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Complexe aquatique de Laval - 57 M$


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Et voilà qui disparaît le seul petit bout de verdure restant au centre-ville de Laval.

 

Ils sont fous ces lavallois.

 

 

Un bout de boisé comme ça, qui n'est pas accessible, et qui n'est pas mis en valeur... n'as aucun sens au centre ville de Laval.

 

Le tiers du territoire lavalois est protégé par une réserve agricole, c'est pas des forêts, mais ça mets de la pression ailleurs.

 

Facile à dire, on mets ça sur le stationnement de x ou y... la réponse est flagrante, les terrains des stationnements n'appartiennent pas à la ville de laval, mais à x ou y.

 

Donc svp évitons de tomber dans la simplification à l'extrême et les faux débats.

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La présence de terres agricoles à certains endroits à Laval n'empêche pas le fait que le centre-ville a un déficit assez important en parcs et espaces verts, à mon avis. On dirait que la ville considère cet endroit comme un secteur industriel... Il y a beaucoup d'espaces disponibles, mais si on ne prend pas la peine d'utiliser certains pour faire respirer un peu ce secteur, je crois que c'est dommageable sur son attrait à long terme, surtout si on veut le peupler.

 

D'ailleurs, si la pression était si grande et critique pour le développement du secteur, il ne serait pas composé en si grande part de stationnement en surface... L'utilisation la plus cheap possible du territoire :P. Alors il y a sûrement de la place pour un peu de verdure. La banlieue a la chance de développer facilement et avec moins de contrainte de nombreux quartiers peu établis, autant en profiter pour bien planifier et offrir un environnement aux qualités contemporaines.

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La présence de terres agricoles à certains endroits à Laval n'empêche pas le fait que le centre-ville a un déficit assez important en parcs et espaces verts, à mon avis. On dirait que la ville considère cet endroit comme un secteur industriel... Il y a beaucoup d'espaces disponibles, mais si on ne prend pas la peine d'utiliser certains pour faire respirer un peu ce secteur, je crois que c'est dommageable sur son attrait à long terme, surtout si on veut le peupler.

 

D'ailleurs, si la pression était si grande et critique pour le développement du secteur, il ne serait pas composé en si grande part de stationnement en surface... L'utilisation la plus cheap possible du territoire :P. Alors il y a sûrement de la place pour un peu de verdure. La banlieue a la chance de développer facilement et avec moins de contrainte de nombreux quartiers peu établis, autant en profiter pour bien planifier et offrir un environnement aux qualités contemporaines.

 

Réfère toi à ma deuxième partie de réponse, y a t il des terrains qui appartiennent à la ville de Laval qui est centrale et qui n'est pas utilisée? Pense pas.

 

Ah oui on peut prendre le stationnement incitatif en face dans le terminus carrefour laval... Mais on viendrais enlever des usagers des TEC.

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Réfère toi à ma deuxième partie de réponse, y a t il des terrains qui appartiennent à la ville de Laval qui est centrale et qui n'est pas utilisée? Pense pas.

 

Ah oui on peut prendre le stationnement incitatif en face dans le terminus carrefour laval... Mais on viendrais enlever des usagers des TEC.

 

Tu as bien raison, mais il existe des solutions à ce problème. Cela fait très longtemps que ce secteur est désigné comme étant le centre-ville de Laval. Il aurait dû y avoir des acquisitions de terrains, des réserves foncières, etc... Pour prévoir ce genre d'infrastructure. C'est tout simplement une composante importante pour la planification d'un centre-ville pour une ville de pratiquement un demi-million d'habitants.

 

Et il n'est jamais trop tard pour le faire... La ville de Montréal à payé une fortune pour faire l'acquisition de terrains à Griffintown pour faire des parcs, par manque de planification par le passé... Mais ils l'ont fait. À mon avis, le centre-ville de Laval n'est pas moins stratégique dans son contexte que l'est Griffintown. L'alternative est de ne rien faire, et d'avoir un quartier sous-optimal et moins bien pensé pour l'éternité.

 

Les parcs et les espaces verts ne se font pas toujours sur des terrains appartenant à la ville depuis toujours. Même le secteur privé peut s'impliquer et offrir ou transformer une partie de son terrain en espace ouvert au public, il y a des précédents.

 

Mais bon, c'est juste ma préférence en la matière, je vis dans un quartier très dense, et on doit verdir et faire des parcs dans le peu d'espace qui reste, et chacun est très bienvenus. Si on a la la chance de prévoir ces espaces avant que le quartier soit bâti en totalité, ça me semble une meilleure façon de faire. C'est pas normal d'avoir plus chaud sur un coin de rue à Laval que dans le Mile-End, un secteur industriel construit depuis des décennies n'importe comment. Tsé, comme le disait la pub, "un 514 bonifié"... :P

 

D'un autre côté, je sais que Laval aime bien sa rigueur fiscale (et c'est légitime), alors chacun ses priorités.

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Le Centropolis serait un endroit qui gagnerait à aménager quelques espaces verts. Ça complémenterait bien le secteur, déjà mixte (un des seuls du centre-ville où on retrouve des humains qui marchent!).

Sinon, je fonde toujours mes espoirs sur la carrière Lagacé, juste au sud. Elle a le potentiel de devenir un espace vert majeur si la Ville veut bien s'en occuper. En ce moment, c'est une énorme plaie entre l'est et l'ouest du secteur.

Une étude de design est prévue pour les prochaines années si je ne me trompe pas. Mais à chaque maire, cette histoire semble être oubliée, puis recommencer du tout début, puis rien ne démarre jamais...

