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Croisières internationales sur le fleuve


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Québec

 

 

 

Le gouvernement québécois décide d'injecter 52 millions de dollars pour la promotion des croisières internationales sur le fleuve Saint-Laurent.

 

De son côté, le gouvernement fédéral annonce par la voie du ministre du Travail, Jean-Pierre Balckburn, une contribution de 46 millions de dollars.

 

Une enveloppe de 36 millions de dollars servira à la mise à niveau des infrastructures portuaires. Ottawa avait déjà accordé 10 millions de dollars en février 2007 à la Ville de Saguenay pour la construction d'un port de croisières dans la Baie des Ha! Ha!.

 

Le ministre du Tourisme et du Développement économique, Raymond Bachand, a annoncé jeudi cette décision lors du dévoilement de son plan pour le développement durable et de promotion des croisières internationales sur le Saint-Laurent.

 

Cette stratégie vise à augmenter les « recettes touristiques » du Québec et à « diversifier et stimuler l'économie des régions ».

 

« La Stratégie de développement durable et de promotion des croisières internationales sur le Saint-Laurent nous permettra d'augmenter notamment le nombre de visiteurs américains, une clientèle touristique prioritaire pour le Québec », a déclaré leministre.

 

Les escales proposées dans la stratégie sont le Saguenay, Sept-Îles, Baie-Comeau, Gaspé, Havre-Saint-Pierre et les îles de la Madeleine.

 

De nombreux emplois pourraient être créés ou maintenus et des occasions d'affaires s'offriront aussi aux entreprises locales, selon le ministre.

 

Selon les projections du ministère du Tourisme et du Développement économique, cette stratégie pourrait générer une croissance annuelle moyenne de 17 %.

 

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/05/08/002-croisieres-st-laurent.shtml

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  • 10 années plus tard...

Publié le 13 novembre 2018 à 12h11 | Mis à jour à 12h11

https://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201811/13/01-5204009-croisieres-une-annee-record-pour-montreal.php

Croisières: une année record pour Montréal

Un nombre record de croisiéristes sont passés par... (Photo Edouard Plante-Fréchette, La Presse)

Un nombre record de croisiéristes sont passés par le port de Montréal en 2018.

Photo Edouard Plante-Fréchette, La Presse

 
628526.png
Stéphanie Morin
La Presse
 

Le port de Montréal a connu un achalandage record cette année, avec près de 130 000 croisiéristes et membres d'équipage qui ont posé pied sur les quais. Une augmentation de 12 % par rapport à 2017.

«Il s'agit d'une excellente nouvelle pour Montréal, lance Yves Lalumière, président-directeur de Tourisme Montréal. Ça prouve qu'on est en train de gagner tranquillement la niche du tourisme de luxe. Les croisiéristes sont des voyageurs qui séjournent dans les hôtels de luxe avant et après l'embarquement. Ils fréquentent les grands restaurants, visitent des galeries d'art et achètent des oeuvres. L'aéroport en profite également, avec l'arrivée ou le départ de plusieurs passagers.»

Les retombées économiques pour Montréal seraient donc considérables, selon M. Lalumière. Ce dernier estime que les croisiéristes qui embarquent ou débarquent à Montréal y prolongent leur séjour de deux jours, voire plus. «On peut penser que chacun dépense autour de 500 $ par nuitée.»

Autre bonne nouvelle: ces croisiéristes ont permis d'étendre la saison touristique, puisque la majorité des croisières ont eu lieu pendant les intersaisons. «L'été, nos hôtels sont souvent pleins, mais les croisiéristes viennent surtout en mai et juin, puis à l'automne, pour voir les couleurs.»

 

Modernisation des infrastructures

Selon Yves Lalumière, Montréal récolte cette année les fruits du travail de modernisation effectué depuis 2016 sur les infrastructures d'accueil au Vieux-Port. «Certaines journées, on s'est retrouvé avec quatre navires accostés en même temps à Montréal. Jamais on n'aurait pu en recevoir autant auparavant. Pire, sans cette modernisation, des navires ne seraient pas revenus, ce qui nous aurait peut-être fait perdre 30 000 passagers.»

