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Devant l'insatisfaction de sa partenaire, que doit faire son conjoint?  

24 membres ont voté

  1. 1. Devant l'insatisfaction de sa partenaire, que doit faire son conjoint?

    • Ignorer la partie demanderesse et faire comme si rien n'était, en espérant que ça passe.
      0
    • Reconnaitre l'insatisfaction de l'autre mais exprimer son incapacité à y répondre convenablement.
      5
    • Tenter de négocier des accommodements afin de préserver l'union.
      10
    • Demeurer intransigeant quitte à conduire au divorce.
      9


Messages recommendés

Le Québec est un pimp du Canada, ils travaillent pour nous, on récolte le $.

 

 

Je ne perçois pas du tout cette situation en regard de la proportion des contrats/investissements gouvernementaux qui sont données à des entreprises / entités québécoises...

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Faire comme la France avec la Corse :

 

Historiquement, la Corse est très différente, donc nationaliste, par rapport à la France. La solution qui a été développée au fur et à mesure des siècles par l'état français, très jacobin donc centralisé sur Paris, a été de mettre en place une grande autonomie pour cette région sur tous les plans (politiques sociales, économiques, éducation, etc.). Aujourd'hui, le mouvement nationaliste est plus un fait médiatique, un symbole, qu'une véritable demande.

 

Cette comparaison ne tient pas la route, et de loin. La Corse est une constituante très marginale de la France, à tous égards (géographique, démographique, économique et même culturel). Au contraire, le Québec est une partie cardinale du Canada d'aujourd'hui, et c'était même le coeur de la colonie française nommée "Canada" qui fut cédée au Royaume-Uni par le Traité de Paris de 1763 au terme de la Guerre de Sept Ans. A ce moment, le "Canada" était donc devenu une colonie britannique peuplée de "Canadiens" (personnes d'origine française nées ici), de "Français" (personnes nées en France et qui choisirent de demeurer ici, et d'Autochtones de diverses nations. Ce n'est qu'après la Révolution Américaine qu'on vit un nombre substantiel de Britanniques "loyalistes" quitter ce qui était devenu les Etats-Unis d'Amérique pour s'établir dans la colonie britannique du nord, le Canada. Par la suite, des vagues d'immigration en provenance de Grande-Bretagne puis d'autres pays parvinrent, au milieu du 19e siècle, à mettre les "Canadiens" devenus "Canadiens-français" en situation minoritaire. Mes écrits ici ne sont pas un plaidoyer en faveur de l'unité canadienne, mais un simple (mais fort) rappel que le Québec n'est pas une grenaille en bordure du "Reste du Canada".

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Je ne perçois pas du tout cette situation en regard de la proportion des contrats/investissements gouvernementaux qui sont données à des entreprises / entités québécoises...

 

Faut aussi voir que c'était une blague. Si le PLQ gagne les élections, ce thread risque de ramasser la poussière.

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