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Le marché immobilier poursuit sa remontée


Nameless_1

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Le 2018-07-25 à 03:27, Faitlemou a dit :

Ce qui me rend très curieux dans tout ca est la croissance de la population dans la ville. En gros je me demande si celle-ci augmente, mais je ne trouve aucune données sur le sujet pour cette année. Tout porte à croire que oui, mais j'ai hâte d'avoir accès aix chiffres.

Si tu télécharges le décret de population annuel du MAMOT, tu auras aussi la population de chaque arrondissement. Le Ministère en produit un chaque année. https://www.mamot.gouv.qc.ca/organisation-municipale/decret-de-population/

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Montreal housing market close to overheating: CMHC

This is the seventh straight quarter where the sales-to-new listings ratio has risen.

Updated: July 26, 2018
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The active listings-to-sales ratio for single-family homes decreased — pushing those properties farther into a seller's market. MARCOS TOWNSEND / MONREAL GAZETTE FILES

Montreal’s housing market is close to the threshold for being considered “overheated,” according to a new report by The Canadian Mortgage and Housing Corporation. However, it still faces a low degree of vulnerability to market instability.

The seasonally adjusted sales-to-new listings ratio was slightly below 69 per cent during the three-month period ended on March 2018, the Crown corporation said in its quarterly Housing Market Assessment. The threshold for overheating is a sales-to-new listings ratio of 70 per cent.

This is the seventh straight quarter where the sales-to-new listings ratio has risen.

The active listings-to-sales ratio for single-family homes decreased — pushing those properties farther into a seller’s market.

That was particularly true in the West Island, Sud-Ouest, Notre-Dame-de-Grâce, Île-des-Soeurs and most of the central districts of Montreal Island, the CMHC said.

 

While condos are currently on the line between a balanced market and a seller’s market, those properties are likely to move into sellers’ market territory during the next quarter.

However, that varies from area to area. In Laval, for example, a buyer’s market exists for condos, while in some central areas of the city of Montreal, conditions are more favourable to sellers.

The CMHC said the evidence of accelerating price growth remains weak. However, in some areas, single-family home prices are growing faster than a year ago. The same situation exists for condos in a couple of neighbourhoods.

“Housing prices continue to increase rapidly in certain neighbourhoods. If this strong increase was to last, accelerating price growth could be reported in a future Housing Market Assessment,” Bob Dugan, the CMHC’s chief economist, said on a conference call with journalists.

“There are some neighbourhoods where the situation is tighter, for example, in the West Island or N.D.G. sectors, for some types of housing,” said Lukas Jasmin-Tucci, a senior market analyst with the CMHC. “We know that in those neighbourhoods, a buyer might adjust their behaviour, maybe waiting for a different time for their purchase or changing neighbourhoods, changing the type of homes they’re looking at.”

However, he said, the CMHC doesn’t assess market vulnerability at the neighbourhood level, just across the entire region.

“On some indicators, there’s a clear trend, we might change from low signs of vulnerability to moderate, but then again, those signs need to be significant and persistent,” Jasmin-Tucci said.

The CMHC said price increases were in line with population and economic growth.

“Even though prices increased, they did so in a context of strengthening fundamentals,” the report reads.

There was negligible evidence of overbuilding, the CMHC said.

jserebrin@postmedia.com

 

https://montrealgazette.com/business/local-business/montreal-housing-market-close-to-overheating-cmhc

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  • 2 semaines plus tard...
Quote

Maisons, copropriétés

Dans le marché des maisons unifamiliales, le prix médian des ventes conclues en juillet 2018 dans la région de Montréal, soit 336 250 $, est rehaussé de 6% en un an malgré une légère baisse (-2%) du nombre de transactions.

C'est dans les secteurs de Laval et de la Rive-sud que la hausse de prix des maisons unifamiliales a été la plus forte en juillet, soit 11% sur un an. 

Cette hausse en juillet presque deux fois supérieure à celle compilée pour les sept premiers mois de l'année suggère une accélération de l'inflation des prix des maisons unifamiliales dans ces deux secteurs de la région métropolitaine.

