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de Michel Venne

 

http://journalmetro.com/opinions/michel-venne/454687/un-elan-pour-montreal/

 

Mardi, le président de la Banque de Montréal (BMO), Jacques Ménard, rendait public Un nouvel élan pour Montréal, un rapport et 10 recommandations issues d’une analyse des succès des métropoles comparables et d’entrevues avec 57 leaders montréalais.Il y a quelques jours, l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) publiait son rapport de consultation sur le Plan de développement de Mont*réal, produit sous l’ancienne administration, mais qui conserve toute sa pertinence.

Montréal a des atouts. En fait, notre ville est en meilleure posture que celles analysées par le Boston Consulting Group pour BMO, dont Pittsburgh, Manchester, Philadelphie, Melbourne et Seattle, qui se sont relevées au terme d’un déclin destructeur.

Montréal est une métropole culturelle et créative reconnue, elle dispose d’un réseau universitaire réputé dans le monde, elle est un leader dans certains secteurs économiques. Mais elle a du mal à transformer ses forces en croissance économique.

L’une d’entre elles, nous apprend l’OCPM, est le capital social qui se cache dans le dynamisme de sa société civile. La Ville peut compter sur des citoyens et des organisations qui l’aiment. Cet amour doit désormais produire de la prospérité.

Car à cet égard, sur un ensemble d’indicateurs économiques, Montréal fait moins bien que les autres grandes villes canadiennes: revenu par habitant, taux de diplomation universitaire, chômage. Faire mieux est nécessaire.

Les deux rapports énumèrent des recommandations, dont plusieurs sont déjà envisagées par la Ville. Développer le transport collectif pour lutter contre les changements climatiques, assurer l’accès au logement pour les familles et les aînés, appuyer des leaders de calibre international, savoir retenir à Montréal les talents qu’elle attire, entre autres dans ses universités.

Une certaine sagesse populaire veut que l’on définisse des priorités. Mais une ville est un écosystème complexe. Il faut prendre garde à confondre simplisme avec simplicité.

Le groupe réuni par Jacques Ménard, dont le noyau est identifié à la communauté d’affaires, est prêt à se mobiliser. L’OCPM insiste sur le rôle de la société civile. Un premier défi consiste à établir des passerelles entre les deux. Il y a un clivage à Montréal entre l’univers social et l’univers économique. Sans dialogue entre eux, l’entreprise est vouée à l’échec.

L’autre défi est que toutes ces bonnes volontés soient canalisées autour d’une direction commune. C’est le maire, appuyé par son administration, qui peut jouer ce rôle. La société civile est essentielle. Elle ne peut se substituer aux institutions légitimes. Les circonstances semblent favorables au succès. Restons attentifs.

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Si le PQ n'avait pas agi comme il l'a fait, il ne dominerait pas dans les sondages. On est ici en politique et à ce que je sache personne ne se fait de cadeau. C''est sûr que Montréal est une entité distincte du Québec et a des besoins auxquels il faut répondre d'urgence. Mais la ville fait aussi partie du Québec et politiquement parlant elle en est indissociable. En d'autre mots nous sommes tous québécois et unis dans un destin commun. Moi aussi je déplore les dérapages de la Charte et les divergences qu'elle entraine, mais je sais aussi que c'est une tactique politique et qu'une fois au pouvoir c'est le bon sens qui va dominer.

 

Comme on dit: la politique a ses raisons que la raison ne comprend pas toujours. Il faut aller chercher ses appuis là où on pense les trouver, et si ce travail n'est pas fait avant le scrutin, le pouvoir pourrait tout simplement échapper au PQ, car ses efforts auront été vains. Malheureusement la majorité de la population ne s'intéresse pas aux enjeux plus pointus qui font le sujet de nos discussions. Les gens sont passifs et vont rarement dans les détails, même les plus beaux rapports les ennuient, et ils ne voient pas beaucoup plus loin que le court terme. Les partis politiques le savent très bien, c'est pour cela qu'il faut des messages très simples et des slogans qui font davantage appel aux émotions qu'à l'intellect. Dommage mais c'est comme ça.

