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REM (ligne A) - Discussion générale


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C'est comme ça qu'on fonctionne, ça niaise, ça niaise, ça niaise, quand ça déniaise là faut que ça aille vite vite vite en tournant bien évidement les coins rond (sur l'environnement, l'architecture, les matériaux, etc etc). C'est garanti que c'est pas une recette gagnante, difficile ensuite de dire qu'on ne se complaît pas dans la médiocrité.

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Au Québec on adore rabaisser tout ce qui fonctionne trop bien aux yeux de ceux qui se confortent dans l'échec perpétuel et l'immobilisme, comme s'il fallait abattre tout ce qui se distingue du marasme collectif.

 

Un bel autre exemple de ce genre de commentaires!

 

Le commentaire sur les tramways est comme dire qu'une autoroute n'est pas nécessaire car il y a des routes de village en places. Un moment donné, se rendre à Québec par les chemins de campagne, ça en vient long inutilement.

 

http://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=newssearch&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwidtquzwcjNAhUKPz4KHcYPD50QqQIIICgAMAE&url=http%3A%2F%2Fwww.ledevoir.com%2Fpolitique%2Fmontreal%2F474185%2Fplace-au-grand-virage&usg=AFQjCNF0N0cIzvMh35fB6w5qtCDRTsyypQ&bvm=bv.125596728,d.cWw

 

Place au Grand Virage

 

La Caisse de dépôt et placement (CDPQ) a récemment proposé son projet de Réseau électrique métropolitain (REM), comportant 12 nouvelles stations dans la région métropolitaine. Ce projet exige des investissements de 5,5 milliards, sans compter qu’il s’approprie des milliards en infrastructures publiques déjà payées, notamment le tunnel du Mont-Royal. Pour des coûts semblables, nous proposons de remplacer le REM par un Grand Virage composé de 3 stations de métro et 7 lignes de tramway comportant environ 140 stations. Un bref portrait des objectifs et actions du Québec permet de justifier cette proposition.

 

 

Voici quelques constats qui font consensus : le Québec est trop dépendant du pétrole, donc de l’automobile ; l’étalement urbain coûte très cher et nous rend dépendants de l’auto ; le transport est la principale source de gaz à effet de serre (GES). Et l’objectif du Québec est de réduire ses émissions de GES de 37,5 % d’ici 2030 (dans 14 ans). Considérant la croissance récente des émissions du transport, on doit conclure que des actions vigoureuses sont requises pour inverser les tendances et atteindre l’objectif.

 

 

Pour réduire les GES en transport

 

 

Parmi les actions implantées, il y a le développement des véhicules électriques à batterie. Peu importent les mérites de cette option, le taux de pénétration est très faible et progresse lentement, notamment parce que la durée de vie des autos dépasse 10 ans. On doit conclure que cette option réduira faiblement les GES.

 

 

Une autre option est le développement du transport collectif, basé sur l’autobus diesel. Rappelons que la STM, dans son Plan de développement durable, annonce pour ses autobus des émissions de GES de 216 g CO2 par passager-km. Ce taux est identique à celui d’une auto solo de catégorie intermédiaire. La multiplication des autobus diesel ne peut donc pas réduire sérieusement les émissions.

 

 

L’écofiscalité est une autre option. Mais le prix mondial du pétrole a causé une baisse du prix des carburants de 20-30 ¢/litre, ce qui représente une forte incitation à consommer du pétrole. Il serait donc opportun de hausser la taxe pour compenser cette tendance. Cela signifie que, pour changer les tendances et respecter nos objectifs, il faudrait ajouter une taxe de 40 ou 50 ¢/litre. Un tel montant semble politiquement inacceptable.

 

 

On arrive au constat suivant, les actions politiquement acceptables ne permettent pas d’atteindre les objectifs, et celles qui le permettraient sont politiquement inacceptables. Heureusement, il y a une exception : le développement majeur du transport collectif électrique qui permet de multiplier l’achalandage du transport collectif et de remplacer des centaines d’autobus diesel polluants.