Quant au marché des copropriétés, il est resté dynamique en juillet dans la grande région de Montréal, avec des hausses de 6% du nombre de ventes et de 5% du prix médian par rapport à juillet 2017.

Toutefois, la hausse de prix ses copropriétés sur l'Île de Montréal, comptabilisée à 10% sur un an en dépit d'une légère baisse de 1% du nombre de ventes, est demeurée de loin la plus forte dans toute la région métropolitaine.

Cette hausse de 10% en juillet 2018 s'avère aussi deux fois plus importante que celle de 5% comptabilisée durant les sept premiers mois de l'année.

http://www.lapresse.ca/affaires/economie/immobilier/201808/06/01-5192134-immobilier-residentiel-meilleur-juillet-en-huit-ans-dans-la-region-de-montreal.php

 

Modifié par p_xavier
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http://www.lapresse.ca/affaires/economie/immobilier/201808/12/01-5192786-une-rare-situation-de-guerres-dencheres-immobilieres-a-montreal.php

Publié le 12 août 2018 à 12h27 | Mis à jour à 12h32

Une rare situation de guerres d'enchères immobilières à Montréal

Le marché de l'immobilier en plein essor à Montréal a engendré des guerres d'enchères, un phénomène courant au cours des dernières années sur les marchés frénétiques de Toronto et de Vancouver, mais un phénomène rare dans la deuxième plus grande ville du Canada.

Un mélange d'un haut taux d'occupation, d'une économie québécoise solide et d'un afflux d'acheteurs étrangers a fait en sorte que les prix des propriétés dans le Grand Montréal ont dépassé la moyenne nationale pour la première fois en sept ans.

Contrairement aux performances mitigées des marchés de Toronto et de Vancouver, qui ont tendance à dominer les manchettes, le marché montréalais est sur une trajectoire solidement à la hausse.

La Chambre immobilière du Grand Montréal a déclaré que les ventes de propriétés avaient augmenté en juillet pour un 41e mois consécutif, atteignant un sommet de huit ans pour le mois. Le prix médian des maisons unifamiliales a augmenté de 6 pour cent par rapport au même mois de l'an dernier à 336 250 $, ce qui demeure beaucoup moins élevé qu'à Toronto, le plus grand marché canadien, où le prix moyen des maisons était de 782 129 $ en juillet.

La situation de guerre des enchères - dans laquelle l'intérêt pour une propriété est si fort que les vendeurs peuvent solliciter des prix supérieurs au prix demandé de plusieurs acheteurs et choisir la meilleure offre - est particulièrement forte dans l'ouest de l'île de Montréal, où près du quart des maisons ont été vendues à un niveau supérieur au prix affiché au deuxième trimestre, selon Royal LePage.

Les vendeurs sur l'île de Montréal ont reçu des offres d'environ 15 000 $ ou 3,5 pour cent de plus que le prix demandé, a indiqué Dominic St-Pierre, directeur principal de Royal LePage au Québec.

« La situation va probablement s'aggraver avant de s'améliorer, la demande est toujours forte et l'inventaire continue de baisser et il va probablement continuer de baisser durant six à neuf mois avant de se stabiliser », at-il soutenu.

La perspective de nouvelles hausses des taux d'intérêt, de nouvelles inscriptions et de la construction de nouvelles habitations finira par équilibrer le marché et allégera la pression sur les acheteurs, a-t-il ajouté.

Il faut remonter à dix ans pour un tel marché des vendeurs à Montréal, avant la crise financière.

Pour les acheteurs, la guerre aux enchères peut être un processus extrêmement stressant et coûteux, mais pour les vendeurs, cela présente d'énormes occasions de gagner de l'argent.

Elena Trigiani et son mari, Thomas Poirier, ont récemment été forcés de payer 15 pour cent de plus afin d'avoir le dessus sur six autres soumissionnaires.

« Le prix en toute honnêteté a été établi à cause d'une guerre d'enchères », a confié la future mère de 29 ans.

