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I don't have a solution and neither do you other than to use this high level strategy with little base to it.

 

Frankly, like you, I'm getting a little weary of our position vis a vis Toronto. I refuse to blame it on external forces, when we ourselves have contributed to this. However, When it happens at an institution level it's even more discouraging.

 

 

Then let's not blame external forces and let's build our own internal forces. We can control those. Then if we fail, we will have to blame ourselves, but if we succeed we will be able to benefit from it and we won't have to be grateful on anyone but ourselves.

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Membres prolifiques

Ah la fédération canadienne. *C'est une machine à soupoudrer des miettes aux différentes régions autonomes, just assez pour les garder ensemble. *Le Québec peut compter obtenir des investissements fédéraux que lorsque que son hégémonie est indiscutable - je pense ici au Centre Spatial Canadien où l'astronaute Garneau à passer pas mal de temps d'ailleurs. *Mais créer le BIC à Montréal serait très shocking et du pur suicide politique, une gifle au visage de l'establishment Canadian. * *Est-ce que le Québec pourrait profiter de son expertise et créer une espèce de banque d'infrastructure internationale, par dessus le BIC?

 

 

Ce sont des québécois qui ont imaginé cette nouvelle forme de financement des infrastructures. Il ne faudrait surtout pas que le fédéral tourne ça à l'avantage de l'establisment canadian et contre les intérêts du Québec.

C'est un défit à relever pour le Québec. On a les outils et les institutions pour trouver une solution innovatrice qui nous soustrait de la centralisation à Toronto. L'international fait peut être parti de la solution. La BIC de Morneau fait appel surtout aux fonds de retraite canadiens. On a pas le choix de viser mieux et plus haut qu'Ottawa et Toronto. Le Québec est déjà présent à l'international et à certains égards plus que toute autre province.

Je vois un côté positif dans tout ça. Cet épisode d'attaques à notre indépendance économique va sûrement ( en tout cas je l'espère ) déclencher une volonté de chercher des solutions innovatrices porteuses d'un nouvel élan.

On a eu la révolution tranquille, Québec inc, et le numérique qui semble être bien enclenché. Maintenant, est-ce que ce sera l'international?

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C'est un défit à relever pour le Québec.

 

D'accord avec l'ensemble de ton message. Cela dit, il ne faudrait pas créer une situation qui viendrait priver le Québec de l'apport de fonds publics en provenance du gouvernement fédéral, auquel le Québec contribue à hauteur de la taille de son économie. Concrètement, cela impliquerait (nécessiterait) que la part fédérale «revenant au Quévec» soit versée dans une éventuelle BIQ. --Une forme d'opting out.

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Usually the immigrants are pushing their childs to study more , that's another plus of the immigration also they are more entrepreneur than the average. Of course we should improve our level of literracy this is the reponsabilty of all the parents. Et je vais rajouter qu'il serait peut être temps de tisser plus de liens avec les communautés Francophones hors Quebec. Que ce soit au niveau culturel scolaire, sportif, politique et économique on a tout a gagner.

I agree with immigration, but it isn't just a matter of quantity but also one of quality. I mean we need to invest in education, and at every level of it. Our level of illiteracy is unnacceptable. We need more high school, professionnal, cegep and university diplomas.
Modifié par andre md
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Je crois que votre discussion actuelle irait mieux dans le forum «politique». Ça l'a pu rien à voir avec le réveil de Montréal il me semble.

 

Des discussions sur la politique fédérale ou provinciale à portée générale devraient en effet se produire dans le forum «politique». Mais quand il s'agit de défendre des intérêts «montréalais», je suis convaincu que ça fait partie du «réveil». Autrement, si on devait compter uniquement sur un revirement positif de la confiance du secteur privé envers Montréal, on n'rait pas aussi loin, et peut-être même pas loin du tout. Que ce soient des dossiers qui relèvent de la compétence de Québec (transport, éducation, santé, gouvernance, langue, fiscalité provinciale etc.) ou d'Ottawa, en tout ou en partie, la prise en compte (ou non) des intérêts montréalais peut faire la différence, comme ce fut le cas dans le passé, avec des conséquences pas toujours heureuses. Certes, dans un cadre favorable, des investissements privés d'importance sont effectués, sans qu'on veuille les attribuer à chaque fois à une politique particulière; dans l'immobilier résidentiel notamment, ce sont bien plus les tendances générales d'offre et de demande qui dictent les décisions; toutefois, sans immigration, sans fiscalité concurrentielle, sans soutien public à la recherche/développement, etc., il n'y aurait pas (autant de) cet élan. Dans l'histoire économique de Montréal, il y a eu bien sûr moults facteurs favorables qui ont eu peu à voir avec la politique, mais il y en a eu au moins un, au 19e siècle, qui y doit beaucoup, soit le creusement du chenal du fleuve entre Québec et Montréal. Par la suite, on peut identifier la construction du chemin de fer transcontinental (une initiative privée fortement supportée par l'Etat), puis la Voie maritime du Saint-Laurent (reconnue comme ayant été défavorable à Montréal), la ligne Borden (qui a eu pour effet d'enrayer la croissance de la pétrochimie montréalaise), le Pacte de l'Auto (qui favorisa largement l'Ontario), la permission d'atterrir directement à Toronto pour les vols aériens en provenance d'Europe, la privatisation de Canadair (au profit de Bombardier), l'alourdissement de la fiscalité québécoise à partir des années 1960, l'essor extraordinaire de la scolarité parmi de vastes couches de la population francophone à partir de ces mêmes années etc. etc.

 

Conclusion: la politique n'est pas tout, mais n'est pas rien non plus quand il s'agit de relever les facteurs de croissance ou de déclin d'une ville.

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Usually the immigrants are pushing their childs to study more , that's another plus of the immigration also they are more entrepreneur than the average. Of course we should improve our level of literracy this is the reponsabilty of all the parents. Et je vais rajouter qu'il serait peut être temps de tisser plus de liens avec les communautés Francophones hors Quebec. Que ce soit au niveau culturel scolaire, sportif, politique et économique on a tout a gagner.

 

I just want to specify on my previous comment that I wasn't implying that immigrants are less educated, I just wanted to point out that in Québec we have too many people (from all origins) that are underperforming due to lack of education. We do need to bring more people form outside, but we also need to invest in people's education to help them progress in life.

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C'est souvent le problème avec les millénaires. Ils pensent qu'ils vont avoir la grosse job avec le gros salaire en sortant de l'école. Il faut piocher au début. Commencer au bas de l'échelle et monter petit à petit!

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