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4 hours ago, Enalung said:

Gatineau a déjà un corridor d'autobus désigné dans l'alignement de la voie ferré. De l'autre coté de la rivière, à Ottawa, ils sont occupé à construire un SLR, alors j'imagine que ça ne sera pas trop long avant que Gatineau demande son propre réseau. En fait, je me rappel avoir vu une proposition en ce sens.

Oui, c'est à peu près unanime au conseil de ville de Gatineau qu'il faut un train léger/tram en site propre, et ça faisait partie de la plateforme du parti du maire qui a été ré-élu. Même le député fédéral Greg Fergus (PLC) en fait la promotion.

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La ligne rouge, c'est le SLR de Ottawa. Le ligne bleu pâle, c'est c'est le chemin de fer qui traverse la rivière des Outaouais. Le tracé en jaune est sur le chemin d'Aylmer et existe déjà jusqu'à Vanier sous forme d'une voie réservé. Seul le tracé en bleu sur Raymond et du Plateau semble nouveau. Ça ressemble énormément à un projet de SRB.

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En fait, le plan de Fergus c'est de faire un tramway depuis la future station Rideau avec deux branches, une sur le chemin d'Aylmer et une vers le plateau. La ligne Trilium serait prolongée sur le pont Prince of Wales pour se connecter au rapibus et au tramway. Ça ressemble beaucoup à ce que prône Action Gatineau. Ça ressemble d'ailleurs beaucoup au plan du maire et de son ex conseiller de Deschênes (qui a mordu la poussière aux dernières élections).

Soyons clair: la ligne Trilium prolongée vers Gatineau est très probable. Le reste, je serais franchement étonné que ça se produise. Les patrons de la STO, notamment, ne sont pas très chauds à l'idée d'exploiter autre choses que des bus.

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Si le tramway est en site propre et qu'on lui fait éviter les principales intersections et qu'on synchronise les feu pour lui donner priorité aux intersections secondaire, ça peut faire du sens et atteindre une vitesse commercial et une capacité décente. ça deviens un quasi-SLR

Sinon c'est vraiment la vitesse commerciale qui en souffre. 

C'est certain qu'un SLR de type REM est préférable mais c'est beaucoup plus cher. Le tramway c'est bien mais ça ne peux pas être la colonne vertébrale d'un réseaux. 

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Il y a un peu d'espace supplémentaire, mais pas énormément. Faut cependant dire que sur le Boulevard Aylmer, une voie sur dans chaque direction est réservé pour les autobus. En admettant que la place réservé à l'automobile est réduite sur le Boulevard Saint-Raymond, c'est faisable. À proximité de la voie ferré, c'est assez serré des deux bords, alors c'est certain qu'il y aurait quelques expropriations dans cette zone là. Sinon, à quelques exception près, il n'y a pas vraiment d'espace sur le tracé pour rendre possible l'évitement d'intersections principales. Il y a des maisons et des commerces des deux coté sur une bonne partie de la longueur. On parle donc d'un tramway qui va avoir à composer avec les aléas du traffic.

Modifié par Enalung
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il y a 44 minutes, Davidbourque a dit :

Si le tramway est en site propre et qu'on lui fait éviter les principales intersections et qu'on synchronise les feu pour lui donner priorité aux intersections secondaire, ça peut faire du sens et atteindre une vitesse commercial et une capacité décente. ça deviens un quasi-SLR

Je ne crois pas que c'est possible. Les chances (et les instances) qu'un véhicule ou une personne traverse la voie sont trop grandes. Piétons et automobilistes montréalais ne sont pas connu pour leur diligence.

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Il y a 5 heures, Enalung a dit :

C'est clair que Gatineau va passer avant Aylmer. Sinon, je ne comprend pas vraiment cette obsession chez certains élus pour les tramway depuis quelques années.

(Cette discussion devrait être dans la section «Ville de Québec et reste du Québec»)

Aylmer fait partie intégrante de la ville fusionnée de Gatineau en 2002, qui a aussi regroupé l'ex-ville de Hull (centre) et Gatineau proprement dite (à l'est de la rivière du même nom),  ainsi que Masson-Angers et Buckingham dans l'extrême est.  

Depuis 2013, une ligne de SRB en site propre nommée «Rapibus» est opérationnelle entre le secteur Hull et une partie du secteur Gatineau, mais des contraintes financières ont empêché la réalisation complète du plan initial.

Par ailleurs , je pense qu'un député (en l'occurrence au parlement fédéral) a bien le droit de faire connaître son opinion, mais la décision finale n'est pas de son ressort, loin de là.  En fait, dans le cas des infrastructures de transport à l'intérieur d'une province, c'est le gouvernement de la province qui décide.  Quant à la ville, elle dispose normalement d'une influence significative, notamment sur le choix du tracé.