«On a sécurisé les liens qu'on avait déjà et on est désormais en mesure d'attirer d'autres entreprises, car nos infrastructures permettent d'accueillir convenablement une clientèle habituée au luxe.»

Cette année, Montréal a vu passer 89 navires de croisières différents, dont 5 qui n'avaient jamais fréquenté ses eaux.

Parmi les navires qu'Yves Lalumière aimerait bien voir défiler sous le pont Jacques-Cartier dans un avenir rapproché, il y a, en tête, ceux de Ritz-Carlton, qui commenceront à naviguer en 2020. Il espère aussi voir augmenter le nombre de croisières estivales et attirer les navires d'exploration spécialisés en croisière hivernale.

Pour l'an prochain, le président-directeur de Tourisme Montréal prédit une augmentation de 10 points de pourcentage par rapport à cette année. «Il y a encore de la place pour le développement, car le taux de pénétration des croisières sur le marché nord-américain est seulement de 2 à 3 %. Il y a encore beaucoup de Canadiens qui ne connaissent pas le produit croisière et beaucoup de Montréalais qui connaissent mal leur port.»

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il y a 17 minutes, acpnc a dit :

Publié le 13 novembre 2018 à 12h11 | Mis à jour à 12h11

https://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201811/13/01-5204009-croisieres-une-annee-record-pour-montreal.php

Croisières: une année record pour Montréal

Un nombre record de croisiéristes sont passés par... (Photo Edouard Plante-Fréchette, La Presse)

Un nombre record de croisiéristes sont passés par le port de Montréal en 2018.

Photo Edouard Plante-Fréchette, La Presse

 
628526.png
Stéphanie Morin
La Presse
 

Le port de Montréal a connu un achalandage record cette année, avec près de 130 000 croisiéristes et membres d'équipage qui ont posé pied sur les quais. Une augmentation de 12 % par rapport à 2017.

«Il s'agit d'une excellente nouvelle pour Montréal, lance Yves Lalumière, président-directeur de Tourisme Montréal. Ça prouve qu'on est en train de gagner tranquillement la niche du tourisme de luxe. Les croisiéristes sont des voyageurs qui séjournent dans les hôtels de luxe avant et après l'embarquement. Ils fréquentent les grands restaurants, visitent des galeries d'art et achètent des oeuvres. L'aéroport en profite également, avec l'arrivée ou le départ de plusieurs passagers.»

Les retombées économiques pour Montréal seraient donc considérables, selon M. Lalumière. Ce dernier estime que les croisiéristes qui embarquent ou débarquent à Montréal y prolongent leur séjour de deux jours, voire plus. «On peut penser que chacun dépense autour de 500 $ par nuitée.»

Autre bonne nouvelle: ces croisiéristes ont permis d'étendre la saison touristique, puisque la majorité des croisières ont eu lieu pendant les intersaisons. «L'été, nos hôtels sont souvent pleins, mais les croisiéristes viennent surtout en mai et juin, puis à l'automne, pour voir les couleurs.»

 

Modernisation des infrastructures

Selon Yves Lalumière, Montréal récolte cette année les fruits du travail de modernisation effectué depuis 2016 sur les infrastructures d'accueil au Vieux-Port. «Certaines journées, on s'est retrouvé avec quatre navires accostés en même temps à Montréal. Jamais on n'aurait pu en recevoir autant auparavant. Pire, sans cette modernisation, des navires ne seraient pas revenus, ce qui nous aurait peut-être fait perdre 30 000 passagers.»

«On a sécurisé les liens qu'on avait déjà et on est désormais en mesure d'attirer d'autres entreprises, car nos infrastructures permettent d'accueillir convenablement une clientèle habituée au luxe.»

