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REM (ligne A) - Discussion générale


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On a pas mal plus de chances de voir la ligne Rose ou le prolongement de la ligne bleue plus loin qu'Anjou (ce qui demanderait un changement complet de technologie) par CDPQ Infra que de voir la ligne Mascouche transformée en REM...

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51 minutes ago, Fortier said:

Pousser pour des prolongements à Chambly, St-Jean ou Mirabel est tout simplement une politique électoraliste. Un tel prolongement ne serait profitable pour personne et je crois que même ces maires le savent très bien, mais ils donnent l'impression à leurs citoyens qu'ils font quelque chose pour eux. 

Il faut s'enlever de la tête que le REM est un train de banlieue, car il ne l'est pas. C'est un métro et un métro n'est pas conçu pour traverser des champs pour rejoindre des villes satellites.

Soyez réaliste et demandez plutôt le prolongement de ligne Candiac.

Le gouvernement ne veut plus investir dans des tronçons du CN/CP et avec raison. Donc tant qu'à construire une nouvelle voie ferrée, REM ou pas REM c'est le même coût. REM moins cher en exploitation et véhicules moins cher à l'achat. Donc oui le REM peut être prolongé. Ce qui fait un métro c'est la fréquence de service, pas obligé d'avoir une rame aux 3 minutes à St-Jean.

 

C'est ça qui faut se rentrer dans la tête.

Modifié par p_xavier
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Envisager des prolongements du REM à ce stade-ci relève de ce que je qualifierais du syndrome de «La laitière (Perrette) et le pot au lait».  Certes, rien n'interdit de rêver mais...

1)  Il y a certainement d'autres priorités plus urgentes au Québec y compris dans la région montréalaise.

2)  Nonobstant la question des coûts et de la rentabilité, il faudrait penser aux implications de tels prolongements sur la future forme urbaine/compatibilité avec un plan d'aménagement métropolitain qui privilégie la densification des fonctions urbaines et la préservation du territoire agricole.

3) Je serais curieux de voir si l'enthousiasme de ceux (maires et citoyens) qui souhaitent ces prolongements serait aussi élevé, s'ils avaient connaissance de la quote-part aux coûts d'opération qui leur serait exigée.

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Je pense qu'avant de prolonger le réseau du REM à travers la Rive-Sud, il faudrait que le gouvernement pense à quelque chose qui pourrait sérieusement améliorer la mobilité dans l'est. Et pas juste à Anjou. Montréal-Nord et RDP ont vraiment besoin de transport rapide avec la densité que ces secteurs ont.

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il y a 4 minutes, SkahHigh a dit :

Je pense qu'avant de prolonger le réseau du REM à travers la Rive-Sud, il faudrait que le gouvernement pense à quelque chose qui pourrait sérieusement améliorer la mobilité dans l'est. Et pas juste à Anjou. Montréal-Nord et RDP ont vraiment besoin de transport rapide avec la densité que ces secteurs ont.

Et même l'est du Plateau/Vieux-Rosemont, d'où le génie de la ligne diagonale.

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On est dans l'hypothétique, mais j'ai l'impression que la phase suivante du REM sera vers l'est, vers Pointe-aux-Trembles, en empruntant l'ancien corridor ferroviaire qui appartient à l'AMT. Chantal Rouleau (mairesse de RDP-PAT) a dit à quelques reprises qu'elle était en discussion et qu'elle poussait pour un métro de surface vers son arrondissement et Richard Bergeron avait parlé d'une éventuelle phase 2 vers l'est.

Autrement, pour compléter ta liste SkahHigh, LaSalle et Lachine, ainsi que NDG, Plateau-Est et Vieux-Rosemont sont aussi dépourvu de transport collectif de qualité.

Modifié par Gabmtl
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Phase 2 pour moi partirait au coin de la 30 et de l'autoroute 116 (Promenade St-Bruno), pour ensuite passer en tunnel sous la voie maritime puis une station au Casino et en surface sur le Pont de la Concorde et un arrêt près de la station Bassin Peel pour ensuite longer le Vieux-Port,la rue  Notre Dame et bifurquer vers le Nord-est de l'île et puis Repentigny et Lachenaie.

 

Ainsi, toute la population de st-Bruno, ste-Julie (voie réservée jusqu'à la station sur la 30), St-Hubert et le Sud de Longueuil serait à proximité.

