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REM (ligne A) - Discussion générale


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il y a une heure, Rocco a dit :

Le REM est le prochain projet qui va définir Montréal après l'illumination du pont Jacques Cartier.

Mets-tu les deux projets sur le même pied?

Pour ma part, le pont illuminé, c'est «du» spectaculaire, tandis que le REM constituerait un élément important des infrastructures de transport des personnes.  Mais ni l'un ni l'autre ne sont appellés à devenir des célébrités internationales --ce qui n'est d'ailleurs pas nécessaire.

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http://plus.lapresse.ca/screens/dd239338-b659-4f5a-a93d-4a8b7c7ccbe4|_0.html

 

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La RATP se rapproche du Québec

Jean-Philippe Décarie La Presse

La RATP, la Régie autonome des transports parisiens, qui fait partie de l’un des trois consortiums en lice pour décrocher le contrat de gestion, d’exploitation et de maintenance du futur Réseau électrique métropolitain (REM), a annoncé hier un autre rapprochement franco-québécois en prenant une participation au capital de la filiale parisienne du service d’autopartage en libre-service Communauto.

Cinquième acteur mondial du transport public, la RATP est bien représentée cette semaine au sommet de l’Union internationale des transports publics (UITP), qui se termine aujourd’hui au Palais des congrès de Montréal.

Elisabeth Borne, PDG de la RATP, était notamment accompagnée de Florence Rodet qui est secrétaire générale de RATP DEV, la division qui chapeaute toutes les activités internationales de l’entreprise spécialisée dans la gestion, l’exploitation et la maintenance de systèmes de transports publics.

La RATP a exporté à ce jour son expertise dans 15 pays. Ce sont ses équipes qui gèrent certains des systèmes de transport public à Bombay, Séoul, Manille et Hong Kong. Elle a aussi implanté et gère des systèmes en Algérie, au Maroc, en Arabie saoudite et au Qatar.

« On est aussi responsable de la flotte de 1000 autobus impériaux de Londres », me précise Elisabeth Borne, rencontrée en marge du sommet de l’UITP.

La RATP souhaite donc poursuivre son expansion internationale en mettant solidement le pied sur le sol canadien et en obtenant la gestion du contrat d’exploitation et de maintenance du futur REM.

Trois consortiums se sont préqualifiés en vue de l’appel d’offres lancé par la Caisse de dépôt et placement. La RATP s’est associée à la firme d’ingénierie américaine Parsons, au fabricant de matériel roulant coréen Hyundai Rotem et à la société Thales Canada pour obtenir le contrat de gestion du REM.

Mme Borne n’a pas voulu trop discuter du contrat du REM puisque le processus d’attribution est rendu au stade final et que l’on a demandé aux soumissionnaires de rester discrets.

Mais il est évident que la RATP aimerait bien obtenir ce nouveau mandat international. « On a un savoir-faire unique », rappelle la PDG, qui évoque aussi les liens culturels étroits qui unissent la RATP à la Société de transport de Montréal qui a choisi, à l’époque, la technologie française du métro sur pneus.

La RATP réalise un chiffre d’affaires annuel de 5,5 milliards d’euros, dont 20 % sont générés par sa division internationale RATP DEV.

« On prévoit hausser nos revenus à 7 milliards d’euros d’ici 2020, et la portion réalisée hors-territoire devrait représenter alors 30 % de nos revenus totaux », anticipe Elisabeth Borne.

Le transport évolutif

À l’instar de la nouvelle Autorité régionale de transport métropolitain qui souhaite implanter le concept de mobilité intégrée sur l’ensemble du territoire métropolitain, la RATP est aussi adepte de l’élargissement de l’offre de services aux usagers du transport public.

« Le transport de masse va toujours exister, mais la révolution digitale et les grands bouleversements énergétiques nous confrontent à de nouveaux enjeux », explique la PDG.

C’est dans cette optique que la RATP a décidé d’investir dans la division parisienne de Communauto pour étendre ses services à l’ensemble de la grande région parisienne.

« On doit être capable d’être présent dans toutes les formes de transport et de pouvoir les offrir à nos usagers. On souhaite faciliter la vie des gens avec ce nouveau service d’autopartage », espère Elisabeth Borne.

La RATP est aussi pleinement engagée dans le virage vert alors qu’elle a entrepris le remplacement de son parc de 4600 autobus par des nouveaux véhicules. D’ici 2025, 80 % des autobus de la RATP seront alimentés à l’électricité et 20 %, au biogaz.

L’organisme devra revoir ses méthodes de rechargement puisque la consommation électrique de ce nouveau parc de véhicules sera équivalente à la consommation d’une ville de 85 000 habitants.

Enfin, l’avènement de la voiture autonome ne risque pas de révolutionner le monde des transports collectifs, estime la PDG. S’il fallait que les 1,2 million d’usagers quotidiens qui prennent le train pour entrer à Paris se retrouvent plutôt en voiture autonome, il faudrait construire deux autoroutes parallèles dont chacune serait munie de 30 voies. Ce que l’on ne verra pas de notre vivant.