 

Encore une fois on constate que la politique c'est l'art de l'opportunisme. Si tu trouve un os qui pourrait intéresser les électeurs, ne le lâche pas tant qu'ils n'ont pas vraiment mordu, car ce genre de munition est rare et doit être accompagné d'un bon timing. Les deux font partie de la formule gagnante: la bonne chose au bon moment.

 

Ce qui n'exclue pas les vrais objectifs, mais il est plus facile de perdre une élection avec des détails, et trop d'information est pire que pas assez. Parlez-en à Stéphane Dion et Michael Ignatieff, deux politiciens tout de même brillants mais qui perdaient les électeurs avec leurs programmes et leurs messages trop complexes. Maintenant les enjeux économiques demeureront bien sûr une priorité, mais ils seront présentés pour les rendre digestibles aux communs des mortels.

 

J'en conclu que le sujet de cette présente discussion, et particulièrement ce rapport ne feront probablement pas partie directement de la campagne. Mais je suis convaincu que le message est entendu et que les échanges entre le gouvernement, la Ville et les gens d'affaires se poursuivra naturellement en coulisse.

Modifié par acpnc
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Si le PQ n'avait pas agi comme il l'a fait, il ne dominerait pas dans les sondages. On est ici en politique et à ce que je sache personne ne se fait de cadeau. C''est sûr que Montréal est une entité distincte du Québec et a des besoins auxquels il faut répondre d'urgence. Mais la ville fait aussi partie du Québec et politiquement parlant elle en est indissociable. En d'autre mots nous sommes tous québécois et unis dans un destin commun. Moi aussi je déplore les dérapages de la Charte et les divergences qu'elle entraine, mais je sais aussi que c'est une tactique politique et qu'une fois au pouvoir c'est le bon sens qui va dominer.

 

Tu es très optimisme, c'est bien. Et j'espère que tu as raison, mais je doute. Je doute car avec une majorité ils vont vouloir aller plus loin avec un renforcement de la loi linguistique, une hausse des taxes etc... Tout cela se fait sur le dos de Montréal. Et il est la mon problème car on parle ici de la relance de Montréal. Et si le PQ ne veut pas participer, pire, s'il préfère nuire à Montréal, alors on est mieux de se dissocier du Québec et obtenir un statut spécial voir un statut de province-état !!!

 

Montréal ne peut se permettre de perdre encore 4 années de ce genre de débat. Nous sommes trop loin en arrière. Il y a trop a faire et l'énergie des gens est à bout de souffle. Les forces vives de Montréal en ont marre de tout ces obstacles qui s'accumulent et dont personne ne semble vouloir ou pouvoir régler. Il y a tellement d'intervenant depuis quelques temps qui interviennent publiquement pour demander que ca bouge, mais rien n'y fait. Au contraire, on en rajoute une couche, on crée de toute pièce un problème à Montréal pour avoir des votes à Shawinigan, à Baie-Comeau et à Sorel ou Mascouche.

 

Auparavant j'étais indépendantiste et je disais qu'une des raisons pour cela était qu'Ottawa nuisait constamment au développement du Québec. Et bien maintenant je constate que c'est Québec qui nuit au développement de Montréal, alors je dois appliquer la même logique et demander un statut spécial pour Montréal. Je n'aimais pas que des gens de Calgary ou Moose Jaw prennent des décisions pour le Québec, et aujourd'hui je n'aime pas que des gens de Saguenay ou de Lévis prennent des décisions qui concernent Montréal.

 

La relance de Montréal passe inévitablement par plus de pouvoir, une plus grande autonomie, le déménagement de certains ministères à Montréal (le MTQ), octroyer à Montréal un pourcentage de la TVQ et laisser plus de liberté aux gens au niveau linguistique, surtout chez les commerçants qui sont déjà harcelé de tout coté avec des taxes, des permis etc..

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Tu es très optimisme, c'est bien. Et j'espère que tu as raison, mais je doute. Je doute car avec une majorité ils vont vouloir aller plus loin avec un renforcement de la loi linguistique, une hausse des taxes etc... Tout cela se fait sur le dos de Montréal. Et il est la mon problème car on parle ici de la relance de Montréal. Et si le PQ ne veut pas participer, pire, s'il préfère nuire à Montréal, alors on est mieux de se dissocier du Québec et obtenir un statut spécial voir un statut de province-état !!!