 

 

Pour atténuer l’étalement urbain

 

 

Il y a consensus à savoir qu’il faut réduire l’étalement urbain, mais l’atteinte de cet objectif est politiquement très difficile. On pourrait faire comme en Europe, c’est-à-dire imposer un zonage strict, mais cela n’est pas dans nos traditions politiques. Une autre option pour atténuer l’étalement est d’imposer des péages substantiels sur les ponts et autoroutes. Voilà une autre mesure difficile à faire accepter.

 

 

Heureusement, parmi les options, il existe une exception : le développement massif du tramway, qui, partout dans le monde, a servi de puissant facteur d’attraction, permettant de concentrer le développement et d’atténuer l’étalement.

 

 

Si mauvais, le REM ?

 

 

Alors que le transport collectif électrifié représente la seule option politiquement acceptable, capable de renverser les tendances néfastes, la CDPQ a réussi à concevoir un projet qui augmentera l’étalement urbain et les émissions de GES.

 

 

Ajoutons à cela que le REM exige de grands investissements, ce qui va paralyser d’autres projets pendant une décennie. Accepter le REM, c’est accepter un très mauvais projet qui nous empêchera de respecter nos objectifs de réduction des GES.

 

 

Proposition de rechange

 

 

Nous avons élaboré une proposition de Grand Virage, pour démontrer le potentiel d’électrification basé sur le principe du « bon mode au bon endroit ». Pour un budget semblable au REM, le Grand Virage inclut les lignes suivantes de tramway : 1. Anjou/Pie-IX/CHUM ; 2. Laval (Saint-Martin)/Pie IX/métro Pie-IX ; 3. Métro Lionel-Groulx/Lachine/aéroport ; 4. Centre-ville/pont Champlain/Dix30 ; 5. Centre-ville/pont Champlain/Taschereau/métro Longueuil ; 6. Centre-ville/Côte-des-Neiges ; 7. Le Carrefour/métro Montmorency/Bois-Francs.

 

 

Le Grand Virage inclut aussi 3 stations de métro : Pie-IX, Poirier et Bois-Francs. Cette dernière station est importante pour augmenter l’achalandage de la ligne Deux-Montagnes, car une grande proportion des usagers pourra alors prendre le métro à Bois-Francs.

 

 

Certains nous disent d’abandonner notre Grand Virage, car le réalisme politique exigerait d’accepter le REM tel quel, peu importent ses défauts. On peut voir l’ironie d’une telle position : pour un motif de réalisme politique, il faudrait abandonner (ou retarder de 10 ans) la seule option politiquement réaliste pour réduire les problèmes en transport.

 

 

Une solution pourtant simple

 

 

Le Grand Virage a été conçu par plusieurs experts en transport et urbanisme, avec du travail 100 % bénévole. Nous ne prétendons pas que ce Grand Virage est LA solution. Il s’agit plutôt d’un exemple pour démontrer le potentiel du « bon mode au bon endroit ».

 

 

Pour le gouvernement du Québec, le premier pas est simple : mettre en place un processus de planification transparent et participatif, permettant d’évaluer les mérites des différents projets. L’efficacité des projets doit être évaluée en matière de coûts, achalandages et effets sur l’ensemble du réseau. Avec une telle approche, il est possible de générer de grands bénéfices économiques, sociaux et environnementaux.

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Au Québec on adore rabaisser tout ce qui fonctionne trop bien aux yeux de ceux qui se confortent dans l'échec perpétuel et l'immobilisme, comme s'il fallait abattre tout ce qui se distingue du marasme collectif.

 

On aime aussi apparemment se flageller sans arrêt en disant qu'on haït le succès et qu'on admire uniquement la médiocrité. Pas de demi-mesure, ni d'un bord ni de l'autre, on dirait...:rolleyes:

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Breaking news; Les appels de qualifications sont sortis!