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Il faudrait justement une grande place publique avec verdure qui servirait de pôle central et où on pourrait construire des immeubles de qualité tout le tour. Un endroit distinctif qui pourrait donner à Laval un coeur urbain plus classique et mieux défini.

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Je ne crois pas que Laval est dans la même situation que Griffintown pour faire des achats au privé (ou exproprier). Les contribuables lavalois seraient furieux surtout avec le compte de taxe élevé qu'on a déjà (oui oui c'est pas donné à Laval).

 

De plus, ce terrain est en bordure d'un autoroute... pas très attrayant comme parc.

 

Même comme centre aquatique, l'emplacement est simplement mauvais, la ruelle Terry Fox est toujours congestionnée, l'accessibilité à ce centre serais immonde.

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J'imagine que Terry-Fox sera éventuellement mise à niveau pour devenir plus praticable et attrayante. Les mesures préférentielles pour autobus aux alentours du terminus Le Carrefour pourront alors être utiles.

Un feu de circulation sera également implanté coin Le Cosmodôme, là où je ne comprendrai jamais pourquoi il n'y en avait pas! C'est une intersection chaotique (avec de simples panneaux d'arrêt), surtout si des piétons comme moi s'y aventurent!

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  • 1 mois plus tard...

Il semble, selon l'article suivant, que le boisé sera en fin de compte majoritairement épargné!

 

 

Quatre finalistes pour la construction du Complexe aquatique

Sylvain Lamarre

Publié le 4 octobre 2016

 

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INFRASTRUCTURES. Des 17 entreprises ayant répondu à l'appel de candidatures lancé au mois d'août pour concevoir les plans du futur Complexe aquatique, quatre ont été retenues comme finalistes.

 

Le maire Marc Demers a dévoilé la composition du jury et le nom de ces finalistes sélectionnés, soit: ACDF Architecture, Consortium NFOE Ι HCMA, Lapointe Magne et Associés ainsi que Saucier + Perrotte architectes /Neuf architectes.

 

«Les quatre finalistes sélectionnés ont répondu à tous les critères et font preuve de vision architecturale créative et respectueuse des besoins de la Ville. Quatre équipes différentes, quatre sensibilités différentes et donc, quatre expressions différentes. Nous avons tous déjà très hâte de voir les concepts», mentionne par voie de communiqué le président du jury, Matthew C. Lella.

 

Prochaines étapes

 

Les quatre équipes passent donc à l’étape suivante qui se déroulera, du 6 octobre au 2 décembre. Ces firmes devront présenter l’ensemble des éléments exigés aux règlements du concours et participer à une audition devant le comité de sélection ainsi qu’un groupe de citoyens, le 14 décembre.

 

Ce comité de sélection analysera la conformité du projet, le coût de construction, la circulation, les éléments technique et mécanique, etc.

 

«Ce comité remettra l'analyse au jury qui décidera du gagnant, précise la porte-parole de la Ville, Valérie Sauvé. Le concours jugera la conception d’un bâtiment élégant où se conjuguent une image distinctive, la qualité des espaces intérieurs et extérieurs, une conscience environnementale, la certification LEED Or, l’intégration urbaine ainsi que des technologies de pointe.»

 

Finaliste connu en janvier

 

Le nom du lauréat sera dévoilé au plus tard en janvier 2017.

 

La firme retenue sera chargée de la réalisation des plans et devis du bâtiment et de ses aménagements extérieurs, du suivi des travaux pendant la construction jusqu’à la mise en service des installations. «Les plans et devis devraient se faire en 2017, alors que le début des travaux de construction aura lieu en janvier 2018, afin d'être prêt pour 2020», assure Mme Sauvé.

 

Pour sa part, le maire Demers ne s'en cache pas. Il veut créer un bâtiment de grande qualité en rehaussant les standards architecturaux.

 

Despatie sur le jury

 

Le jury désigné par la ville est composé d' Alexandre Despatie, ancien champion plongeur et olympien, Lise Bissonnette, journaliste et écrivaine, Benoit Lamarre, régisseur et planificateur à la Ville, d’un ingénieur en structure du bâtiment, Lucien Viel, auxquels s’ajoutent cinq architectes, Daniel Pearl, architecte, professeur, Université de Montréal, spécialiste en développement durable, Stéphane Chevalier, architecte, Chevalier-Morales, Matthew C. Lella, architecte, Diamond & Schmitt (président du jury), Manon Asselin, architecte, Atelier TAG et Anne Vallières, architecte.

 

«Avec une telle équipe, nous sommes confiants de réaliser une infrastructure créative, fonctionnelle et durable. Le complexe aquatique sera un véritable projet identitaire pour Laval et nous souhaitons qu’il se démarque par sa qualité», affirme M. Demers.

 

Le rôle du jury comprend la validation de la conformité des dossiers de candidatures lors de la première étape, l’évaluation des prestations en regard du règlement du concours, la sélection des finalistes, l’audition publique et l’évaluation des prestations, la sélection et la recommandation du lauréat à la Ville.

 

Un projet de 57 M$

 

Rappelons que Laval compte inaugurer un complexe aquatique d’envergure nationale d’une superficie d’environ 11 400 m² dont le budget est estimé à près de 57 M$. Le bâtiment comportera trois bassins, dont un pour la natation, un pour le plongeon et un pour usage récréatif. Des gradins permanents pourront accueillir 700 spectateurs et 500 places temporaires supplémentaires seront disponibles lors de grands événements.

 

Le site choisi se situe sur l'avenue Terry-Fox, près du Cosmodôme.

 

 

 

(Source : Quatre finalistes pour la construction du Complexe aquatique)

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