 

Cette ligne permettrait donc au Mtl touristique d'être:  (Casino, Ile Notre-Dame et Ste-Hélène, Vieux-Port)  relié directement de la Rive sud, du centre-Ville et de l'est de Mtl

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il y a 30 minutes, crosbyshow a dit :

Phase 2 pour moi partirait au coin de la 30 et de l'autoroute 116 (Promenade St-Bruno), pour ensuite passer en tunnel sous la voie maritime puis une station au Casino et en surface sur le Pont de la Concorde et un arrêt près de la station Bassin Peel pour ensuite longer le Vieux-Port,la rue  Notre Dame et bifurquer vers le Nord-est de l'île et puis Repentigny et Lachenaie.

 

Ainsi, toute la population de st-Bruno, ste-Julie (voie réservée jusqu'à la station sur la 30), St-Hubert et le Sud de Longueuil serait à proximité.

 

Cette ligne permettrait donc au Mtl touristique d'être:  (Casino, Ile Notre-Dame et Ste-Hélène, Vieux-Port)  relié directement de la Rive sud, du centre-Ville et de l'est de Mtl

Et la phase 3 ferait le lien entre Varennes et Chateauguay? lol C'est beau la rive-sud un m'ment d'nné.
Une phase 2 doit relié le centre-ville à l'est de Montréal ou au nord (Laval/Blainville/etc).

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Publié le 17 juin 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

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FRANÇOIS CARDINAL
La Presse
 

Que le meilleur gagne!

Les entreprises de Québec inc. ont beau être favorables à l’ouverture des marchés étrangers, plusieurs d’entre elles ont exigé des mesures protectionnistes à la Caisse de dépôt afin qu’elle impose un quota de contenu canadien à son train léger.
Le patron du Groupe ADF de Terrebonne, par exemple, s’est insurgé contre le fait qu’« on va peut-être avoir des gens de l’extérieur » dans le projet du Réseau électrique métropolitain (REM). « Ce n’est pas correct, a-t-il dit au Journal de Montréal. La Caisse investit 6 milliards, il faut que ça reste au Québec. »
Étrange façon d’aborder l’ouverture des marchés… surtout pour une entreprise qui s’est fait connaître en installant une antenne « Made in Québec » au sommet du One World Trade Center !
Et si, justement, les entreprises québécoises et canadiennes n’avaient pas toujours besoin d’être avantagées pour décrocher des contrats d’envergure ?
Et si elles étaient assez compétitives pour prendre leur place dans le projet de train sans qu’on ait à trafiquer les règles ?
Naïf, vous dites ?
Prenez le temps de consulter la composition des consortiums qui ont été sélectionnés pour l’appel de qualification. Vous en avez cinq : deux qui soumissionnent pour l’ingénierie et les infrastructures, trois qui souhaitent fournir le matériel roulant et les services d’exploitation.
Au total, ces consortiums sont formés de 18 entreprises. Et de ce nombre, 14 sont soit des sociétés du Canada, soit des sociétés ayant des filiales bien implantées au pays. Autrement dit, plus des trois quarts des entreprises qualifiées ont des assises canadiennes. On est loin de la concurrence déloyale et du dumping chinois…
Non seulement y aura-t-il des entreprises installées au pays dans le projet, notamment québécoises, mais celles-ci auront gagné sans aucun avantage. Elles auront du coup prouvé leur expertise, leur compétence.
Et de son côté, la Caisse aura favorisé la concurrence plutôt qu’une entreprise locale. Rappelons qu’on ne parle pas ici d’un achat d’autobus par une société de transport municipale. Il s’agit d’un projet éminemment complexe de 6 milliards, censé être rentable, mené par un fonds de pension indépendant. Ce que ses actionnaires exigent, ce n’est pas un passe-droit aux entreprises d’ici le temps du chantier, c’est un prix le plus bas possible et un service d’une qualité inégalée afin que l’achalandage et les profits prévus soient au rendez-vous… à long terme.
Il y a, enfin, un avantage collatéral à privilégier une compétition internationale ouverte à tous : la Caisse se tiendra loin de la controverse.
Imaginez si la fabrication du matériel roulant devait obligatoirement être attribuée à une entreprise d’ici. Une seule aurait pu gagner, bien sûr, en imposant son prix. Et cette entreprise, on le sait, compte parmi ses actionnaires la Caisse de dépôt. Bonjour les contestations… à moins que Bombardier gagne dans les règles de l’art.
La filière industrielle du transport électrique est déjà vigoureuse au Québec, celle de la construction d’ouvrage de transports collectifs l’est tout autant au pays. Raison de plus pour prouver le savoir-faire d’ici en mettant l’accent sur la compétence des entreprises plutôt que sur leur origine.
À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire… et sans grande chance de se faire valoir.

http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/francois-cardinal/201706/16/01-5108319-que-le-meilleur-gagne.php

Modifié par jerry
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