 

Appel de qualification - Fourniture du Matériel Roulant, de Systèmes et de Services d’Exploitation et de Maintenance

https://www.cdpqinfra.com/sites/all/files/document/appel-de-qualification_01-8001_mrsem.pdf

 

Appel de qualification - Ingénierie, Approvisionnement et Construction des infrastructures

https://www.cdpqinfra.com/sites/all/files/document/appel-de-qualification_01-7001_iac.pdf

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Merci cprail! les infos sur le matériel roulant:

 

Le Matériel roulant du REM sera conçu considérant notamment :

Une durée de vie minimale de 40 ans;

 L’optimisation des coûts sur le cycle de vie;

 L’utilisation de fonctionnalités présentant une technologie éprouvée, en particulier en conditions hivernales;

 Le recyclage des composants en fin de vie; et

 La sécurité des passagers et du personnel.

 

CDPQ Infra préconise les éléments suivants pour la

configuration des rames du REM :

 Modularité des composantes;

 Interchangeabilité des rames et de leurs composantes;

Mise en unité multiple de 2 rames (=2 Unités simples) de façon automatique en tout point du réseau

 

Matériel roulant

Guidage: Roulement fer

Type d’exploitation automatique: GOA4 sans conducteur

Nombre approximatif de rames requises: 50

Nombre maximal de véhicules dans une rame: 4

Longueur totale d’une rame avec attelages: 80 m

Longueur d’un véhicule: 20 m

Largeur maximale: 3,00 m

Charge à l’essieu maximale: 14.50 tonnes métriques

Capacité de la rame en charge normale (4 passagers/m²): 600 Personnes

Alimentation électrique

Électrification: 1 500 VCC (caténaire)

Hauteur libre minimum sous le fil de contact de la caténaire :

– Hauteur minimale du fil de contact 4,50 m

– Hauteur nominale du fil de contact: 5,50 m

 

Voie ferroviaire

Écartement 1 435 mm

Déclivité maximale 5,0%

Quais (stations)

Système d’embarquement: Portes palières

Longueur utile des quais 80 m

Hauteur de quai 1,00 à 1,20 m

 

Conditions climatiques

Températures (EN 50125-1 – Classe TX)

– Minimum: - 40°C

– Maximum: +50°C

 

Conditions opérationnelles

Performance de traction nominale :

– Accélération entre 0 km/h et au minimum 25 km/h: 1,2 m/s²

– Accélération résiduelle à Vmax: 0,2 m/s²

 

Vitesse :

– Maximale en exploitation 100 km/h

– Design 110 km/h

 

Décélération en freinage :

– Service maximal de Vmax à 0 km/h: 1,0 m/s²

– Application maximale du frein de service: 0,8 m/s2

– Freinage d’urgence: 1,2 m/s2

– Freinage de sécurité: 0,8 m/s2

 

3.5 AMÉNAGEMENT INTÉRIEUR DES RAMES

Les rames devront répondre aux meilleurs niveaux de confort avec un intérieur moderne, calme, sûr, lumineux et ajusté en

température. Un haut niveau d’agrément client et de qualité de service est demandé.

 

La circulation à l'intérieur du véhicule sera facilitée au maximum en favorisant les cheminements directs et en supprimant tous

les obstacles. La disposition des sièges à assises relevables sur les plateformes ne limite pas l’accès au véhicule et incite les

personnes les utilisant à se lever en cas d’affluence.

 

Les appuis et moyens de préhension dans le véhicule offrent la possibilité à tout voyageur, quels que soient sa taille, son

handicap et sa position dans le véhicule, de se maintenir en toute sécurité. Des espaces pour les bagages seront également

prévus.

 

Dans l’éventualité où une rame devrait être pilotée de façon manuelle, un opérateur devra activer le pupitre de conduite

rétractable dissimulé à une extrémité avant afin de prendre le contrôle de la rame.

 

Chaque véhicule sera entre autres équipé des systèmes embarqués suivants :

 Vidéosurveillance intérieure (et extérieure);

 Information voyageurs (sonore et visuelle);

 Interphonie voyageurs; et

 Communication sol/bord.

 

3.6 ESTHÉTIQUE DES RAMES

 

CDPQ Infra recherche un Matériel roulant qui offre à sa clientèle une présentation esthétique intérieure et extérieure de haut

niveau, et ce, en tout temps.