 

Montréal ne peut se permettre de perdre encore 4 années de ce genre de débat. Nous sommes trop loin en arrière. Il y a trop a faire et l'énergie des gens est à bout de souffle. Les forces vives de Montréal en ont marre de tout ces obstacles qui s'accumulent et dont personne ne semble vouloir ou pouvoir régler. Il y a tellement d'intervenant depuis quelques temps qui interviennent publiquement pour demander que ca bouge, mais rien n'y fait. Au contraire, on en rajoute une couche, on crée de toute pièce un problème à Montréal pour avoir des votes à Shawinigan, à Baie-Comeau et à Sorel ou Mascouche.

 

Auparavant j'étais indépendantiste et je disais qu'une des raisons pour cela était qu'Ottawa nuisait constamment au développement du Québec. Et bien maintenant je constate que c'est Québec qui nuit au développement de Montréal, alors je dois appliquer la même logique et demander un statut spécial pour Montréal. Je n'aimais pas que des gens de Calgary ou Moose Jaw prennent des décisions pour le Québec, et aujourd'hui je n'aime pas que des gens de Saguenay ou de Lévis prennent des décisions qui concernent Montréal.

 

La relance de Montréal passe inévitablement par plus de pouvoir, une plus grande autonomie, le déménagement de certains ministères à Montréal (le MTQ), octroyer à Montréal un pourcentage de la TVQ et laisser plus de liberté aux gens au niveau linguistique, surtout chez les commerçants qui sont déjà harcelé de tout coté avec des taxes, des permis etc..

Mon jugement me dit que le PQ comme toutes les autres formations politiques, ne choisit pas de nuire à ses propres citoyens, ce serait le meilleur moyen de perdre le pouvoir et ne jamais le retrouver. A ce jeu je dirais même que la corruption sous le règne de Charest aura été un des facteurs majeurs de la morosité actuelle, qui a largement contribué au négativisme et au cynisme de la population. Mais bien sûr ce n'était pas le programme du PLQ, il a simplement dévié peu à peu avec le pouvoir et le copinage avec des gens de la construction, des syndicats et des compagnies douteuses, dans un but de financement politique.

 

Comme on dit: le pouvoir corrompt, et tous les partis font face éventuellement aux multiples tentations de se servir du pouvoir, plutôt que d'utiliser le pouvoir pour servir. C'est pour cela que je favorise toujours l'alternance du pouvoir et que dans une certaine mesure je préfère les gouvernements minoritaires ou de coalitions. Mais ces gouvernements sont fragiles, et ne disposent pas généralement de la liberté d'action nécessaire, afin de bien orienter les grandes décisions et le développement de nouvelles politiques.

 

On n'a pas le choix que de regarder le plus grand tableau si on veut bien saisir tous les enjeux. Montréal est à n'en pas douter une priorité pour le gouvernement du Québec puisque c'est notre moteur économique. Mais il faut s'éloigner un peu de la ville pour saisir tout le contexte et comprendre que Montréal et le Québec sont en synergie, et que l'un influence nécessairement l'autre et vice et versa. Nous sommes interdépendants et partageons les mêmes services, les mêmes lois et les mêmes dettes. Deux réalités complémentaires et indissociables parce que nous sommes dans les faits tous québécois avant d'être citoyens de nos villes, puisque nous élisons tous notre gouvernement central à Québec.

 

D'ailleurs c'est bien à Québec que nous payons nos impôts et nos taxes provinciales, qui sont ensuite distribués partout sur le territoire selon les priorités du moment. Montréal reçoit bien sûr la part du lion puisqu'elle est la plus grande contributrice. C'est notre propre péréquation, à la québécoise. Quant à la dette, elle appartient à part égale à chaque québécois, montréalais inclus, et est financée par notre effort collectif.

 

Parce que nous avons voulu nous donner une société plus sociale-démocrate, nous avons en quelque sorte plus de services que la moyenne des autres provinces, et c'est la principale raison qui pèse sur notre endettement actuel. L'avantage de ce type de société est une distribution plus équitable de la richesse et moins de disparité entre les riches et les pauvres. Donc une société plus égalitaire.

