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Défilé de la St-Jean suscite une controverse sur la diversité


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« On est humains, on fait partie du Québec, on habite à Montréal. Ce n'est pas une question de couleur. C'est plate que les gens nous aient perçus comme des gens représentant une race et non comme des participants. Jamais je n'aurais accepté que mes jeunes participent à quelque chose de dégradant », a conclu l'entraineur en chef, qui poussait lui-même l'un des chariots.

 

Encore un exemple de blancs qui essaient de se faire des justiciers du racisme à la place des noirs. Il est plutôt là le vrai racisme.

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34 minutes ago, Blitz said:

Encore un exemple de blancs qui essaient de se faire des justiciers du racisme à la place des noirs. Il est plutôt là le vrai racisme.

Essayer d'intimider ou insulter les personnes qui partagent pas ton opinion (pour les faire taire?)  n'aide pas la discussion. Dans la société c'est la responsabilité de TOUS de protéger les minorités et les droits de TOUS. Des chartes de droit sont justement là pour cela, mais c'est un travail continu. Il faut se méfier de la majorité  (silencieuse). Il faut continuer d'être être vigilant.  Regardez ce qui se passe au États-Unis et dans d'autres pays ou la droite remonte ou atteint le pouvoir.  Notre société est très loin de traiter tous égale. Il y a plusiers cas récent au Québec ou les personnes de couleur se font insulter, attaquer et pire..

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Dans le cas présent, aucun droit n'a été bafoué. Il s'agit d'un débat sur "l'image", un genre de discussion qui peut facilement tourner au dialogue de sourds.

Mais je ne crois pas que Blitz veuille faire taire qui que ce soit. Il a surtout rappelé ce que les participants présentés comme des victimes en pensaient. Et il s'avère qu'ils jugent eux-mêmes que c'est surtout ceux qui les ont vus comme des "Noirs", plutôt que comme des jeunes volontaires comme les autres, qui les déçoivent.

En un sens, ils n'ont pas non plus le dernier mot, puisque la situation a aussi des dimensions plus larges. Mais leur opinion mérite d'être entendue ne serait-ce que pour faire contrepoids aux éternels donneurs de leçons morales, dont certains semblent surtout vouloir des "points SJW", en se foutant pas mal de ce que pensent les premiers intéressés... (Je ne vise personne ici où le débat reste civilisé. Mais tout ce qu'on a pu lire sur FB !) 

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Opinion d'une femme noir

https://www.vice.com/fr_ca/article/d3za7z/non-je-ne-me-calmerai-pas-le-mouton

Non, je ne me « calmerai pas le mouton »
GK
Jun 27 2017, 12:01pm

Encore une fois, c'est nous le problème, les gens offusqués par la maladresse des autres.

Image tirée de la vidéo publiée sur Facebook par Félix Brouillet

Je refuse de rester calme et de faire comme si ce qui s'est passé au défilé de la Saint-Jean à Montréal était déjà une vielle histoire. Vous l'avez sûrement vue, la vidéo, qui a déjà été vue plus d'un million de fois. Si vous avez été scandalisé à son visionnement, s'il vous plaît, ne tombez pas dans le piège de Mario Girard, qui voudrait que ses lecteurs passent l'éponge sans formuler le moindre reproche. Vos premières impressions enflammées sont légitimes et heureusement que nous avons les réseaux sociaux pour porter notre indignation.

Bien sûr, M. Girard n'a pas été le seul à vouloir balayer le tout sous le tapis. Il n'était même pas le premier. Comme ça se fait à chaque bourde au Québec, les justifications boiteuses se sont manifestées rapidement.
 

Le premier reportage sur lequel je suis tombée après avoir vu la vidéo m'a fait tomber de ma chaise. C'était à RDI, à moins de 30 secondes du début, on nous rapporte que « les festivités se sont quelque peu assombries par une controverse ».

« Assombries » par une controverse? Mon identité est-elle une controverse? C'est nous qui aurions fait ça? Les Noirs-pas-contents auraient assombri la Saint-Jean? Pourtant, j'aime la Saint-Jean. J'aime la parade et je n'ai pas envie de casser le party. C'est le fun, la Fête nationale!

Il m'a fallu prendre un moment de réflexion. J'ai appuyé sur pause pour prendre le temps de m'attarder comme il faut au pouvoir des images que je venais d'absorber. Un sujet si important couvert avec autant de désinvolture, ça fesse.

Hop, un verre d'eau. On continue.

