtiments historiques de la rue Notre-Dame.

 

Il y a 15 ans, le brasseur avait mandaté l’agence d’architecture Affleck de la Riva pour lui proposer un scénario de restauration et de conservation de ses propriétés à façades de pierre calcaire. La firme avait accouché d’un audacieux plan qui s’avère plus actuel que jamais en 2017.

« On les avait vraiment surpris avec notre étude, se souvient Richard de la Riva, un sourire dans la voix. Molson cherchait des idées pour refaire son image de marque simplement en intervenant sur les façades des bâtiments. On avait décidé que si Molson avait vraiment à cœur son image, elle devrait regarder l’ensemble des terrains et des stationnements et voir comment elle pouvait intervenir sur l’ensemble de ses propriétés et voir plus loin dans le temps. »

Dans leur étude de 2002, les architectes avaient projeté le complexe industriel dans un environnement en profonde transformation. Affleck de la Riva intégrait dans son scénario de référence le recouvrement de l’autoroute Ville-Marie, la condamnation de la bretelle d’autoroute qui donne sur la rue Notre-Dame face à la brasserie, la reconstruction et la densification du site de Radio-Canada et même la mise en valeur du Pied-du-Courant, redevenu d’actualité avec l’annonce du départ prochain de la Société des alcools. Bref, Affleck de la Riva proposait de ne créer rien de moins qu’un nouveau quartier à échelle humaine : le quartier Molson.

« Quand je regarde ça, je suis assez fier du travail qu’on a fait dans le temps. Je peux comprendre que ça les ait brassés un peu à l’époque. »

— Richard de la Riva

Parmi les faits saillants, l’étude proposait de transformer la bruyante rue Notre-Dame en une rue locale avec de larges trottoirs pour faciliter la circulation piétonne. Une partie du stationnement de surface entourant le siège social, du côté nord de Notre-Dame, était transformée en une place publique, le square Molson, lui-même relié au parc linéaire faisant la transition entre Molson et Radio-Canada. Il était aussi proposé d’ouvrir un musée de la bière Molson.

Des idées qui conservent toute leur pertinence au moment où la brasserie a annoncé son départ du site actuel qui devra être converti à des fins résidentielles ou autres.

« Les gens de Molson ont convoqué Gavin [Affleck, son associé] l’an passé, pour ressortir l’étude et en faire un survol avec lui, à notre grande surprise », confie M. de la Riva.

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Il faut dire que la firme d'architecte Affleck De La Riva est assez visionnaire car ca fait déjà 15 ans qu'elle a proposé une vision pour le site de Molson dans l'éventualité soit d'un déménagement ou tout simplement d'une revitalisation du site de Molson. D'ailleurs, la firme avait baptisé l'endroit le quartier Molson.

Voici ce que la firme proposait à l'époque:

http://www.affleckdelariva.com/index.php/fr/projets/design-urbain/79-quartier-molson

 

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Les promesses de renaissance du Centre-Sud

http://www.ledevoir.com/politique/montreal/503502/les-promesses-de-renaissance-du-centre-sud

Les sites de Radio-Canada et de la brasserie Molson ouvrent de nouvelles perspectives pour le quartier

15 juillet 2017 |Jeanne Corriveau | Montréal

Selon Richard Bergeron, responsable de la stratégie pour le centre-ville au comité exécutif, le départ de Molson ouvre de nouvelles perspectives pour le quartier. Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Selon Richard Bergeron, responsable de la stratégie pour le centre-ville au comité exécutif, le départ de Molson ouvre de nouvelles perspectives pour le quartier. 

Avec le déménagement à venir de Molson et le réaménagement de l’immense site de Radio-Canada, le quartier Centre-Sud se prépare à une vaste requalification urbaine dans les années, voire les décennies, à venir. Montréal y voit même l’occasion de discuter avec Québec de l’enfouissement de l’autoroute Ville-Marie vers l’est, jusqu’à l’avenue Papineau.

 

Lorsque son administration a donné le feu vert à la construction de la Maison de Radio-Canada sur le boulevard Dorchester dans les années 1960, l’ex-maire Jean Drapeau rêvait d’un centre-ville canadien-français dans l’est de Montréal. Ce centre-ville n’a jamais émergé, et c’est plutôt un quartier morcelé par des voies routières qui a été laissé en héritage.

 

Le Centre-Sud n’a pas été gâté. Dès 1926, cet ancien quartier industriel et ouvrier a été le théâtre d’expropriations pour permettre la construction du pont Jacques-Cartier. L’aménagement de l’autoroute Ville-Marie, inaugurée en 1974, a créé une immense cicatrice au centre-ville. Sans compter le Faubourg à m’lasse, rayé de la carte pour faire place à la Maison de Radio-Canada.