 

C'est un choix de société que nous avons fait lors de la révolution tranquille et qui nous distingue encore aujourd'hui du reste du pays, faisant intégralement partie de notre société distincte avec la langue et la culture. Ces principes ne sont pas remis en question par la majorité des partis politiques québécois (sauf un peu la CAQ), ce qui explique notamment en partie son manque de popularité. Bien sûr répartir la richesse suppose des taxes et impôts plus visibles et en quelque sorte un peu plus lourds, mais au bout du compte nous y gagnons sur plusieurs plans dont une qualité de vie et aussi de services plus nombreux. A mon avis ce sont des objectifs honorables qui contribuent à une plus grande justice sociale.

 

C'est là que je voulais en venir. Notre système consomme beaucoup de revenus de l'État et nous avons laissé grossir notre dette au point où elle pèse très lourd sur nos finances. La marge de manoeuvre dans le partage s'en trouve d'autant diminuée et représente un défi réel pour le gouvernement provincial. Il est en conséquence plus difficile d'en partager la gestion. La volonté est bien présente mais il faudra travailler fort et être très créatif pour remédier et répondre adéquatement aux demandes légitimes de Montréal. Une partie de la réponse viendra dans la création de nouvelles richesses et un meilleur partage.

 

En réalité la situation est même plus complexe qu'elle n'y parait, car tout est inter-relié dans un principe de vases communicants. Si on enlève quelque part, il faut compenser ailleurs, car c'est toujours le même argent (limité) que l'on déplace. Je suis tout de même optimiste de voir une évolution favorable en direction de Montréal. Premièrement il y a une véritable prise de conscience générale et particulièrement du coté du monde des affaires. De bonnes idées circulent et semblent de plus en plus faire consensus. Le rapport BMO en est un bon exemple et il y a d'autres études qui vont dans le même sens.

 

Un autre point très favorable: pour le première fois depuis des décennies, nous avons un maire qui a décidé d'être rassembleur et qui a la crédibilité nécessaire pour convaincre et être écouté. Son attitude le démontre clairement et c'est à mon avis la plus belle surprise des dernières élections municipales. Montréal a manqué de ce type de leadership depuis l'ère Drapeau. Pour s'adresser au provincial il est beaucoup plus efficace quand on choisit un seul interlocuteur. Ce dernier représentera autant la population, que les gens d'affaires et les autres organismes montréalais, qu'ils soient culturels ou autres.

 

Coderre est un véritable porte-voix (il n'en a pas besoin d'ailleurs) et semble vraiment déterminé à obtenir des résultats probants. C'est l'élément qui a trop longtemps manqué à Montréal et c'est à mon avis le meilleur atout de la Ville. Il ne prendra pas un non pour une réponse, et sa personnalité imposante saura faire la différence. Finalement je reviens à mes commentaires du tout début de sa candidature, qui m'avait réjoui au départ, puis déçu durant la longue campagne. Au bout du compte il se montre véritablement combattif, entièrement dédié à son rôle de maire et sans jeu de mots, je suis convaincu qu'il fera le poids pour favoriser les changements nécessaires tant attendus.

 

Ne baissons pas les bras et ne doutons pas de l'avenir de Montréal. Il manquait un chef, un véritable homme-orchestre passionné qui ne joue pas seulement sa propre réputation personnelle et sa place dans l'histoire, mais surtout celle de Montréal. Seul il ne pourra pas faire grand chose, mais si on met en commun toutes nos forces derrière lui, tous les espoirs sont permis. Cessons donc de nous plaindre et débarrassons-nous de ce négativisme destructeur d'énergie. Retroussons nos manches, nous avons un beau défi à relever.

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Mon jugement me dit que le PQ comme toutes les autres formations politiques, ne choisit pas de nuire à ses propres citoyens, ce serait le meilleur moyen de perdre le pouvoir et ne jamais le retrouver. A ce jeu je dirais même que la corruption sous le règne de Charest aura été un des facteurs majeurs de la morosité actuelle, qui a largement contribué au négativisme et au cynisme de la population. Mais bien sûr ce n'était pas le programme du PLQ, il a simplement dévié peu à peu avec le pouvoir et le copinage avec des gens de la construction, des syndicats et des compagnies douteuses, dans un but de financement politique.