Le Fournisseur MRSEM devra fournir un « design book » répondant aux exigences exprimées dans le devis de performance

présentant trois (3) concepts esthétiques différents. À ce titre, il sera demandé pour chaque « concept esthétique », la fourniture

de rendus de couleurs permettant l’appréciation de l’esthétique globale d’une rame de 80 m.

Afin de minimiser les coûts d’entretien, l’intérieur et l’extérieur des rames doivent être conçus avec des matériaux résistants aux

graffitis et au vandalisme, et pouvant être nettoyés facilement.

Modifié par nephersir7
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Et sur la nature des travaux de génie civil

 

ANNEXE 3 – DESCRIPTION DES CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES

 

1. DESCRIPTION DES PRINCIPALES COMPOSANTES PHYSIQUES DU PROJET

 

Les infrastructures du Projet comprennent tous les éléments physiques mentionnés ci-après à l’exception des ouvrages qui seront réalisés dans le cadre de travaux périphériques et autres travaux hors projet qui seront précisés dans le cadre de l’appel de propositions.

En plus des activités liées à la réalisation des éléments principaux et connexes ci-après mentionnées, le Projet comprend les travaux de maintien de la circulation, les travaux temporaires ainsi que les travaux de démantèlement d’infrastructures existantes ainsi que tous les équipements et matériaux requis.

Les principales composantes physiques du Projet sont présentées pour chaque antenne tel qu’envisagé à la Figure 1.

 

2. ANTENNE OUEST

 

(A) ANTENNE OUEST VERS DEUX-MONTAGNES

 

Transformation de la ligne de train de banlieue Deux-Montagnes en antenne du REM tout en maintenant un niveau de service adéquat pendant les travaux :

Doublement de la voie existante sur environ 18 km;

Transformation des 12 gares existantes de la ligne de train de banlieue Deux-Montagnes en stations du REM (incluant la

Gare Centrale);

Construction d’une nouvelle station de correspondance entre le REM et la ligne de train de banlieue de Mascouche;

Transformation de chacun des 15 passages à niveau existants selon l’une des variantes listées ci-dessous :

– Rehaussement de la voie et étagement ferroviaire supérieur;

– Abaissement de la voirie et étagement ferroviaire supérieur;

– Nouveau pont routier;

– Viaduc SLR;

– Abandon du passage à niveau;

Modification du Tunnel du Mont-Royal long d’environ 5 km;

Doublement des 4 ponts ferroviaires enjambant la Rivière-des-Milles-Îles et la rivière des Prairies;

Doublement de 2 ponts ferroviaires enjambant le Chemin du Bord de l’eau et le Chemin d’Oka;

Doublement du pont ferroviaire enjambant le sentier pédestre du Parc Bois-de-Liesse; et

Transformation du dépôt et du centre d’entretien en bout de ligne à Saint-Eustache.

 

(B) ANTENNE OUEST VERS SAINTE-ANNE-DE-BELLEVUE

 

Dans l’axe de l’A40, principalement en secteur industriel et commercial de densité moyenne :

Construction d’environ 16 km de nouvelles voies doubles, principalement en viaduc SLR, dont environ six (6) km à l’intérieur d’une emprise ferroviaire existante (Doney) et trois (3) croisements d’autoroutes;

Construction d’une nouvelle jonction ferroviaire entre l’antenne Sainte-Anne-de-Bellevue et l’antenne Deux-Montagnes;

Construction de la station A13, incluant un stationnement incitatif et un terminus d’autobus;

Construction de la station Des Sources, incluant un stationnement incitatif et un terminus d’autobus;

Construction de la station Pointe-Claire, incluant un stationnement incitatif et un terminus d’autobus;

Construction de la station Kirkland, incluant un stationnement incitatif et potentiellement un terminus d’autobus; et

Construction de la station Sainte-Anne-de-Bellevue, incluant un stationnement incitatif et un terminus d’autobus.

