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UQAM - Aménagement autour de l'université


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Il y a 14 heures, Rocco a dit :

Rien pour déchirer sa chemise. Sachant en plus que ces nouveaux espaces publics seront accaparés par des itinérants en manque de crack, ça va être beau...

Va à Paris tu verras ce que c'est un véritable problème d'itinérance.

Quant à l'accessibilité publique des espaces extérieurs privés des institutions, c'est une façon d'augmenter l'offre sans débourser des sommes considérables. On permet ainsi à ces dernières de faire un geste positif envers la population, sans pour autant nuire à leurs activités ou leur mandat principal. 

De son coté la Ville prend en charge les responsabilités qui accompagnent ce transfert, en assurant l'entretien et la sécurité, dans un échange gagnant-gagnant.

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Il y a 3 heures, acpnc a dit :

De son coté la Ville prend en charge les responsabilités qui accompagnent ce transfert, en assurant l'entretien et la sécurité, dans un échange gagnant-gagnant.

En tout respect je crois que c'est plutôt l'inverse. Je cite le communiqué officiel:

La Ville de Montréal vient de conclure une entente de partenariat avec l'Université du Québec à Montréal (UQAM) permettant de rendre cinq places et jardins accessibles à l'ensemble de la population.

En contrepartie d'investissements municipaux de plus de 20 millions de dollars pour le réaménagement des lieux, l'Université s'engage à en assurer l'animation, l'entretien et la sécurité pendant 25 ans.

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Il y a quoi? 40 000 étudiants à l'UQAM? Plus le personnel… Je suis certain que des espaces publics vont trouver des occupants en dehors des itinérants. C'est un quartier vivant et occupé. Faut arrêter de penser qu'on ne peut rien avoir à Montréal car XYZ va tout gâcher, alors que ça s'avère pratiquement jamais le cas. 

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Il y a 1 heure, vincethewipet a dit :

Il y a quoi? 40 000 étudiants à l'UQAM? Plus le personnel… Je suis certain que des espaces publics vont trouver des occupants en dehors des itinérants. C'est un quartier vivant et occupé. Faut arrêter de penser qu'on ne peut rien avoir à Montréal car XYZ va tout gâcher, alors que ça s'avère pratiquement jamais le cas. 

Je suis à l'UQAM depuis près de 10 ans et j'ai pu constater le succès de l'occupation des terrains par des activités culturelles (expo, animation, etc.) à la place Pasteur. Moins d'itinérants (voir plus d'itinérants dutout) et plus (+) d'étudiants.  Les places autour du clocher n'ont pas été conçues pour leur milieu, vivement une place à 1 étage et l'agrandissement de l'agora dans les parvis plus bas  (ou sinon, quelqu'un sait ce qui est prévu ?)

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il y a 26 minutes, Moi a dit :

Les places autour du clocher n'ont pas été conçues pour leur milieu, vivement une place à 1 étage et l'agrandissement de l'agora dans les parvis plus bas  (ou sinon, quelqu'un sait ce qui est prévu ?)

Personnellement j'aime beaucoup le concept de la place autour du clocher et suis ravis du fait que nous pourrons à nouveau entendre les cloches sonner.

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Il y a 2 heures, Normand Hamel a dit :

En tout respect je crois que c'est plutôt l'inverse. Je cite le communiqué officiel:

La Ville de Montréal vient de conclure une entente de partenariat avec l'Université du Québec à Montréal (UQAM) permettant de rendre cinq places et jardins accessibles à l'ensemble de la population.

En contrepartie d'investissements municipaux de plus de 20 millions de dollars pour le réaménagement des lieux, l'Université s'engage à en assurer l'animation, l'entretien et la sécurité pendant 25 ans.

Merci de corriger, c'est encore mieux et toujours gagnant-gagnant. 

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Il y a 4 heures, santana99 a dit :

J'y étais en septembre dernier, et je peux vous dire que ça ne s'arrange pas, comme tu as pu toi-même le constater acpnc. Concernant l'itinérance, le contraste entre Montréal et Paris est tout simplement saisissant. Les images d'artères dans certains arrondissements, littéralement envahies de campements provisoires et jonchées de détritus au beau milieu de la voie publique, ne sont pas inventées. Ce que connaît Montréal, même si le problème est grave, tragique même, est sans proportion avec ce que connaissent certaines villes françaises et européennes. En terminant, sans vouloir te faire la morale, Rocco, il faudrait que tu arrêtes avec ton mépris à peine déguisé des itinérants et des gens de milieux modestes. Je sens beaucoup de mépris dans tes commentaires.

Je suis encore à Paris (dernière semaine) que je parcours dans tous les sens. J'en profite pour prendre des photos à publier dans les fils correspondants à mon retour. Pour revenir à la question des migrants et immigrants, Paris est littéralement submergée et malheureusement en souffre beaucoup. Bien sûr l'aspect le plus visible est la malpropreté généralisée, surtout dans les quartiers moins fréquentés par les touristes.

Donc on peut se compter chanceux d'être relativement épargnés. Quant aux aménagements publics montréalais, il y a une nette amélioration depuis des années et ce n'est pas fini. Alors l'entente avec l'UQAM est un pas dans la bonne direction qui pourrait à son tour faire des émules.

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1 hour ago, acpnc said:

Je suis encore à Paris (dernière semaine) que je parcours dans tous les sens. J'en profite pour prendre des photos à publier dans les fils correspondants à mon retour. Pour revenir à la question des migrants et immigrants, Paris est littéralement submergée et malheureusement en souffre beaucoup. Bien sûr l'aspect le plus visible est la malpropreté généralisée, surtout dans les quartiers moins fréquentés par les touristes.

