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Membres prolifiques

I find it to be very self-destructive to blame Canada anytime Quebec doesn't get what it wants. If the BIC goes to Toronto it's not because the ROC hates Monreal. Toronto is very worthy. It's not like it's going to Winnipeg! It's such a lazy argument. The equivalent to the God of the gaps.

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You're right we should stop having the victim syndrome. If we want Montreal to get better we need to attract more people. And we need to support them. Not blocking them. On a un mea culpa a faire, trop dìmmigrants on vu leur aspirations ruiné. Quel perte énorme de capital humain que l'on met de coté.

I find it to be very self-destructive to blame Canada anytime Quebec doesn't get what it wants. If the BIC goes to Toronto it's not because the ROC hates Monreal. Toronto is very worthy. It's not like it's going to Winnipeg! It's such a lazy argument. The equivalent to the God of the gaps.
Modifié par andre md
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I find it to be very self-destructive to blame Canada anytime Quebec doesn't get what it wants. If the BIC goes to Toronto it's not because the ROC hates Monreal. Toronto is very worthy. It's not like it's going to Winnipeg! It's such a lazy argument. The equivalent to the God of the gaps.

 

 

Who says Toronto is not worthy? I have never heard anything like that on this forum or anywhere else.But i heard that comment about Montreal, especially on this forum.So please lets talk straight here.If the BIC came to Montreal, i know , ROC would be pouring their love for Montreal, just like they did for Bombardier.

There is two sides to a coin. I suggest we look at both here.

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Voyons voir aussi comment la future BIC sera «structurée»: un unique siège «national» bien sûr, mais est-ce que toutes les opérations seront centralisées à un seul endroit, ou si au contraire, les opérations seront décentralisées, à l'instar d'Exportation et développement Canada», dont le siège social est situé à Ottawa, mais qui comprend quatre directions régionales (dirigées chacune par un vice-président) --Atlantique, Québec, Ontario et Ouest; de plus, chacune de ces directions régionales comprend des bureaux locaux --cinq au Québec, à Brossard, Drummondville, Ville de Québec et Montréal (2).

 

Quant aux fonctions propres dévolues au siège social de la BIC, quelle que soit sa localisation (par exemple: Toronto, Montréal), il restera un rôle incontournable pour le ministère des Finances et le Conseil du Trésor, tous deux établis dans la capitale fédérale bien entendu.

 

C'est seulement lorsque sera connu le mode de fonctionnement de la BIC qu'on pourra juger de l'importance d'avoir (ou non) le siège de la BIC à Montréal, au-delà du symbole. Et puis, on connait ça les symboles, pensez au siège social de la Bank of Montreal aka BMO!

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No Montreal is strategic and very much so. In Finance, we are not very far behind Toronto. We are in the top 20 in the world. You are referring to capital only. Let me remind you that the word infrastruture is included in BIC. Montreal is on top in just about everything else. Why not talk about our Engineering hub, we are a leader in IT, and now AI. We are the largest province with large infrastructure spending not only for transportation, but also fot hydro plants and other clean energy projects.

Montreal's SNC engineering is behind Ontario's wip and maintenance of their nuke plants. Montreal's REM was the trigger for this Infr bank with the Caisse ( the largest finance org of its kind in Canada)

To make it clear, this bank is about infra projects.Not only Capital. Please.

By the way, Talking about capital ,it is confirmed Montreal has topped Toronto in VC and 2017 looks even brighter. (financial post).

For the rest, i agree with you Montreal is not a power house when it comes to politics in this country.

Toronto, historically has been calling the shots and i dont see that changing.[/quote Very much so , stop comparing us to Toronto ,our buisness hub is equal to Chicago and Boston for now . Montreal is on the move . Watch what happens after the Donald Trump syndrome.*

A new aluminium plant in Lac Saint-Jean.*

Finally Trumph will not bring only negatif on the Canado- Americano economy .Americans will be doing 90% of the aluminum *finished products .Next let's get moving .

While politicians squial not mutch happens .

Tommorow we must be back to the drawing board to create high paying jobs, that my friends is team work; Montreal has one of the 2 top teams in NA at the moment . Unless your blind projets for Montreal are cominig in every week.:mtl::rotfl:

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Who says Toronto is not worthy? I have never heard anything like that on this forum or anywhere else.But i heard that comment about Montreal, especially on this forum.So please lets talk straight here.If the BIC came to Montreal, i know , ROC would be pouring their love for Montreal, just like they did for Bombardier.

