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  1. 1. Je suis en faveur

    • de l'industrie du Taxi
      14
    • de Uber
      36
    • Je n'ai pas d'opinion.
      6


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C'est ridicule... voici mon point de vue:

Pour Uber: Cette entreprise a fait preuve de la pire attitude. Il est normal pour eux de payer des taxes et impôts. Vivement que des compétiteurs (comme Lift par exemple) viennent leur chauffer les fesses un peu. Néanmoins leur modèle est 100 fois mieux qu'un taxi traditionnel. Les chauffeurs ont intérêts à bien conduire (et bien se conduire) grâce au système de cote. Cependant je suis d'accord que les chauffeurs Uber devraient être tenus de le mentionner à leur assureur. 

Pour le gouvernement et l'industrie du taxi: Le simple fait qu'une entreprise arrive et cause autant de dommage à l'industrie du taxi montre à quel point cette industrie a besoin d'être modernisée. La formation obligatoire est elle si importante? Le système de permis est il encore une bonne idée? 

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Uber deteste la competition et en plus ils ne veulent pas que leur chauffeur travaille pour le compétiteur Lyft. Ils ont meme infiltrer dans leur applications un logiciel espion pour savoir si leur chauffeur travail pour Lyft.  

https://www.theguardian.com/technology/2017/apr/13/uber-allegedly-used-secret-program-to-cripple-rival-lyft

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Lol. Uber a plié. C'est du gros bluff leurs grosses crises de bacon.

Une chance qu'on a un gouvernement qui a finalement commencé à voir clair dans leur jeu. Une chance que ce ne sont pas les yesmen économique qui prenaient les décisions. J'en connais 1 ou deux qui aurait donné à Uber tout ce qu'il veut en partant. La preuve qu'ils ne faut pas se mettre à genoux à la minute qu'un "investisseur veut mettre de l'argent dans l'économie". 

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  • 1 année plus tard...

Québec veut réformer l'industrie du taxi

Le ministre québécois des Transports François Bonnardel a invité les partis d'opposition et les acteurs de l'industrie du transport de personnes à faire part de leurs idées en lien avec ses orientations.

François Bonnardel entend mettre fin à la gestion par projet pilote et moderniser en profondeur l'industrie du taxi au Québec.

Le ministre des Transports a fait part, mercredi, de son intention de déposer rapidement un projet de loi afin de rendre l'industrie plus équitable, d'alléger le fardeau administratif et réglementaire ainsi que de favoriser l'innovation.

Du même coup, François Bonnardel a invité les partis d'opposition et les acteurs de l'industrie du transport de personnes à faire part de leurs idées en lien avec ses orientations.

Dans sa déclaration ministérielle, M. Bonnardel a attaqué la manière dont le précédent gouvernement libéral a géré la transformation du monde du taxi à coup de projets pilotes, dont ceux d'Uber et de Téo.

Il a accusé les libéraux d'avoir tenté de « repousser les décisions importantes à plus tard » au lieu de « régler les problèmes de cette industrie une fois pour toutes ».

Soutenant que les entreprises de taxi sont toujours encadrées par des règles remontant aux années 1970, le ministre veut éliminer les barrières à l'innovation.

François Bonnardel insiste aussi sur le besoin de placer les usagers au coeur de la réforme afin d'assurer un service compétitif et accessible.

PQ et QS prêts à contribuer

Le porte-parole du Parti libéral en matière de transport, Gaétan Barrette, a profité de son droit de parole pour accuser le ministre de « faire le procès des projets pilotes », alors que ceux-ci étaient demandés par l'industrie.

Le député libéral a aussi prétendu que le ministre s'appropriait le travail de son prédécesseur et que du même coup, il connaissait déjà le contenu du projet de loi à venir.

« On le connaît, son projet de loi, on le connaît. On sait ce qu'il y a dedans parce que c'est le résultat de nos travaux », a-t-il raillé.

Du côté du Parti québécois et de Québec solidaire, les porte-parole ont accueilli la nouvelle à bras ouverts. La députée Catherine Fournier a dit se réjouir d'un pas dans la bonne direction dans un dossier où une action rapide est nécessaire.

Pour QS, Ruba Ghazal se dit prête à partager les idées de sa formation politique. Elle a qualifié d'« infâme » le projet de loi 100 adopté sous bâillon par les libéraux et qui instaurait le projet pilote permettant à Uber de mener ses activités au Québec.

La députée Ghazal souligne que la modernisation devra tenir compte des outils technologiques et des enjeux environnementaux.

https://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201902/20/01-5215469-quebec-veut-reformer-lindustrie-du-taxi.php

 

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  • 1 mois plus tard...

Publié le 02 avril 2019 à 09h51 | Mis à jour à 09h51

Taxi: les moyens de pression pourraient reprendre

 

LIA LÉVESQUE
La Presse Canadienne
Montréal

Les chauffeurs de taxi menacent de reprendre les moyens de pression, déçus de leur rencontre lundi avec les fonctionnaires du ministère des Transports.

Ils ont avisé mardi qu'ils allaient « monter le ton » et que cela pourrait ressembler aux moyens de pression qu'ils avaient adoptés jusqu'ici, comme des manifestations, causant parfois des ralentissements sur les routes. 