 

Je prends juste le temps de répondre à ce paragraphe. Je suis d'accord que la corruption, sous le règne des libéraux, a largement contribué à la morosité actuelle, aucun doute. Et les libéraux ont été sanctionné pour cela, ils ont perdu le pouvoir. Des membres de ma famille, libéral de longue date, ont voté CAQ ou n'Ont pas voté du tout. Et je dirais que les libéraux n'ont pas fait assez pour Montréal.

 

Mais ce que nous avons ici avec le PQ est pire dans le sens que la morosité étant a un niveau sans précédent, que les problèmes de Montréal s'accumulent etc., on aurait aimé une sorte de ''stop'' au niveau des politiques sociales pour ne pas enfoncer davantage Montréal dans une sorte de dépression collective. Mais au lieu de cela, le PQ est arrivée avec d'autres chicanes, un renforcement de la loi linguistique, une charte des valeurs que personne, et je répète, personne ne demandait. De plus, ils ont énervé les gens avec une taxe rétroactive. Oui, ils ont reculé, mais on se demande si avec une majorité ils auraient reculé !

 

Avec la campagne électorale qui arrive a grand pas, voila que Diance de Courcy nous dit qu'elle va s'attaquer au fameux ''Bonjour, hi'' !!!

 

Merde.....mais qu'est ce qui se passe ? Est-ce que Montréal a besoin, honnêtement ? On parle de relancer Montréal.....et c'est ca qu'on nous propose ? Tu crois que c'est emballant d'être a Montréal dans ce contexte ?

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Excellente analyse steve, je suis 100% en accord avec tes propos!

 

Le problème est que le P.Q. voyait que personne ne parlait de la question souverainste et ils se sont dit comment est qu'on peut faire revivre la flamme séparatiste? En brassant d'la marde! C'est exactement ça la charte. Elle ne sert qu'à brasser d'la marde!

 

Je suis un nationaliste, et le PQ me pue au nez depuis quelques années! Imaginez quelqu'un qui vient d'arriver au Québec comment il doit se sentir!?!

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Tous les moyens sont bons pour arriver à sa fin. Dans le temps on aurait pris nos fusils et nos armes pour se battre. Maintenant on y va de façon plus sournoise. Brasser de la marde a toujours fait parti des moeurs politiques, ne me faites pas brailler. Les moyens changent, le but reste le même.

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Excellente analyse steve, je suis 100% en accord avec tes propos!

 

Le problème est que le P.Q. voyait que personne ne parlait de la question souverainste et ils se sont dit comment est qu'on peut faire revivre la flamme séparatiste? En brassant d'la marde! C'est exactement ça la charte. Elle ne sert qu'à brasser d'la marde!

 

Je suis un nationaliste, et le PQ me pue au nez depuis quelques années! Imaginez quelqu'un qui vient d'arriver au Québec comment il doit se sentir!?!

 

C'est ce que je pense aussi.

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Excellente analyse steve, je suis 100% en accord avec tes propos!

 

Le problème est que le P.Q. voyait que personne ne parlait de la question souverainste et ils se sont dit comment est qu'on peut faire revivre la flamme séparatiste? En brassant d'la marde! C'est exactement ça la charte. Elle ne sert qu'à brasser d'la marde!

 

Je suis un nationaliste, et le PQ me pue au nez depuis quelques années! Imaginez quelqu'un qui vient d'arriver au Québec comment il doit se sentir!?!

 

Je pense que vous avez le nez un peu trop collé sur le défaitisme qui circule allégrement sur ce forum. Il semble qu'aucune proposition ne vous satisfera. Vous vous laissez influencer par les nombreux détracteurs qui occupent littéralement la plus grande place, dont certains de manière obsessive. Pourtant ce que je lis dans les journaux et dans les autres médias, est bien loin de ce qui se véhicule de manière répétitive dans nos fils de discussions. J'ai l'impression qu'on ne fait que tourner en rond, comme un chien après sa queue. Rien de positif n'en sort.