 

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21 hours ago, p_xavier said:

Pour ceux qui disaient ne pas connaître une ville qui a converti une ligne de train de banlieue en métro, Sydney va de l'avant avec une telle proposition. https://www.sydneymetro.info/citysouthwest/project-overview

Aussi RandstadRail aux Pays-Bas il y a quelques années:

https://fr.wikipedia.org/wiki/RandstadRail

et beaucoup plus d'information en néerlandais:

https://nl.wikipedia.org/wiki/RandstadRail

Le Hofpleinlijn était, comme la ligne Deux-Montagnes, un ligne électrifié tôt (1908). En 2002 il était séparé des autre lignes ferroviaires.

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Octroi des contrats prévu en août.

http://www.railjournal.com/index.php/metros/montreal-rem-project-on-course-for-august-tender.html

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Montreal REM project on course for August tender

Written by  Kevin Smith
Macky Tall, CDPQ Infra president and CEO.Macky Tall, CDPQ Infra president and CEO.
 

IRJ at UITP Global Summit 2017: CDPQ Infra's ambitious plans to develop Metropolitan Electric Network (REM), a new 67km double-track automated light metro in Montreal, remain on schedule in spite of some alterations to the project which have increased overall costs to $C 6.04bn ($US 4.4bn).


Speaking to IRJ in Montreal, Mr Macky Tall, CDPQ Infra president and CEO, said that following extensive consultation with transport operators in Montreal and elsewhere, and with around 3000 members of the general public, it was decided to improve the integration between REM project and Montreal's existing metro network. As a result, three new stations have been added to the preliminary design at Edouard-Montpetit, McGill, and Bonaventure Gare Centrale.

 

“We have an open mind to the continual improvement of the project where we can so ultimately we can get a better system that meets the needs of future users, and the activities of other transport authorities,” Tall said.

Tall emphasised that adding the new stations is by no means a no-brainier because of the technical challenges of integrating with the existing metro lines, particularly at McGill station which is situated 70m below the surface of Mount Royal. In addition, Peel Basin station is now expected to be located below the St Lawrence River. Tall said that the changes are expected to add $C 400m to the overall cost of the project, and he said it will be up to the contract bidders to decide how best to work this into the project.

Work is divided into two separate packages for engineering, procurement and construction (EPC), and rolling stock, systems, operation and maintenance (RSSOM). Prequalification was finalised in November 2016, and the confirmed bidders are:

EPC
• Groupe NouvLR, consisting of SNC Lavalin, Dragados, Canada, Groupe Aecon Quebec, Pomerleau, EBC, partnering with Aecom, and
• Kiewit-Eurovia, consisting of Kiewit Construction, Eurovia Quebec Grand Projects, partnering WSP Canada, and Parsons.
RSSOM
• Alliance Montreal Mobility (AMM), consisting of Parsons, Hyundai Rotem, RATP Dev, and supported by Thales, Canada
• Bombardier Transportation, Canada, and
• Group Partnership for Mobility for Montreal, consisting of Alstom and SNC Lavalin.

Tall says tendering is set to commence in August. “The goal then is to award the contract and for construction to start this fall,” he said. “We aim to complete the first phase of the project in 2020.”

Tall describes CDPQ’s model for REM as a public-public project. CDPQ Infra is investing $C 2.67bn, with the government of Quebec committing $C 1.28bn (24%), while discussions are “progressing well” with the federal government over a $C 1.28bn contribution.

Tall says that a public pension putting up more than 50% of the cost of a new infrastructure project is unprecedented and he admits that it has attracted a lot of attention from other potential projects. While certainly interested, he says that for now at least, CDPQ Infra’s focus remains on Montreal.

“We are 150% focused on Montreal and delivering the best system possible,” Tall said. “But once we are done, we are interested in expanding the CDPQ Infra model. It is a good concept and an effective way of delivering more infrastructure investment. We would initially look at North America but are open to going further.”

For more on the REM project, see p42 of the August 2016 edition of IRJ, or click here.

To learn more about metro projects around the world, subscribe to IRJ Pro.

 

 

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Je me demande quel sera l'impact de la construction sur la ligne du tunnel. J'utilise la ligne Mascouche (plutot une semi-ligne de train avec ses départs presque non-existant et ses rames partielles) et pris le metro aujourd'hui... damn que c'est packté...

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Il y a 10 heures, Decel a dit :

Je me demande quel sera l'impact de la construction sur la ligne du tunnel. J'utilise la ligne Mascouche (plutot une semi-ligne de train avec ses départs presque non-existant et ses rames partielles) et pris le metro aujourd'hui... damn que c'est packté...

Si la ligne Mascouche voit son nombre de départ augmenter sa pourrait être très positif surtout avec la reforme prochaine de l'ARTM , le principal frein en ce moment c'est le prix de la TRAM pour les gens de l'est de l'ile et le nombre de départ peu fréquent.

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