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Just go to Athens a city in a bankrupted country and there is no vacancy on the major commercials streets. From what have seen in my last stay over there. That's another story with montreal.

Little italy tons of vacant stores on st-laurent. The same for st-denis on le plateau.

Everything is fine.

 

La structure commerciale de Montréal est bien différente. Combien de commerces trouve-t-on dans les centres souterrains du RESO du centre-ville, en plus de ceux de la rue Ste-Catherine et les rues transversales? Des milliers concentrés sur un territoire immense. Alors dire qu'il y a un problème de vacance c'est réduire le tout à une perception biaisée et très incomplète de la situation.

 

Certaines rues commerciales s'en tirent mieux que d'autres et il y l'effet de mode qui est non négligeable. La difficulté à stationner ou à circuler peut aussi finir par avoir raison de la rentabilité de certains segments. Or si on demande aux commerçants si les taxes sont trop élevées, ils diront toujours oui. Pas trop fort comme étude de comparaison avec d'autres villes dans le monde.

 

Cessons donc de dénoncer à tort et à travers des situations mal documentées. On ne fait que tourner en rond sans jamais prouver quoi que ce soit.

 

Pour revenir à la Place Jacques-Cartier, j'aime bien le concept que l'on veut proposer. Il ressemble un peu à l'aménagement des ramblas https://www.google.ca/search?q=ramblas&tbm=isch&imgil=mb0YOS0ZLViAxM%253A%253BV3u9SVFwTnz0PM%253Bhttp%25253A%25252F%25252Fpher.ch%25252Fphotos%25252Fcities%25252Fbarcelona%25252Fslides%25252FBarcelona%25252C%2525252520las%2525252520Ramblas%25252525202.html&source=iu&pf=m&fir=mb0YOS0ZLViAxM%253A%252CV3u9SVFwTnz0PM%252C_&biw=1273&bih=653&usg=__isXpKFDvX8B-Iip8I225gwkTXxA%3D&ved=0ahUKEwjkzqDSqazKAhWMpR4KHbN4CVoQyjcIMg&ei=EyqZVqT5HozLerPxpdAF#imgrc=TSOVlQpj6yY48M%3A&usg=__isXpKFDvX8B-Iip8I225gwkTXxA%3D même si c'est à une toute petite échelle. Il faudra juste un peu plus de couleurs pour égayer la rue (ce que les auvents actuels offrent), autrement je suis convaincu que ce sera une nette amélioration avec le présent.

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Pas besoin de faire une éude .Je me fie a mes yeux et je me promene dans les rues commerciales de Buenos Aires , Paris , Madrid , Athens et leurs rues commercial principales ne compte pas autant de locaux vacants que notre ste-catherine. Notre rue commercial principal. A propos Madrid et Athens ca baigne pas dans l'abondance pourtant.

 

Pas besoin de pseudo economiste assis dans un bureau pour se rendre compte de ca.

 

 

Les rues transervales comme De Castelneau et Mozart dans Villeray ont une certaine vitalité surement les taxes de malade sur St-laurent et St-denis qui cause ca.

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et voilà... ça n'a pas pris de temps... voici un restaurateur mécontent :

 

via Global News

 

Old Port restaurant owners not happy about Montreal’s outdoor seating plan

 

By Billy Shields

Photojournalist

 

 

MONTREAL – Mayor Denis Coderre showed off a presentation of a revamped Place Jacques-Cartier: a new promenade for artists, new structures – and heated outdoor seating.

 

“Ten years from now, people will ask why we didn’t do this sooner,” Coderre said.

 

The city’s investing five million dollars to revitalize the square. But restauranteurs in the area who would make use of the outdoor seating aren’t as enthusiastic.

 

The problem, restauranteurs say, is that crossing the streets of the plaza in the midst of all the tourist traffic is a frightening prospect.

 

“It’s clear to me the people behind this have no idea how to run a restaurant,” said Donation Trafficante who owns Trattoria Gio.

 

For the city’s part, the heated seating will allow restaurants to remain open year-round. Currently restaurants in Place Jacques-Cartier are mostly seasonal.

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Le milieu des affaires n'aime pas être dérangé dans ses habitudes, donc les réactions négatives sont prévisibles. Pourtant la Ville aurait pu créer de la concurrence à ces restaurateurs, en offrant ces espaces en concession. Tout le monde s'entendra aussi pour dire que l'on parle bien davantage d'une activité plutôt 3 saisons. L'achalandage des lieux pourrait effectivement poser un défi logistique aux commerçants, mais cela se fait un peu partout dans les grandes villes européennes et le client (touriste) en général aime bien se retrouver au milieu de l'action.

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Le Devoir

 

SAMEDI 16 JANVIER 2016

 

Comment anesthésier une place publique

 

AMÉNAGEMENT DE LA PLACE JACQUES-CARTIER

Comment anesthésier une place publique

 

16 janvier 2016| Jean-Claude Marsan - Professeur émérite, Université de Montréal| Montréal

 

La place Jacques-Cartier accueille des utilisations diverses, temporaires et à l’occasion spontanées, qui contribuent à sa vitalité.

