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JULIEN BRAULT

Neoshop, une boutique venue d'Europe, veut vous vendre des produits technos québécois

Publié à 13:05

 

 

 

Lancée à Laval (en France) en 2013, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits.

 

La première boutique Neoshop hors France devrait ouvrir ses portes à Montréal en septembre prochain. Exploitée par le Quartier de l’innovation, la boutique aura pour mission de supporter les start-ups québécoises en leur permettant de tester leur produit plus rapidement auprès des consommateurs.

 

 

L’emplacement de la première incarnation de la boutique n’a pas été déterminé, si ce n’est qu’elle aura pignon sur rue à l’intérieur de la zone dont se réclame le Quartier de l’innovation. À terme, toutefois, Neoshop devrait déménager dans l’ancien Planétarium Dow, qu’on est en train de rénover.

 

 

Lancée à Laval (en France) en 2013 par l’organisme de développement économique Laval Mayenne technopole, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. Après avoir ouvert une boutique éphémère à Paris en décembre, l’organisme veut maintenant exporter son concept. Selon Gabrielle Langlois, directrice des opérations du Quartier de l’innovation, l’organisme est en négociation avec des partenaires dans une douzaine de villes européennes, qui sont intéressés à ouvrir des boutiques Neoshop.

 

 

La boutique Neoshop à Montréal devrait ainsi offrir des produits de start-ups européennes, mais réserver la plupart de ses tablettes aux produits locaux. En contrepartie, cette affiliation européenne pourrait permettre à des start-ups québécoises d’introduire leurs gadgets en Europe.

 

 

Validation de produits innovateurs

 

 

Les vendeurs de Neoshop recevront une formation qui leur permettra de donner de la rétroaction aux entrepreneurs, pour qui Neoshop servira de terrain d’essai dans le monde du détail. Si certains d’entre eux choisiront sans doute de retourner à la planche à dessin, les autres se verront offrir des services d’accompagnement à la commercialisation par Neoshop.

 

 

Alors que la France ne manque pas de start-ups à l’origine de produits physiques, c’est moins le cas au Québec, où Neoshop pourrait avoir du mal à garnir ses tablettes. Lorsque je lui ai demandé si elle considère un vêtement de bébé en chanvre comme un produit de start-up, Gabrielle Langlois m’a assuré que non. «Ça peut être low tech, mais il faut qu’il y ait de l’innovation dans le produit; on ne veut pas être un deuxième Salon des métiers d’art.»

 

 

 

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