Et si un projet concerne deux provinces, le gouvernement fédéral a aussi son mot à dire.  Mais encore là, ce n'est pas le député local qui décide...

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Ligne rose: la Banque de l'infrastructure du Canada pourrait intervenir

Si elle voit le jour, la ligne rose... (PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE)

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Si elle voit le jour, la ligne rose s'étendrait sur 29 kilomètres entre Montréal-Nord, le centre-ville et Lachine et traverserait plusieurs secteurs densément peuplés.

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

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MAXIME BERGERON
La Presse

(Ottawa) Ottawa n'exclut pas que le projet de ligne rose du métro de Montréal soit financé en partie par la Banque de l'infrastructure du Canada (BIC), qui pourrait rentabiliser son investissement grâce à la plus-value foncière autour des futures stations.

Amarjeet Sohi, ministre de l'Infrastructure et des Collectivités, a évoqué hier divers scénarios concernant la promesse phare de la nouvelle mairesse Valérie Plante. La BIC - qui aura l'obligation de générer des « recettes » au profit de ses investisseurs - pourrait notamment s'y intéresser, a-t-il dit pendant un point de presse à Ottawa.

Les rendements recherchés par la BIC pourraient prendre diverses formes, dans le cas de la ligne rose. « Il pourrait s'agir d'une hausse de la valeur des propriétés autour des stations, a indiqué M. Sohi. Il pourrait y avoir une variété d'autres sources de financement. »

Selon les plans actuels, la BIC investira 35 milliards dans des projets d'infrastructure « transformateurs » à l'échelle du Canada. L'organisme, qui sera mis sur pied d'ici la fin de l'année, fonctionnera grâce à des fonds fédéraux et tentera aussi d'attirer des investisseurs institutionnels et du secteur privé.

 

« La Banque offrira aux promoteurs de projets fédéraux, provinciaux, territoriaux et municipaux une option additionnelle pour mettre de l'avant des projets qui pourraient permettre de générer des revenus », précise l'organisme sur son site web.

Projet Montréal, le parti de Valérie Plante, évalue à 5,9 milliards les coûts de construction de la ligne rose. Le nouveau tronçon s'étendrait sur 29 kilomètres entre Montréal-Nord, le centre-ville et Lachine et traverserait plusieurs secteurs densément peuplés.

Marc-André Viau, porte-parole de Projet Montréal, a réitéré hier que son parti était « flexible » quant aux sources de financement de la ligne rose, y compris une participation de la BIC. « Toutes les options sont sur la table », a-t-il indiqué.

Rentable, vraiment ?

Le professeur Richard Shearmur, expert en urbanisme de l'Université McGill, rappelle que rares sont les systèmes de transports en commun qui dégagent des profits, « au Canada ou ailleurs dans le monde ».

«Ce genre d'infrastructures génère pas mal de retombées pour la ville dans son ensemble, mais c'est très difficile à monnayer pour les investisseurs.»

Richard Shearmur
expert en urbanisme de l’Université McGill

Il doute que l'augmentation du prix des propriétés autour des futures stations puisse constituer un argument suffisant pour la BIC. « On a beaucoup évoqué ça, mais je dirais que les rares cas dans le monde où la plus-value foncière semble vraiment contribuer de manière forte aux infrastructures, c'est dans des endroits comme Hong Kong, Singapour ou Londres, où la valeur foncière est énormément plus grande qu'à Montréal », a-t-il avancé. 

«Vision» commune

Le ministre Amarjeet Sohi ne s'est aucunement engagé à financer la ligne rose et attend toujours de recevoir des détails de la nouvelle administration Plante. Il a aussi rappelé que la BIC prendrait ses décisions de façon indépendante dans tous les projets qu'elle choisira d'étudier.

M. Sohi a insisté sur l'importance pour la BIC de se doter de l'« expertise » appropriée. Cela permettra à la Banque « de faire le genre d'analyse rigoureuse sur un projet particulier pour en comprendre la complexité, mais aussi les sources de revenus qui pourraient potentiellement être attachées à ce projet particulier ».

Le ministre précise que le gouvernement fédéral a déjà accordé un financement de 1,3 milliard pour le Réseau électrique métropolitain (REM), et qu'il financera une partie du prolongement de la ligne bleue. « Ce que je peux dire, c'est que la vision de la mairesse Plante pour les transports collectifs est vraiment alignée avec la nôtre », a-t-il résumé.

http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201711/08/01-5142900-ligne-rose-la-banque-de-linfrastructure-du-canada-pourrait-intervenir.php

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