J'appuie sur lecture. Le reportage se poursuit. Apparaissent les Blancs vêtus en blanc, symbole de pureté, d'innocence et de lumière. Ils portent des chapeaux, font des mouvements de danse. Ils sont heureux et saluent la foulent. Puis, il y a les Noirs. De jeunes hommes. Ils sont costumés avec un accoutrement qui évoque immédiatement chez moi le souvenir des uniformes de prison ou d'esclaves. Ils poussent un char. Visiblement, ils ont chaud. Ce premier segment de la parade a pour thème… l'histoire! (Parlant d'histoire, saviez-vous que la fin de la parade avait lieu non loin de l'endroit où l'esclave Angélique, accusée d'avoir incendié Montréal, fut torturée, pendue et brûlée par les autorités?)

Le reportage enchaîne ensuite avec l'intervention de Maxime Laporte, président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, qui organise la Fête nationale. « J'aimerais appeler au calme, dit-il. Je pense que c'est malhonnête de vouloir nous prêter des intentions mauvaises alors que l'on fait tous les efforts — tous les efforts légitimes — pour représenter la diversité québécoise. »

Encore une fois, c'est nous le problème, les gens offusqués par les images de jeunes Noirs qui poussent un char transportant des Blancs. Mais ils ont fait des efforts d'inclusion! Laissez-moi vous dire quelque chose, Monsieur Laporte : peu importe vos intentions, l'énorme malaise que vous avez provoqué n'est pas moins légitime que vos « efforts de représenter la diversité québécoise ».

Il a été important pour M. Laporte et les médias de mettre l'accent sur le hasard et le contexte de la parade verte qui a mené à la scène en question. Mais qu'en est-il du contexte historique à travers lequel je navigue chaque jour en tant que Montréalaise noire?

C'est sans parler des commentaires de monsieur et madame Tout-le-monde sous la vidéo. Des dialogues qui me piquent et me confirment ma perception des conditions de vie qui me sont propres, en tant que femme noire. Or, ma couleur, dont je suis tant fière, et le poids qu'elle me fait porter quotidiennement deviennent invisibles aux yeux de mes confrères québécois blancs lorsque je manifeste mon désaccord avec les inattentions commises à mon endroit.

Mes deux souhaits pour les futures maladresses signées Québec sont les suivants. J'espère d'une part que les médias arrêteront d'appeler instinctivement au calme et qu'ils présentent les deux côtés d'un enjeu d'une si grande portée. Ensuite, j'aimerais que tout un chacun reconnaisse que le Québec ne serait pas ce qu'il est si les Québécois étaient restés calmes devant les insultes à leur identité. Le Québec s'est bâti grâce aux « casseurs de party », comme nous, qui n'ont jamais accepté qu'on empiète sur leur dignité.

 

Gabriella Kinté est libraire chez Racines, une librairie de Montréal-Nord qui a pour mandat de mettre de l'avant l'histoire et les contributions des personnes racisées.

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Défendre des valeurs de société est un objectif noble qui mérite toute notre attention. Cependant le faire de manière chaotique, basé sur des émotions et de fausses perceptions est beaucoup moins édifiant. En magnifiant une situation particulière et en la mettant hors contexte, plusieurs se sont permis des interprétations erronées sur le défilé de la St-Jean, qui ont vite mis le feu au poudre dans les médias sociaux.

C'est l'art de faire d'un non événement une nouvelle qui se rapproche du phénomène des fake news, que je conteste et déplore. C'est bien beau s'indigner, les sujets ne manquent pas, on n'a qu'à ouvrir un vrai journal, section locale ou internationale. Les guerres, le terrorisme, les famines et les politiques de certains pays, le narco-trafic, le climat, les menaces nucléaires et j'en passe. Ces reportages passent sans trop retenir notre attention avec une couverture limitée, tellement on en est devenu insensibilisé.

Mais que quelqu'un prétende sans vérification sérieuse, avec vidéo cadrée, ciblée et limitée à une seule scène, que les organisateurs de l'événement font preuve de racisme dans le choix de leurs porteurs, alors là on a un scoop. La nouvelle devient vite virale et on s'auto-flagelle en groupe sur la place médiatique.

La question que je me pose: sommes-nous rendus à ce point biaisés, influençables et faibles de jugement pour se laisser entrainer dans ce genre de dérive aussi malsaine, tandis que les vrais problèmes du monde sont ignorés parce que trop complexes ou trop loin de notre réalité quotidienne?

Ces réactions épidermiques me désolent et me font perdre une partie de mon respect vis à vis de ces individus qui se prétendent plus blanc que neige et dont l'attitude de mépris devient contagieuse, bien cachée derrière l'anonymat de la masse.

Ma conclusion: arrêtons ce procès d'intention qui ne nous élève aucunement et remettons les médias sociaux à leur place, dans les échanges personnels et privés. Ils pourront toujours servir exceptionnellement pour défendre de vraies causes si jamais nos valeurs ou la démocratie sont en danger réel. Pour le reste nous avons d'authentiques journalistes pleinement capables de nous informer professionnellement et plus objectivement, que les crieurs de journaux virtuels qui cherchent leurs petits moments de gloire quitte à inventer la nouvelle. 