 

Quelques décennies plus tard, un vent de renouveau souffle sur l’est. Radio-Canada a vendu sa tour et l’ensemble de sa propriété à des promoteurs et deviendra locataire, en 2020, de sa nouvelle maison, qui sera construite à l’angle du boulevard René-Lévesque et de l’avenue Papineau.

 

Télé-Québec et la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) emménageront dans l’édifice patrimonial Au-Pied-du-Courant, à l’angle de l’avenue de Lorimier et de la rue Notre-Dame Est, en 2019.

 

Et plus récemment, la brasserie Molson a confirmé le déménagement de son usine de la rue Notre-Dame vers un nouveau site qui n’a pas été révélé. On ignore encore ce qu’il adviendra des bâtiments actuels, mais l’entreprise a déjà laissé entendre qu’elle garderait une partie du site.

image.jpgPhoto: Le Devoir
 

« C’est la fin d’un processus qui a commencé il y a longtemps avec la construction du pont Jacques-Cartier, puis avec l’élargissement du boulevard Dorchester. Le quartier a été “débâti”, explique René Binette, directeur de l’Écomusée du fier monde. Il y a une occasion de recréer le tissu urbain, mais des questions se poseront sur ce que l’on conservera de la mémoire de cet ancien quartier industriel et ouvrier. La mémoire, ça se perd vite. »

 

Des condos

 

Le Centre-Sud est déjà dans la mire de la Ville de Montréal. Outre la Stratégie centre-ville présentée en juin 2016, qui prévoit d’attirer 50 000 nouveaux résidants dans le centre-ville d’ici 2030, l’arrondissement de Ville-Marie, en collaboration avec Les Ponts Jacques Cartier et Champlain, a entrepris de redessiner l’entrée du pont Jacques-Cartier. On envisage notamment de surélever les voies d’accès du pont et de retisser les liens entre les quartiers Sainte-Marie et Saint-Jacques. Ce projet ne verra pas le jour avant plusieurs années, mais il pourrait bonifier le plan de développement d’ensemble qui se profile dans le secteur.

 

« On a une occasion de refaire un morceau de ville qui, malheureusement, a été détruit à une autre époque », reconnaît Richard Bergeron, responsable de la stratégie pour le centre-ville au comité exécutif.

 

Selon lui, le départ de Molson ouvre de nouvelles perspectives : « La partie plus récente de l’usine n’a aucune valeur patrimoniale. Donc, grosso modo, on a autour de 500 mètres linéaires dans la continuité du Faubourg Québec. Ouf ! Quelle belle occasion que cette formidable fenêtre sur le fleuve ! »

 

Pour y mettre quoi ? Des condos, notamment, suggère M. Bergeron, qui promet cependant d’appliquer la politique d’inclusion de logements sociaux et abordables. « Pour moi, le mot condo n’est pas rébarbatif. Ça veut dire de nouveaux habitants à Montréal, des gens qui réapprennent les vertus de la centralité, les milléniaux qui rêvent moins que leurs parents à la banlieue et des baby-boomers qui reviennent en ville. »

 

Ce secteur est loin d’être le seul à présenter un potentiel de densification. Le vaste terrain de Radio-Canada pourrait accueillir 3000 logements d’ici 20 ans.

 

Plus à l’est, un site de 27 000 mètres carrés est toujours vacant à l’angle de l’avenue De Lorimier et de la rue Sainte-Catherine. En mai 2016, les promoteurs Michael et Claudio Bertone ont dévoilé leur mégaprojet immobilier comportant deux tours résidentielles de 40 et 28 étages ainsi que des bureaux, des commerces, un hôtel et des espaces de divertissement. Le projet est retardé, mais il est toujours sur les rails, a assuré au Devoir un représentant des promoteurs.

 

Toutes ces perspectives font dire à Richard Bergeron qu’il faudra envisager l’enfouissement des voies de circulation de l’autoroute Ville-Marie jusqu’à l’avenue Papineau : « On peut difficilement imaginer que Molson et Radio-Canada vont se redévelopper de part et d’autre de ce qui est présentement l’espace de circulation au milieu. C’est un enjeu important à partir de maintenant. Ça devient une condition de réussite ».

 

Les leçons de Griffintown

 

Le réaménagement du Centre-Sud nécessitera de grandes précautions, estime l’urbaniste Gérard Beaudet, professeur titulaire à la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal. « C’est un secteur qui est affecté par des handicaps extrêmement lourds avec la présence du pont Jacques-Cartier, l’autoroute Ville-Marie, l’autoroute-boulevard Notre-Dame et les voies ferrées », dit-il.

