andre md Posté(e) 17 octobre 2017 Partager Posté(e) 17 octobre 2017 I guess BBD stock will skyrock. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Administrateur mtlurb Posté(e) 17 octobre 2017 Administrateur Partager Posté(e) 17 octobre 2017 Mais trump a eu ce qu’il voulait. Il a gagné. La C séries sera construite aux USA aussi. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ToxiK Posté(e) 17 octobre 2017 Partager Posté(e) 17 octobre 2017 il y a 4 minutes, mtlurb a dit : Mais trump a eu ce qu’il voulait. Il a gagné. La C séries sera construite aux USA aussi. Reste à savoir où seront fabriquées les pièces et autres composantes des avions. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Administrateur mtlurb Posté(e) 17 octobre 2017 Administrateur Partager Posté(e) 17 octobre 2017 Il y a 1 heure, andre md a dit : I guess BBD stock will skyrock. After market quote shows +1.62%... nothing particular. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Né entre les rapides Posté(e) 17 octobre 2017 Partager Posté(e) 17 octobre 2017 Il y a 2 heures, qwerty a dit : Nevertheless, Airbus gets 50% of a thing that cost $6Billion to develop in exchange for an investment of 0$... It is what it is.... If BBD ends up buying back the Qc government shares in the CSeries, what will be the argument of Boeing? I hope Canada keeps its strong stance against Boeing because this was not justified. What is your valuation of these shares? (I would not dare using the terms «market value»). I am not seeking a «number» as a response. In fact, my questioning is simply a way for me to hint at my view that the Quebec Government's «investment», ostensibly in the form of acquiring shares in a CSAL Partnership, was never truly intended to be profitable in the classic sense of the term. The benefits, in the hope that things turned up right, would mostly accrue to the public treasury in the form of more jobs producing more taxes. From this perspective, supporting the deal whereby Airbus SE acquires 50.01% of the shares of the CSALP does not negatively affect the prospects for capturing the above taxes; on the contrary, it enhances them, for reasons well explained elsewhere. For Bombardier shareholders, I also believe this is good news. In my view, from the moment, some time ago, when it became evident to investors that the CSeries program was in deep trouble, this was fully discounted (=reflected in share price). Then, for a brief period, the Government's «investment» (described above) might have given some hope, but, as we just saw, the Boeing-prompted actions of the U.S. government killed them. And this time, the Quebec government was in absolutely no mood to even consider further «assistance». The partnership with Airbus SE thus appears to be the only option with the potential for preserving some economic benefits from the huge investments made by Bombardier AND Quebec taxpayers. This outcome is certainly not as great as was originally hoped for, when the program (the CSeries) was launched. But it is better than nothing. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mont royal Posté(e) 17 octobre 2017 Partager Posté(e) 17 octobre 2017 This is definitely a Plan B, but a very brilliant one. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
acpnc Posté(e) 17 octobre 2017 Partager Posté(e) 17 octobre 2017 L'achat de la C Series par Airbus donne raison à Donald Trump http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1061767/cseries-bombardier-airbus-donald-trump Publié le lundi 16 octobre 2017 à 21 h 21 Des employés de Bombardier travaillent sur des appareils CS300 de la C Series, le 28 septembre 2017, à l'usine de Mirabel. Photo : La Presse canadienne/Ryan Remiorz ANALYSE – Je vous propose quelques mots à chaud sur l'acquisition d'une part majoritaire dans la C Series par Airbus. Ce sont des réflexions rapides, il faudra pousser l'anayse dans les prochains jours. Un texte de Gérald Fillion Ce qui est positif dans cette annonce, c’est qu’on assure la pérennité du programme C Series. Avec le soutien d’Airbus, sa solidité financière, son réseau de ventes et sa forte portée internationale, l’avion C Series prend aujourd’hui son véritable envol. Cet avion trouvera enfin la place qui lui revient. Le gouvernement du Québec vient également réduire le risque entourant son investissement de 1 milliard de dollars US en 2015. Le pdg de Bombardier, Alain Bellemare, a dit, en point de presse, que la valeur du programme C Series va doubler avec cet investissement. La ministre de l’Économie, Dominique Anglade, a déclaré prudemment que la valeur de l’investissement du Québec est maintenu. On peut penser, dans la réalité, qu’il va progresser. Perte de contrôle Cela dit, ce qui est décevant dans la transaction Airbus-Bombardier, c’est la perte de contrôle des actionnaires québécois dans ce programme qui a été développé avec difficulté et beaucoup de passion depuis plus de 10 ans. Dorénavant, les décisions seront prises à Amsterdam, au siège d’Airbus, qui va contrôler quatre des sept sièges au conseil d’administration de l’entreprise qui gère la C Series. De plus, une deuxième ligne de montage de la C Series sera développée à Mobile en Alabama, là où se trouvent des installations d’Airbus. L’objectif, c’est d’éviter les droits antidumping et compensateurs du département du Commerce américain sur l’importation des avions C Series en provenance de Mirabel. En créant une nouvelle ligne aux États-Unis, Bombardier pourra terminer la fabrication de ses avions en sol américain, pour ses clients américains, sans devoir payer de droits à la frontière. C’est 30 % du marché de la C Series qui se trouve aux États-Unis, selon Bombardier. C’est donc une grande part de l’assemblage de l’avion qui va échapper aux travailleurs de Mirabel au profit de l’Alabama, où va sans doute se développer toute une nouvelle chaîne d’approvisionnement pour la C Series autour d’Airbus. Enfin, dernière observation : en donnant comme raison, pour justifier la transaction, la décision des Américains d’imposer des droits de 300 % sur les avions C Series, le gouvernement du Québec vient donner raison à Donald Trump. La stratégie protectionniste du gouvernement américain, qui s’incarne parfaitement dans ces droits imposés à Bombardier, a pour objectif de maintenir et de créer des emplois en sol américain. Et c’est exactement ce qui arrive aujourd’hui, avec la décision de créer une nouvelle une ligne d’assemblage de la C Series en Alabama. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SKYMTL Posté(e) 17 octobre 2017 Partager Posté(e) 17 octobre 2017 Trump's protectionist policies actually seem to be working. What I don't understand is how the government (which used 2 billion of our money) stake has been reduced from 49% to under 30% without monetary compensation. Did we just lose over $500 million without any compensation??? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rocco Posté(e) 17 octobre 2017 Partager Posté(e) 17 octobre 2017 il y a 30 minutes, mont royal a dit : This is definitely a Plan B, but a very brilliant one. C'est plutôt un plan C Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
theodore123abc Posté(e) 17 octobre 2017 Partager Posté(e) 17 octobre 2017 16 minutes ago, SKYMTL said: Trump's protectionist policies actually seem to be working. What I don't understand is how the government (which used 2 billion of our money) stake has been reduced from 49% to under 30% without monetary compensation. Did we just lose over $500 million without any compensation??? As they said, the value of the C-Series program doubled by partnering with Airbus. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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