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Il y a 21 heures, fmfranck a dit :

C'est quoi le rappport avec le mouvement nationaliste et le défilé de la St-Jean Baptiste? Ça fait longtemps que ce n'est plus la Société St-Jean-Baptiste qui s'occup de la fête nationale. Le MNQ (Mouvement national des Québécois) s'occupe des fêtes locales et la grande fête à Québec, tandis que le Comité de la Fête Nationale de la St-Jean Inc s'occupe du défilé et des spectacles de Montréal et Laval.

Ils ont une mission et des valeurs qui sont tout à fait en relation avec la diversité montréalaise.  

Je parle pas des organisateurs comme tel, mais du fait que la St-jean est quand même associée au nationalisme québécois (Fête nationale) peu importe l'étiquette politique. En ce sens, ce genre de connerie se répercute sur tout le reste.

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Il y a 22 heures, fmfranck a dit :

No. I've seen plenty of non-whites (including the people pushing the kart and their coach) think this is a NOTHING incident. I find, to the contrary, that it is quite shocking how everyone seems to not notice the other "non-blacks" pushing that same carriage (2 out of 4). Some people just focus on what justifies their self-righteous outrage. They do not really care about the issues, they just want to maintain their personal perspective of moral superiority. 

There are much more complex and important issues in our society that have to do with racial disadvantage. But I guess, those are too complex and boring in their continuity and lack of easy solution. Its easier to complain about something that is artificial, and feel as if though you've contributed to make the society better.
 

 

Man arrête un peu. Ça avait l'air fou en crisse, faut être de mauvaise foi pour dire que c'est une affaire de Blancs qui se prennent pour des justiciers! Tu délires, là.

Tu as raison cependant sur le fait qu'il y a des sujets plus importants de racisme dans la société. Mais personne n'a dit que l,histoire du défilé surpasse tout le reste. Juste que c'était con en calvaire.

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Je suis intéressé de lire les opinions de la communauté noire vis à vis la manque de diversité dans ce défilé,  c'est à  dire la manque de sensibilité pour le montage de la scène des noirs vêtus en beige qui poussent le  chariot et les blancs costumés en blanc.

Comme j'ai. déjà mentionné ce.n'est pas le seul cas. Deux vidéos fait récemment pour Montréal consistaient seulement des blancs. Coderre et Rozon étaient vite pour admettre cette gaffe monumentale.

On dirait que des.gens vivent dans une autre planète,  pas le.Montréal de 2017.

Opinion dans Le Devoir le 27 juin

27 juin

LIBRE OPINION

Le goût amer laissé par le défilé montréalais de la fête nationale

Myrlande Pierre Sociologue et chercheuse associée au Centre de recherche en immigration et citoyenneté de l’UQAM

D’entrée de jeu, je dois dire que je n’ai pas pris part au défilé de la Saint-Jean de Montréal. Comme pour plusieurs, l’image du tableau d’ouverture sous le thème « Gens du pays… » m’est parvenue à travers les médias sociaux.

De nombreux internautes et des spectateurs qui ont assisté au défilé de la Saint-Jean, samedi à Montréal, se sont, à juste titre, indignés en voyant des jeunes hommes noirs pousser des chars allégoriques. Il est vrai que le tableau, du point de vue symbolique, était désolant et regrettable. Une image vaut mille mots et celle-ci était frappante et renvoyait à une scène ponctuée d’anachronismes.


 

Je vous dirais que mon indignation tout comme mon questionnement sont d’un tout autre ordre. À ce titre, j’ouvre brièvement la parenthèse sur un autre cas tout aussi polémique survenu en novembre dernier lors du lancement de la vidéo promotionnelle des célébrations du 375e de Montréal en raison de son flagrant manque de diversité artistique.