Photo: Arpad Benedek Getty Images

 

La place Jacques-Cartier accueille des utilisations diverses, temporaires et à l’occasion spontanées, qui contribuent à sa vitalité.

Le maire Coderre a annoncé, le jeudi 14 janvier, un projet d’aménagement de la place Jacques-Cartier dans le cadre des legs pour le 375e anniversaire de Montréal. Tel que présenté sur le site Internet de la Ville, ce projet vise « la protection et la mise en valeur des caractéristiques patrimoniales et paysagères du Vieux-Montréal » et, surtout, « la révision des pratiques et des façons de faire en matière d’occupation du domaine public ».

 

Certaines interventions prévues dans ce projet sont souhaitables. Ainsi, prévoir des toilettes publiques, limiter la circulation sur la place Jacques-Cartier aux livraisons et aux véhicules d’urgence, réaménager la place De La Dauversière, piétonniser la rue Saint-Amable et, enfin, rétrécir la traversée de la rue de la Commune pour y aménager un espace public en continuité avec la place Jacques-Cartier, toutes ces interventions contribueront à une meilleure utilisation de ces lieux. Par contre, en ce qui concerne l’aménagement de la place Jacques-Cartier elle-même, le projet prend appui sur « une inspiration historique de la place » à partir de photographies des années 1900 et 1930 et une conception du patrimoine qui s’avèrent de l’ordre de la manipulation de l’opinion publique à des fins déterminées.

 

L’emplacement de la place Jacques-Cartier correspond à celui des jardins du château de Vaudreuil érigé au cours du Régime français, lequel château a hébergé par la suite le collège de Montréal. Après l’incendie de ce collège en 1803, les autorités municipales ont décidé de transformer ces jardins en une place de marché public, connexe au marché Bonsecours.

 

Or si des marchands sont venus y offrir leurs produits pendant plus d’un siècle, ce ne fut pas un marché construit comme le sont aujourd’hui les marchés Atwater et Jean-Talon, mais bien un lieu ouvert, un lieu de mobilité qui a servi à diverses autres fonctions. Et aujourd’hui, la place Jacques-Cartier accueille, en parallèle avec les terrasses le long des bâtiments riverains, des utilisations diverses, temporaires et à l’occasion spontanées, qui contribuent à sa vitalité.

 

Quand la Ville considère que sur la place Jacques-Cartier « les cafés-terrasses prennent diverses formes, diverses couleurs, divers matériaux et en sont venus à occulter les façades du cadre bâti de la place », il n’y a sûrement pas grand monde de son milieu qui a eu l’occasion de s’attabler à des cafés-terrasses à New York, Paris, Berlin ou Rome. Montréal est une métropole qui a un passé et un vécu : le patrimoine ne se résume pas qu’à ses façades figées. Il doit aussi prendre en compte l’histoire, l’utilisation et la culture des lieux.

 

Vouloir installer en permanence des terrasses en contre-allée dans la place Jacques-Cartier, prenant la forme de deux rangées parallèles de wagons, terrasses toutes identiques entourées de panneaux protecteurs et couvertes de toitures en zinc munies d’auvents rétractables, c’est privilégier une recette de banlieue, transformer une place publique historique en des corridors anonymes de consommation, bref, traiter les citoyens et les touristes comme des écoliers. Ce n’est pas ça, l’essence d’une place publique. Une place publique s’avère avant tout un lieu d’ouverture et de liberté, non de standardisation à outrance. On pourra toujours faire valoir que dans certains pays, notamment en Scandinavie, on trouve à l’occasion des aménagements semblables. Fort bien, cela prouve qu’il existe sur terre des cultures différentes. Raison de plus pour mettre en valeur celle que Montréal possède, une culture d’origine latine qui s’est développée assez bien au cours des 374 dernières années.

 

 

sent via Tapatalk

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Je me demande pourquoi la ville n'a pas opte pour des contrôles de design vigoureux avec des terrasses adjacent aux restos, au lieu de les isoler ...quitte a construire elle-même les paliers avec des toitures uniformes et faire d'autres exigences. Je ne suis pas encore convaincu de l'argument d'exposer les façades versus les terrasses a 7m de distance, et de créer de petites corridors additionnelles au lieu d'une grande place a une niveau. Je suis curieux de voir les autres options.

Modifié par IluvMTL
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Just go to Athens a city in a bankrupted country and there is no vacancy on the major commercials streets. .

 

Retail nightmare: Greek store closures spike

 

In pictures: Athens' empty shops testament to austerity

 

Greece’s deep recession has forced almost a third of businesses in the capital’s commercial district to close

 

 

Et y'aurait presque pas de magasins fermés à Athènes???

 

 

C'est pas la première fois que tu fais des affirmations basées sur tes impressions. Je ne sais pas d'où elles viennent, mais considérant leur déconnexion évidente avec une partie de la réalité, je me rend compte que tu ne fais pas toutes les vérifications nécessaires avant de bullshitter.

 

Come on.

 

Rigueur, svp. C'est emmerdant la bullshit. Pis ça finit par tuer la crédibilité de celui qui la débite.

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