Cette année, Montréal a vu passer 89 navires de croisières différents, dont 5 qui n'avaient jamais fréquenté ses eaux.

Parmi les navires qu'Yves Lalumière aimerait bien voir défiler sous le pont Jacques-Cartier dans un avenir rapproché, il y a, en tête, ceux de Ritz-Carlton, qui commenceront à naviguer en 2020. Il espère aussi voir augmenter le nombre de croisières estivales et attirer les navires d'exploration spécialisés en croisière hivernale.

Pour l'an prochain, le président-directeur de Tourisme Montréal prédit une augmentation de 10 points de pourcentage par rapport à cette année. «Il y a encore de la place pour le développement, car le taux de pénétration des croisières sur le marché nord-américain est seulement de 2 à 3 %. Il y a encore beaucoup de Canadiens qui ne connaissent pas le produit croisière et beaucoup de Montréalais qui connaissent mal leur port.»

Excellente nouvelle pour Montréal, bien sûr pour les croisières on ne joue pas dans les lignes majeures comme Vancouver, mais la croissance est constante et ça c'est des bonnes nouvelles.

 

 

 

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Il y a 12 heures, man with the golden gun a dit :

Excellente nouvelle pour Montréal, bien sûr pour les croisières on ne joue pas dans les lignes majeures comme Vancouver, mais la croissance est constante et ça c'est des bonnes nouvelles.

 

 

 

Bien sûr Montréal sera toujours limitée par le tonnage des paquebots qui viendront la visiter. Ici les plus gros s'arrêtent à Québec à cause d'obstacles majeurs sur le fleuve pour en permettre le passage. On est donc dans une classe à part, une niche, qui a cependant encore beaucoup de croissance potentielle à venir. C'est déjà mieux que Toronto avec ses moins de 6000 croisiéristes https://www.portstoronto.com/navires-de-croisiere.aspx et un marché grandement limité par la voie maritime du St-Laurent.  

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This is good news. I was looking into cruise ships coming into the Port de Montréal recently and was surprised at the caliber of ships coming here. Many high end cruise lines, one even on a 245 round the world journey. Imagine the wealth that ship brought to port here. Another on an arctic route that weaves through Scandinavia and around Iceland, Greenland and then Hudson’s Bay exploring Nunavut and on down to here. Another from Lisbon, seveal from Dover England. I really thought they were mainly US lines coming up the coast to see Fall colours but really it’s so much more. It’s a shame the bridges block the larger ships but the smaller ones bring much wealthier clientele so we still win. Love it, must be a great experience for them. 

Modifié par caribb
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  • 1 année plus tard...

Le Québec courtise les croisiéristes hivernaux

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

Pour l’industrie touristique du Québec, les retombées des croisières hivernales seraient considérables.

Les croisières hivernales ont le vent en poupe partout dans le monde. Et le Québec pourrait bien se tailler une place de choix sur ce nouveau marché. Explications.

Publié le 15 novembre 2019 à 11h30

https://www.lapresse.ca/voyage/quebec-et-canada/quebec/201911/08/01-5248940-le-quebec-courtise-les-croisieristes-hivernaux.php

Stéphanie Morin
La Presse

Une tendance marquée

Depuis deux ans, les croisiéristes rêvent de l’hiver. « La CLIA [Cruise Lines International Association], qui regroupe les compagnies de croisières du monde entier, publie chaque année des rapports sur les tendances de l’industrie et, depuis deux ans, on note que la plus forte tendance concerne les voyages nordiques et polaires », explique Hélène Théberge, directrice adjointe de l’association Croisières du Saint-Laurent, dont la principale mission est de promouvoir le Saint-Laurent auprès des compagnies de croisières internationales.

La popularité des croisières en Arctique et en Antarctique explique en grande partie cette tendance à la hausse, « mais depuis que ces régions sont visitées par des bateaux d’expédition, la porte est ouverte pour d’autres destinations hivernales ».