 

Ici sur MTLURB, on ne parle que de la Charte et tous les autres problèmes magnifiés qui relèvent de la langue ou de certaines décisions bien secondaires, qui supposément nuisent considérablement à Montréal et au Québec. Et on le fait de manière redondante, au point qu'on ne parle plus que de problèmes sur ce forum, comme si on était au bord de l'abîme. Jamais rien de constructif. Tout est lourd et sans issu.

 

WAKE UP !!!

 

Avec tout ça, comment expliquez-vous la montée du PQ? Si ce n'est que la population les appuie et que les récriminations que vous faites n'ont pas sérieusement cours dans le public. Sans vouloir faire de discrimination, je suis bien obligé de dire que les gens qui se plaignent le plus fort ici, le font en anglais, et présentent un point de vue qui ne reflète pas du tout l'esprit de la majorité des québécois. Et vous, vous en rajouter une couche de plus, pour encourager davantage le négativisme et le rejet du gros bon sens. Cou'donc c'est t'y si merdique que ça, ou bien j'en manque un boute?

 

J'avoue que c'est épuisant à la longue, car je croyais que nous discutions entre personnes intelligentes et réfléchies. Ce que je vois plutôt, ce sont des interventions purement émotives, basées sur du chiâlage devenu professionnel et inspiré de nos pires participants. Pas trop fort comme analyse, surtout quand c'est le doute qui domine dans tout. Je ne voudrais pas me voir dans ce même genre de vision noire du monde, où rien ne va plus, du moins de votre côté. Ça ne doit pas être drôle et je ne croyais pas que cela s'attrapait si facilement.

 

Je ne porte pas de lunettes roses et je suis très conscient de la réalité. Je m'informe aussi à plusieurs sources, afin de m'assurer que ce que je présente est sérieux et bien fondé. Pas de démagogie de ma part, ni de rhétorique vide. Des faits et des arguments, suivis d'ébauches de solutions souvent appuyées par des journalistes chevronnés, ou des sources hautement crédibles. J'ajoute à cela le meilleur jugement possible pour éviter de glisser dans les préjugés et les formules toutes faites.

 

L'objectivité est la seule façon de débattre honnêtement et de bonne foi, mais j'ai l'impression de le faire avec des perroquets qui répètent sans cesse leurs litanies. J'apporte des arguments pour sortir de nos vilaines ornières dans lesquelles certains nous replongent constamment, et je ne reçois que des objections, sans aucun contre-argument valable, ni même un doute positif, ni aucune nuance.

 

Si vous les voulez vos problèmes, dites-le moi, je ne veux pas vous les enlever, je croyais que quand on chiâlait c'était pour au moins chercher des solutions, ou à tout le moins accepter celles des autres, à défaut d'en trouver soi-même. Notre situation est-elle à ce point désespérée comme vous semblez le laisser entendre? Au rythme où vont les choses, si vous ne vous ressaisissez pas, vous n'en sortirez pas sans être encore plus confus, car les québécois n'attendent pas les conclusions sur ce forum pour ce faire une idée de ce qu'il y a à faire. Et c'est tant mieux, car au niveau des solutions que vous proposez, les réponses sont bien minces et commencent toujours par une négation.

 

Je termine avec cette spirale de mécontentement qui ressemble d'ailleurs beaucoup à celle de la dernière élection, où justement un fou qui se nourrissait du même fiel vis à vis du PQ, l'a conduit à péter les plombs et à aller jusqu'au crime. Quand on sème le vent on récolte la tempête, mais ce n'est pas toujours celui que l'on vise qui est atteint. Encore faut-il s'assurer que l'arme n'est pas retournée contre nous.

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WAKE UP !!!

 

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Pas de démagogie de ma part, ni de rhétorique vide. Des faits et des arguments, suivis d'ébauches de solutions souvent appuyées par des journalistes chevronnés, ou des sources hautement crédibles. J'ajoute à cela le meilleur jugement possible pour éviter de glisser dans les préjugés et les formules toutes faites.

 

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J'écris rarement sur ce forum mais là de lire que tu étais ici le seul à ne pas faire de démagogie et de rhétorique vide, là tu dépasses vraiment les bornes.

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