Les chauffeurs protestent ainsi contre la déréglementation de l'industrie du taxi annoncée par le ministre des Transports François Bonnardel. Cette réforme prévoit notamment la fin du contingentement, ce qui entraînera la chute de la valeur des permis de taxi. En revanche, Québec leur verse 250 millions en dédommagement pour une deuxième année consécutive. 

Lundi, certains de leurs représentants ont rencontré des fonctionnaires du MTQ durant plusieurs heures, à Montréal, pour leur demander de mener à bien une étude sur les répercussions de cette déréglementation, notamment sur ses coûts sociaux. Ils affirment mardi n'avoir reçu aucune réponse à ce propos. 

Ils ont également sollicité une pause de deux semaines dans le cheminement du projet de loi afin de faire place au dialogue. Cette deuxième demande aurait été rejetée selon le regroupement des chauffeurs.

https://www.lapresse.ca/actualites/201904/02/01-5220522-taxi-les-moyens-de-pression-pourraient-reprendre.php

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Il y a 2 heures, Malek a dit :

Publié le 02 avril 2019 à 09h51 | Mis à jour à 09h51

Taxi: les moyens de pression pourraient reprendre

 

LIA LÉVESQUE
La Presse Canadienne
Montréal

Les chauffeurs de taxi menacent de reprendre les moyens de pression, déçus de leur rencontre lundi avec les fonctionnaires du ministère des Transports.

Ils ont avisé mardi qu'ils allaient « monter le ton » et que cela pourrait ressembler aux moyens de pression qu'ils avaient adoptés jusqu'ici, comme des manifestations, causant parfois des ralentissements sur les routes. 

Les chauffeurs protestent ainsi contre la déréglementation de l'industrie du taxi annoncée par le ministre des Transports François Bonnardel. Cette réforme prévoit notamment la fin du contingentement, ce qui entraînera la chute de la valeur des permis de taxi. En revanche, Québec leur verse 250 millions en dédommagement pour une deuxième année consécutive. 

Lundi, certains de leurs représentants ont rencontré des fonctionnaires du MTQ durant plusieurs heures, à Montréal, pour leur demander de mener à bien une étude sur les répercussions de cette déréglementation, notamment sur ses coûts sociaux. Ils affirment mardi n'avoir reçu aucune réponse à ce propos. 

Ils ont également sollicité une pause de deux semaines dans le cheminement du projet de loi afin de faire place au dialogue. Cette deuxième demande aurait été rejetée selon le regroupement des chauffeurs.

https://www.lapresse.ca/actualites/201904/02/01-5220522-taxi-les-moyens-de-pression-pourraient-reprendre.php

Un demi milliard jusqu'à maintenant pour les taxis et ils en veulent encore? Le problème c'est pas Uber c'est plutôt d'avoir laissé trop longtemps aller un système spéculatif de permis de taxi dont la valeur est déterminée uniquement par la rareté. Je pense que le gouvernement a fait sa part pour indemniser les taxis. Aujourd'hui avec la révolution des transports, on ne peut plus continuer à fonctionner avec un système de fausses valeurs et de chasse gardée. Oui Uber a utilisé une brèche mais au final, ça a forcé à revoir ce système fermé qui bloquait l'innovation depuis trop longtemps. Taxis, prenez le fric et trouvez vous une nouvelle job. 

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Le 2016-05-13 à 14:59, YUL a dit :

 

 

 

Question :

Est-ce que l’on peut augmenter les nombre de permis en circulation sans se faire poursuivre par la clique de proprios de taxis? (Même si ça fait descendre la valeur des permis…) Il manque de taxis aux heures de pointe!!! C’est notamment à ça que servait Uber!

Question intéressante. Il y a trois ans  le gouvernement avait octroyé l’équivalant de 300 permis de Taxi à Uber dans le cadre d’un projet pilote. Il aurait été intéressant d’obtenir les conclusions de cette expérience.

Je trouve que ça aurait été plus prudent d’augmenter le nombre de permis aux Uber de ce monde plutôt que de déréglementer complètement ne serait-ce pour éviter un un peu toute cette détresse  qu’on a vu chez les taximan.

« Alors que l’on comptait 4978 taxis sur l’île de Montréal en 1952, il n’y en a plus qu’un maximum de 4445 aujourd’hui. Les rares nouveaux permis ajoutés depuis novembre 2000 (environ 200 dans tout le Québec) sont valides pour un maximum de cinq ans et ne peuvent pas être transférés.»

http://www.iedm.org/files/aout2010_fr.pdf

En 1946, la guerre terminée, plusieurs personnes se plaignent du manque de taxis dans la métropole québécoise.  La Ville obtempère. L’assiette de permis en circulation croît à 2558 en 1947, puis à 4295 en 1952.

En 1985,  Ce sont les titulaires de permis de taxi de l’agglomération de Montréal eux-mêmes qui financent l’opération, investissant de leurs poches 4 millions de dollars. En tout, à la fin du processus, 1287 permis sont éliminés, soit 23,5 % du total.

http://plus.lapresse.ca/screens/c2600844-dad7-4ce7-844c-4f412bff10b9__7C___0.html

Le jour où Uber sera seul...

https://www.lesoleil.com/chroniques/mylene-moisan/le-jour-ou-uber-sera-seul-3ae47e8ff14e8b805da369b639d28741

 

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