Une rareté recherchée

Outre les deux pôles, il y a actuellement peu de destinations de croisières réellement hivernales. « La Norvège est à peu près la seule, dit Mme Théberge. Le Québec pourrait devenir une des rares destinations dans le monde à accueillir des bateaux en hiver. Le potentiel est grand. Des compagnies de croisières comme Hurtigruten ont un intérêt à rester sur le fleuve pendant une longue période, de novembre à avril par exemple, alors que leurs bateaux ne sont pas utilisés ailleurs. »

Mme Théberge ajoute que plusieurs navires d’expédition et de petits navires de luxe sont sortis des chantiers navals ces dernières années. « La flotte de petits navires ayant augmenté, il faut les répartir un peu partout dans le monde et trouver de nouvelles destinations », dit-elle. D’où l’intérêt de plusieurs compagnies de diversifier leurs offres d’itinéraires.

Une campagne de séduction

Pour attirer les croisiéristes pendant la saison froide, Croisières du Saint-Laurent propose depuis 2017, aux compagnies de croisières comme Ponant, Hurtigruten, Mystic Cruises ou Adventure Canada, des tournées de découverte du Québec. « Sur les 30 compagnies qui fréquentent déjà le fleuve, 10 pourraient être intéressées par des croisières hivernales, ajoute Mme Théberge. Ce sont elles que nous ciblons… »

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Des tournées de découverte ont permis aux compagnies de croisières de visiter Montréal, Québec, Trois-Rivières, Saguenay, la Gaspésie et les Îles-de-la Madeleine (photo) sous leur couvert de neige.

Ces tournées de découverte ont permis aux représentants de découvrir Montréal, Québec, Trois-Rivières, Saguenay, la Gaspésie et les Îles-de-la Madeleine sous leur couvert de neige. La navigation hivernale sur le Saint-Laurent a aussi pu être démystifiée. « Ce n’est pas un obstacle, puisque les bateaux qui viendraient ici sont déjà conçus pour des conditions hivernales. »

Les échos qu’on a reçus des compagnies de croisières sont très positifs. On est encore au stade des discussions, pas des réservations officielles. Il faut savoir que les compagnies planifient deux ou trois ans à l’avance les itinéraires qu’elles vont vendre.

Hélène Théberge

Y a-t-il lieu d’être positif ? « Oui, très. On pense qu’on pourrait accueillir un premier navire en 2022-2023. »

Des retombées importantes

Pour l’industrie touristique du Québec, les retombées des croisières hivernales seraient considérables, selon Mme Théberge, et ce, tant du point de vue économique que social. « En 2016, une étude a démontré que pendant la saison estivale, qui s’étend normalement d’avril à la fin d’octobre, les retombées économiques directes et indirectes des croisières au Québec ont été de 501 millions de dollars. » En prolongeant la saison à 12 mois par année, ces retombées se trouveraient augmentées, même si on ne peut prévoir de chiffres exacts. « On pourrait de plus maintenir à l’année certains emplois dans les escales. Les guides, agents d’accueil, chauffeurs d’autobus ainsi que le personnel des attraits touristiques en bénéficieraient. »

« La clientèle qui fréquente les navires d’expédition est plus active : elle ne veut pas passer beaucoup de temps à bord du navire. On le voit avec les croisières en Norvège, où le taux de vente des visites guidées est de 112 % ! Ces visites sont vues comme des expériences exceptionnelles, qu’on ne fait qu’une seule fois dans une vie. On pourrait imaginer des excursions en traîneau à chiens, en raquettes ou en motoneige, des visites de marchés de Noël, des festivals hivernaux… » Et chaque visite se ferait en compagnie d’un guide ou d’un producteur d’aventure local…

« Les passagers sont très intéressés par la mixité des cultures, ajoute Hélène Théberge. Ils veulent découvrir comment on s’adapte à l’hiver. Pour plusieurs, l’hiver québécois est exotique. »

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