Donc on peut se compter chanceux d'être relativement épargnés. Quant aux aménagements publics montréalais, il y a une nette amélioration depuis des années et ce n'est pas fini. Alors l'entente avec l'UQAM est un pas dans la bonne direction qui pourrait à son tour faire des émules.

J’essaierai d’être bref parce que hors sujet et que j’ai rien à dire sur ce projet d’UQAM...

Lorsque j'entends les Québécois parler de plus de ces fameux migrants « francophones » ou de réfugiés à la louche... je me dis que nous ne vivons pas sur la même planète... ou probablement que la belle province (ou endormie qui peut se prosterner devant la grandeur de l’océan Nord-Atlantique) vit béatement la saison 1 alors que l'Europe de l’Ouest entame la saison finale « in blood and guts, and in living color ».

Dans les foules de ma ville natale Birmingham ou les bourdonnantes londoniennes, parisiennes, bruxelloises, je ne laisse jamais quelqu'un marcher alors que j’ai le dos tourné… je laisse passer devant… sur le quai du métro je longe toujours les murs et si vous avez le malheur qu'un de ces individus vous demande une cigarette... que vous répondiez par l'affirmative ou la négative, vous pouvez vous estimer heureux si vous vous mangez un box cutter à l'estomac au lieu de la glotte… et que dire si vous êtes témoin d'une femme se faisant agresser. Oui chez nous, on nous a averti à la téloche qu'il fallait désormais apprendre à faire avec ce nouvel ordre mondial.

Bon à avoir: si vous avez le profil cible, changez de trottoir à vu d’œil et ne sortez jamais en pleine rue entre 22h et 5h.

*

Bref zappons, pour revenir à votre commentaire ACPNC, je suis sûr que vous avez un emploi du temps bien rempli et programmé

Néanmoins, s’il vous en reste du temps profitez de la journée pour admirer les berges de la Seine, se prélasser aux jardins, visiter la Fondation Louis Vuitton, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé pour les cinéphiles, la Seine musicale sur l’île Seguin, la Philharmonie de Paris, voire la tour Eiffel rénovée… bon séjour

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il y a une heure, Flo a dit :

J’essaierai d’être bref parce que hors sujet et que j’ai rien à dire sur ce projet d’UQAM...

Lorsque j'entends les Québécois parler de plus de ces fameux migrants « francophones » ou de réfugiés à la louche... je me dis que nous ne vivons pas sur la même planète... ou probablement que la belle province (ou endormie qui peut se prosterner devant la grandeur de l’océan Nord-Atlantique) vit béatement la saison 1 alors que l'Europe de l’Ouest entame la saison finale « in blood and guts, and in living color ».

Dans les foules de ma ville natale Birmingham ou les bourdonnantes londoniennes, parisiennes, bruxelloises, je ne laisse jamais quelqu'un marcher alors que j’ai le dos tourné… je laisse passer devant… sur le quai du métro je longe toujours les murs et si vous avez le malheur qu'un de ces individus vous demande une cigarette... que vous répondiez par l'affirmative ou la négative, vous pouvez vous estimer heureux si vous vous mangez un box cutter à l'estomac au lieu de la glotte… et que dire si vous êtes témoin d'une femme se faisant agresser. Oui chez nous, on nous a averti à la téloche qu'il fallait désormais apprendre à faire avec ce nouvel ordre mondial.

Bon à avoir: si vous avez le profil cible, changez de trottoir à vu d’œil et ne sortez jamais en pleine rue entre 22h et 5h.

*

Bref zappons, pour revenir à votre commentaire ACPNC, je suis sûr que vous avez un emploi du temps bien rempli et programmé

Néanmoins, s’il vous en reste du temps profitez de la journée pour admirer les berges de la Seine, se prélasser aux jardins, visiter la Fondation Louis Vuitton, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé pour les cinéphiles, la Seine musicale sur l’île Seguin, la Philharmonie de Paris, voire la tour Eiffel rénovée… bon séjour

Nous sommes loin du sujet, mais ton commentaire m'amène à cette comparaison et nous ramène par la bande à ce projet d'agrandissement. Les places publiques au Québec et celles qui existent en Europe présentent le plus souvent davantage de différences que de similitudes. Cela tient le plus souvent la façon dont les villes sont construites et au fait que la relation à l'espace d'un Européen et d'un Nord-Américain sont complètement différentes. Pour avoir vécu quelques années en Europe, je dois avouer avoir mis quelques temps à m'habituer : le tracé des rues, la concentration des édifices, et des populations font en sorte qu'un temps d'adaptation est souvent nécessaire pour trouver ses repères. Si je suis Place des Vosges à Paris, je ne peux avoir le même regard sur une place publique que si se me trouve au Square Dorchester à Montréal. La façon dont l'espace est aménagé sur les deux continents conditionne qu'on le veuille ou non notre regard. D'autre part, si je marche rue St-Denis, je n'ai pas nécessairement ce sentiment de crainte que tu décris et que je pourrais ressentir dans certaines rues de Paris ou de Birmingham, quoique en Europe il me soit rarement arrivé de ressentir un sentiment de crainte en marchant dans les rues. À Montréal, le sentiment de proximité est moins grand que dans une ville européenne où la population est souvent beaucoup plus concentrée, tout simplement parce que l'espace est aménagé différemment. Tout cela pour dire que même avec un problème d'itinérance dans les quartiers centraux, les places publiques à Montréal posent généralement moins de problèmes de sécurité que certaines places publiques dans des villes européennes importantes et densément peuplées, même si ces problèmes sont quand même présents chez nous.

Modifié par santana99
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