Ce qui est déplorable et qui devrait nous interpeller en tant que société, c’est l’absence de la diversité ethnoculturelle dans les lieux décisionnels où l’on définit les orientations, allant de la conceptualisation à la mise en oeuvre de diverses initiatives. Il est fort regrettable que l’on ne soit pas encore parvenu à trouver une équation d’équilibre pour assurer la diversité culturelle des points de vue et des perspectives dans ces lieux. Le problème, effectivement, en est un de perspective et de sensibilité. Pour certains, le fait qu’un pan de la population et plus particulièrement des membres des communautés noires s’indignent à la vue d’une telle scène lors du défilé de la Saint-Jean apparaît comme un caprice. Cela traduit un manque de sensibilité culturelle et historique. Pour exprimer mon désenchantement face à ce persistant constat, je parlerai d’analphabétisme et d’aveuglement volontaire face aux questions fondamentales et enjeux liés à la diversité ethnoculturelle. Aussi longtemps que les espaces décisionnels et les sphères d’influence demeureront homogènes, la reproduction de ce type d’aberrations ressurgira au détriment du vivre-ensemble et de la cohésion sociale. Ce qui me désole encore davantage, ce sont les arguments boiteux et inconséquents mis de l’avant par ceux-là même qui ont la responsabilité de porter un regard critique sur la conceptualisation et la production de tels événements et qui ultimement en autorisent la diffusion. N’aurait-il pas été plus simple d’admettre et de reconnaître qu’il y a eu dérive en la matière et que des gens pouvaient être froissés et profondément choqués à la vue de telles scènes ? On ne peut pas simplement se réfugier derrière les intentions pour excuser des erreurs. Les jeunes footballeurs noirs qui ont pris part bénévolement à ce défilé l’ont fait en toute bonne foi. N’est-ce pas ce que l’on appelle la participation civique ? Ce n’est pas eux qui sont à blâmer. Évitons de les stigmatiser davantage. L’entière responsabilité de cette mascarade revient à ceux qui l’ont produite et qui détenaient le pouvoir décisionnel sur le scénario. Une expérience qui se voulait au départ positive pour ces jeunes Québécois a vite pris un tout autre tournant.

Une scène ponctuée d’anachronismes

Avant même que l’illustration stéréotypée de « Tintin au Congo, se faisant transporter par des Noirs » ne circule sur les réseaux sociaux, c’est cette image qui a surgi dans la tête de mon fils, trouvant la scène du défilé de la Saint-Jean absurde et dégradante. Une scène caricaturale désolante qui renvoie à des clichés et à un folklore de mauvais goût et passéiste digne d’un autre temps. Certains diront que tout ceci n’était pas intentionnel. Je le pense aussi, mais lorsqu’on est appelé à produire une manifestation publique, il revient aux responsables et à ceux à qui l’on confie le mandat de prendre en compte certains paramètres sociaux et culturels pour éviter les glissements de sens et les dérives.

 

Ce qui est toutefois encourageant dans cette triste histoire, c’est que l’alarme a été déclenchée par un spectateur, sensible à la réalité diversifiée de la société québécoise, qui a affirmé en diffusant la vidéo qu’il a captée : « J’pas sûr que les organisateurs de la parade ont compris le concept de diversité. » Non, effectivement, ils n’ont absolument rien compris au concept de diversité, ni à la notion d’inclusion.

 

Une telle insensibilité est d’autant plus regrettable que le défilé revêtait un caractère historique s’articulant sur différents chapitres, de la fondation du fort Ville-Marie jusqu’au Montréal d’aujourd’hui.

 

Cette controverse entourant un défilé de la fête nationale qui se voulait pourtant inclusif et ouvert aux Montréalais et Montréalaises de toutes origines laisse malheureusement un goût amer.

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Illuv,

Vous dites être intéressé par l'opinion de la communauté noire. Mais si c'était vraiment le cas, vous feriez entendre les deux côtés de la médaille, y compris les jeunes qui ont poussé le char allégorique et se sont dit déçus d'avoir été "racialisés", pour prendre ce mot à la mode (mais parfois confus), par les dénonciateurs. 

En réalité, vous semblez plus intéressé à simplifier un fait complexe au service d'un agenda politique. 

Le fait est complexe, parce que, d'un côté, il y a eu maladresse des organisateurs, qui semblent ne pas avoir imaginé qu'on puisse s'offusquer à partir d'une image forte. 

Mais de l'autre, il y a eu clairement simplification de l'événement. L'image choisie, coupée du reste et du contexte, n'était pas représentative de l'ensemble de ce qui se déroulait. C'est comme si j'allais aux États-Unis prendre une photo d'un cireur de soulier noir qui sert un client blanc et que je titrais un article : "USA, rien n'a changé depuis 1950". Ça m"aiderait peut-être à me penser moralement supérieur aux Américains (un des sports préférés des Canadiens), mais ça resterait de la manipulation d'image.

Les images ont toujours été un matériau de prédilection pour les idéologues de tout poil. Ne tombons pas dans le piège de leur donner plus de signification qu'il ne faut. 

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Il y a 3 heures, MtlMan a dit :

Man arrête un peu. Ça avait l'air fou en crisse, faut être de mauvaise foi pour dire que c'est une affaire de Blancs qui se prennent pour des justiciers! Tu délires, là.

Tu as raison cependant sur le fait qu'il y a des sujets plus importants de racisme dans la société. Mais personne n'a dit que l,histoire du défilé surpasse tout le reste. Juste que c'était con en calvaire.

J'ai jamais parlé de justiciers blancs. Tu te trompes de personne. Je parle d'une attitude générale dans la société. Y'en a marre de la racisation des opinions. 

Modifié par fmfranck
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