La maison de deux étages à Pointe-Claire, une banlieue insulaire, a été vendue 60 000 $ au-dessus du prix demandé de 400 000 $.

Le couple s'est préparé à la bataille après avoir vu beaucoup d'amis rater une occasion en hésitant à trop accentuer leur offre.

« Nous savions que nous devions pouvoir réagir rapidement si nous trouvions la maison recherchée, et c'est ce que nous avons fait », a-t-elle indiqué.

Vendeurs, Megan Mallette-Di Liello et Patrick Vena ont profité des avantages de l'autre versant en recevant 20 000 $ supplémentaires lorsqu'ils ont vendu leur maison inscrite à 735 000 $ à Beaconsfield, à proximité.

Les parents de deux jeunes enfants savaient, grâce à leurs amis, qu'il y avait une possibilité de multiples offres, mais ils ne voulaient pas trop s'emballer.

« Nous sommes vraiment satisfaits. Nous ne nous attendions pas à cela », a-t-elle déclaré.

Mme Di Liello avait entendu parler de vendeurs qui s'étaient délibérément inscrits à bas prix pour créer une guerre d'enchères.

« Ce n'était pas notre intention. Nous estimions que ce que nous avions affiché était juste, et nous avons été surpris d'obtenir plus », a-t-elle confié.

Bien que le marché immobilier montréalais soit solide, le nombre de surenchères est faible par rapport à Toronto et à Vancouver, où certaines maisons ont attiré de nombreuses offres au cours de leur période faste et ont été vendues pour 100 000 $ de plus que ce qui était demandé.

Cette dynamique a ajouté à la frénésie des acheteurs et a encouragé les enchérisseurs perdants à payer plus lors des ventes ultérieures, a souligné Brad Henderson, chef de la direction de Sotheby's International.

« À la guerre d'enchères suivante, ils étaient beaucoup plus déterminés et c'est l'une des causes de la hausse des prix », a-t-il affirmé en entrevue.

M. Henderson croit également qu'il y a plus de marge de manoeuvre pour les guerres d'enchères pour les maisons dont le prix est inférieur à 1 million $, en raison des prix plus bas des maisons à Montréal.

Des agents immobiliers de Montréal affirment que l'afflux d'acheteurs étrangers ayant suivi l'imposition de taxes à Toronto et à Vancouver a fait une différence même si leur nombre est relativement faible.

L'absence d'options de logement pour les personnes âgées est un autre facteur dans l'Ouest de l'Île. Cela a convaincu les baby-boomers de s'accrocher à leurs grandes maisons, a déclaré Jay Deakin, propriétaire de Deakin Realty.

La volatilité a rendu difficile la tarification des maisons et crée des incertitudes pour les mois à venir, a-t-il indiqué.

« Je voudrais dire que nous avons tous vu cela arriver, mais la plupart des courtiers à qui j'ai parlé n'ont pas vu les 18 derniers mois arriver. Nous ne nous attendions pas à ce type d'augmentation », a-t-il ajouté.

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Un article instructif.  Je note toutefois une anomalie (si ce n'est une erreur) au quatrième paragraphe, où le prix médian à Montréal est comparé avec le prix moyen à Toronto.  Ce n'est évidemment pas la même chose. Typiquement, le prix moyen sera supérieur au prix médian.  Evidemment, même si le même indice avait été utilisé pour les deux villes, le prix à Toronto aurait surpassé le prix à Montréal.

Un deuxième point a retenu mon attention  --l'avant-dernier paragraphe: «La volatilité a rendu difficile la tarification des maisons et crée des incertitudes pour les mois à venir...».  Bien sûr: il ne suffit plus d'observer les prix de ventes des maisons comparables dans les mois précédents et d'appliquer un pourcentage d'appréciation en ligne avec la tendance récente.  Heureusement, le marché, par le biais des «guerres d'enchères immobilières»,  parvient à corriger les lacunes du processus de détermination du prix de vente demandé: c'est un plus, pas une calamité, si ce n'est que ça peut faire mal paraître les agents immobiliers.

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