There is two sides to a coin. I suggest we look at both here.

 

Hey digitalfunkster : gomtl is absolutely right. Don't put your head in the sand : the Feds loaned Billions to the car industry, 372 puny millions for Bombardier CSeries, state-of-the-art plane, with 2/3 going to another plane developed for Ontario.

 

They just hate our guts as soon as we represent something like success.

 

So, let it be this way : if CSeries becomes the most sought-after plane of its category in the world, let's keep all the goodies in Qc, and F... them!

 

But I agree with I-don't-know-who-said-it : we just don't have any confirmation yet, so let,s wait.

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J'pense que ça n'a pas encore été partagé ici..

 

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1015226/grand-montreal-champion-creation-emplois

 

 

Un nombre record d'emplois ont été créés dans l'agglomération montréalaise en 2016, et la majorité était des postes à temps plein. Une lancée à laquelle a grandement contribué l'économie du savoir.

 

Un texte de Vincent Maisonneuve

 

Entre décembre 2015 et décembre 2016, on a observé une création nette de 73 400 emplois dans le Grand Montréal. C’est plus que toutes les autres villes canadiennes mises ensemble.

 

« C’est une excellente année, une des meilleures qu’on ait vue dans la grande région métropolitaine pour ce qui est du nombre d’emplois », souligne Jean-Guy Côté, directeur associé à l’Institut du Québec. M. Côté ajoute qu’il s’agit d’emplois de qualité. La preuve, 57 800 des nouveaux emplois étaient des postes à temps plein.

 

Un taux de chômage à la baisse

 

Résultat, le taux de chômage est passé de 8,7 % à 6,7 % en un an. Selon le directeur associé à l’Institut du Québec, il faut remonter presque 10 ans en arrière pour voir un taux de chômage aussi bas dans le Grand Montréal.

 

Si on se concentre uniquement sur l’île, le taux de chômage, à 7,8 %, est à son plus bas depuis janvier 2000.

 

Avec la construction du nouveau pont Champlain, de l’échangeur Turcot et du CHUM, sans oublier les innombrables travaux routiers, on pourrait croire que les grands chantiers dopent l’économie de la métropole.

 

Pourtant l’économie du savoir et la recherche scientifique expliquent en bonne partie l’élan que connaît la métropole.

 

Pôle mondial de l’intelligence artificielle

 

L’exemple du professeur Yoshua Bengio est éloquent. Grâce à l’Institut de valorisation des données, appelé IVADO, ce scientifique a transformé Montréal en un pôle mondial dans le domaine de l’intelligence artificielle.

 

« Yoshua a cette capacité de mobilisation », explique Valérie Bécaert, directrice générale chez IVADO. Les chercheurs de l’Université de Montréal, de Polytechnique, des HEC et de McGill se sont réunis et y travaillent ensemble.

 

Selon Mme Bécaert, ce regroupement de talents a pour effet d’attirer « les meilleurs cerveaux de la planète, simplement parce qu’ils veulent travailler avec les meilleurs. »

 

En l’espace d’un an, le nombre de chercheurs est passé de 150 à 250, et l’Institut en cherche toujours 25 autres.

 

Il faut dire qu’IVADO attire l’attention des investisseurs, qui ont injecté 230 millions de dollars dans ce grand projet. L’argent vient des pouvoirs publics, mais aussi du secteur privé.

 

Des entreprises privées ont aussi choisi de s’installer dans la métropole, en raison de la présence de cet important pôle de recherche. Google et Microsoft ont tour à tour décidé de miser sur Montréal.

 

« Il y en a d’autres qui s’en viennent », assure Valérie Bécaert. « Les entreprises émergentes sont en effervescence. Les entreprises avec lesquelles on travaille se sentent galvanisées par cette possibilité et elles veulent investir. »

 

Une faible proportion de diplômés

 

Mais si Montréal détient une longueur d’avance, la concurrence demeure féroce.

 

Pour alimenter cette économie du savoir, ça prend des cerveaux. Un des problèmes, c’est qu’à peine 29 % des Montréalais ont un diplôme universitaire. À Boston, c’est presque une personne sur deux, soit 49 %.

 

Montréal traîne encore de la patte quand on regarde la diplomation. Elle est même parmi les pires villes en Amérique.

 

Jean-Guy Côté, de l’Institut du Québec

Avec une aussi faible proportion de diplômés et une population qui vieillit, assurer les besoins en main-d’œuvre devient tout un défi.

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