 

© ANTENNE OUEST VERS L’AÉROPORT

 

En secteur industriel et commercial de densité moyenne ainsi que sur le territoire d’ADM :

Construction d’environ cinq (5) km de nouvelles voies doubles pouvant comporter des sections au sol, aériennes, en tranchée couverte et en tunnel;

Construction d’une station desservant l’aéroport de Montréal Pierre-Elliott-Trudeau;

Construction d’une station desservant le Technoparc Saint-Laurent; et

Construction d’une nouvelle jonction ferroviaire entre l’antenne de l’aéroport de Montréal Pierre-Elliott-Trudeau et l’Antenne Ouest.

 

3. ANTENNE RIVE-SUD

 

En milieu urbain dense sur le territoire de la Ville de Montréal :

Construction d’environ cinq (5) km de nouvelles voies doubles;

Construction d’une station dans le terre-plein central de l’A10 sur l’île des Sœurs et d’un terminus d’autobus à proximité;

Construction d’une structure aérienne dans le secteur Griffintown, du côté ouest du corridor ferroviaire du CN, pour

transférer la circulation ferroviaire sur le corridor du CN afin d’accéder à la station située à la Gare Centrale;

Construction d’un tunnel d’environ trois (3) km réalisé en partie dans le roc et en partie en tranchée couverte, incluant deux (2) structures auxiliaires d’évacuation et de ventilation, entre la rue Ottawa dans le secteur Griffintown et le Parc d’entreprises de la Pointe-Saint-Charles, à proximité des Studios Mel’s;

Construction d’une structure aérienne d’environ un (1) km au-dessus du bras du fleuve St-Laurent entre l’île de Montréal et l’île des Sœurs;

Construction d’un centre d’entretien incluant son accès en tunnel réalisé en tranchée couverte dans le secteur du Parc d’entreprises de la Pointe-Saint-Charles.

Sur le nouveau Pont Champlain :

Construction de nouvelles voies doubles sur environ 3 km sur le corridor central dédié au transport collectif du nouveau pont Champlain (pont central construit par des tiers).

Le long de l’A10 sur la rive sud, en milieu industriel et commercial de densité moyenne :

Construction d’environ six (6) km de nouvelles voies doubles au sol dans le terre-plein central de l’A10;

Construction de la station Panama et prolongement du tunnel piéton existant vers l’ouest sous la bretelle de sortie de l’A10 vers le boulevard Taschereau;

Construction du terminus d’autobus Panama (environ 30 quais), d’un stationnement incitatif souterrain d’environ 500 places et des accès routiers locaux;

Modification des ponts existants au-dessus du Boulevard Taschereau et au-dessus de la bretelle d’entrée de l’A10 Ouest via le boulevard Taschereau;

Construction d’un pont d’étagement ferroviaire supérieur au-dessus de la rue Malo, de la voie ferrée du CN et du boulevard Leduc;

Réaménagement du réseau routier local : boulevard Lapinière, avenue Malo, boulevard Leduc;

Déviation de l’A10 sur environ un (1) km dans les deux directions dans le secteur de la station Du Quartier;

Construction de la station Du Quartier et d’une passerelle piétonne;

Construction d’une structure aérienne au-dessus de l’A10 d’une longueur de 0.6 km pour l’accès à la station Rive-Sud;

Construction de la station Rive-Sud dans le quadrant sud de l’échangeur A10/A30;

Construction du terminus d’autobus Rive-Sud (environ 20 quais), d’un stationnement incitatif d’environ 3000 places et d’accès routiers locaux;

Construction d’un lien routier via l’A10 incluant la construction d’un pont d’étagement; et

Construction d’un centre d’entretien secondaire attenant à la station Rive-Sud.

Modifié par cprail
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^ yeah, the metro is just terrible. /s

 

but the real issue here is that there's no issuing for any work at edouard-montpetit or mcgill. why not just wait until they have done the technical research? because they're not intending to build? because EVERYONE knows that they'll never interrupt service to build once it's in operation, and that costs will escalate beyond anything we could afford if these stations aren't built with the rest of the tunnel improvements.

Modifié par orages lointains
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