 

Il déconseille à la Ville de laisser les commandes aux promoteurs. « Il ne faut pas répéter les bêtises de Griffintown, c’est-à-dire laisser les promoteurs s’épivarder et démarrer des projets partout à gauche et à droite, explique-t-il. C’est la Ville qui doit prendre le leadership et elle doit se donner un échéancier de 50 ans. Ça prendra le temps que ça prendra. »

 

Directeur de la Corporation de développement communautaire Centre-Sud, François Bergeron est plutôt optimiste, même s’il insiste sur l’importance d’impliquer la communauté et de maintenir la mixité sociale dans ce quartier. Selon lui, des ententes de développement devront être conclues avec les promoteurs. « Il faut s’assurer que ces investissements rejaillissent dans la communauté, que ce soit par l’emploi local ou par des aménagements ouverts au public. Et même si on fait de nouveaux ensembles résidentiels, des enjeux de centre-ville comme l’itinérance vont demeurer. On n’est pas au milieu d’un champ au coin de la 10 et la 30. »

 

Le travail de planification s’annonce de longue haleine. Gérard Beaudet note qu’au cours des dernières décennies, les promoteurs privés ont été plus attirés par l’ouest du centre-ville malgré les investissements importants consentis dans l’est, qu’il s’agisse de la Grande Bibliothèque, du complexe Guy-Favreau ou de l’UQAM. « On voit bien qu’on a eu beau investir des centaines de millions depuis des décennies, le privé n’a pas suivi, dit-il. Il faut aborder cet ensemble résidentiel avec beaucoup de modestie et ne pas s’imaginer que, parce qu’il y a deux ou trois investissements publics, ça va lever. »

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Le 7/15/2017 à 00:16, steve_36 a dit :

Il faut dire que la firme d'architecte Affleck De La Riva est assez visionnaire car ca fait déjà 15 ans qu'elle a proposé une vision pour le site de Molson dans l'éventualité soit d'un déménagement ou tout simplement d'une revitalisation du site de Molson. D'ailleurs, la firme avait baptisé l'endroit le quartier Molson.

Voici ce que la firme proposait à l'époque:

http://www.affleckdelariva.com/index.php/fr/projets/design-urbain/79-quartier-molson

 

Superbe! Et j'adore leur proposition de requalification de N-D E. en ramenant la rampe de sortie de la future "route 136" (LOL!) sur St-Antoine. :thumbsup:

15 ans plus tard il y a même lieu de pousser ce vieux rêve plus à fond!

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  • Administrateur

Voir ce fil pour les phases prévues pour l'ilot de Voltigeurs (Alexandre-de-Sève et Monarque/Papineau)

 

Molson - Réhabilitation du site de la rue Notre-Dame

image.thumb.png.30b00c3dd78f49315010d39e333a97bb.png

https://redeveloppementmolson.com/fr/

Discussion sur la requalification du site. (Photo Radio-canada)

(Le déménagement vers la nouvelle usine à Longueuil est prévu pour 2021)

FB_IMG_1539285158099.jpg

https://redeveloppementmolson.com/fr/

https://www.groupemontoni.com/fr/nos-realisations/developpement-molson/92

https://www.groupeselection.com/fr/presse/redeveloppement-des-terrains-de-la-brasserie-molson/

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Comme on peut le constater il y a déjà consensus vis à vis de la mise en valeur du site Molson, en protégeant le coeur des bâtiments que l'on peut qualifier de véritablement significatifs. De toute façon il n'y a pas urgence de tout chambouler puisque le déménagement proprement dit pourra prendre quelques années. La Ville comme les principaux intéressés auront alors le temps de bien planifier la suite des choses.

Plusieurs propositions ont d'ailleurs déjà été présentées, on ne part donc pas nécessairement d'une page blanche et il faudra tenir compte des projets adjacents pour arriver à créer un grand ensemble cohérent. C'est l'avenir de l'Est dont il est question et cette fois-ci il ne faudra pas échapper la balle. Ainsi c'est dans l'esprit du développement durable qu'il faudra repenser toute cette partie de la ville, pour qu'elle s'intègre harmonieusement avec les quartiers voisins, tout en ayant sa personnalité propre. 

Montréal a ici la rare chance de réinventer tout un quartier au bord même du fleuve, une opportunité exceptionnelle dont il faudra profiter au maximum. Non seulement sur le plan économique, mais aussi urbanistique et social, parce qu'une ville c'est premièrement un milieu de vie, que l'on souhaite bien sûr de la meilleure qualité possible.

Alors contrairement à Griffintown, il faudra que les infrastructures précèdent en partie l'érection des bâtiments, pour obtenir un résultat non seulement optimum, mais surtout invitant dès le départ pour les futurs résidents et commerces. Avec un PPU détaillé pour l'ensemble du secteur, les acheteurs réaliseront que c'est un environnement idéal et un mode de vie qu'ils achèteront en même temps qu'une résidence, un peu comme cela s'est fait pour la Pointe-Nord de l'ile des Soeurs.

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